Séances de ratrapage à la maison

[Morcar]

Maintenant faites lui voir GHOST.

Je lui en ai parlé

[Morcar]

Hier soir, séance de repassage devant :



Synopsis : Le frère d'Owen Shaw, qu'ils ont aidé à faire arrêter lors de leurs précédentes aventures, retrouve les responsables de l'état dans lequel se trouve son frère. L'ancien tueur des forces spéciales britaniques s'en prend alors à la "famille" de Dom Torreto. C'est alors que le gouvernement américain lui fait une proposition : s'il les aide à récupérer un programme de piratage à grande échelle et son concepteur, en échange ils l'aideront à retrouver cet ennemi.

Avis : La bande de Dom est de retour, plus forte que jamais au point que le gouvernement américain doive encore une fois faire appel à eux pour se retirer une épine du pied. La franchise se poursuit dans la lignée des deux précédents volets, en poussant la limite de l'exagération encore un cran plus loin. On retrouve donc cette bande de potes qui fait tout en voiture (sauter en parachute, dévaler des montagnes, sauter d'immeuble en immeuble, etc...) face à deux ennemis cette fois.
Le casting est encore plus gonflé à bloc que les précédents, Djimon Hounsou, Kurt Russell et Jason Statham venant s'ajouter à ceux déjà présents auparavant pour plus de gros bras encore. Pourtant alors que Statham était un peu vendu comme l'élément principal du film, son personnage fait clairement de la figuration. Djimon Hounsou aussi, d'ailleurs. Seul Kurt Russell est plus présent, mais dans un rôle totalement poussif. On retrouve même Tony Jaa (vous vous rappelez de "Ong Bak" ?).
Alors que Justin Lin était parvenu depuis F&F 4 a donner à la franchise un côté un peu moins bling bling en évitant de nous montrer sans cesse des pétasses en mini-sort ou en maillot à longueur de temps, James Wan fait le choix de revenir à une réalisation abusant de ces artifices comme c'était le cas dans les premiers volets. Le scénario est un peu abusé aussi, mais c'est toujours rigolo de suivre cette bande de types sortant de la banlieu américaine et qui tiennent tête même au combat à mains nues à des soldats surentrainés.

L'autre détail attendu dans le film est l'histoire du personnage de Brian, incarné par Paul Walker. Très vite dans le film on sent qu'ils intègrent des éléments pour mettre une fin à son histoire, et pourtant je m'attendais à une fin différente, et pour le coup touchante. Le clin d'oeil que fait l'équipe à l'acteur qui était devenu un de leur meilleurs amis est joli et sobre. Pour le coup, je trouve ça vraiment très bien fait et très respectueux.
On repère à partir de quel moment l'acteur a été remplacé par ses frangins, car sur la dernière partie tous les passages mettant en scène le personnage de Brian se déroulent dans un environnement très sombre, et les plans sur l'acteur font tout pour qu'on n'ait pas le temps d'apercevoir son visage.

Mais à la limite, je me dis qu'ils auraient mieux fait de s'arrêter là, du coup. Car non seulement la franchise commence à pousser le curseur du "nawak" un peu trop loin, mais en plus ils avaient là une très bonne fin pour leur franchise. Mais bon, vu le succès du film en salles...

[La Grande Divine]

Ils vont bien arreter un jour Comme pour L ARME FATALE dont je n'ai toujours pas vu le dernier film.

Hier soir j'ai regarde en DVD

FLIGHT de Robert Zemeckis : Après une première demie heure aussi explosive que spectaculaire, le film prend une autre tournure, avec enquete, love story sur fond d'addiction. Putot bien traité, l'efficacité du bonhomme n'est plus à démontré meme dans un drame. Gros defaut, heu non, emorme là quand meme, c'est très "american way of life" donc assez lourdeau, ça manque de sobriété, en meme temps Washington est foncdé presque pendant tout le film, donnant des scenes pas très correctes (au debut et c'est tres surprenant ce qu'il s'y deroule) en total opposition dans le traitement du sujet (par la suite plus convenue) mais une superbe sequence avec John Goodman très reférencé Coen Brother tant ça fait penser à Big Lebowski. FLIGHT aurai pu etre mieux c'est sur, mais ce n'est pas de la mauvaise came non plus. La preuve est que l'on ne s'y ennuie pas malgré ses 2h15 grae faut bien le dire aussi, aux comédiens qui tiennent le manche pour eviter le crash d 'une trop grande prévisibilité. Plaisir de se faire un peu avoir aussi. (--+++)

[Morcar]

Ils vont bien arreter un jour Comme pour L ARME FATALE dont je n'ai toujours pas vu le dernier film.

