Très apprécié Foxcatcher aussi. Peut-être pas au point de Vivien, mais apprécié quand même Il y a effectivement dans ce film un espèce de silence et des espaces étrangement feutrés qui donnent une atmosphère assez spéciale. Les non-dits y prennent plus d'importance que les dialogues. Une confrontation sourde qui monte, qui monte... Perso, c'est Tatum qui m'a le plus surpris ! Mais pour la défense de Divine, mes quelques proches ayant vu le film ont aussi trouvé le temps long...
C'est vrai que Tatum a l'ai vraiment à l'aise avec ce rôle. J'ai trouvé Whisplash en VF sur le net, je ne sais pas si c'est réellement la VF officielle du film mais je me le tenterai prochainement. Si vraiment je trouve la VF dégueu je me ferai la VOSTF
Kelvin Pitbull, PDG de la Pitbull Production ainsi que fondateur et PDG de la Pitbull Production GM Le Cinéma, un univers passionnant, une passion tout simplement !
PITBULL a écrit :J'ai trouvé Whisplash en VF sur le net, je ne sais pas si c'est réellement la VF officielle du film mais je me le tenterai prochainement. Si vraiment je trouve la VF dégueu je me ferai la VOSTF
Attendez le DVD dans ce cas. Vous choisirez. Ou verrez les 2 versions et faire la difference. Evitez le net mon PItou. Pas pôur ce film malgré son succès. Reservez ça à 50 NUANCES DE GREY. Pas à WHIPLASH.
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
Huuum ^^ D'accord. Pas pour regarder "50 Nuances de Grey" hein !
Kelvin Pitbull, PDG de la Pitbull Production ainsi que fondateur et PDG de la Pitbull Production GM Le Cinéma, un univers passionnant, une passion tout simplement !
Corbeau a écrit :Pas moi. Mais comme je ne paie pas, je le verrai probablement !
En ant qu'exploitant, vous ne pouvez pas échapper au phénomène. En meme temps fallait avoir al copie cette semaine-ci pour faire le plein. Après, voyons comment se comporte sa carrière. Là ça sera sans doute moins gagné. Rendez-vous jeudi pour les chiffres hebdo. En meme temps sur 5 jours ça a fracassé la bicoque.
Je ne l'ai pas vu et je n'irai pas. Pas envie de cautionner ce type de film. Je laisse les autres faire. Et dire qu'il y'en a encore pour 2 volets...
Gérard Cousin a écrit :
La Grande Divine a écrit :Reservez ça à 50 NUANCES DE GREY. Pas à WHIPLASH.
Méchant mais tellement vrai! (et encore, je suis pas sur que ce soit très intéressant de chopper 50 NUANCES DE GREY sur le net! )
Averc un peu de chances, le dindorama peut etre dans la salle et le spectacel aussi pour se transformer en 50 NIUANCES DE GROSSES...pouhahahahaha, et non je n'y serai pas. Divine elle va voir...
