Catalogue des films sortis chez Grain De Folie Films

[Le Docteur]

015 - L'AFFAIRE JOE MALGYOS



« Mon nom est Jack. Jack Warner. Détective privé.

La vie est une fichu bonne femme. On en profite mais elle finie toujours par nous bouffer jusqu’au bout.

Comment j’ai pu me retrouver dans une telle galère. Ce brancard ne m’était pas destiné à l’origine. Et la balle qui me traversait l’épaule non plus d’ailleurs. Quelle idée d’avoir embauché quelqu’un pour mes enquêtes.

Pat O’brien, qui voulait que je l’appelle Jet, n’était vraiment pas une flèche. Je n’ai jamais vu plus maladroit que lui. Il pouvait avoir ce pourri de Malgyos, et ce crétin l’a raté et je me suis pris la balle.

Ca fait des semaines qu’on se traîne cette affaire. Joe Malgyos est comme qui dirait le Al Capone de notre époque, en plus sanglant. Trafic de drogues, d’armes, de femmes, casino clandestins en tout genre, et des personnes corrompu dans toutes les administrations qui pouvaient lui faire de l’ombre. Et on ne l’appelait pas « Le Sombre » pour rien. Il y avait beaucoup de cadavres dans cette ville dont on pouvait aisément deviné que c’était l’œuvre de ses sbires.

Le commissaire Morcar est venu me voir, il y a cinq semaines me demandant officieusement d’enquêter sur lui et de le confondre définitivement. Il ne faisait confiance à aucun de ses hommes. C’est lui qui était venu me sortir de la merde dans laquelle je m’étais mis lors de l’affaire Walken. Il me laissait carte blanche pour le ramener devant les fédéraux avec preuves à l’appuie. Et si par mégarde, il se prenait un pruneau dans la tête, il me couvrirait. Mais bon, qui me couvrait moi ? Jet ? C’était de sa faute si j’étais dans cet état là. Maudit gamin !!!...

Note à moi-même : Ne prend plus de coéquipiers…Tu ne leur porte pas chance. Et ne porte plus jamais de jugement hâtif sur eux.

Jet est allongé dans cette ruelle devant moi. Abattu lâchement de quatre balles dans le dos. Il avait beau me casser les noix, je l’aimais bien, ce petit, malgré ces maladresses fréquentes. En fouillant le corps, j’ai trouvé deux enveloppes. La première enveloppe était du service scientifique de la ville qui disait que la balle que j’avais reçu venait pas de l’arme de Jet, mais de celle d’un « Kate », nom donné à un fusil de sniper des marines. Je te demande pardon, mon Pat, de t’avoir reprocher cette blessure. L’autre enveloppe contenait une photo d’une femme, tenant un fusil. Sur le dos de la photo, un nom de code : Miss Fraggle.

Cette nana est une légende dans les marines, et il semblerait que Malgyos l’ai engagée pour s’occuper de ma petite personne. J’étais dans une chasse à l’homme dont j’étais le gibier… »

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Nous avons décider de continuer les aventures de Jack Warner de "Walken Project", en y intégrant des noms que certains d'entre vous reconnaitrons, en clin d'oeil à mes confrères.

Je tiens à préciser que les noms des méchants n'est pas choisit en fonction de mon appréciation de la personne, mais plus de la conssonance du nom pour mes personnages.

Budget technique : 3 000 000$
Total des cachets : 839 810$
Budget publicitaire : 6 000 000$
Sorti le 13 octobre 2007 (Semaine 145)
Entrées : 19 844 283
Budget total : 9 839 810$

[Le Docteur]

016 - GALAXIAN I : LE VENT NOUS PORTERA



Année 4795. Date 11 novembre Heure 10.27 pm
Rapport du commandant de bord Carrignon, chef du navire Galaxian.

"Voilà plus de six ans que nous voguons dans l'espace, à la recherche d'une planète de substitut de la Terre. Nous avons quitté notre galaxie, et sommes là où aucun autre être humain n'est allé. La Terre n'est plus qu'un vague souvenir maintenant. Elle était vouée à la destruction par le soleil. A notre bord, nous avons 150 personnels d'équipages et 528 personnes, femmes, hommes, enfants qui serviront à repeupler l'hypotétique planète que nous trouverons. Ainsi qu'un couple de plus de mille espèces animales afin de recréer l'environnement sur celle-ci.

