par La Grande Divine » Lun Mars 19, 2012 18:40
DETACHMENT : Tony Kaye rate un grand film. L'historie, les personnages et les acteurs sont très bons, mais malgré le talent du réalisateur celui-ci s'embourbe et noie son mélo dans la demonstration limite grand guignol, à vouloir émouvoir à tout prix. La corde sensible est tendue à l'extreme limite de la rupture, tant et si bien que le noir c'est noir y'a plus d'espoir marié au rouge en serait presque de mauvais gout, sauvé in extremis par les comédiens parfaitement juste en toutes circonstances, memes les plus appuyées. Plutot bien tout mais agaçant aussi (--+++)
LES INFIDELES : Si le film est inégal c'est surtout du à la rupture de ton entre chaque sketches. Tous ne sont pas droles, tous ne sont pas gras. Il n'y a rien de nouveau sur les cocus des temps modernes, ça reste la meme chose selon les époques, meme si on tente de nous faire croire que les gens sont plus ouverts face aux histoires de cul. Ce n'est pas si simple que ça. Ce qui fait la reussite du film, est que chaque histoire est : bien écrite, bien, filmée, et les acteurs sont bons. Des clichés, certes mais bien construit et pas mal ficelé. Tantot amusant, tantot graveleux vulgos, tantot plus sombre, parfois pesant, tantot délirant , mais jamais à coté de la plaque et toujours maitrisé en focntion de ce qu'on veut nus raconter. Ah oui, on y voit le cul de Lellouche et de Dujardin, il meriterait qu'on lui donne un oscar rien que pour ça. (--+++)
OSLO 31 AOUT : 1er long assez maladroit, il faut rentrer dans le film et ce n'est pas le réalisateur qui va y aider bien au contraire. Ce n'est pas le rythme lent, ni l'austérité de la ville nordique, mais plutot l'ensemble de scènes qui trop longues finissent par etre ennuyeuses au bout d'un moment à force de trop de dialogues, ça, ça se remue les meninges pas toujours de façon utile, qui plombent le film par manque de coupe. Cependant, le héros dégage un charme magnetique assez intense, et la fin meme si elle est prévisible est superbe et ne manque pas d'intensité. (--+++)
LA VERITE SI JE MENS 3 : LA vérite ils ne m'ont pas manqué, et la vérité àprès ce traitement, ils ne me manqueront plus. Bon reconnaisons il y'a Sinkou Sitruk de droles quand meme, un petit capital sympathie aussi du au fait que les acteurs soient cabotinent, à part Anconina et Drucker assez juste dans leur jeu, ou jouent comme des pieds, c'est au choix, mais sans doute c'est ce qui donne du relief à cette comedie poussive totalement delayée sur 2 très longues heures. Ils ont du mal à conclure. Je confirme que ça aurait pu etre pire. C'est très bien qu'on en finisse là. De toute façon c'est le meme schéma que le n°2 avec une toute petite surprise dans l'histoire que je n'ai pas vu venir mais qui aurait mérité d'etre mieux traité. Du coup c'est aussi plombant que le film précédent...(----+)
CLOCLO : Un conseil si vous n'aimez pas les téléfilms TFOne, arrivez 30 minutes après. La début du film on sent direct les imperatifs de cette très grosse machine financé par la téloche qui doit accrocher les memeres qui n'arrive pas à decoller. Jeremie Renier est plutot bien lorsqu'il est le chanteur adulte, mais prendre le meme acteur lorsqu'il est adolescent ne passe absolument pas. Il maquillé comme une porsche volée jouant au plus mal. Il faut attendre 1962 (env. 3/4 d'heure de film) pour qu'enfin ça dépote un peu. Emilio Siri est plus à l'aise avec les scène spectaculaire et rythmée plus que la sobriété demandé sur le début qui au départ n'est pas très interessante mais s'eternise. Seulement après, il faut reconnaitre que le biopic est de facture honnete, la partie meconnue de sa relation avec France Gall est ce qu'il y'a de mieux et en dit long sur la pêrsonnalité de l'homme d'affaires, et bien mené jusqu'à la fin connue de tous, car Renier ne tombe pas dans la caricature. (--+++)
JOHN CARTER : Et bien j'ai p^ris mon pied devant ce film d'aventures galactiques. Le scenario est un peu abracadabrant par moment, il ne répond pas toujours à une logique et n'hesite pas moment à se contredire dans certains details mais faut bien se l'avouer qu'on s'en tape un peu on n'est pas là pour ça, mais pour le grand spectacle tant que d'une façon générale tout y est et qu'on compredn ce qu'il s'y passe. Mais voila, il y'a plein de trucs rigolos, des bestioles à poils des trucs gluants, des peuplades martiennes en tout genre, une beau gosse tout musclé, une princesse nichon, et des mechants qui changent de forme, et ben ce blockbuster n'a rien à envier aux autres bien au contraire. Il se passe toujours quelque chose, c'est palpitant et bon enfant, kitsch comme le nom de l'acteur sans etre cheap, du coup j'ai regardé ça un matin en vo et ouf sans 3D (en meme temps à part à 10h40 et à 13h30 c'etait les 2 seules séances proposées sans lunettes stereoscopiques) qui d'après ce que j'ai vu risque d'etre plus genante qu'autre chose. LA 2D est tres bien, j'ia pu profiter de ce mélange homogène entre paysages, decors en cartons pate et effets numériques, pour le plus grand plaisir de mes yeux sans etre coupable pour autant, le sourire aux lèvres pendant 2h20 qui ont defilées sans que je m'en rende compte. Très très sympa, d'un coup j'ai eu 10 ans (-++++)
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight."
Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.