BIENTOT SUR VOS ECRANS :
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10 heures du matin… Jean McFlane est dans sa vieille Renault 5. Son réveil n’a pas sonné et il est en retard pour le mariage de son neveu Fabrice qui se marie avec cette Miko, qu’il a ramené de son voyage au Japon, à la cathédrale Notre-dame de Paris, le père du marié n’ayant lésiner sur aucuns moyens pour faire plaisir à son fils.
Lorsqu’il entre dans l’église, la cérémonie est déjà commencée. Il se précipite vers le presbytère, sous les yeux courroucer du père du marié, où un clavier Yamaha l’attend. Musicien à ses heures, il doit interpréter une chanson à la fin du mariage.
Impossible de mettre la main sur ce maudit clavier, et le moment de passer est dans cinq minutes. Il le retrouva soudain, lorsqu’il entendit des coups de feu et des cris venant de l’autel. Il jeta un coup d’œil par l’embrassement de la porte et vit cinq hommes, tous asiatiques armés de fusils automatiques.
Agent de la circulation, à Paris, Jean n’en a pas été moins flic par le passé. Il se précipita sur le téléphone pour appeler ses anciens collègues, mais les lignes ont sûrement dû être coupé. Bon, il fallait composer avec le peu de moyen qu’il avait, pour sortir les gens de là. Il allait devoir s’occuper de chacun des preneurs d’otages un à un. D’après ce qu’il avait entendu, les terroristes seraient membre d’une espèce de groupuscule visant à supprimer toutes les religions du monde, et de faire la leur l’unique. Une sorte de mini guérilla sainte de cinglés… Déjà que Jean détestait les églises, mais se retrouver coincé à l’intérieur de l’une d’elles, il n’en était pas question.
L’un des preneurs d’otages avait sûrement dû le voir passé à son arrivé, et se dirigea vers le presbytère. Jean n’eu malgré tout aucun mal à le maîtriser. Et lui piqua son arme. Impossible d’y aller franc jeu contre ces fanatiques. La vie de trop de gens était entres ses mains. Il allait falloir y aller en douceur, et se débarrasser, un à un, de ces troubles fêtes.
Ceci dit, la dernière fois qu’il s’était occupé d’une prise d’otages, c’était à la Banque Populaire de l’avenue des Champs-Elysées. Résultat des courses : Les otages relâchés, mais les gangsters morts, le bâtiment et ceux voisins complètement explosés. Ce qu’il lui avait valu une mise à pied et un engagement non volontaire et forcé à la circulation.
Là, fallait pas gaffer… Notre-dame de Paris n’était pas n’importe quel édifice !!! Il n’avait pas le droit à l’erreur… Et ne voulait pas avoir tous les français à dos pour avoir détruit un monument du patrimoine français…
- Mon petit Jean, tu es dans une sacrée merde… Reste plus qu’à espérer que tu mettras le pied gauche dedans…. Ca me portera peut-être chance…
(Inspiré de Piège de Cristal)
(Personnage sur l'affiche : Jean Dujardin)