Nos radars auraient repérés une planète semblable à la notre, avec la même atmosphère. Nous avons mis cap vers celle-ci, voir si, oui ou non, nous pouvons installer notre colonie. D'après les capteurs lancés, il y a un mois, aucune vie n'aurait été décelée.

J'espère que cette planète sera la bonne. Aucunes autres avec la même atmosphère n'a été detectée dans cette galaxie. Et nos réserves s'amenuisent de jour en jour. Nous ne pourrons plus tenir très longtemps. Peut-être un an, pas plus.

Malgré tout, le moral est bon à bord. Ils pensent tous que cette nouvelle Terre est la bonne. Pourtant, cela me semble trop facile...

Nous verrons bien. Notre "arche de Noé" a prévue de se poser demain vers 9.37 pm et je vais partir en exploration avec l'amiral Calwell et le sous-officier Kennedy.

Nous avons été là où le "vent" nous a porté. Espérons que cela soit un vent bénéfique...

Fin du rapport"

Budget technique : 3 000 000$
Total des cachets : 799 921$
Budget publicitaire : 6 000 000$
Sorti le 20 octobre 2007 (Semaine 146)
Entrées : 11 769 842
Budget total : 9 799 921$

[Le Docteur]

017 - GALAXIAN II : LA TERRE PROMISE



Année 4796. Date 25 mars Heure 08.02 am
Rapport du commandant de bord Carrignon, chef du navire Galaxian.

"Voici plusieurs mois que nous nous sommes posés et installés sur cette planète. On se croirait presque sur la Terre. Nous avons batipsé la planète EDEN, car elle fut notre paradis, notre terre promise.

Les premiers jours de colonisation furent très dures. Des créatures que nos capteurs n'ont jamais pu detecter, sont venus nous attaquer. 4 hommes et 3 femmes y ont perdu la vie. Nous savons desormais que nous ne sommes pas seuls, et que la cohabitation allait être très dificile.

Aujourd'hui, j'ai monté un groupe d'hommes volontaires pour partir avec moi, en expédition, à pied, afin d'explorer le territoire, et d'essayer de savoir d'où venaient ces créatures, que nos hommes appellent Cerbere, en référence au chien, gardien des enfers.

Notre mission est périlleuse. Je cède le commandement de la colonie, en mon absence, au Sergent Calaway, plus apte à diriger tout ça, après moi. Nous ne reviendrons peut-être pas vivant. Mais j'aurai été fier d'être un pionnier sur cette nouvelle terre, source de toutes nos espérances.

Dieu fasse que mes hommes et moi revenions indemnes...

Fin du rapport"

Budget technique : 3 000 000$
Total des cachets : 2 621 767$
Budget publicitaire : 6 000 000$
Sorti le 26 janvier 2008 (Semaine 160)
Entrées : 14 018 646
Budget total : 11 621 767$

[Le Docteur]

018 - TRY HARD II : 58 MINUTES POUR MOURIR



Enfin les vacances. Jean les attendait depuis plusieurs mois déjà. Le ministre de l’intérieur en personne le lui avait promis : de splendides vacances en Polynésie Française. Ce présent pour services rendu à la nation, pour avoir sauver Notre-dame De Paris, ainsi que d’avoir mis en déroute des membres importants des triades.

De plus, le ministre lui avait rendu sa plaque d’inspecteur, qu’il avait perdu, lors d’un casse malheureux à la Banque Populaire de l’avenue des Champs-Elysées, il y a quelques années, pour avoir détruit, à lui seul, plusieurs bâtiments voisins afin d’arrêter les malfrats.

En ce samedi matin, l’aéroport de Roissy est bondé de monde. Que cela soit par des personnes partant en vacances ou voyages d’affaires, ou par ceux qui reviennent et les touristes. Jean, après avoir fait inscrire ces bagages, se dirige vers la porte d’embarquement de son vol, faisant un sourire ravageur à la petite hôtesse asiatique qui lui valide son billet. Son visage lui semblait familier, mais il n’aurait su dire où il l’avait rencontrée. Peut-être dans une boite ou un bar de la capitale. Il n’en fit pas de cas.

Dans l’avion, son siège était mitoyen avec celui d’une charmante jeune femme, et il entama la conversation avec elle.

L’avion prit de l’élan sur la piste et s’envola tel un gros et lourd oiseau. En route pour la Polynésie Française. Au bout de quelques heures, Jean demanda à une hôtesse s’il pouvait visiter le cockpit, montrant son insigne d’inspecteur de police française, pour éviter des doutes de détournements ou autre.

