And now, voici la séquence tant attendue de la semaine...
LE P'TIT NAVET DU DIMANCHE MATIN :
(UGC CC Bercy 33)
C'est un mec avec un gros flingue, qui dans une sorte d'usine tire sur tout ce qui bouge, meme sur ce qui bouge pas. Ca en fait des choses à tirer et pas que des ballons. Le gros lot, c'est sa liberté. En fait c'est un detenu qui est manipulé par un joueur qui lui fait faire la guerre dans un jeu vidéo grandeur nature en plus retransmis à la télé par je ne sais pas trop quel moyen. Le concepteur du jeu, fait de lui un homme richissime donc ultra puissant, jusqu'à ce qu'un groupe de pirates ne viennent contrecarrer ses plans diaboliques...
Ca c'est que qu'on comprend en gros en fin de compte et à la fin du film. parce que dans les ramifications, y'a rien. Avec un minimum de jugeotte, ce que semble eviter le film à tout prix, le scenario, l'histoire ne tiennent pas 2 secondes. Vu le concept de ce jeu faussement virtuel, fait que chaque joueur, est un criminel par procuration, ce qui est meme dans une société dirigée par des bovins, est condamnable. Par moment ephemeres j'ai esperé que le film s'élève un peu par rapport à ce que la complexité d'un sujet tel que celui-ci doit engendrer. Il n'en sera rien. Le scenario est brouillon au possible, ça se contredit sans cesse, il y'a des lacunes, on ne comprend absolument rien de comment les protagonistes entre en scene (dans le jeu puisque des fois ils n'y sont pas) et en ressortent, sachant qu'il doivent etre présents à chaque fois que le joueur le souhaite. C'est confus au possible, pas très intelligent non plus, le but etant plus titiller la testosterone du male un peu boeuf que ses 3 neurones inactives. Heureusement les 2 comediens, Gerard Butler incarnant parfaitement le pauvre type costaud, viril, rien dans le crane à part les nonobordels, et Michael C. hall toujours parfait en seduisant pervers qu'on torse poil à la fin
Hinhinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnns'en sortent. La morale rattrapant très vite les choses, les quelques bribes d'impolitesses lors du téléscopage des 2 jeux meme si on ne comprend jamais comment les gens entre en contacte dans les jeux par manque d'exigence au niveau de l'écriture du projet, et la place du joueur d'un tel divertissement, rentre tres vite dans le rang d'un banal film hollywoodien avec un réel sentiment de gaspillage à beaucoup de niveaux. Un produit abrutissant pour atrophiés du buble en manque de sensations extremes refusant toute explication et se contentant du minimum tant que ça péte, ce qui finit par puer quand meme un peu. Un peu trop inutile en ce qui me concerne, et pas très plaisant non plus par trop de vacuité que c'en est un peu à gerber. Ce film demande plus d'exigence que les 2 réalisateurs n'ont pas ou n'ont pas voulu avoir par complaisance, ce qui est dérangeant et rend le spectacle quelque peu dégradant ou iles tparfois diffcile d'avoir un petit plaisir coupable, et ou par moments quelques etincelles qui ne mettront jamais le feu, surnagent dans cette grande désolation.
COTE :
Pour Mickael qui donne une vraie epaisseur à son personnage. Ce qui vu le résultat n'etait plus attendue. Quant au Gégé, il a toute ma sympathie, car le pauvre il cavale pour rien et en plus se ait piquer la vedette par Mickael.
Le pauvre. En meme temps il n'a qu'a meiux chosir ses films.
A la semaine prochaine, avec encore peut etre un autre film avec Gérard Butler....
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight."
Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.