Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

[Gérard Cousin]

Qu'est-ce qu'il y a comme lesbiennes dans les écuries GCP !! Par contre jamais de gay. Pour ça, il faut aller chercher chez Divine Mouvize

Et Steve Damian, c'est de la merde?
(je le faisais même tourné avec son "mec" Alexandre Ptouchko! )

Cela fait deux ans (réels! ) que je développe ce RP pour ce personnage, pour relier à la fois GCP (via Jessica Foster/Simon Tang) au RP automobile que j'ai développé avec Mikl.
Je trouve ça cool que tout se rejoigne par moment même si au final, ça n'a pas le moindre intéret

[Morcar]

Je me doutais que tu me sortirais un exemple que j'avais oublié, mais il me semble quand même que la communauté lesbienne est beaucoup plus représentée chez GCP Mais ce n'était pas une critique, juste quelque chose que j'ai pensé et qui m'a amusé.
On voit bien que tu veux relier tous tes personnages entre eux, et je ne dis rien contre ça. Moi-même je l'ai fait, mais je t'avouerais que si j'ai d'autres fois pensé à le faire, je me suis retenu car ça donnerait presque trop l'impression que pour être acteur chez Morcar Prod il faut avoir des connaissances en interne déjà. Je viens de lancer un acteur, une actrice et une réalisatrice par exemple, et j'ai finalement préféré en faire des gens venus de nulle par, n'ayant aucun lien avec d'autres artistes existant.
Mais encore une fois, ce n'est pas une critique du tout.

[Gérard Cousin]

T'inquiète, je sais que c'est pas une critique!

mais il me semble quand même que la communauté lesbienne est beaucoup plus représentée chez GCP

C'est la première parmi mes actrices!
Sinon, y'a eu quelques "bi" (Evalena, Katrina Debney et Tanya Johnson je crois...)
Pour les mecs "100% Gays", Steve Damian et Alexandre Ptouchko. (Et à l'époque, j'avais penser faire un RP de ce genre à Sam Hawkins mais cela ne s'est pas fait pour différentes raisons donc j'ai laisser tomber et je l'ai coller avec une femme d'affaire...)

Pour les scénarios des films, là, c'est une autre histoire!
C'est quand j'ai pas envie de mettre plus de budgets que ce que j'ai prévu et que j'ai des rôles masculins sont déjà définit, j'utilise ça comme une variable!
Ce fut le cas récemment pour Blood of Darkness ou encore Agent 7.
Et puis comme Robert Rodriguez l'a dit en interview: Un film d'exploitation où y'a pas deux filles qui s'embrassent, c'est pas vraiment un film d'exploitation!

On voit bien que tu veux relier tous tes personnages entre eux, et je ne dis rien contre ça. Moi-même je l'ai fait, mais je t'avouerais que si j'ai d'autres fois pensé à le faire, je me suis retenu car ça donnerait presque trop l'impression que pour être acteur chez Morcar Prod il faut avoir des connaissances en interne déjà. Je viens de lancer un acteur, une actrice et une réalisatrice par exemple, et j'ai finalement préféré en faire des gens venus de nulle par, n'ayant aucun lien avec d'autres artistes existant.
Mais encore une fois, ce n'est pas une critique du tout.

