Séances de ratrapage à la maison

[Frost Films]

En effet, Juno est sorti en DVD

[Frost Films]

Date de sortie : 21 Juin 2006 .
Réalisé par Olivier Van Hoofstadt
Avec Jean-Luc Couchard, Dominique Pinon, Jérémie Renier
Film français, belge.
Genre : Comédie
Durée : 1h 24min.
Année de production : 2006
Distribué par EuropaCorp Distribution

Synopsis :

JC et Stef sont des amis d'enfance. Inséparables.
JC est LE dikkenek belge, un donneur de leçon à cinq balles, un moralisateur, un tombeur de minettes, bref une grande gueule intégrale, coiffé comme un peigne.
Stef est tout le contraire. Il cherche le Grand Amour, mais vu qu'il ne bouge pas de son lit, il va avoir du mal à trouver.
JC lui explique donc la méthode : faire un sans-faute du point A jusqu'au point G.

Avis :

Un film normalement à une histoire, une trame principale, hors ici rien de tout ça. Juste une succession de scènes ayant pour but de montrer quelques passages de bastons et enchainer les blagues plus ou moins bonne ( plus mauvaises que bonnes ).
Point positif pour les mâles, les plastiques de Mélanie laurent et Marion cottillard, surtout là pour ça en fait mais cette dernière s'avère être la plus drôle du lot et la plus "givré", le passage du musée des accidentés jouant sur l'humour noir est a ce propos, probablement le meilleur passage du film. Catherine jacob et Florence Foresti complétant ce casting féminin de très bonne manière. Coté acteur, on retrouve Dominique Pinon, Francois Damiens ( l'acteur qui m'a donner envie de voir le film ) et Jean luc couchard, les deux tout autant beauf l'un que l'autre. D'ailleurs, le film joue énormément sur cette beauferie qui peux rendre les personnages attachants au final.
Vraiment dommage que le film soit sans queue ni tête, il y avait vraiment matière a faire un truc plus délirant que ça. Restera quelques dialogues valant le détour, qui ne vole jamais haut !


*

"Faut pas essayer d'être a tout prix original tu vois, ta tête est déjà originale"

[Morcar]

Je n'ai pas encore vu le film, mais mon frangin m'a dit s'être éclaté devant, avec des potes, notamment justement devant cette fameuse scène au musée. Parait-il que Cotillard y est, comme tu dis, excellente.
Mais bon, ça ne veut pas dire que j'aimerais, même si mon frangin a aimé. Pas vrai Mike ?

[La Grande Divine]

Le gros probleme avec "Dikkenek" est l'ensemble du film qui est tres inegal. Les comediens s'eclatent sans doute plus que les spectateurs. Une chance, ce sont des tres bons comediens, ce qui sauve le film. Cotillard / Laurent / Foresti / Couchard / Regnier (faut voir ce qu'il se prend dans la figure ) excusez du peu quand meme. Le film fonctionne par intermittence, y'a des passages tres tres droles dont la plupart etaient deja dans les teaser, 10 au total pour promouvoir le film. Ce qu'il ya de bien c'est qu'une fois vu, on a vu le 3/4 des trucs drole du metrage.

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 61252.html

visionnez deja les 12 videos, tres droles, et vous aurez vu la majeure partie du film.

[Frost Films]

Divine a tout dit ^^

[Morcar]

Synopsis : 19è siècle, sous l'occupation Française en Allemagne, les frères Grimm parcourent les villages pour les débarrasser de créatures étranges qui les hantent, animés par des complices à eux. Coincés par les autorités, on les force à se rendre à Marbaden où les enfants disparaissent tous dans la forêt. Les frères Grimm vont donc devoir découvrir les mystères de cette étranges forêt pour libérer les enfants.

Avis : Les décors gothiques et la jolie réalisation de Terry Gilliam auraient pu faire un très bon film, le scénario utilisant habilement les contes des réels frères Grimm pour raconter cette histoire fantastique. Le problème, c'est que ce même scénario n'est pas vraiment emballant, et que les acteurs ne sont pas vraiment convaincants. Pourtant, dans les rôles principaux, on retrouve Matt Damon et Heath Ledger, mais ceux-ci ne semblent pas trop croire à ce qu'ils racontent. Quand à Monica Belluci, elle semble jouer ici le même rôle que celui qu'elle a joué dans plusieurs autres.
Ca se laisse voir agréablement tout de même, mais ce n'est pas le meilleur film de Terry Gilliam.