Alors qu’il entrait dans la cabine, il entendit le pilote, et ses assistants discutés.

« - Je comprend rien, l’ordinateur de bord nous montre une anomalie dans les trains d’atterrissages arrières. J’ai beau essayé, ils ne veulent plus sortir… Il faut faire demi tour et trouver une solution avec la tour de contrôle…. Sinon, on risque d’atterrir en catastrophe….. Attendez…….. J’ai quelque chose dans mon casque… Ca s’adresse à nous…. Je branche le haut parleur»

« Nous sommes le groupe « Sourire du Dragon », ce message s’adresse à l’avion AF-802 qui vole vers la Polynésie française. Vous avez à votre bord, une personne dont nous devons nous débarrasser. Pour cela, nous avons placé cinq bombes, bien cachées dans divers endroits de votre appareil. Celles-ci exploseront dans exactement….. 58 minutes. N’essayez pas d’atterrir, nous avons saboté votre train d’atterrissage… Oh fait, vous pourrez remercier monsieur Jean McFlane !!! C’est a cause de lui que nous allons tous vous sacrifier !!!!... »

S’en suit un rire cynique que même le maître du mal dans n’importe quel film n’arriverait pas à reproduire…

Les vacances de Jean commençaient d’une façon bizarre. Il semblerait que les triades n’ont pas la mémoire courte et qu’elles aient des envies de vengeance depuis l’affaire de Notre-dame… En plus, il avait les pilotes et les passagers contre lui, ce qui n’allait pas lui faciliter la tache pour retrouver les bombes. Heureusement, Françoise, sa voisine de fauteuil décide de lui prêter main forte…

"Contrairement à ce que peut sembler le scénario, c'est avant tout une comédie (pleine d'action ^^). Retrouvez votre héro Jean McFlane dans des aventures dont il ne veut pas être le héro !!!"

(Librement inspiré de la série des Die Hard)

Budget technique : 30 000$
Total des cachets : 382 885$
Budget publicitaire : 6 000 000$
Sorti le 06 septembre 2008 (Semaine 192)
Entrées : 11 977 223
Budget total : 6 412 885$

[Le Docteur]

019 - AMERICAN HISTORY II : PINZON



Le ciel s’était assombrit depuis quelques heures. La mer est démontée. Les vagues viennent s’écraser contre la coque de la caravelle. Le capitaine du navire, Vicente Pinzon était habitué à ce genre de temps, mais plus le temps passait, plus il s’inquiétait sur la solidité de ses navires aux couleurs de sa famille. Il essayait de distinguer à travers les hautes vagues et la pluie qui ne cessait de tomber, de repérer les trois autres bateaux qui l’accompagnaient.

Ils étaient partis depuis quelques semaines en direction des cotes du nouveau continent. Cette tempête allait sûrement les faire dériver. L’essentiel était que les caravelles restent soudées, malgré la difficulté de manœuvrer correctement. Le froid de janvier de année 1500 commençait à engourdir ses membres, mais il préférait rester à la barre pour guider son navire, comme il l’avait fait autrefois, lorsqu’il naviguait aux cotés de l’amiral Cristobal Colon, qui avait découvert le nouveau continent.

En 1492, lui et son frère Martin Alonzo, avaient fournit les navires qui permirent à Colon de mener à bien son expédition. Personne ne voulait financer cette expédition qu’était de rejoindre les Indes par l’Ouest, et considéraient le navigateur comme un fou. Il prit donc le contrôle de la Nina, son frère celui de la Pinta, et Colon, la Santa-Maria, et partirent pour un monde inconnu, de connaissance d’homme. Il participa avec ce dernier à la plupart de ses découvertes et lui resta fidèle. Son frère Martin Alonzo ayant renoncé en 1493 à ces voyages, car il considérait que la découverte de San Salvador, première terre baptisé par Cristobal aurait du lui revenir de droit, vu que c’est Rodrigo de Triana, vigie de son navire qui avait annoncé le premier la terre.

Martin Alonzo était mort quelques mois après son retour en Espagne, en essayant en vain d’avoir les honneurs de Ferdinand II pour la découverte du San Salvador… Mort d’épuisement et de maladie contracté sur le nouveau continent.

Vicente avait continuer lui à suivre Cristobal. Lui restant fidèle jusqu'à aujourd’hui, alors que peut-être une terrible tempête allait mettre fin à cette épopée fabuleuse.

