Ari G. a écrit :LA PREMIERE ETOILE
Un vrai film sarkoziste quoi : le noir est fainéant,
Rââââââh, j'ai pas pu m'empêcher d'être méchant vis-à-vis d'un film Français - ça devient maladif...
Pouahahaha, vous y allez un peu fort quand meme. Bon d'accord si vous payez 10.20euros (tarif normal du cinema ou je vais, vous risquez fort d'en ressortir moyennement content) le realisatuer sait de quoi il parle et de ce qu'il caricature. Il ne doit pas y avoir que du faux non plus là dedans.
Ralphaez a écrit :Bon, vu que mamzelle Divine me met la pression, j'y vais !
Je ne mets la pression à personne. J'aime bien le avant et le comment vous vous etes retrouvé dans la salle de cinéma. Je trouve très sympa et original.
GOOD MORNING ENGLAND de Richard Curtis (UGC CC Bercy 21)
1966, Carl, 18 ans (Hinhinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn le ptit british coincé, )a fait une grosse bêtise dans son lycée. Pour le punir sa mère l'envoi direct au bagne, à savoir un rafiot qui diffuse de la pop et du rock dans les eaux troubles de la mer du nord inondant les ondes du royaume-uni. Ce qui n'est pas du gout du gouvernement qui va tout faire pour mener ses pirates à leur perte. Çà va pas être facile...
(pour faire comme notre poto Ralphy) Alors avec M. Divin on va au ciné pour voir ça. Seulement voilà y'a plus que 117 places pour une salle en comptant un peu plus double. Avec un peu de chance on se retrouve dans les 5 premiers rangs, l'écran panoramique en pleine tronche, le film etant en vo et en scope ça va etre rigolo. Star trek alors qu'on va voir. Oui mais faut attendre 1/2 heure et la moitié des billets sont deja vendu. Bon allez on tente le film anglais on verra bien. Coup de bol au dernier rang 2 places sur les cotés tres sur les cotés oui, mais au fond, alors ça va. 15 minutes plus tard la salle est pleine. Vive les jours feriés
Pouahahah le délire, on nage en plein dedans. Un film totalement loufoque parfaitement dosé, juste ce qu'il faut pour eviter la noyade. C'est rythmé au son des tubes du moment (1966 je le rappelle) sur vynil donc chaleureux au niveau du son. Le film en est à l'image. C'est vivant, plein de couleurs bariolées avec des personnages hantant ce drôle de vaisseau respirant le psychédélique. De la pellicule qui sent la liberté et l'air marin, avec ce flegme so british qui lui va à merveille. C'est simple, j'ai pris mon pied, bon je sais au niveau souplesse c'est pas encore ça, mais ce film s'avère être une excellente surprise et risque fort d'être un divertissement incontournable de cette année, de la part la bonne humeur qui en réchappe à chaque instant sans jamais tomber dans la facilité. Le film est souvent entrecoupé d'interlude ou on y voit les auditeurs s'éclater autant que les animateurs de cette radio flottante diffusant des morceaux vieux de plus de 40 ans et dont le film leur redonne une seconde jeunesse et une vraie modernité. Çà décrasse les yeux, les oreilles, l'esprit, le mental pendant 2h15. Allez embarquez sur ce love boat décalé et totalement jouissif et laissez-vous faire, que la croisière s'amuse et vous avec et vous m'en direz des nouvelles. En esperant que mon enthousiasme vis a vis du film n'en retire pas du votre.
COTE :