THE SMELL OF US de Larry Clark en VF normal les acteurs sont français. Filmé de près d'assez près des corps, est anxiogène. Le titre avec le mot odeur, evoque une proximité charnelle. Un electrochoc impudique ou Clarck ose montrer ce que personne ne fait voir, ou le parti pris est de montrer le pire de l'humain entre adolescents devergondés et vieux dégénérés, le tout dans un univers de deglingue totale ou le realisateur dynamite la jeunesse dorée et la bourgeoisie parisiennes. Sur un socle realiste, le cineaste/ photographe, met en image la mauvaise utilisation et les derives des nouvelles technologies et de la dependance à celle-ci, et de leur maitrise ou non. Le regard noir ne manque de lucidité non plus avant de noircir davantage le trait, de pousser la violence des relations au paroxysme, de tout exagèrer jusqu'au grotesque donnant 2 scenes aussi memorables que trash pour sans doute eviter l'implosion, ou zau contraire apporter un peu d'apaisement, avec un discours sur la vieilesse et la jeunesse reuni, entre desir de l'un, rejet de l'autre qui peut subvenir substantiellement à l'autre. C'est dur, c'est cru. L'histoire est parfois brouillonne, mais il maitrise ce qu'il met en image. A reserver aux spectateurs les plus avertis, 5 s'y sont crashés, en meme temps j'ai pas compris la présence dans la salle d'une famille composée de papa, maman et de leur gamine de 20 ans ou j'imagine pârfaitement la gene à la vue de ce qui est balancé sur l'écran et qui ne peut qu'effrayer les parents, meme si l'adolescence ce n'est pas que ça, de deglingue à tout va. C'est ce que Larry Clark à voulu mettre en images très soignées ceci dit et parfaitement composées ce qui contribue au malaise. Clark ce n'est pas un film familial, c'est ecrit en gros à la caisse. Ce qui est sur c'est ça remue les entrailles. Sexe, drogue, rock n'roll sont au programme, et la dessus au moins vous serrez servis. Par contre notre Cyborg devrait kiffer. (-++++)
PAPA OU MAMAN de Martin Bourboulon : A trop vouloir jouer la carte de comédie familiale pour y emmener pépé/mémé et les niards, l'humour du film en patit quelque peu. C'est assez lourdeau, pueril pas toujours finau, pas très inventif manquant de cruauté et de mordant. donnent tout et sont bons écrasant du coup les rejetons qui paraissent biens taciturnes et ennuyeux à coté d'eux. La mise en scene ne manque pas de rythme comme si celle-ci trouvait son energie dans celles des 2 comediens qui permettent au film de rester sur la ligne de flottaison car ça met du temps à demarrer. Les élucubrations de Marina qui arrachent quelques sourires, parfois un ptit rire, elle est vraiment drole, elle a le sens de la comedie tout comme Lafitte qui donnent tout et sont bons écrasant du coup les rejetons qui paraissent biens taciturnes et ennuyeux à coté d'eux. En tout cas le hamster, lui merite bien le Cesar du meilleur espoir de l'année. Ok, ça ne va pas bien loin, mais l'heure du dejeuner, le film fait l'affaire et a aussi le merite de durer moins de 90 minutes. Facile à caser. Comme je dis, ça passe de justesse, mais ça passe. (---++)
Vivien Guards a écrit :Foxcatcher est le meilleur film que j'ai vu des mois pour ma part (depuis Whiplash en septembre je crois...), c'est tellement parfait que je ne sais même pas quoi en dire ! (du génie)
Corbeau a écrit :Très apprécié Foxcatcher aussi. Peut-être pas au point de Vivien, mais apprécié quand même Il y a effectivement dans ce film un espèce de silence et des espaces étrangement feutrés qui donnent une atmosphère assez spéciale. Les non-dits y prennent plus d'importance que les dialogues. Une confrontation sourde qui monte, qui monte... Perso, c'est Tatum qui m'a le plus surpris ! Mais pour la défense de Divine, mes quelques proches ayant vu le film ont aussi trouvé le temps long...
C'est au bout d'1h15 ou j'ai trouvé que le film etait quoiqu'il se passe, toujours sur le meme ton et que chacun des personnages manquait de vie. Les scens de tournoi n'ont aucune intensité, comme si celles-ci etaient deja jouées alors qu'elles se deroulent sous nos yeux. Du coup c'est juste l'histoire de ces type juste pour leur histoire et rien d'autre. Puis, j'ai eu du mal avec Carrel maquillé comme un camion volé. Plus le temps s'ecoulait, plus je trouvais le film convenu. C'est une tres grosse deception surtout de part d'un realisateur qui ne manque pas de rigueur dans ce qu'il fait. Je trouve que ça manquait d'impact et qu'il y des non dits qui sont vraiment non dits, voire oubliés.