Par miracle, la tempête sembla se calmer d’un coup, la vigie, en haut du mat principal cria « Terre !!! Terre !!! ». Vicente tourna la tête vers la direction qu’indiquait la vigie. En effet, au large se dessinaient les cotes d’un continent encore inexploré qui allait devenir plus tard le Brésil.

« Découvrez la vie palpitante de ce grand navigateur espagnol qui fut le premier à découvrir les cotes du Brésil, trois mois avant l’explorateur portugais Alvares Cabral ainsi que l’amazone. De plus, il fut le premier navigateur à franchir la ligne de l’Equateur. »

Budget technique : 3 000 000$
Total des cachets : 820 801$
Budget publicitaire : 6 000 000$
Sorti le 13 septembre 2008 (Semaine 193)
Entrées : 18 161 778
Budget total : 9 820 801$

[Le Docteur]

020 - A LA RECHERCHE DE LA NOUVELLE TARE



« A La Recherche De La Nouvelle Tare »… Tel aurai pu être le nom d’une émission de télé réalité, qui fait tant fureur depuis quelques années maintenant, dans le monde entier.

Le principe est simple : on prend des inconnus (Loft, Star Academy, Koh Lanta…) ou des peoples (La ferme, 1ère Compagnie…), on les mets devant les caméras dans des lieux insolites (Ferme, loft, château, îles…), on leur inflige des épreuves, selon les émissions (Chant, danse, traire des chèvres, manger des asticots) et on demande à la fin, au téléspectateur de choisir son candidat préféré par téléphone ou SMS (Une manne financière importante, que très vite, les producteurs de ces émissions et chaînes de TV ont su mettre à profit), ou bien d’éliminer l’un d’entres eux..

Notre documentaire se tourne plus vers les émissions dîtes musicales, qui cherchent, soit disant, à trouver la perle rare dans le monde de la chanson. Nous avons eu trois grosse émission en France : en 2001 : Popstars, Star Academy et en 2003, La Nouvelle Star. Les deux dernières émissions étant inspiré d’un concept anglais appelé « Pop Idol ».

Ces trois émissions mettent en scène de jeunes et parfois talentueux artistes en herbe, filmé du casting jusqu’à l’élimination ou la consécration. Pour certaines, seul le chant est jugé, dans d’autres, la danse et l’expression scénique sont également mises en avant.

Les candidats étant encadrés par des professionnels de la musique (Richard Cross, Mye Fry, Manu Catché, Michael Jones….)

On fait miroiter à ces candidats qu’ils connaîtront la gloire après leur passage à la télévision. Seulement, certains ne se rendent pas vraiment compte du ridicule. Ils ne savent ni danser, ni chanter, et tente pourtant leur chance. Les chaînes de TV n’hésitant à pas à monter des bêtisiers de ces candidats. Et après le jeu, les émissions, les heures passées enfermer dans un château à assimiler en 3 ou 4 mois, ce que d’autres mettent toute une vie à maîtriser, que deviennent les perdants de ces émissions. Car ce sont pour la plupart de vrais perdant.

Qui se rappellent des noms des candidats des premières années de ces émissions ? Combien ont-il percés ? A-t-on entendu parlé d’eux depuis ?

Les maisons de disques associées à ces concepts de jeu ainsi que les producteurs, semble lâcher leurs anciens candidats une fois qu’il n’en ont plus besoin, où ils sont abandonnés après la sortie d’un premier album sorti à la va vite après l’émission qui n’a pas fait les scores escomptés de vente. Parfois négligeant même la pub pour certains artistes…

Peu s’en sont sortis : Jenifer, première gagnante de la Star Academy, Olivia Ruiz, Grégory Lemarchal (qui aurai, j’en suis certain, réussi, si la maladie ne l’avait pas emporté), Emma Daumas, Jonathan Cerrada, Amel Bent, Matt Pokora. La grande gagnante fut sans doute Chimène Badie, en perdant à Popstars (première année), refusée parce qu’elle ne correspondait pas au profil des filles demandées pour la création du girls band. Un producteur de l’émission lui fera signer un album solo qui la lança sur la scène française.

Que sont devenus les Steeve Estatof ? Les Paxti ? Les Georges-Alain ? Les Houcine ? Les L5 ? Les Magalie Vaé… Certains d’entres ont sortis des albums dans le désintéressement complet du public.