Tu l'avais noter y'a longtemps mais tu avais totalement raison: Mon univers/personnages sont une sorte de version RP des Feux de l'Amour: Plusieurs familles et personnages qui s'entremêlent, je trouve ça "fun" à tisser cette toile au fil des années!
Exemple: Alec Lederman est le mari d'Alessandra Gira (Fille de Giuseppe Gira et nièce de Maurizio Gira)...
Alec est le cousin de Camilla Horowitz, qui elle est la petite sœur de l'homme d'affaire Sacha Horowitz (époux de Zoé Mears) et de Sarah Mendoza-Horowitz (épouse de l'homme d'affaire Gerry Mendoza qui est co-propriétaire avec David Reyes d'une équipe de course mais surtout le co-propriétaire de FireTV)
Alessandra Gira est la meilleure amie de Camille Lawrence (fille adoptive de Maurizio Gira) qui a co-fondé Communist Films...
Helena Yuen (épouse de John Mears) est la fille de Todd Mitchell et de Maria Yuen...
Mais c'est aussi la cousine de la pilote de course Carol Moore car elle est la fille de la sœur de Todd Mitchell!
Emma Adams est la sœur de Jessica Foster (qui elle s'est mariée avec Simon Tang) et elle est mariée avec Alex Adams, championne automobile...
Alex a un fils, Tom, qui est pilote aussi mais c'est surtout la sœur de Lisa Adams, une sportive devenue femme d'affaire et qui vient de la Havana CUp (un football US féminin, sport créer par Gerry Mendoza!)
(tout ça est dans les fiches wiki, ou peu s'en faut!^^)
Et je peux te montrer ça toute la journée avec à peut-prêt tout mes personnages!
Une vraie toile d'araignée je te dis!

Malgré ça, certains de mes personnages arrivent "sans lien" mais s'incorpore au reste: Alex McBrain ou Gaia Williams viennent "de l'extérieur" et n'avait aucun lien d'aucune sorte avec les "familles" présentent mais font complétement partit de la toile désormais!

[Erbaf]

Ça sent l'inceste tout ça. Sûrement un fan de Game of Thrones.

[Gérard Cousin]

Ça sent l'inceste tout ça. Sûrement un fan de Game of Thrones.

Tu sais quoi?
Justement, je fais attention à ce genre de choses pour que le RP reste "clean"!

[Morcar]

Alors ça n'arrive pas au niveau des "Feux de l'amour".
Parce que dans le soap américain, à force de faire vieillir des personnages d'un coup de baguette magique, ils se retrouvent à mettre ensemble des personnages dont les lien de parenté sont quand même proches.

[Gérard Cousin]

Alors ça n'arrive pas au niveau des "Feux de l'amour".
Parce que dans le soap américain, à force de faire vieillir des personnages d'un coup de baguette magique, ils se retrouvent à mettre ensemble des personnages dont les lien de parenté sont quand même proches.

Tu sais, j'ai jamais vu un seul épisode de cette série!

[Ciné Merveilles]

- Interview de Penelope Vélez -
"J'ai d'avantage confiance en moi aujourd'hui"
Découverte par l'émission de télévision CinéTournoi alors qu'elle n'avait encore que vingt cinq ans, Penelope Vélez était encore à l'époque une jeune actrice timide, qui avait malgré tout su séduire le public de l'émission. En huit ans de carrière au cinéma, elle a été à l'affiche d'autant de films, et revient très prochainement dans le second volet de la franchise Uncharted Waters. A bientôt trente quatre ans, elle a décidé de donner un nouvel élan à sa carrière. Ciné Merveilles est allé à sa rencontre pour en savoir plus sur ses nouveaux projets.

Ciné Merveilles : Récemment encore on annonçait que vous souhaitiez mettre un terme à votre carrière. Qu'est-ce qui vous a motivée à continuer ? Penelope Vélez : Tout ça a été un peu exagéré. Ayant une grande passion pour la peinture, en parallèle de ma carrière d'actrice, j'ai envisagé un moment de consacrer plus de temps à cette deuxième passion, mais pour le moment je pense avoir trouvé le bon équilibre entre les deux, et je continue donc de jouer. Ciné Merveilles : Vous êtes aujourd'hui la seule candidate de l'émission CinéTournoi à avoir encore une carrière au cinéma. Pensez-vous que le passage dans ce télé-croche a plutôt été un accélérateur ou un frein pour votre carrière ? Penelope Vélez : Ni l'un ni l'autre, je pense. Evidemment, gagner l'émission m'a permis de tourner un premier film au cinéma, mais ensuite il m'a fallu faire mes preuves comme n'importe quelle autre actrice. Et je pense qi'on a très vite oublié d'où je suis venue. C.M : Vous n'avez quasiment tourné qu'avec Morcar Prod pourtant. Les autres studios vous ont-ils boudée ?