Note : 14.5/20

[Frost Films]

Date de sortie : 03 Octobre 2001
Réalisé par Baz Luhrmann
Avec Nicole Kidman, John Leguizamo, Ewan McGregor
Film américain.
Genre : Comédie musicale, Romance
Durée : 2h 6min.
Année de production : 2001



Synopsis :


A la fin du XIXe siècle, dans le Paris de la Belle Epoque, Christian, un jeune poète désargenté, s'installe dans le quartier de Montmartre. Il découvre un univers où se mêlent sexe, drogue et french cancan, mais se rebelle contre ce milieu décadent en menant une vie de bohème. Christian rêve d'écrire une grande pièce, et le peintre Henri de Toulouse-Lautrec est prêt à lui donner sa chance. Celui-ci a besoin d'un spectacle grandiose pour le Moulin Rouge et le poète est embauché pour rédiger le livret de la revue. C'est là qu'il tombe amoureux de la courtisane Satine, la star du prodigieux cabaret....

Avis :


Au début je pensais que "Moulin rouge" était une simple comédie musicale. Mais c'est en visionnant le début que je me suis bien vite rendu compte que finalement, ca avait tout l'air d'être original. Et en tant que fan de comédie musicales, je ne pouvais décemment pas passer à coté.

Original, ça l'est. Au début ça m'a fait penser a du Tim burton, dans les décors et dans la mise en scène. D'ailleurs le tout début du film montre la ville de paris comme le montrer le barbier dans les rues de fleet street. C'est à dire, en long travelling avec de rapide accélérations en avant ( j'arrive pas très bien à expliquer la comme ça mais ceux qui auront vu Sweeney Todd comprendront de quel passage je veux parler ) Par contre, pendant les 30 premières minutes du film j'ai bien cru devoir arrêter le visionnage prématurément, car cette caméra épileptique a souhait est tout ce que je déteste dans les films d'actions. La ce n'est pas un film d'action, mais ça reste assez déplaisant a suivre. Mais au final au bout d'un moment on n'y fait plus trop attention et le réalisateur sait se calmer pendant les passages musicaux plus doux qui ralenti la cadence pour le plus grand plaisir des yeux. Car il faut bien avouer que ce paris là est sombre et prenant même si les scènes se passent principalement dans le célèbre cabaret parisien. Les extérieurs restent de toute beauté et envoutant comme il se doit. Le film par ailleurs, allie l'absurde au comique burlesque comme en témoigne ces drôles passages en accélérer avec les petits bruitages qui vont bien, moi ça me fait rire... Il m'en faut peu et j'assume !

Le plaisir des yeux passe aussi par la sublime Nicole Kidman. Débutant le film dans la névrose d'une courtisane ( la scène dans la chambre avec le poète pour vous en convaincre ), pour ensuite se tourner vers la douceur d'une femme. Je suis assez enthousiaste quand il s'agit d'un film avec cette actrice et pour le coup, je suis conquis. Ewan mc gregor essaye de son coté tant bien que mal à exister face à elle, son rôle de poète un peu niais sur les bords ne lui facilitant pas la tâche et je trouve que dans ce film il aura bien eu du mal à se surpasser face a la beauté envoutante de Nicole Kidman qui signe la l'un de ses plus grands rôles. Complétant le casting, John leguizamo en Toulouse-lautrec grandeur nature, Jim Broadbent ( vu dans hot fuzz ) extravagant à souhaits et un argentin narcoleptique tordant lorsqu'il s'endort en un clin d' oeil.

Mais que serait le Moulin rouge sans sa musique ? La grande originalité viens du fait que la plupart des musiques sont en fait des reprises de morceaux bien connus comme "Roxane" de Police repris à la sauce tango ou encore un medley où l'ont reconnait aisément les beatles. Mais la palme reviens sans aucun doute a la vibrante reprise de "The show must go on" de queen. Ce genre de musique qui vous fait hérisser les poils des bras ( pas très "poétiquement" dit mais bon ... ) et vous parcourt la colonne d'un frisson jouissif, en parlant bien sur du duo Kidman/gregor interprétant parfaitement "Come what may", morceaux qui vous ne laisse pas indifférent tant par sa puissante composition que par l'interprétation au diapason des deux comédiens. L'un des gros points forts de ce film car en plus d'être superbement repris, chaque musique à soigneusement étaient choisies en rapport avec la scènes dans lequel nous l'entendons. Ce qui fait que forcement en écoutant la BO sur CD, on se remémorent très facilement les scènes et les émotions dégagées par ces dernières.

