Séances de ratrapage à la maison

[Loloestla]

Je viens de regarder "les clefs de bagnole".

Verdict : j'aurais pas dû.

Ca c'est de la critique
POUHAHAHA

[Alain Blakstad]

C'est un peu un ONVI ce film, en même temps...

[Nanoyo]

C'est pour ça que j'ai voulu le regarder ^^

[Misterdada]

c'est de Baffie aussi, et il a un humour particulier et ce que je sache le film n'est pas un succès non plus... donc c'est un peu normal que le film ne plaise pas.

[Ralphaez]

le film n'est pas un succès non plus... donc c'est un peu normal que le film ne plaise pas

Beaucoup de gens ont trouvé nul Never Back Down. Moi en revanche, j'ai adoré.
Suis-je anormal ?

[La Grande Divine]

le film n'est pas un succès non plus... donc c'est un peu normal que le film ne plaise pas

Beaucoup de gens ont trouvé nul Never Back Down. Moi en revanche, j'ai adoré.
Suis-je anormal ?

Réponse : OUI.
C'est pour ça qu'on vous aime. Voila.
C'est malin, vous m'avez envie de le voir ce truc. Y'a des jeunes gens torse nu je crois bien ? . Ca passe quand sur NRJ12 ou Virgin 17 ? (Genre de films qui passe sur ce genre de chaines que j'aime regarder)

[Morcar]

Il avait prévu (je crois pas qu'il l'a fait finalement) de faire "Les clefs de bagnoles 3", avec écrit sur l'affiche "Le 2 était tellement nul qu'on l'a pas sorti"

[Gérard Cousin]

Il avait prévu (je crois pas qu'il l'a fait finalement) de faire "Les clefs de bagnoles 3", avec écrit sur l'affiche "Le 2 était tellement nul qu'on l'a pas sorti"

Franchement, "Les clefs de bagnoles", c'est merdique comme film...
De toute façon, les gens qui aller au cinéma étaient prévenus: Sur l'affiche on lisait ceci


Pour une fois, y'avait pas tromperie sur la marchandise et les gens ont écoutés le conseil!

[Frost Films]

Comme je l'avais prévu, c'est un très bon divertissement qui joue à fond la carte de l'humour noir et les blagues en dessous de la ceinture mais on va pas leur en vouloir, le contexte fait que ca ne peux qu'aller avec. Forcement, avec des vampires lesbiennes, faut pas s'attendre non plus à du grand intellectuel ^^ Et c'est donc forcément hyper kitsh et les clichés sont là et bien là ( les filles peu farouches dont la fausse bimbo intello mais qui met des jeans moulant quand même et le classique "gros" obsédé sexuel ). Celui qui voit en ce film un truc sérieux, il faudra qu'il le revoit parce que là, tout est pur délire et est fait pour ça. Du scénario, en passant par les effets de styles, souvent exagéré, et l'utilisation des textes qui font partie du décors, c'est du pur gros délire. Un gros délire de grand gamin qui cherche à s'amuser et à nous amuser. Et "putain" que ca fonctionne ^^

Ps: et la phrase d'accroche derriere le tv en dit long sur l'esprit du film ! "Plus sexy que VERY BAD TRIP ! Plus sanglant que TWILIGHT" Ca m'a beaucoup fait marrer



Même si j'étais un peu dans le paté quand on a vu ce film, j'avoue que j'ai passé quand même un très bon moment. C'est frais et sans prétentieux. Rachel weisz dans un rôle complétement décalé est excellente dans ce domaine. Mais j'ai trouvé que son charme n'était pas très mis en valeur ici ( alors que c'est juste l'une des plus belle femme du monde ^^ ) Je connais pas trop Adrien brody et mark ruffalo mais ils sont également très bon dans leur rôles. J'ai même trouvé que ca partait tellement de l'arnarque que j'ai fini par avoir eu du mal à moi même savoir ce qui devait être arnaque et ce qui ne devait pas l'être ^^ ( bon ok j'étais pas super en forme mais bon )
Ce film est une bouffé d'air frais qui passe comme une lettre à la poste ! ( on va se la faire expression à la con ^^ )

[Morcar]

Synopsis : Lorsqu'un ami lui fait part d'un cauchemar qu'il refait régulièrement, le ramenant à des souvenirs de la guerre du Liban, Ari, qui n'a aucun souvenir de cette période de sa vie, se met soudain à son tour à faire un étrange songe. Pour mieux le comprendre, il va alors retrouver ses anciens compagnons d'armes à travers le monde pour tenter de comprendre son rêve et de se rappeler de cette période oubliée de sa vie.