Dernière édition par La Grande Divine le Mar Fév 17, 2015 12:25, édité 2 fois.
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
J'en attendais beaucoup ... et j'ai presque détesté. J'adore le cinéma de Clark (Kids et Bully, surtout) mais j'ai sincèrement eu l'impression d'assister à une auto-parodie grossière en tout point (écriture des dialogues absolument DE-GUEU-LASSE - ce n'est pas l'oeuvre de Clark et il n'a pas le français comme langue maternelle, j'en conviens, mais je ne peux passer outre ces échanges d'une rare médiocrité - et direction de jeunes comédiens amateurs hautement catastrophique). Rien n'est crédible ! Il y a pourtant des scènes qui se démarquent et qui auraient pu entrer au Panthéon des scènes malséantes dont Clark a le secret (je pense évidemment à celle partagée par l'un des héros et sa mère ...) mais globalement toute cette crasse finit par retomber. La recherche absolue de dégueulasse nuit complètement au film, méprisant complètement la construction du récit, la logique et la cohérence des personnages, la pertinence du propos ... Quelques réflexions sympas donc, totalement desservies par un mauvais goût faussement outrancier et choquant. Clark voulait dépeindre la jeunesse française (c'est lui qui le dit hein !), mais Clark n'a plus rien à raconter. Vain. Ou plutôt deux (parce qu'il y a malgré tout quelques trucs sympas et un peu d'audace) - 2/5
Allez plutôt voir Réalité, le dernier Dupieux. Ce n'est pas toujours drôle mais le délire est pleinement assumée et va même au-delà des espérances. Pour l'instant le meilleur film que j'ai vu cette année. 3/5 Et par contre je n'ai pas du tout compris l'engouement autour de It Follows ; une scène d'introduction géniale, une ou deux autres scènes sympas et pour le reste : du vide, du creux. Esthétiquement sympathoche mais pour le reste tout simplement mauvais. Je n'ai pas tremblé une seule fois. 2,5/5
Vous repondez à la question que je me posais mais que je n'avias pas écrtie sur le forum. Z'avez vu le film.
Paavo Väyrynen a écrit :
La Grande Divine a écrit :THE SMELL OF US
J'en attendais beaucoup ... et j'ai presque détesté.
Au contraire, j'en attendais rien du tout, j'y suis allée par principe. J'ai beaucoup aimé me prendre cet uppercut dans la tronche
Paavo Väyrynen a écrit : J'adore le cinéma de Clark (Kids et Bully, surtout) mais j'ai sincèrement eu l'impression d'assister à une auto-parodie grossière en tout point (écriture des dialogues absolument DE-GUEU-LASSE - ce n'est pas l'oeuvre de Clark et il n'a pas le français comme langue maternelle, j'en conviens, mais je ne peux passer outre ces échanges d'une rare médiocrité - et direction de jeunes comédiens amateurs hautement catastrophique). Rien n'est crédible !
Etrangement, j'ai trouvé assez crédibles, ces presque instantanés.
Paavo Väyrynen a écrit : Il y a pourtant des scènes qui se démarquent et qui auraient pu entrer au Panthéon des scènes malséantes dont Clark a le secret (je pense évidemment à celle partagée par l'un des héros et sa mère ...)
Celle -ci detonne un max. Mais elle rejoint une des scenes de KEN PARK dont le film est assez proche, avec la scene entre le père completement bourré à la biere et son fils qu'il tente de sucer aussi. Ici, c'est la mère et remplacé par du pinard. France oblige Pis y' aussi celle-ci ou LARRY CLARK himself bouffe les doigts de pieds crasseux du gamin avec le noir entre l'ongle et le pied. Ca ma hurler dans la salle pouahahahahaha.