Seul point qui pourrait être négatif est la niaiserie ambiante qui se dégage du film. La femme cupide qui ne jure que par l'or mais qui finira par préférer le véritable amour qui vaux plus que tout l'or du monde, le poète niais comme pas possible qui ne jure lui aussi que par l'amour plus fort que tout... Mais bon, en même temps peut on vraiment le reprocher ? Je doit être dans une bonne saison puisque pour le coup ça ne m'a pas déranger plus que ça... Je sais pas si c'est la saison aussi mais la plupart des films que je regarde ces derniers temps me mettent dans un état entre émotions et émerveillement. Moulin rouge réunissant les deux avec brio !


*****

[Morcar]

Ce film avait été une excellente surprise pour moi aussi. Comme toi, au départ, j'ai cru que je n'irais pas jusqu'au bout du film, mais plus tard, je suis rentré à fond dedans et j'ai adoré jusqu'à la fin.

Le nouveau film de ce réalisateur, Australia, me tente bien également.

[gregoire01]

Hop, petite soirée marathon Jaws





Est t'il vraiment nécessaire de donner une opinion sur le premier épisode. Ce film fait tout simplement partie de mes films culte.

Spielberg avait déjà mit beaucoup de monde dans sa poche avec Duel, Avec Jaws il confirme l'étendu de son talent.

Alors que le tournage se prolonge, que les problème technique s'accumule (requin qui marche pas, caméra qui manque de se noyer), Spielberg arrive finalement à sortir un Chef d'oeuvre de suspens et instaure les base d'un genre qui sera usé jusqu'à la corde.

Mais malgré le nombre parfaitement indécent de film animalier sortie depuis, Jaw reste une référence de mise en scène et de narration et s'avère toujours agréable à regarder.
Preuve que quand un film est réussi, le temps n'a pas d'emprise sur lui.









Jaws 2 avait été élu par M6 comme "la pire suite jamais faite". Autant dire que ce film à une réputation exécrable et ça peut se comprendre. Comment peut on oser faire une suite d'un tel chef d'oeuvre qu'est Jaws ? Rien que par cette idée Jaws 2 doit forcément être raté, non ?!

En fait, là réputation que lui à coller la chaine française (et le publique plus globalement) est surfaite.

Certes Jaws 2 n'arrive pas à la cheville du film de Spielberg.
On peut également regretter que le film soit accès principalement sur des jeunes ados. De même certaine scène comme l'explosion du bateau qui est amenés de façon grossière. Mais globalement, le film est loin d'être une daube pur et dur.

Au casting, on retrouve au scénario Carl Gottlieb et John Williams à la baguette
A la réalisation c'est Jeannot Szwarc qui à la lourde tache de succéder à Spielberg.

Si l'histoire joue la facilité en réutilisant les même personnage et le même lieu, l'évolution du personnage de Martin Brody s'avère intéressante, devenu paranoïaque et vivant dans la crainte d'une nouvelle attaque de requin, Brody ira un peu trop loin allant jusqu'à tirer sur un banc de poisson. Roy Scheider est encore une fois impeccable dans le rôle.

La mise en scène est bonne dans son ensemble, certaine scène sont même très réussie, on notera entre autre la séquence ou Brody se retrouve seul face à la mer, devant aller chercher un décris, c'est le genre de séquence digne du premier épisode.

Parlons du requin, l'anima-tronique (bien foutu soit dit en passant) de cet épisode marchant parfaitement, on profite bien de ce dernier. Un peu trop même, du coup, on a moins la sensation d'un danger invisible pour une orientation plus action.
Jaws 2 est sans doute l'épisode qui compte le plus de victime du grand, ce dernier est vraiment très actif, allant jusqu'à gober quasiment d'un coup certain personnages.
Notons que c'est le seul épisode où le requin ne meurt pas en explosant. La bête fini grillé à cause de son appétit, puisque sans réfléchir, elle fonce bouffer Brody qui en profite pour lui fourré un câble haute tension dans la gueule.
Ce n'est pas aussi épique que le premier mais ça à le mérite d'être original.