P.V : En effet, j'ai surtout tourné avec Morcar Prod, mais c'est le cas de nombreux acteurs. Beaucoup sont surtout attachés à un seul studio. Par ailleurs, j'ai tourné aussi pour Alain Souchon Production, Mimi Production et Iceland. Et mon prochain film est produit par Pitbull Production.

C.M : N'y a-t-il pas d'autres studios avec qui vous aimeriez tourner ?

P.V : Si, beaucoup d'autres mêmes ! Evidemment, il y a tous les gros studios historiques de la ville, mais même parmi les nouveaux studios, beaucoup proposent des films très intéressants.

C.M : On vous a découverte assez timide et réservée dans l'émission CinéTournoi, au point que certains se demandaient ce que vous faisiez-là, mais vous paraissez-beaucoup plus à l'aise aujourd'hui. Est-ce l'expérience de l'âge qui fait ça ? P.V : L'expérience de l'âge ?! Mon dieu, vous me donnez l'impression d'avoir soixante ans. (rires) Non, en réalité c'est simplement une question de confiance en soi. J'ai toujours rêvé de faire du cinéma, mais ma timidité était un terrible frein pour cela. Je dois avouer que je me suis moi-même demandé à l'époque où j'ai été sélectionnée pour l'émission s'ils n'avaient pas fait une erreur, car quand je voyais les autres candidats bien plus à l'aise que moi. Même en sortant de l'émission, j'avais l'impression d'être une erreur de casting, mais aujourd'hui, j'ai d'avantage confiance en moi. Je pense avoir mérité la place où je suis aujourd'hui. C.M : On vous a surtout vue sur des films à petit budgets jusqu'à présent. Espérez-vous que la franchise "Uncharted Waters dont vous tenez l'un des rôles principaux vous permettra d'obtenir d'autres propositions qu'on ne vous faisait pas auparavant ?

P.V : C'est possible. Mais peu importe le budget du film dans lequel vous tournez, vous savez. Evidemment, vous touchez un plus large public lorsque vous tournez dans un film à plus gros budget, mais ce sont surtout les rôles qu'on me proposent qui m'intéressent.
Aujourd'hui, j'aimerais surtout tourner dans des films de genres différents de ceux que j'ai faits jusqu'à présent. J'ai surtout joué dans des films policiers, des thriller et des films d'horreur. La franchise "Uncharted Waters" m'a permis de m'essayer à la fois à l'aventure et au fantastique, mais je rêve aussi d'un rôle dans un film de science-fiction, ou pourquoi pas de prêter ma voix à un film d'animation ! Le cinéma offre tellement de possibilités que je n'ai pas encore explorées.

C.M : On raconte que votre rôle sera moins présent à l'écran dans le second volet d'"Uncharted Waters". Vous êtes vous fait voler la vedette par une autre actrice ?

P.V : (rires) Non, il n'est pas question de ça. Si vous avez-vu le premier film, vous devinerez pourquoi mon personnage est moins présent à l'écran dans cette suite, bien qu'il soit au cœur même de son intrigue. Les scénaristes de Pitbull Production ont profité de cette occasion pour donner d'avantage d'importance à d'autres personnages, pour densifier encore l'univers de la franchise.
J'ignore ce que les scénaristes du troisième volet feront ensuite de nos personnages.

C.M : Vous êtes vous engagée pour un certain nombre de films sur cette franchise ? P.V : Non. La particularité de ce type de franchise est que, comme chaque film est produit par une nouvelle société, vous ne pouvez pas vous engager au-delà du film que vous tournez. Mais j'espère qu'on me proposera de reprendre mon rôle encore. J'aime beaucoup le personnage d'Angelica. C.M : Quels sont vos autres projets pour les mois à venir ? P.V : Pour le moment je me concentre uniquement sur le second volet d'Uncharted Waters, mais je suis en discussion actuellement avec la direction de Pitbull Production pour d'autres projets. Cette première expérience avec ce studio s'est passée à merveilles, aussi j'aimerais bien tourner encore avec eux. Ciné Merveilles : Vous n'envisagez donc pas de quitter les plateaux de tournage pour le moment ?