Il n'y a que 4 "L'Arme Fatale", et ils ont pris le temps pour les derniers (dates de sorties respectives 1987, 1989, 1992, 1998). Ca fait un moment qu'ils parlent d'un cinq, mais ça va bientôt faire vingt ans qu'est sorti le dernier. Un moment la rumeur parlait même d'un film mettant en scène le fils de Riggs. Encore cette idée d'Hollywood qui croit qu'en faisant une suite de ce genre les gens vont suivre...
J'ai les 4 en DVDs, je les aime bien moi

Pour F&F, ils les enchaînent tant que ça marche, mais ça finira forcément par s'essouffler. D'ailleurs c'est déjà le cas. Le point culminant de la franchise était le 5è volet, depuis elle décline (pas en terme de chiffre d'affaire au box-office cependant, mais le dernier a forcément été boosté par la mort de Paul Walker).

[Vivien Guards]

Mais bien sur que si il y a un L'Arme Fatale 5

(je suis le seul à comprendre la private joke mais c'est pas grave)

[Morcar]

Ce week-end, c'était SF le samedi, et comédie romantique avec madame le dimanche

Synopsis : Poursuivis par l'armée désormais dirigée par Jeanine, Tris et Quatre tentent de trouver des alliés pour renverser le pouvoir. Pendant ce temps-là, Jeanine cherche à ouvrir une boite contenant un message des anciens, mais seul un divergent pourra l'ouvrir... Avis : Sans être nécessairement mémorable, le premier "Divergente" était un film de SF sympa dans la mouvance des films du moment tels que Hunger Games. Cette suite a les défauts habituels de ces franchises, à savoir qu'il ne s'y passe pas grand chose et qu'il met simplement en place des éléments pour le

troisième volet, qui sera à son tour découpé en deux films comme s'est devenu la mode depuis Harry Potter, et trainera sans doute encore plus en longueur...
Le film se résumé à une course poursuite pour finalement que les héros aillent se livrer etc... Bref, du vu et revu nombre de fois, sans qu'il y ait quoi que ce soit d'original apportant à ce film un plus par rapport aux autres. Le système des factions mis en place dans le premier volet était intéressant, mais semble ici quasiment disparaitre tant certaines sont inutiles.
Même bilan que pour "Hunger Games" donc. Une suite qui n'avance à rien. Ca doit être le mal du moment, avec ce besoin de systématiquement faire des trilogies.

Synopsis : Alice, 38 ans, vit pour son travail, mais est sur le point de voir le poste qu'elle espérait avoir se faire voler par une femme plus jeune et plus délurée qu'elle. Suite à un quiproquos, son patron croyant qu'elle sort avec un jeune vingtenaire, elle croit pouvoir changer son image et obtenir cette promotion si elle continue d'entretenir cette fausse relation. Avis : Le schéma classique de la comédie sentimentale avec l'un des deux qui utilise l'autre, l'autre qui va finir par l'apprendre etc... C'est donc classique et sans surprise, mais Virginie Efira et Pierre Niney y incarnent très bien leurs personnages et donnent

au film ce petit côté léger qui plait bien. Charles Berling est très bon également dans le rôle de ce père qui n'a pas grandi. Le tout est agrémenté de quelques répliques assez drôles par moment (cette photographe dans la dernière partie du film est terrible !).
Une comédie sentimentale très classique dans son schéma, donc, mais très agréable à voir tout de même grâce à son casting.

[La Grande Divine]

Revu CONTROL de Anton Corbijn : Deception car je n'en avait qu'un vague souvenir du protrait d'un jeune mec très mélancolique. Cette nouvelle vision du film que j'avais pas mal oublié m'a pas ennuyé. Ou le portrait pas très ointeressant et petit bourgeois d'un garçon tiraillé entre la musique, sa femme car marié trop tot et sa maitresse bien plus jolie. Juste banal pour la trame, les personnages ne sont pas si consistants que ça. Reste l'intrepretation plutot habitée de ce comédien, les autres sne sont pas mauvais, juste qu'ils n'ont pas vraiment d'epaisseur, et surtout l'incroyable travail de cadre et de composition de l'image qui est très habile et pas fait n'importe comment, et pour cause le type est photographe et clippeurs des groupes rock/pop des 80's. Il a du mal à nous faire ressentir avec force ce qu'a pu etre ce groupe JOY DIVISION et de ce qui a bien pu apporter, si ce n'est qu'il est précurseur de la new wave dont les sonorités font tout de suite penser au groupe THE CURE. Pas mal, oui, mais faut bien avouer que c'est un peu chiant aussi. Au cinema, j'avais adoré ça. Beaucoup moins maintenant. (---++)

[La Grande Divine]

MESRINE L INSTINCT DE MORT de Jean-François Richet : Portrait sans envergure de l'ennemi public n°1 transformé en personnage de roman photos sur pelloche glacée se la jouant Bonnie and Clyde par moment, c'est so romantique et raconté de manière aussi lineaire que plate. Je m'y suis franchement ennuyée. Les acteurs surjouant le plus possible en deviennent des pantin et le film se transforme en une guignolade violente ou tout se petit monde s'agite dans une reconstitution clinquante et bien proprette. Si Depardieu est très bien un des seul avec Cecile De France, à être juste et à avoir cette présence que les autres n'ont vraiment pas à commencer par Cassel aussi expressif qu'une endive forçant le trait le plus possible en esperant donner gout mais ça sonne faux, Lellouche n'en parlons pas c'est encore pire. Pourtant les moyens sont présents, la bonne volonté aussi pour mener un projet aussi ambitieux, mais ça ne fonctionne absolument pas par manque de sobriété et de noirceur et de subtilités aussi et patissant d'une écriture ou tout est misé sur l'action plus que sur les personnages qui sont aussi lisses qu'une toile cirée. La suite est encore sous cello. Je crains fort de ne pas le retirer et de le laisser tel quel. Question d'instinct de survie. (----+)

