Morcar a écrit :gregoire01 a écrit :D'un coté, arrête moi si tu peux, c'est tiré d'une histoire vrai, il pouvait pas changé la fin. Mais je suis d'accord pour minority report, ça aurait gagné a s’arrêter 10 minute avant.
Il n'avait pas besoin de changer la fin, mais de
simplement laisser le doute sur ce qui allait arriver après, en ne mettant pas les deux dernières minutes.
Moon ptit Morcar, dites-vous bien qu'aux Etats-Unis, c'est impossible de procéder ainsi. Les films coutent très et sans doute trop chers pour ce permettre ce petit luxe. Les films doivent cartonner au box office pour rentrer dans leurs frais. Le public la-bas aime qu'on lui dise tout sur tout et que se soit noir sur blanc, sinon ça lui plait pas et les gens ne rendent pas dans les salles. D'ou ce coté malheureusement niais de certaines productions. Et oui MINORITY REPORT se gaufre la gueule par terre à cause des 3 dernieres minutes
Pour répondre à Lea sur la fin de SUPER 8, celle-ci ne me gene pas et est parfaitement dans le style des prod Spielberg des 80's. Le plus gros defuat du film reste l'histoire de SF qui ne tient pas la route 2 secondes car totalement incomprehensible avec tout un tas de trucs laissés en suspens avec le personnage du prof par exemple, et le coups des chiens en particulier. Le film vaut pour l'ambiance qu'il degage et que c'est pas mal bricolé et le plaisir de le regarder.
Sinon, j'ai vu pendant mes vacances au cinema de NAntes à l'ugc Atlantis en face de l'hippoppotamus à cote du afonlaforme pas loin du leclerc et de sa station service...
LA PIEL QUE HABITO de Pedro Almodovar : comme d'habitude est mouille biene, et moins comme d'habitude il revient aux films tordus aux personnages mysterieux sur un scenario retord assez divertissant. Derangeant et troublant juste ce qu'il faut, ce film quelque peu malade (mental ?) est fascinant dans sa theatralité de part la composition de jeu des comediens incarnant ce drole de cirque ou l'émotion est absente ce qui donne un film cliniquement froid et élégamment pervers. Assez régalant
IMPARDONNABLES de André Techiné : Il n'y aucun déplaisir à suivre ce film en 2 parties très distinctes même si je n'ai pas compris ou cette histoire veut en venir, ni même la signification du titre. Carole Bouquet est impeccable, les autres acteurs sont biens dans cette intrigue pas convaincante car imprécise.
LA PLANETE DES SINGES de Machintruc Bazarchouette mais avec James
Hinhinnnnnnnnnnnnnnnnnnn Franco. Qu'est)ce qu'il est sexy avec ses 2 mains, pouahahahahaha. Sinon ce blockbuster classique rempli parfaitement son contrat de divertissement hollywoodien. C'est très bien mené, il n'y a pas de temps morts. C'est spectaculaire sans etre idiot, et oui j'ai ete bien scotchée et meme la VF est bien.
COMMENT TUER SON BOSS de Stupid Asshole : Heu, hum, ok dire que je n'ai pas rigolé meme parfois assez fortement serait mentir. Mais quand meme c'est assez naze dans l'ensemble et personne ne s'est cassé le melon. C'est mega vulgos fastoche limite penible, la fin est une catastrophe tellement celle ci est politiquement correcte sous un amas de grossieretés. Amateurs de poils, couilles nichons bites trou de balle, ils aiment ça tourner autour du trou sans jamais y aller ni au fond ni à fond
, seront aux anges, y'a que ça. Sinon y'a Kevin Spacey toujours bien mais en trop en second role, les 3 tocards agaçants qu'y ont la vedette. Bof bof beauf...
LES BIEN-AIMES de Christophe Honoré. Tres beau film sur un destin hors du commun. Si le debut est assez léger et enlevé, l'histoire s'assombrit petit à petit avec les personnages qui evoluent et vieillissent. Un conte cruel parfaitement orchestré, ou se melent nostalgie, mélancolie, tristesse et cruauté sans mauvais fond. A part une maladresse sur le destin d'un des personnage, cette ambitieuse fresque ne manque pas de culot par les themes abordés, comme souvent chez ce cineaste, et les rassemblent ici un un seul bloc de 2h20, que je n'ai pas du tout ressenti prise dans ce tourbillon de sentiments complexes parfois chantés ce qui donne une sensation de légèreté alors que se dessine le (melo) drame au fur et à mesure des images defilantes.
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight."
Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.