Penelope Vélez : Non, et j'espère même parvenir à accélérer un peu ma carrière. J'ai récemment changé d'agent, et j'espère avec lui parvenir à trouver de nouveaux rôles différents de ceux que j'ai incarnés jusqu'à présent.

- Propos recueillis par Noah Miller, pour Ciné Merveilles -

[PITBULL]

Nous sommes ravis que Pénélope ait renoncé de quitter les studios afin de tourner avec nous.
Elle apparaîtra dans plusieurs films, c'est une certitude.

[Morcar]

Chez Morcar Prod, on est ravis de la voir poursuivre sa carrière comme elle le fait, et contents que Pitbull Prod se soit intéressée à elle. Nous avons hâte de découvrir ses nouveaux films.

[PITBULL]

Ça faisait longtemps que je n'avais plus vu autant de films programmés à GM !
Ça fait vraiment plaisir !

[Ciné Merveilles]

Courteney Campbell : "On oublie vite à Gérardmerveille"
Avec trente ans de carrière au cinéma derrière elle, Courteney Campbell fait partie des artistes encore en activité ayant la plus grande longévité à Gérardmerveille. Pourtant depuis quelques années, l'actrice connait une phase plus difficile dans sa carrière, elle qui fut pourtant à une époque l'une des actrices les mieux payées de la ville. Ciné Merveilles est allé à la rencontre de cette actrice iconique de Gérardmerveille.

Ciné Merveilles : Cela va bientôt faire trente ans que vous avez fait vos débuts au cinéma. Quel regard portez-vous sur votre carrière aujourd'hui ?

Courteney Campbell : Je dois avouer avoir un peu de nostalgie en repensant à toutes ces années passées face aux caméras, à toutes ces rencontres que j'ai faites au cours de ma carrière. Car aujourd'hui j'ai l'impression que tout ça est du passé.

Ciné Merveilles : Vous voulez dire que votre carrière est finie ?

Courteney Campbell : Je ne l'espère pas. Pour ma part tout du moins, je n'ai pas encore envie de tirer ma révérence. Mais peut-être faut-il poser la question à quelqu'un d'autre pour savoir si j'ai encore un avenir dans ce milieu. Ciné Merveilles : Vous croyez que d'autres veulent votre départ ? Courteney Campbell : Mon départ, non. Pourquoi le voudraient-ils ? Mais je constate qu'on m'a vite oubliée. J'ai remis ma carrière en question à plusieurs reprises, mais j'ai malgré tout continué. Mais aujourd'hui, on ne peut pas dire que je croule sous les propositions (sourit) Ciné Merveilles : Vous avez beaucoup joué dans des films produits par Morcar Prod. Pourquoi pensez-vous qu'ils ne font plus appel à vous ?

Courteney Campbell : J'ai l'impression d'être trop attachée à certains rôles chez Morcar Prod, si bien qu'ils ne pensent plus à moi que pour ceux-ci. Il est vrai qu'entre le rôle de Malaury dans Lost Shadows, celui de Sara Anderson dans Outlaws, celui de Yèn Xian dans Mark Reed et celui de Ching dans Night Fox, j'ai eut plusieurs rôles très récurrents avec cette société de production.
Mais j'ai joué de nombreuses autres choses, que ce soit pour Morcar Prod ou d'autres sociétés de production. J'aimerais aujourd'hui trouver d'autres rôles différents, et pas seulement toujours les mêmes.

Ciné Merveilles : Vous avez refusé de reprendre certains rôles ?

Courteney Campbell : Jusqu'à présent non, et on ne peut pas dire que je sois nécessairement en situation de force pour les refuser. Mais il arrivera un jour où j'enverrai tout valser et où je refuserai même ces rôles. Ils se débrouilleront très bien sans moi, je pense.

Ciné Merveilles : On vous sent quelque peu agacée...

Courteney Campbell : Un peu, j'avoue... Car d'un côté il y a ces grosses sociétés historiques pour qui je ne suis plus que certains personnages, et d'un autre il y a les jeunes sociétés que je n'intéresse visiblement pas non plus. Récemment j'ai pensé qu'en collaborant avec une jeune société qui venait d'arriver à Gérardmerveille j'arriverais à faire autre chose, mais les trois films que j'ai tournés pour eux manquaient cruellement d'ambition et méritaient tout juste une sortie Blue-Ray.