Y’a-t-il une vie après ce genre d’émission ? C’est ce que ce documentaire va essayer de vous montrer…

Budget technique : 3 000 000$
Total des cachets : 5 054 149$
Budget publicitaire : 3 000 000$
Sorti le 04 octobre 2008 (Semaine 196)
Entrées : 12 727 268
Budget total : 11 054 149$

[Le Docteur]

021 - A-TEAM : A LA MEMOIRE DE NOS PERES



« Il y a 36 ans, en 1972, une unité de commando d'élite stationnée au Viêt-Nam fut envoyée en prison par un tribunal militaire. Ces hommes s'évadèrent rapidement d'une prison de haute sécurité de Los Angeles. Aujourd'hui, encore recherchés par le gouvernement, ils survivent comme des soldats de fortune. Si vous avez un problème, si personne ne peut vous aider et si vous pouvez les trouver, peut-être pourrez vous engager l'Agence tous risques. »

2007 : A l’académie des sciences de New-York, Jonathan Murdock reçoit, aujourd’hui, son diplôme de micromécanique avec mention d’excellence dans ce domaine. Ses pairs l’applaudissent à tout rompre. Au premier rang sa mère pleure de fierté pour son fils. Qui aurait pensé que le fils de « Looping » Murdock, réputé pour être un fou notoire, deviendrai un jour l’un des plus brillant scientifiques du pays ?

Il aurait aimé que son père soit là pour vivre ce moment. H M Murdock, ancien pilote lors de la guerre du Viêt-Nam, à mystérieusement disparus, il y a 13 ans, avec trois de ses amis et anciens frères d’arme : Hannibal Smith, Templeton Peck et Albert Barracus.

Ensemble, après la guerre, ils formèrent un groupe appelé « la A-Team » (L’agence tout risques). Poursuivit par l’armée pour s’être échappés d’une prison de Haute Sécurité de Los Angeles, pour un délit qu’ils n’avaient pas commis, l’agence aidait ceux qui avait besoin de l’aide de soldats de fortune, de mercenaires, afin de résoudre des problèmes plus ou moins dangereux.

Après 4 ans de missions diverses, ils se firent finalement arrêter par les militaires, pour y être jugés et incarcérés à nouveau. Le Général Stockwell leur proposa un deal : Qu’ils travaillent sur des missions secrètes pour le gouvernement, et ils seraient totalement blanchis des accusations qu’on leur accréditait.

Ils disparurent 13 ans après, toujours pas disculpé, en pleine mission, laissés pour mort, au Mexique. 13 ans sans nouvelles d’eux.

Même cette remise de diplôme ne lui enlevait pas le souvenir de son père dans sa tête. Il était pas le père parfait, et avait parfois des moments de folie, mais le peu qu’il était là, il passait tout son temps avec Jonathan. Ces souvenirs lui firent presque passer inaperçu, un visage familier dans la foule… Tante Amy !!!

Amy était autrefois une journaliste et a aidé parfois la A-Team, lors de lors mission durant deux années. Elle avait présenté sa sœur Sonia à son père, plus tard, qui l’épousa deux ans après.

Amy le fixait avec un regard qui disait qu’elle avait quelque chose à lui dire de très urgent, que même une remise de diplôme, aussi importante soit-elle, n’était rien a coté de ça.

Après quelques instants, Jonathan se frayât un passage dans la foule venu le féliciter pour rejoindre sa tante.

- Tante Amy… Content que tu sois venue !!!!
- Félicitation, mon grand !!! Qui aurai pensé que le fils de Looping serait un géni !!!
- N’exagère pas non plus….
- Mais je n’exagère pas Jona !!! Il semblerait que toi et les fils des copains de ton père ayez hérité des qualités de vos paternels. Car malgré sa folie, ton père était quelqu’un d’intelligent. Sinon, je ne pense pas que Hannibal se serait reposé sur ses compétences pendant toutes ses années. Toi tu deviens un scientifique renommé, Malgré les années de poursuite contre son père, Jerry à réussi à rejoindre l’US Army, et est même déjà sergent. D’après ce que je sais, Il serait aussi futé que son père. En parlant de Futé, son fils Brian est aussi craquant que son père et à le sens de la débrouillardise et l’art d’embobiner les jolies demoiselles…

Jonathan était resté en contact avec Brian Peck, fils de Templeton, Jerry Smith, fils d’Hannibal, et Little B, qui comme son père, Barracuda, était un garçon tout en muscle et doué pour la mécanique. Tout ce qui restait de leur père était le vieux van de Barracuda que Little B avait retapé.