[Morcar]

Je n'ai pas accroché plus que ça à ce diptique sur Mesrine non plus.
J'avais maté ça sur M6 il y a un an ou deux.

[La Grande Divine]

Je n'ai pas accroché plus que ça à ce diptique sur Mesrine non plus.
J'avais maté ça sur M6 il y a un an ou deux.

Je viens de voir que le film a reçu le cesar du meilleur realisateur et du meilleur acteur en 2009 cette ceremonie est à rien y comprendre. Enfin si on a capté...

[Morcar]

Récemment, je me suis refait la trilogie Matrix que je n'avais pas revue depuis un bon moment. Quand même, la différence de qualité entre le premier et les deux autres... C'est beaucoup de blabla et de branlette cérébrale dans "Reloaded" et "Révolutions" alors que le premier est vraiment très bon du début à la fin.

Je me suis aussi refait "Blood Diamond" qui lui est aussi bon à chaque visionnage. Un film intelligent avec un message bien critique envers nos sociétés de consommation et leur répercussion sur le reste du monde, tout ça glissé dans un film doté de sympatiques scènes d'action, avec un trio d'acteurs vraiment excellent (Di Caprio, Djimon Hounsou et Jennifer Connelly). Du cinéma à grand spectacle intelligent, qui prouve qu'on peut allier les deux.

[Erbaf]

Blood Diamond est un de mes films d'action préféré.

[La Grande Divine]

MESRINE 2EME PARTIE L ENNEMI PUBLIC N°1 de Jean-François Richet : C'est l'ennui public n°1 devrait on écrire. C'est pire que le 1er. C'est Mesrine se fait arreter, s'evade, ses poufs, ses nouvelles rencontres avec d'autres gangsters, nouvel enlevement, cavale, braquage, se fait choper, va en cabane, s'evade, ses poufs, ses potes gangsters pour faire encore des conneries ect, ect, ect, pfffffffff, c'est vite lassant ce petit jeu de repetition. La sequence avec Amalric est presque bien car tout tient sur le comédien qui au passage pique la vedette à Cassel, en meme temps c'est pas difficile, mais des qu'arrive Lanvin c'est plus possible, il "parleu hé avé heu l'assent heu du sud hé con quoi..." oui comme Mado la Niçoise. Là le film a eu raison de moi, j'ai appuyé sur stop trouvant aussi insupportable que pénible de balourdises ce salmigondis grossier. Ca aux Cesar, ils ont récompensé un film qu'ils n'ont pas regardé ou sinon c'est qu'ils ont vraiment de la merde dans les yeux...C'est vraiment assez mauvais (-----)

[La Grande Divine]

CRIMES A OXFORD de Alex de la Iglesia : le trublion ibère se canalise un peu dans son film le moins personnel mais qui a plus d'identité qu'une serie télé policière ricaine meme si lui aussi semble visuellement laissé porter par les sirene du filtrage d'images, vertes, bleues, orange, suivant les situations, et c'est pas très joli. Mais bon Elijah Wood tate enfin des nénés et mate des raies du cul et roue des galoches, ça le changera de la trilogie, face à John Hurt cabotinant comme c'est pas permis, les outrances du realisateur sont parfois présentes, ainsi que le coté un peu freaky est présent, il aime bien les monstres. L'histoire est tarabiscornue comme pas permis et tiré par les cheveux à rendre chauve Francis Lalanne, mais c'est rigolo à suivre, bien plus qu'un probleme de maths puisque tout est basé la dessus et de la Iglesia semble à l'aise dans ce bazar. L'enquete est menée à l'ancienne et ressemble à une partie de Cluedo ou les manipulations en tout genre et rebondissements aussi enormes soient ils, vont bon train. Tout ce petit monde y prend plaisir, autant en faire autant. (--+++)

[Morcar]

Je viens de mater Rush de Ron Howard. J'ai bien failli abandonner pendant la première heure, tant ça met du temps à devenir intéressant et tant c'était chiant au début. Mais j'ai tenu bon, et la deuxième heure du film est bien plus intéressante. Les acteurs sont bons, et la réalisation de Ron Howard vraiment bien fichue.
Je ne connaissais rien à l'histoire de ces deux pilotes, mais elle est vraiment très sympa pour finir. J'ai l'impression que le scénariste de "Jour de tonnerre" avec Tom Cruise s'était en partie inspiré d'eux pour son film tant on retrouve des similitudes entre les histoires.