Paavo Väyrynen a écrit : mais globalement toute cette crasse finit par retomber. La recherche absolue de dégueulasse nuit complètement au film, méprisant complètement la construction du récit, la logique et la cohérence des personnages, la pertinence du propos ... Quelques réflexions sympas donc, totalement desservies par un mauvais goût faussement outrancier et choquant. Clark voulait dépeindre la jeunesse française (c'est lui qui le dit hein !), mais Clark n'a plus rien à raconter. Vain. Ou plutôt deux (parce qu'il y a malgré tout quelques trucs sympas et un peu d'audace) - 2/5
C'est à proprement parlé pas un film sympa. Non. J'ai trouvé cohérent son montage entre les differentes sequences, qui au fur et à mesure prennent forme, malgré quelques petits couacs d'interpretation par moment. Il depeint pas uniquement une jeunesse française, mais l'adolescence d'aujourd'hui avec excès. J'ai fonctionné au truc. J'aime la façon dont il force le trait. Comme la mere qui remue du cul en montant les escalier pour porter le champagne dans le musée. Je trouve ça drole. C"'est vrai que le film est hors norme et excessif et montre des gens, des liaisons, des situations qui existent. Le saccage de l'appartement, est un bon exemple. Des faits divers on deja relayés ce type de comportement. Derriere l'outrance et parfois le grotesque volontaire, se cache une verité des plus derangeante car elle existe. C'est montré de façon chocante et brosse des tableaux virulents, n'oublions que nous somme au cinéma. Qu'au US le cinema est toujours plus percutant que la realité. Clark lie les differents éléments et ça donne ce coups de poing que l'on peut refuser de subir. J'ai l'impressiond e retrouver ce cinema des années 70 refusant toute convention.
Paavo Väyrynen a écrit :Allez plutôt voir [size=130]Réalité, le dernier Dupieux.
Ca va etre difficile. Il est sur ma liste noire. Je n'aime vraiment pas ce que fait Dupieux. Mais j'aime bien Chabat
L'avez vu Vivien le Larry Clark ?
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
Il passait chez moi mais fallait faire 20 minutes de tramway donc ça m'a un peu refroidi. Pas admiratif de Clark, et j'avais peur de la comparaison avec Paranoid Park.
Il passait chez moi mais fallait faire 20 minutes de tramway donc ça m'a un peu refroidi.
Je suis partie 3/4 d'heure avant le debut de la seance. Le ciné ou le film est encore projeté est 30 minutes en metro de là ou j'habite. Ne croyez pas qu'à Paris tout est en bas de chez soi Faut bouger aussi, ca fait changer de quartier
Vivien Guards a écrit :Pas admiratif de Clark, et j'avais peur de la comparaison avec Paranoid Park.
Là c'est autre chose. Rien à voir avec le film de Gus Van Sant que je n'aime pas du tout.
TOUTE PREMIERE FOIS de Noémie Saglio et Maxime Govare : Comédie pas antipathique car pas malveillante, mais que l'ensemble est bancal du à des très grosses maladresses. Deja toutes les parties dites "en famille" sont à jeter, rien ni personne n'est drole et tout tombe à plat. L'histoire d'amour ne fonctionne pas, on sent en plus els scenes rajoiutées qui n'en finissent pas tout ça pour que ça fasse 90 minutes au compteur, ce qui allonge inutilement le film. Reste les relations entre du couple des 2 mecs et de la relation avec leur pote hetero aussi urbain que lourdeau, mais un gros point pour pour Gastambide qui lui y va de tout son char, et qui n'hesite à se foutre à poil la quequette à l'air et toute rasée, et pis ma ptite Marmaî torse nu tout poil dehors mais qui se la cache avec un pull. Du coup il se fait un peu piqué la vedette. Tant pis pour lui meme si on lui pardonne. (----+)