Ciné Merveilles : Vous qui avez une si longue carrière, que pensez-vous du monde du cinéma de Gérardmerveille ?

Courteney Campbell : Le cinéma de Gérardmerveille est en phase terminale. On le voit bien dans les chiffres de fréquentation des salles. Il manque de renouvellement et d'idées neuves, sans doute à cause du manque de nouveaux acteurs dans le milieu, et peut-être aussi freiné par les plus anciens qui tiennent ce monde entre leurs mains.
Ceci se voit à de nombreux niveaux, car même les acteurs peinent aujourd'hui d'avantage qu'avant à percer. Il y a des anciennes têtes qu'on retrouve tout le temps, mais les nouveaux arrivants arrivent difficilement à se faire une place à leurs côtés sur la durée.

Ciné Merveilles : Avez-vous des projets à venir ?

Courteney Campbell : Quelques uns, oui. Mais il s'agit de suites de films, de personnages que j'ai déjà incarnés.

[Ciné Merveilles]

Sandra Takishonda, scénariste éclectique
Dix ans après la sortie de son dernier film, la scénariste Sandra Takishonda revient avec un film d'un genre encore différent de ce à quoi elle nous a habitués. Connue surtout pour ses comédies, c'est cette fois-ci un biopic qu'elle nous propose, un projet qu'elle avait en tête depuis longtemps, et qui abouti enfin avec la sortie dans les salles de The obsolete genius en février. A cette occasion, Ciné Merveilles est allé à sa rencontre.

Ciné Merveilles :Sandra, bonjour. On n'avait pas vu de film de vous depuis dix ans dans les salles. Pourquoi cette absence ? Sandra Takishonda : Parce que je n'avais pas l'envie, tout simplement. J'ai eu d'autres projets, et je n'avais pas la nécessité d'écrire pour gagner de quoi vivre. Donc comme l'envie ne se faisait pas sentir, je ne voulais pas me forcer à écrire pour écrire. Ciné Merveilles : On vous connait avant tout pour vos comédies, mais vous semblez aimer malgré tout passer d'un genre à l'autre. Vous sentez-vous aussi à l'aise à l'écriture dans tous les genres ? Sandra Takishonda : Pas tous, non. Le Fantastique, la Science-Fiction ou l'Horreur ne sont pas du tout des genres qui m'attirent. J'aime en voir au cinéma, mais je ne me sens pas du tout à l'aise pour écrire quelque chose dans de tels univers. J'aime les personnages vrais et humains. Ce sont surtout les personnages qui m'inspirent. C'est ensuite la situation dans laquelle je les met qui donne

le ton au film, parfois dramatique, parfois comique. D'ailleurs pour moi, les deux genres ne sont pas si éloignés que ça, car bien souvent d'une même histoire et des mêmes personnages, on peut tout aussi bien écrire un drame ou une comédie.

Ciné Merveilles : Cette fois-ci, c'est un biopic que vous proposez, racontant la vie de Gunpei Yokoi. Qu'est-ce qui vous a inspiré dans la vie de cet homme ?

Sandra Takishonda : Toute sa vie est fascinante, tout comme sa façon de penser. J'ai toujours été fascinée par cet homme qui a toujours été à contre courant. Je rêvais depuis longtemps d'écrire un film sur sa vie, et c'est il y a deux ans que j'ai commencé à y réfléchir sérieusement.

Ciné Merveilles : C'est la réalisatrice Priscilla Huang qui a été choisie pour mettre en scène votre scénario, son premier film pour WB Entertainment. Qu'avez-vous pensé de ce choix ?