Avis : Dès l'introduction, on est bluffé devant l'effet rendu par l'animation et le style graphique du film. En voyant les dessins sur la jaquette du DVD, j'avais peur d'avoir affaire à un film techniquement vieillot, mais il n'en est rien. L'animation de ces personnages en 2D est vraiment bien fichue (bien qu'à certains moments leurs mouvements ne m'aient pas semblé très fluides...) et surtout la mise en scène est très cinématographique, avec des effets d'ombres et de lumières, des transparences, des reflets très réussis, et des plans rarements vus dans des films d'animation. Techniquement, il n'y a donc pas grand chose à dire.
L'histoire par contre ne m'a pas emballée plus que ça. Bien que le réalisateur présente son film comme un documentaire d'animation, et bien qu'il y ait par moment des passages d'interview et de témoignages qui vont dans ce sens, ça reste malgré tout un film à mes yeux. On suit l'histoire de ce personnage qui tente de retrouver ses souvenirs d'une guerre qu'il "n'a pas imprimés". On passe de rêves à souvenirs, et d'hallucinations à interview, et tout ça mis bout à bout nous permet de refaire le chemin avec le héros du film. Ca se laisse suivre, mais ça ne m'a pas plus emballé que ça.
Je reste donc partagé entre une animation vraiment bien fichue, et un scénario qui ne m'a pas accroché.

Note : 14/20

[Morcar]

Pour alterner, je me suis reposé hier en regardant



Synopsis : Casey Carlisle est une élève brillante. Pour son entrée à Harvard, elle décide de préparer une présentation de physique autour du patinage artistique. Afin de mieux s'impliquer dans son sujet, elle décide d'appliquer elle-même ses résultats sur la glace. Elle se découvre alors rapidement une passion pour cette discipline, au grand damne de sa mère qui ne jure que par les études.

Avis : Clairement orienté pour adolescente, "Ice Princess" ("Princess on Ice" sur le DVD que j'ai vu) est un film produit par Disney, qui connait très bien les recettes du genre. On retrouve donc une héroïne, forcément au joli minoit, qui vit dans les études, avec une mère qui vit à travers elle le rêve qu'elle n'a elle même jamais réussi à exaucer : celui de faire de grandes études. En second rôle, on a une fille qui à l'inverse ne vit que pour le patinage, poussée par sa mère à aller toujours plus loin, quitte à négliger ses études et à s'interdire toute sortie ou écart alimentaire. Les deux filles vont devenir amies, alors que chacune rêve en quelque sorte de la vie de l'autre. Ajoutez à ça un garçon qui plait bien à l'héroïne, et vous avez déjà les ingrédients de base.
Le scénario est très classique, sans surprise. Quand à la bande-son, c'est du classique pour ce genre de film, à savoir des musiques pour ado, chantées par une jeune fille.
Dans le rôle de l'héroïne, on retrouve Michelle Trachtenberg, petite soeur de Buffy dans la série, et aujourd'hui dans la série Gossip Girls, et dans celui de sa mère Joan Cusack. En second rôle, on retrouve également Hayden Panettiere, connue depuis pour son rôle dans la série Heroes.
C'est classique, sans surprise, mais bien fait dans son genre. Mais évidemment, si on en est allergique au genre, c'est même pas la peine de tenter sa chance.

Note : 11/20

[Morcar]

Synopsis : Aidé d'une équipe composée de plongeurs en apné, de créateurs de décors pour le cinéma etc..., Richard O'Barry, défenseur des dauphins à travers le monde, et le réalisateur Louie Psihoyos vont tout faire pour pouvoir avoir des images du massacre de dauphins qui se répète inlassablement dans la baie de Taiji, caché aux yeux de tous par un gouvernement qui sait que s'il venait aux yeux du monde, ils devraient y mettre fin immédiatement.