- Tante Amy, tu sembles vouloir à en arriver à quelque chose ? Qu’est-ce qui se passe ?
- J’ai eu le Général Stockwell au téléphone ce matin. Le même général qui avait promis le blanchiment de vos pères, sans pour autant tenir parole. Il veut que j’essai de te convaincre toi et les autres fils de la A-Team à travailler pour une mission spéciale, pour le gouvernement…
- Jamais !!! Mon père est mort je ne sais où, pour essayer de racheter sa peine, et cet enfoiré veux que je bosse pour…
- Jona !!! Ton père est vivant !!!
- Hein ?
- Et la mission de Stockwell est de t’envoyer toi, Jerry, Little B et Brian au Mexique libérer la A-Team. Le Général connaît votre valeur individuelle et sais qu’en vous groupant, vous deviendrez aussi terrible que vos pères. C’est pour ça qu’il a fait appelle à moi pour essayer de vous convaincre de tenter l’aventure.
- Tante Amy, pour mon père, je ferai n’importe quoi. Dis toi, qu’à partir de maintenant, la nouvelle A-Team va frapper !!!
- Cours Jona : les autres t’attendent déjà dans le van de Barracuda à l’entrée du bâtiment… Faites attentions à vous les garçons… Jerry t’expliquera tout ce qu’il faudra savoir… Dis lui en passant d’arrêter le cigare !!! C’est mauvais pour sa santé !!!

Jonathan souris à sa tante, l’embrassa, et couru sans demander son reste à la foule incrédule voyant le récent diplômé partir en courant à l’extérieur, montant dans un vieux van noir, avec une bande rouge, partir sur les chapeaux de roue…

« Partez vers les nouvelles aventures de l’Agence Tout Risques, série qui a faite les beaux jours de la télévision, dans les années 80. Hannibal, Futé, Barracuda et Looping sont prisonniers depuis 13 ans dans une jungle mexicaine. L’armée à tout juste retrouvé leur trace, les croyants morts depuis longtemps. Qui aurait pensé que leurs propres fils viendrait à leur secours ?... Y’aura-t-il des accrocs dans leurs plans ?... »

Budget technique : 3 000 000$
Total des cachets : 13 688 041$
Budget publicitaire : 6 000 000$
Sorti le 18 octobre 2008 (Semaine 198)
Entrées : 21 638 290
Budget total : 22 688 041$

[Le Docteur]

022 - TRY HARD III : UN NUIT AU PARADIS



Quelle gueule de bois… Jean à comme une boite techno dans la tête…

Boom Boom Boom Boom…

La soirée de la veille a été plutôt bien arrosée pour l’enterrement de vie de garçon d’un de ses collègues de boulot. Y’avait longtemps qu’il n’avait comme ça, mais il avait besoin de ça, pour essayer d’oublier son divorce récent d’avec sa femme Mathilde.

Boom Boom Boom Boom…

Il était rentré à 4 heures du matin, presque sur les genoux, ramené par une amie sobre. En tant que policier, il ne pouvait se permettre d’enfreindre la loi en conduisant en état d’ivresse. Il se devait de montrer l’exemple…

Boom Boom Boom BOUUUUUUUUUUM

Tiens, bizarre, ce Boum là ne venait pas de sa boite techno interne personnelle. Cela venait plutôt de dehors. La preuve en ait que les vitres de son appartement ont volé en éclat, au moment de celui-ci…

Jean se mit doucement debout, essayant de trouver son équilibre… Il regarde dehors. A 200 mètres, en bas de sa rue, une bijouterie était en partie dévastée par une explosion et en flamme. Apparemment, vu l’heure qu’il était, personne n’était encore au boulot, et la rue semblait déserte. Pas de corps non plus sur le trottoir… C’est déjà ça… Jean pris son portable et appela quand même le poste de police pour les prévenir de l’incident… Lui, resterai chez lui, aujourd’hui. C’est son jour de congé… Merci les RTT !!!