LES SENTIERS DE LA GLOIRE de Stanley Kubrick : Qui à part lui, popuvait parler ainsi de la guerre ? A ranger aux cotés de FULL METAL JACKET son pendant americain sur la guerre du Viet-nam. Ici l'action se situe opendant la 1ere guerre mondial et Kubrick fustige non seulement la guerre, mais aussi ce qui peut etre nommé de honte de l'armée française qui en son sein n'a pas hesitée d'avoir recours à des decisions arbitraires. Le film est sans concession et n'a rien perdu de sa virulence jusqu'au final ou on croit à un apaisement. Le dernier dialogue dira tout le contraire. Le noir et blanc superbement restauré donne toute l'ampleur du travail du realisateur sur la lumière que se soit sur les exterieurs filmé de jour comme de nuit avec ou sans fusée eclairante tirée au bon moment pour nous decouvrir face à quoi on est, que les interieurs aussi fastes et riches des generaux qui se mouillent pas, que celui des cellules crasseuses avec des soldats en souffrance. Le film est d'une profonde tristesse de part l'injustice mise en évidence. C'est à la foi revoltant et on en ressort impuissant. Le cynisme des dialogues est achevant. Rien n'est dit ni montré au hasard. (+++++)
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
La Grande Divine a écrit :Je suis partie 3/4 d'heure avant le debut de la seance. Le ciné ou le film est encore projeté est 30 minutes en metro de là ou j'habite. Ne croyez pas qu'à Paris tout est en bas de chez soi Faut bouger aussi, ca fait changer de quartier
C'est ce que j'aimais quand je vivais à Paris : je prenais mon petit Pariscope, je regardais dans quel cinéma le film que je voulais voir était joué pour le moins cher, et zou ! Du coup, c'était souvent 45 min facile pour aller voir un film. Mais super la découverte des quartiers et des différents cinés de la capitale !
Enfin là c'etait au MK2 Beaubourg en face du centre Pompidou, salle 3 de 60 places env. un ecran ou la base est perchée à 2.50 du sol donc torticoli assuré sur les 3 premiers rangs car c'est très en gradin ce qui est bien si on est au 4/5/6/7eme rang, et une seule allée... j'etais au 4e rang siége proche de l'unique allée, donc ça allait mais arrivée 13 minutes avant les pubs. Pas beaucoup de place pour les jambes. Enfin le MK2 Beaubourg quoi
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
J'ai l'impression d'avoir déjà raconté cette histoire sur le forum, donc si vous la reconnaissez passez votre chemin Une histoire que j'intitule "les bons souvenirs de salles parisiennes de papy Corbeau"...
Je suis allé voir Mystic river dans un petit ciné d'Odéon qui n'existe plus, le Cinoche, qui passait les films en 2nde main (genre 6 mois après). Salle minuscule, je dirais 35 personnes max, pas plus de 10 rangs. Je m'installe au fond, milieu de rangée, dos au mur. Superbe séance, superbe film, pellicule un peu abimée, je me crois à New York dans les années 70... Et là patatra ! Grosse envie de pipi en plein film ! Obligé de déranger 2-3 personnes pour sortir, mais heureusement je suis en fond de salle. Je sors, et me retrouve sur le trottoir directement, devant le guichet (pas de hall). Mais où sont les toilettes ? Nulle part... Je me dis que le ciné est tellement petit et vieux qu'ils sont foutus de ne pas en avoir ! Je ne vais tout de même pas pisser dans la rue à Odéon ? Je retourne dans la salle et découvre une autre porte à droite de l'écran. Je traverse la salle, et passe donc devant l'écran... Je passe dans le film jusqu'aux genoux ! Les mecs du 1er rang sont obligés de pousser leurs jambes pour que je passe ! Vous dire la taille de la salle... J'ouvre la porte des WC juste à côté de l'écran. La lumière y est allumée, j'éclaire un instant tous les spectateurs qui se la prennent en pleine face ! Et me voilà en train d'uriner juste derrière la paroi de l'écran, me rendant très bien compte que tout le monde m'entend... Puis l'épreuve du retour à mon siège... Bref, une petite aventure.