Avis : Loin de tout documentaire écolo à la mode en ce moment, Louie Psihoyos propose ici un documentaire d'espionnage, qui prouve à quel point le problème qui est ici mis à jour est important et à quel point les personnes impliquées ne veulent pas que tout cela se sache. Car les membres de l'équipe du film ont du mettre en place une véritable mission d'espionnage pour réussir à avoir des images du massacre de dauphins que Rick O'Barry dénonce depuis des années, alors que les autorités locales et les pêcheurs veulent le faire taire.
L'ancien dresseur de dauphins, qui s'accuse en toute humilité d'être à l'origine du problème qui touche aujourd'hui les dauphins, que les delphinariums achètent jusqu'à 150 000 $ pièce, avoue qu'il ne pensait pas devenir un activiste comme il est aujourd'hui, mais qu'il n'a pas d'autre choix pour mener ce combat. Un combat qui a causé la mort de deux personnes l'ayant mené avec lui déjà, preuve de la violence des personnes à qui il s'oppose.
Alors pour ce film, le réalisateur a décidé de sortir l'artillierie lourde. Equipé d'un énorme matériel composé de caméras thermiques, de micros sous-marins et de caméras haute définition, il rapporte des images habilement montées qui donnent un film vraiment prenant qui n'ennuira pas comme pourraient le faire d'autre docu-écolo. Ici, on suit cette équipe tout au long de la mise en place de sa mission, et on nous montre à quoi ils sont confrontés. On croirait voir un véritable film, tel "Mission Impossible", ce qui donne au documentaire un aspect cinématographique très réussi. Pourtant, ça reste bien un documentaire, face auquel le spectateur ne peut pas rester passif.
Au centre de cette équipe, Rick O'Barry reste un élément central, qui nous rappelle l'origine du problème. Car si les dauphins sont aujourd'hui devenues des animaux de cirques pour les delphinariums qui sont prêts à dépenser de véritables fortunes pour en avoir, c'est à cause de la série Flipper, pour laquel O'Barry avait capturé et dressé six dauphins, jusqu'à se qu'il se rende compte de la souffrance de ces animaux lorsqu'un de ces dauphins s'est suicidé dans ses bras, en arrêtant volontairement de respirer (car contrairement à l'Homme, le fait de respirer découle d'un effort conscient chez le dauphin). Il le dit lui-même : "J'ai passé 10 ans de ma vie à monter cette entreprise, et 35 à tenter de la détruire." Voir cet homme parler aujourd'hui de cette période où, selon ses propres mots, il se souciait davantage de sa nouvelle Porsche annuelle que du sort des dauphins, et voir à quel point il voue aujourd'hui sa vie à leur protection fait énormément réfléchir. Car aujourd'hui, ces animaux souffrant constemment de stress dans ces parcs, sans que personne ne s'en aperçoive à cause du sourire figé et trompeur qui s'affiche constamment sur leur visage, sont capturé chaque année dans la baie de Taiji, et tandis que certains "heureux élus" s'en vont vers les delphinariums, les autres sont tout bonnement massacrés sans ménagement pour leur viande. Une viande non commestible d'autant plus, de par son fort taux de mercure, et qui empoisonne donc ceux qui la mangent à leur insu.

Bien qu'utilisant rapidement certains éléments moins bons comme ce surfeur et l'héroïne de Heroes qui une année tentèrent à leur manière de mettre la lumière sur ce massacre, le filme de Louie Psihoyos évite de tomber dans le piège du mélodramatique. Il présente simplement ce problème, et le fait qu'il soit inconnu de tous, y compris des japonais eux-même qui s'étonnent de savoir qu'on tue des dauphins pour leur viande, n'imaginant même pas que des gens en mangent. Pourtant, on en vend même dans les delphinariums, si bien qu'on peut manger du dauphins assis dans les gradins à regarder un spectacle de ces animaux.
Le film n'a donc alors qu'un seul but, celui d'obtenir enfin des images de ce massacre pour que chacun prenne conscience du problème, et qu'on arrête tout ça. Le film se termine d'ailleurs sur une petite victoire qui permet d'être optimiste, mais le combat de Rick O'Barry risque d'être pourtant encore très long.

En attendant, ce documentaire est à voir absoluement, même si la violence de la scène du masssacre sur la fin peut en rebuter certains. On ne peut que saluer l'entreprise de ces hommes dévoués, et prêts à se mettre dans l'illégalité (surtout quand on sait comment est la justice japonaise) pour atteindre leur but.
A ce niveau, en dehors du sujet, le documentaire reste vraiment le meilleur du genre que j'ai pu voir, par un montage intelligent qui évite le larmoyant pour nous donner l'impression de voir un véritable scénario de film. Et pourtant, tout ceci est malheureusement vrai...

Note : 17/20

DVD
9,99 euro seulement à sa sortie, soit à peine plus que le prix d'une entrée de cinéma.
Un documentaire d'1h35 vraiment bien fait
Les bonus sont en fait des petits documentaires fait à partir d'images prises pour le film, mais qui n'ont pas été intégralement mises dans le film. Dommage que les sous-titrages ne s'affichent bizarrement pas entièrement.