Sandra Takishonda : Je connaissais son nom, mais je n'avais pas encore vu de film d'elle, je l'avoue. Mais j'avais toute confiance en Michael Wang quand il m'a dit qu'elle était selon lui la meilleure pour réaliser ce film. Elle avait déjà collaboré avec lui pour des co-production avec Gérard Cousin Prod, et il était convaincu qu'elle saurait donner au film ce qu'on voulait en faire.
Et à la vue du résultat, je peux vous dire que son choix a été excellent, car Priscilla a vraiment su transformer mon scénario grâce à sa mise en scène inventive. Si j'osais la comparaison, je dirais qu'elle a su donner à la vie de Gunpei Yokoi un intérêt comme David Fincher l'a fait aux Etats-Unis avec la vie du créateur de Facebook dans "The Social Network".
J'étais très fière du scénario que j'avais écrit, car le risque avec ce genre d'histoire est de faire quelque chose de trop pompeux, et de ne pas donner d'intérêt à tout ça. Mais Priscilla a su encore améliorer le tout avec une mise en scène rythmée et efficace.

Ciné Merveilles : Vous voilà donc de retour au cinéma ? Verra-t-on un autre film de votre part prochainement ?

Sandra Takishonda : Je n'ai aucun projet en cours, mais si jamais l'envie me vient d'écrire à nouveau, croyez bien que vous en serez informés (rires).

[Ciné Merveilles]

Un biopic sur Lacey De La Colonie en préparation chez Another Way Production ?
C'est la rumeur du jour ! Alors que May Elbez multiplie les projets avec sa société de co-production Another Way Production, une source proche de la désormais productrice aurait affirmé qu'elle travaillerait actuellement sur l'écriture d'un biopic consacré à son ancienne partenaire à l'écran Lacey De La Colonie, décédée d'une overdose il y a bientôt quinze ans. Contactée par nos journaliste, la productrice n'a rien voulu affirmer à propos de cette rumeur.
Après le thriller Contre-enquête et le drame L'adoption, tous deux sortis en salles, et les deux films dramatiques à venir Magnétique, et Aliénation, c'est donc à nouveau vers ce genre cinématographique que la scénariste et productrice se tournerait pour son cinquième film. Déjà, les internautes imaginent Megan Andrews dans le rôle principal, elle qui a déjà tourné dans les deux prochains films d'Another Way Production, bien qu'on ignore encore à quelle partie de la vie de l'actrice serait consacré le film.
May Elbez révélera peut-être d'avantage d'éléments lors de la promotion de son prochain film, dont la sortie est prévue dans les prochaines semaines.

[Ciné Merveilles]

Nouveau rebond dans la fréquentation des salles de Gérardmerveille ?
Voilà longtemps que le monde du cinéma de Gérardmerveille a tiré un trait sur l'idée de rattraper les scores effectués dans les années 2000 ou 2010 dans les salles, la fréquentation de celles-ci étant en baisse continuelle depuis bien longtemps maintenant. Mais si l'époque où les films attiraient plus de 4,6 milliards de spectateurs dans les salles au cours d'une année est révolue, la profession continue de s'inquiéter de la dégringolade des chiffres qui ne s'arrête jamais.
Pourtant, cette année 2044 pourrait peut-être relancer la machine, alors que les chiffres sont plus bas qu'ils ne l'ont jamais été.


En vingt ans, la fréquentation des salles de Gérardmerveille a été divisée par quatre, et celle-ci a connu trois grosses chutes sur les dix dernières années. En 2042 et 2043, on dépassait à peine les 500 millions d'entrées vendues (neuf fois moins qu'il y a bientôt 40 ans !!), mais les chiffres s'étaient stabilisés sur deux ans.
Et alors que la moitié de l'année approche, les chiffres du premier semestre semblent indiquer une petite reprise pour l'activité cinématographique de la ville. Si cette tendance se confirme sur le second semestre, d'autant plus que de nouvelles sociétés ont ouvert leurs portes récemment, le rebond pourrait bien être très marqué.
Cependant, cela a déjà eu lieu à d'autres reprises ces vingt dernières années, et à chaque fois ceci n'a été que temporaire, et suivi d'une dégringolade l'année suivante.

On espère cependant que l'Histoire ne se répètera pas cette fois, et que cette tendance se confirmera encore au cours des années prochaines.