Il s’habilla péniblement et descendit en bas de chez lui pour constater les dégâts. Ce qu’il avait oublié, c’est que sa voiture était garée devant la bijouterie, et qu’apparemment, ce n’est pas cette dernière qui avait été piégé, mais son propre véhicule…

« Et merde, voilà que ça recommence… Ils ne lâcheront donc jamais l’affaire ? »

Sur le trottoir, était fraîchement peinte une tête de dragon chinois, avec un large sourire. Jean avait eu affaire à eux une fois, lors du mariage d’un de ces amis et avait contrecarré leur plan. Ils avaient essayé, en vain de le supprimer quelques mois après, en planquant quelques bombes dans un avion, mais là encore, il avait eu raison de la menace. C’était trop beau. Ils n’étaient pas du genre à laisser tomber facilement. Ce groupe, « le sourire du dragon » était une sorte de groupuscule terroriste chinois. Nul ne sait qui en ai à la tête, ni pourquoi, ils étaient venu perturbé la cérémonie de mariage, à Notre-dame. Le monument s’en était sorti indemne de cette attaque, mais pas certains terroristes, que Jean avait pris soin de neutraliser tant bien que mal.

Il était à nouveau la cible. Il décida d’aller à pied à son boulot, malgré son jour de congé. Après une demi-heure de marche, il aperçu à cent mètres de lui le bâtiment qui à son tour explosa… Des policiers ensanglantés, blessés sortaient du bâtiment en flamme, certains rampaient même, aidés par leurs collègues valides ou des passant. Le gang avait décidé de se venger de lui en s’attaquant à tout ce qui l’entourait. Peut-être essayait t’il de l’avoir psychologiquement.

Le bip de son portable le sorti de sa vision d’horreur du poste en flamme. Il avait un message sur son répondeur.

« Bonjour, monsieur McFlane. Comme vous le voyez, nous ne vous avons pas oublié. Nous avons échoué une fois dans notre vengeance !!! Pas deux !!! Nous allons réduire votre vie en cendre. Où que vous alliez, nous vous devancerons et nous poserons de nouvelles bombes. Jusqu'à ce que vous soyez en état de vous rendre. Et là, nous nous dirons adieu. Le vent à tourné monsieur McFlane, maintenant, c’est à nous de jouer avec vous… A moins que vous ne fassiez quelques petites missions d’intérim pour nous… Nous vous recontacterons bientôt… Ah oui, j’allais oublié…. Votre femme…. Ou plutôt ex-femme est entres nos mains… Si vous n’obéissez pas, elle moura et d’autres bombes exploseront… »

Le voilà bien. Ces foutus terroristes le colle au derrière, et son ex est leur otage. Ce n’est pas qu’elle mérite d’être libérée, mais Jean est avant tout policier. Il met de coté son passé tapageur avec elle pour essayer de la sortir de cette impasse, où lui-même l’y a emmené.

Après avoir fait analyser d’où provenait l’appel sur son portable, la piste l’emmena au cabaret : le Paradis Latin…

Ainsi commença une chasse à la l’homme, ou le gibier devient petit à petit le chasseur afin de sauver celle qu’il a aimé par le passé, et éviter que d’autres bombes explosent dans Paris.

« Try Hard devient une série d’action à part entière, laissant malgré la trame, une large place à l’humour qui a fait le succès de la série (même si l’humour n’est pas visible dans le synopsis !!! Retrouvez Jean McFlane, policier, loin d’être modèle, dans ses nouvelles embrouilles avec le gang du « Sourire du dragon »… »

(Librement inspiré de la série des Die Hard)

Budget technique : 30 000$
Total des cachets : 858 737$
Budget publicitaire : 6 000 000$
Sorti le 01 novembre 2008 (Semaine 200)
Entrées : 17 689 718
Budget total : 6 888 737$

TOUJOURS A L'AFFICHE

[Le Docteur]

023 - PARKER LEWIS NE PERD JAMAIS



« Santo Domingo, le lycée où j’ai passé toute mon adolescence, il y a maintenant dix ans de cela. Je me rappelle très bien comme si c’était hier, toutes les tribulations que nous avons pu faire avec Jerry et Mikey, mes deux meilleurs amis.

Mikey était le beau gosse du groupe, un peu rebelle, musicien dans l’âme. Il est devenu road manager pour un groupe de rock à la mode. Jerry, quand à lui, est la personne la plus dévouée que je connaisse. Ce garçon avait un ordinateur à la place du cerveau. C’est bien pour ça qu’IBM l’a engagé il y a cinq ans de ça, à la fin de ses études universitaires. Chose encore plus surprenante, il sort avec ma petite sœur, Shelly.