Au final, Jaws 2 n'est pas un mauvais film. Ayant la malchance de se trouver entre un chef d'œuvre et 2 médiocre épisodes, Jaws 2 s'est retrouvé avec une réputation qu'il ne mérite pas vraiment.
Une suite en deçà de l'original, c'est indéniable, mais au final Jaws 2 s'avère un divertissement agréable qui mériterait qu'on lui laisse une seconde chance.






petite annecdote

Selon IMDB, ce numéro 3 devait initialement une parodie nommée Jaws 3-People 0 A l'origine, c'est Joe Dante qui devait réaliser le projet après le succès de son Piranhas.
le projet Jaws 3- People 0 a été annulé parce que Spielberg menaçait de casser son contrat avec Universal si ce film se faisait. Vu qu'il venait de faire E.T. je comprends qu'il ait de l'influence le père Spielberg, mais par contre il a manqué de flair sur ce coup-là, parce que Jaws 3-D le ridiculise bien plus que la parodie prévue...
C'est con car le film devait commencer par Peter Benchley (auteur du livre "jaws" original) qui se fait bouffer par un requin dans sa piscine, et puis il y aurait Bo Derek nue et des aliens déguisés en requins... Un bon gros délire à la blake edwards en somme.

Avec Jaws 3, l'expression "sautez le requin" prend tout son sens. En effet, dans le but de donner un coup de jeune à la saga, tout a était revu a zéro pour proposer un film plus frais.
Fini Amity Island, bonjour le park d'attraction Sea World ! Au revoir la réalisation classique, Bonjour le film en 3D.
Tout ceci part de bonne intention, certes, mais vous savez ce qu'on dit des pavés de l'enfer ?

Cela se ressent au niveau de la réalisation paresseuse de Joe Alves qu malgré les nouvelles bases, se contente de ressortir les ficelles habituel de la saga. John Williams, lui, à laissé tombé l'affaire et cela s'en ressent tant la musique ne diffuse aucune émotion et suspens.

Si on retrouve Carl Gottlieb au scénario (plus 3 autre), un constat s'impose ! Bien que voulant rafraichir la sagas, les auteur n'arrive pas à se défaire d'un élément qui au final s'avère ridicule.
Cet élément, c'est la famille Brody. Roy Scheider n'ayant pas signé pour cette suite, les auteurs n'ont rien trouvé de mieux que de faire de son fils Michael (Sean étant relégué au second plan), le héros principal.
Outre le fait que l'on à du mal à trouver crédible que le fils Brody, après ce qui lui est arrivé dans les 2 premier épisode, soit océanologue et travail dans un parc aquatique. Le fait que la famille se retrouve encore face à un grand requin blanc, malgré que celà soit clairement dut au hasard, révèle de la poisse surréaliste.

Mais ce n'est pas le seul bémol du scénario, qui si il partait sur une bonne base (un grand blanc prisonnier dans un parc, ça peut faire de bonne séquence) et évitait certain cliché (ainsi le big boss, n'est pas totalement con et ne meurt pas à la fin malgré qu'il soit noir), se montre assez poussif et incohérent au final.
Poussif, car le film met vraiment du temps à démarrer et les longueur se font sentir.
Incohérent, car montrer que tout les dauphin survivent alors qu'on a vu l'un d'eux se faire boulotter, on aura beau dire ça s'appelle nous prendre pour des con.
Mais surtout passez des plombes à capturer un requin de 5 mètre, et ne pas tomber sur sa mère qui en fait le double, c'est moyennement crédible.

Car Jaws 3 est au final l'histoire de la revanche d'une mère requin. Maman n'est pas contente et va le faire savoir. Là on atteint un paradoxe du film, car si tout ce qui suit s'avère plus où moins ridicule, c'est à ce moment que le film trouve du rythme et se laisse regarder comme un plaisir coupable jusqu'a sa fin complètement insensé.

Si le requin de Jaws 3 fait moins de victime que dans son prédécesseur, c'est dernière s'avère parfois bien glauque, avec notamment une tête de poisson ou un bras bien mit en avant dont on peut encore voir les tendons et veines ressortir.
Mais la pire mort revient sans doute au personnage de Philip FitzRoyce, bouffer d'un coup par la maman et que l'on voit se faire broyer de l'intérieur.
La mort du requin est ridicule. Le cadavre de Phillip ressort en partie de la bouche du requin, une grenade à la main. Nos héros en profite pour la dégoupiller et faire exploser la bestiole, ce qui nous vaudra un jolie plan de mâchoire de requin.

Avant de finir, parlons un peu de la 3D. Si le résultat devait être sympa au ciné, à l'écron ce procéder n'a pour effet que de rendre encore plus visible les effets spéciaux, du coup certaine scène comme lorsque que le requin défonce la vitre devienne incroyablement kitsch.

