Morcar a écrit :C'est un peu de la chance que ça ne soit jamais arrivé pendant, non ? Parce qu'à moins de mettre des piles neuves à chaque séance, je vois mal comment vous pourriez savoir si elles vont durer encore les 2h du film ou seulement 1h20...
C'est aussi ce que je pensais et je m'attendais à ce que ce soit le cas, mais finalement ça ne s'est jamais produit. Donc au final, je pense que comme les piles sont "en sommeil" lors de leur inactivité, c'est surtout au moment du lancement qu'on voit vraiment où en sont les piles. Plein de fois, je les teste avant. Elles sont toutes ok, et quelques minutes plus tard, un spectateur revient avec une paire aux piles niquées. Va comprendre...
Baker Stoecklin a écrit :J'adore juste ce ptit bout de phrase, c'est vrai que tu as la chance de pouvoir bosser dans ce milieu au quotidien.
C'est cool ^^
Oui !
Même si je t'avoue qu'en ce moment, je suis plutôt dans la phase "qu'est-ce que je pourrais faire d'autre..."
C'est pas l'usine, mais comme partout le quotidien s'installe. Et tu ne bosses pas seuls ! Alors quand tu vois tes vacances de Noël sucrées parce que tes collègues sont TOUS en arrêt maladie, que tu te tapes autant de soirs et de week-ends dans l'année, que tu bosses près de 80h en plus sur l'année que ce qui te sera payé, tu te dis que finalement, un petit boulot tranquille, plus classique dans un bureau, a ses qualités...
Erbaf a écrit :D'ailleurs, c'est comment qu'on fait pour intégrer ce milieu ?
Déjà, on apprend à parler français...
La méthode Divine est la plus rapide...
Mais moi, comme personne n'a voulu coucher avec moi, j'ai suivi une formation (au Mans, Baker
) pour travailler à la conception de projets culturels. Un ciné comme le mien s'aborde plus comme un lieu culturel que comme un commerce. Après si je me retrouve dans un ciné, c'est vraiment parce que c'est le domaine que je voulais.