A l’époque, Shelly était une petite peste, prête à tout pour me faire chanter, ou m’humilier, voir même me griller auprès des parents. Mais je lui redonnais toujours la monnaie de sa pièce… C’était le bon vieux temps…. Note pour plus tard : Demander à Jerry quel est son secret pour la rendre si agréable comme actuellement.

Quand à moi, je m’appelle Parker Lewis. Santo Domingo était mon fief, il y a dix ans, et c’est sans aucunes appréhensions que je reviens ici, pour la soirée retrouvailles de la promo 97 du lycée. Je me faisais déjà un plaisir de recroiser notre grand ami Kubiac, sorte d’estomac sur pattes géant, qui nous a sorti, Jerry, Mikey et moi de bien des pétrins.

Dix ans déjà que nous sommes sorti de ce bahut gouverné par une main de maître par Melle Musso, sorte de surgé sorti tout droit d’un film sur la Gestapo… Elle était épaulée par son fidèle adjoint, Franck Lemmer, qui lui était entièrement dévoué. Je dirai presque que c’est l’inventeur du gothique, mais personne ne me croirait de tout manière… Franck était rentré dans l’armée par goût des armes à feu. Quand à Melle Musso, elle était toujours au lycée, fidèle à elle-même

Aujourd’hui, fini l’époque où les filles voulaient toutes ressembler à Madonna… Les jeunes lycéennes d’autrefois étaient devenues des femmes, avec leur propre personnalité.

Cette soirée organisée par le lycée mélangeait anciens élèves et ceux de maintenant. Je me dis que les temps changent mais que certaines choses… non…. !!! Je venais d’entendre Grace Musso hurler à un élève d’aller en direction vers son bureau, son célèbre pouce fixer en arrière, désignant la porte de son bureau… Note pour plus tard : Essayer avec Mikey et Jerry d’aller dans son bureau ce soir, pour une bêtise quelconque en souvenir du bon vieux temps.

En parlant de Musso, celle-ci venait de se diriger vers le podium où une estrade et un micro l’attendaient… Après avoir tester si ce dernier fonctionnait, le sifflement strident dans les haut-parleurs confirmant que celui-ci marchait très bien, elle commença son discours… »

- Chers élèves de Santo Domingo, anciens comme nouveau, je suis ravie de vous accueillir ce soir pour fêter la promotion 1997 qui m’a laissé beaucoup…. Beaucoup de souvenirs…

« Pourquoi me regardait elle en disant cela ? Serai-ce à cause du cerveau de chimpanzé que j’ai laissé sur le siège passager de sa voiture, le dernier jour au lycée ???? »

- Oui, mais hélas, ça sera la dernière fête que donnera le lycée. En effet, la ville à décider de le fermer, afin de le raser pour construire une grande vidéothèque. Donc profitez bien de la fête… Amusez-vous bien… Car cela ne se reproduira peut-être plus.


« Musso avait pris un sacré coup de vieux en disant cela. C’est quand même une grande partie de sa vie qui allait partir ainsi. Jerry et Mikey me regardèrent comme si j’avais un plan… »

« Monsieur Lewis, c’est catastrophique. Si un magasin de vidéos ouvre à la place du lycée, la boutique de vos parents risque de faire faillite – il sort une calculatrice dernier cri de son imper – en six mois, Monsieur… »

« Jerry sortait toute sorte de chose de son imper, calculatrice, boule de bowling, gâteau à la crème, photocopieuse, déchiqueteuse, cafetière… Note pour plus tard : Suggérer à Jerry de commercialiser son imper.

Mikey quand à lui, avait, malgré tout passé, d’excellents moments ici, même si les études n’étaient pas son truc. Mais si Santo Domingo disparaissait, une partie de sa vie s’évanouirait.

Il était temps d’agir, pour cela, il nous fallait un plan pour sauver, et le lycée, et la boutique de mes parents. « Mondo Video » n’était qu’un petit magasin de location vidéo où mes parents ont investi toute leur vie dedans, et il était hors de question qu’une grande enseigne le mange sans combattre… »

- Messieurs, synchronisation des montres : Opération : Sauvetage !!!

« C’est alors que nous allions tout faire pour sauver le lycée que nous voulions tous éviter étant plus jeune… »

Budget technique : 3 000 000$
Total des cachets : 2 508 120$
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Sorti le 08 novembre 2008 (Semaine 201)
Entrées : 21 985 205
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TOUJOURS A L'AFFICHE

[Le Docteur]

A SUIVRE !!!!

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