Jaws 3 s'avère donc avant tout a voir comme une curiosité. Il peut s'avère sympa au yeux de certain et on doit quand même saluer la tentative de donner un nouveau souffle à la saga, mais en définitive, il ne s'avère pas être à la hauteur ne serait ce que de son prédecesseur (on va même pas tenter de comparé au premier, ce serait du suicide).




Que dire sinon WOW. Rien qu'en regardant l'affiche...


Jaws : The Revenge
This Time it's personal.


La revanche !!!
De qui ? Contre quoi ? C'est le requin qui veut se venger ? Il faisait partie de la même famille que les autre grand blanc ? A moins que ce soit par rapport à la mère Brody qui a perdu son fils. Mais alors pourquoi Revanche et pas Vengeance ?

Et cette Tag Line : cette fois c'est personnel ! Mon dieu, on la croirait sortie d'un actioner movies ! Franchement la Tag Line de Jaws la revanche est l'une des plus ridicule et inapproprié de l'histoire, à mettre à coté de celle de King Kong 2 (il revient et il n'est pas content).

Après un troisième épisode qui avait le mérite de l'originalité, ce quatrième lui se veut plus un retour au source. Enfin le retour au sources est surtout prétexte à une fainéantise scénaristique et au niveau de la réalisation. Pire le tout se révèle assez incroyable de nullité

Commençons par le scénario qui met encore une fois la famille Brody face à un requin géant.......
Cette famille à décidément la guigne à ce niveau, mais ils cherchent un peu la merde aussi à s'entéter a travailler au bord de mer.
Là, la première victime n'est autre que le fils Sean Brody (il n'était pas censé vivre au Colorado dans le 3 ?). Évidement la famille, du moins ce qu'il en reste vu que Martin est lui aussi décédé, est effondré surtout la mère.
Mike, décide donc de tout faire pour que sa maman e change les idée et l'emmène donc sur une île tropical (cherchent la merde je vous dit). Malheureusement le requin géant les suis jusque qu'a leur nouvelle destination.

Comme vous vous en rendez compte le scénario est tout sauf crédible et passionnant, mais tout ceci n'est rien à coté de la réalisation à la ramasse. Non content d'être molle et non imaginative, elle a tendance à prendre sérieusement le spectateur pour un con.
En effet, dans un soucis de remplissage, le réalisateur réutilisera des séquence issu du premier, sous le prétexte de Flash-Back. Si ceci peut paraitre crédible lors de la séquence de repas, ça l'est beaucoup moins quand Ellen Brody se met a se souvenir de scène qu'elle n'a pas assisté.
Pire le réalisateur reprend sans honte la séquence du 1 ou le cadavre du requin s'enfonce dans l'océan.
Du vrai foutage de gueule je vous dit.
Le reste du film quand à lui réserve son lot d'incohérence, notamment là réapparition de personnage qui, on ne sait comment, arrive à se sortir de situation qui normalement les aurait condamné.

La direction d'acteur est du même tonneau, et on peine à voir Lorraine Gary (dont c'est le dernier film) et Michael Caine dans cette farce.

Le requin quand à lui, non content d'être un fainéant de première ordre (2 victime seulement) il s'apparente plus à une gigantesque baudruche gonflé et s'avère sans dout le plus raté de la saga.
Mais le pire vient de sa mort devenu légendaire tant elle est inexplicable. Empalé par la proue du bateau, le requin explose sans aucune raison.

Rien ne sauve Jaws : The revenge, de la catastrophe. Aussi bien sur le fond que sur la forme, le film fait preuve d'une fainéantise et d'un ridicule à toute épreuve.


Bref la saga Jaws reflète assez bien l'idée général que l'on se fait d'un film et de ses suites.
Un premier épisode culte, un second sympathique, un troisième maladroit et un dernier complètement à coté de ses pompe.

[Morcar]

Pendant un bon moment, j'ai préféré le 2 au 1, personnellement. Je ne trouve pas grand chose à reprocher au 2nd volet, moi.

Par contre, je crois n'avoir vu le 4 qu'une seule fois (j'ai souvenir de passages où la mère flippe toute seule, et où au final on se rend compte qu'on nous a pris pour des cons car il n'y avait aucun requin, mais que c'est juste elle qui en voit partout), et je n'ai pas vu le 3 beaucoup de fois non plus. Pourtant, j'ai les 4 en VHS chez mes parents...

De mon côté, j'ai vu hier soir Kingdom of Heaven



Synopsis : Après la mort de sa femme, un jeune homme accepte de suivre son père, dont il vient d'apprendre l'existence, jusqu'à Jérusalem, et se retrouve au coeur d'un conflit opposant les catholique aux musulmans.