[Loloestla]

J'ai très récemment visionné le film " Ma vie pour la tienne" ou "my sister's keeper" qui est l'adaptation du livre du même nom. Le film raconte la vie et surtout le cheminement vers la mort de Kate, une jeune ado atteinte d'une leucémie, mais à côté de cette histoire, le thème principal est porté sur les bébés docteurs et la possession personnelle de son corps quel que soit l'âge.

Le film se veut larmoyant à souhait, et c'est un but assumé par le réalisateur. Ces mesdames qui sont comme moi très émotive, verseront rapidement de petites larmes, puisqu'au fur et à mesure du film on tombe rapidement dans le déprimant. Le réal use et abuse de tous les systèmes possibles pour mouiller nos petits yeux, et même s'il y arrive, on ressent une certaine gêne de par le dramatique qui se dégage d'une film, et qui est il faut le dire appuyé par une musique efficace.

Les prestations des acteurs sont quant à elles exceptionnelles surtout celle de l'actrice très peu connue qui incarne Kate, il se dégage de son jeu toute la dignité dont peuvent faire preuve les personnes atteintes de cette terrible maladie. Les autres acteurs sont également excellent, on peut donc dire que le film est crédible, et que chaque acteur l'est, ce qui est un plus non négligeable.

Personnellement, j'ai bien aimé le film même si la succession de situations dramatiques peuvent rapidement lasser, sur moi ça aura plutôt eut l'effet voulu par le réalisateur, autant dire que le film m'a particulièrement émue. D'un point de vue moins personnel, je pense que ce genre de film peut gêner et déranger, et que l'utilisation de ce genre d'histoire de cette façon peut manquer de respect pour ces personnes, afficher la maladie de cette façon c'est jouer sur un thème qui ne peut pas laisser indifférent et donc jouer dans le "facile".

Note :
★ ★ ★ ☆☆

[Morcar]

Synopsis : Luka est une star de la chanson. Mais il le doit aux paroles écrites par son meilleur pote parti en Inde depuis des années. Lorsque celui-ci débarque en France pour quelques jours, Luka veut à tout prix faire croire à son pote qu'il est toujours un inconnu. Il demande alors à un ami, acteur raté, de prendre sa place.

Avis : Le thème de l'échange des vies a déjà été maintes fois utilisé dans les comédies internationales, mais malgré tout, le scénario se suit ici gentiment, avec quelques quiprocos sympas qui font sourire, sans faire éclater de rire cependant.
Dans le rôle de la star de la chanson, Bénabar s'en tire bien, jouant bien son rôle. Face à lui, Jocelyn Quivrin jouant le mec qui débarque en France après plusieurs années loin de la civilisation, joue correctement également. Quand à Franck Dubosc, encore une fois, il joue Franck Dubosc. Qu'il soit son personnage sur scène, Patrick Chirac dans Camping ou ici Francis, il joue toujours le même personnage. Seul son nom change. Je ne sais pas si le rôle a été à l'origine créé pour lui ou s'il l'a adapté ensuite à sa sauce, mais le personnage est ici comme tous ceux joué par l'acteur.
La réalisation ne brille d'aucune originalité, sans surprendre, à la manière des téléfilms qu'on voit sans cesse à la télé. Une comédie française comme il en sort beaucoup donc. Pas surprenante, mais se laisse suivre tranquillement, sans se prendre la tête.

Note : 12/20



Synopsis : Cette fois-ci, c'est la promesse de trop. Jean-Gabriel ayant promis à ses trois enfants de les emener à ski, sa femme lui a déposé un ultimatum. Soit il trouve le moyen de respecter sa promesse, chose qu'il n'a jamais faite avec aucune avant ça, soit elle le quitte. Vivant de petits boulots, ça risque d'être pourtant difficile.

Avis : Primé au festival de la comédie de l'Alpes d'Huez l'année après "Bienvenue chez les Ch'tis", ce nouveau film à la bonne réputation m'a déçu, comme son prédécesseur. Le scénario traine à démarrer (il faut plus d'une demie-heure avant que la famille parte au ski) et une fois démarré, les gags ne sont pas très drôles, et sans aucune surprise. Il y a quelques bons moments tout de même, mais rien de renversant.

Note : 11/20

[Ralphaez]

Note : 12/20

Je l'avais vu au ciné tiens. J'avais beaucoup aimé. Une bonne surprise pour moi qui ai abandonné les comédies françaises depuis Bourvil et De Funès.