Avis : Après une première heure trèèèès longue et trèèèès ennuyante, sur les raisons de l'arrivée du personnage principal à Jérusalem, une partie également très décousu, les faits s'enchaînant très et trop rapidement, si bien qu'on ne s'attache pas du tout aux personnages du film. A vouloir tout raconter, le scénario passe très vite sur tout, ce qui rend l'histoire un peu improbable, de cet homme qui semble passer du statu de forgeron au fin fond de la Mayenne à celui de grand Seigneur à Jérusalem en quelques semaines seulement.
Passé cette première heure, les choses s'arrangent un peu. Mais le mal est fait, et comme on ne s'est pas du tout attaché aux personnages, on se fout un peu de ce qui leur arrive. S'enchaînent alors des batailles bien filmées (mais loin de nous prendre aux tripes comme celles de Braveheart, par exemple), mais dont les raisons semblent un peu grossières, et le but tout autant.
Tout ça pour en arriver à un point final loin d'être original, et une impression finale d'avoir perdu son temps pendant 2h20. On est loin du très réussi "Gladiator" du même réalisateur.

Note : 6/20

[Frost Films]

Réalisé par Takashi Miike
Avec Hideaki Ito, Koichi Sato, Kaori Momoi
Film japonais.
Genre : Historique, Western
Durée : 1h40.
Année de production : 2008

Le scénario est un peu étrange, il est du moins très long a démarrer. Une heure de bla bla pour finir par une derniere demi heure qui relève le niveau. Du point de vue réalisation par contre c'est du bon, sans être des plus extraordinaire mais la photographie reste soignée et efficace. Par contre quand on regarde le film, à la fin on se demande où en a voulu arrivé Miike. Après je connais pas vraiment les western mais dans ce film là l'ambiance oscille entre le comique du a certains bruitages pour le moins cartoonesque et le plus sérieux tout en gardant le coté comique plus prononcé. A trop vouloir jouer dans les deux cours, la mayonnaise fini par ne pas prendre.
Bref, une heure un peu chiante ( j'ai failli arrêter en cours ) et une derniere demi-heure qui sauve a peu près le tout grace a des effets de styles réussi même si au final ces dits effets ne soit pas vraiment indispensable. A voir pour ceux qui aiment les western et qui serait un peu plus calé que moi dans le domaine...

Note : * ( J'ai hésité avec deux étoiles mais finalement une est suffisante )

[Jérémie Walken]

De mon côté, j'ai vu hier soir Kingdom of Heaven

Note : 6/20

Heureusement que je ne me base jamais sur ce genre de critique pour déterminer quel film regarder ou pas, car là Morcar tu m'en aurais fait raté un que je considère pourtant comme une merveille et que je me repasse assez fréquemment à la maison

Et puis en même temps le fameux "Gladiator" du même réalisateur m'a laissé de marbre alors raison de plus pour passer outre les critiques (amateures ou professionnelles).

[Morcar]

Ah mais évidemment, ce n'est que MON avis.
Quand j'en ai discuté avec quelques collègues de boulot, ils m'ont dit avoir le même avis que moi, par contre d'autres potes ont adoré, apparemment autant que toi.
Si on regarde les critiques presse, beaucoup avaient été assez contents du film également.

Personnellement, j'ai trouvé surtout ça décousu et froid (aucun attachement aux personnages, pour ma part).

[Frost Films]

Pour parler de REC j'ai jamais vraiment était effrayé, je me suis ennuyé pendant les 45 premiere minute... Seul le quart d'heure de fin dès qu'ils rentrent dans la chambre m'a bien fait flippé ^^ L'infra-rouge aidant ... img]'intrigue est très mince comme vous l'avez dit et l'explication finale euh ... Voila ! Pourtant on m'en avait dit beaucoup de bien de REC. Ca révolutionnera sans doute pas le genre et la réalisation caméra épaule ne m'a pas déranger tant que ca. Ce qui m'a le plus dérangé c'est les cris presque incessant de la "journaliste" et tout les clichés du genre, au bout d'un moment c'est assez saoulant.

Bref, un brin décu... Ce que je retiendrais c'est sa fin, le dernier quart d'heure bien flippant ou apparait vraiment le sentiment d'enfermement et le coté réaliste du tout. Et... C'est tout. J'ai bien plus flippé dans blair witch que dans REC.

[Pattou]

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