Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

[Erbaf]

Arf !
Cet article aurait-il été commandé suite à mon commentaire sur "Cinéma" ?

Oui et non. Ce n'est absolument rien contre toi. Je m'y attendais à ce genre d'avis de toute manière
C'est juste que j'ai remarqué que beaucoup de critiques sur les films de ces genres cités dans mon article disent toujours plus ou moins la même chose.
Du coup, j'ai publié cet article pour essayer de faire avancer les choses et voir ce que pensent les producteurs.

[Corbeau]

J'imagine qu'on peut trouver des films réussis parmi tous les thèmes cités dans cet article.
Je ne crois pas qu'un genre puisse être usé. Il y a toujours moyen de trouver quelque chose de neuf à raconter à partir de quelque chose de "vieux". C'est juste plus difficile de se détacher de références très utilisées !

[Morcar]

Bien souvent je trouve sur Cinéjeu (comme dans la réalité) des films qui utilisent des recettes maintes fois utilisées, mais qui malgré tout arrivent à se faire une identité bien à eux (récemment ton "Tanaka", par exemple, Corbeau), et d'autres fois je trouve moins d'originalité. Ca se joue à peu de chose, et c'est sans doute très subjectif.

[Erbaf]

Sara Bucker

[Nanoyo]

Bara Sucker ?

C'est un chouette nom de film adulte.

... Ah, Sara Bucker, d'accord.

[Ciné Merveilles]

Concours Biopic - Une grande réussite
Avec neuf film participants, le Concours Biopic organisé par Les Films du Corbeau est déjà une franche réussite, mais celle-ci l'est d'autant plus grâce à la qualité des films, et leur diversité. Ainsi pour ce concours nous avons le droit à un film musical (All Apologies), des drames sociaux sur fond de guerre (Dans sa peau, Die Zeichnung), un thriller sanglant (Lady Killer), des films historiques sur l'époque des rois (Le mystère du Temple, Le Secret du Roi), un film sur la boxe (Rocco Marchegiano) et même un biopic-fiction (Non mais Allo, quoi !). De quoi trouver son bonheur quel que soit le genre de film que l'on recherche.

Mais pour certains artistes aussi ce concours aura été très bénéfiques car plusieurs réalisateurs et acteurs auront participé à celui-ci à travers plusieurs films. Le grand vainqueur à ce niveau est Leonard Brumel qui concourera à la fois en tant que réalisateur et acteur, puisqu'il a réalisé Le Secret du Roi pour Les Films du Corbeau, mais sera également à l'écran dans Rocco Marchegiano de Pitbull Production et Lady Killer de Misterdada Studio. Simon Assous quand a lui a réalisé deux films pour le concours, Die Zeichnung et Lady Killer, dans lesquels il dirige à chaque fois Hugh Carlson. Carla Morane est également à l'affiche de deux films : Lady Killer et Dans sa peau, Michael Cannon à la fois à l'affiche de Le mystère du Temple et Rocco Marchegiano, Jeff Collins dans Le Secret du Roi et Rocco Marchegiano et Avi Elias à la fois dans Le Secret du Roi et Le mystère du Temple.
Si on peut se réjouir de la diversité des genres proposés parmi tous ces biopic, on pourrait presque se plaindre par contre du manque de diversité des castings. Heureusement, beaucoup d'autres artistes partagent toutes ces affiches, parmi lesquels l'un d'eux sera particulièrement attendu. En effet, jusque là Jake Hopkins a connu une carrière quelque peu difficile, ses derniers films avec La Prod du Sud ayant été très critiqués. Sachant qu'il est celui qui dans quelques mois apparaîtra dans le costume du célèbre Mark Reed, on attend de voir quelle sera sa performance dans le rôle du tueur Ted Bundy.

Ce premier concours de l'année 2033 est donc déjà une grande réussite. On espère maintenant que les spectateurs se déplaceront nombreux pour aller voir tous ces films très différents les uns des autres, mais pour la plupart d'entre eux très bons.

[mikl12]

et on ne parle pas de la première prestation de la gagnante de CinéStar Cassie Dickinson?

[Morcar]

En effet ! Grosse erreur de Ciné Merveilles, dont le lectorat compte beaucoup d'amateurs de l'émission en plus !

[Ciné Merveilles]

Courteney Campbell-Seasong
Interview de l'interprête de Bloody Sara
Elle est de retour pour la sixième fois dans le rôle de Sara Anderson, après trois ans d'absence. Courteney Campbell, que l'on doit désormais appeler Courteney Campbell-Seasong, a répondu à nos questions à propos du sixième volet de la franchise "Outlaws".

Ciné Merveilles : Courteney Campbell-Seasong, bonjour. Vous revenez pour la sixième fois dans le rôle de Sara Anderson, un personnage avec lequel vous avez grandi. Quel effet cela vous fait de reprendre ce rôle seize ans après l'avoir joué pour la première fois ? Courteney Campbell-Seasong : Le même effet que si je retrouvais une soeur. J'ai l'impression de la connaître, et de ne jamais vraiment la quitter. Elle est toujours quelque part dans ma tête. Lui dire adieu a été assez difficile, à la fin du tournage. Ciné Merveilles : Vous confirmez donc qu'il n'y aura pas de septième volet à la franchise ? Courteney Campbell-Seasong : En effet. Depuis le tournage du second volet c'était prévu ainsi. A l'origine un seul film était prévu. Nikolas Morcar avait voulu à l'époque faire le film qu'il n'avais jamais pu réellement faire faute de budget à l'époque où il avait tourné le premier "Outlaws" à Baltimore. Quand il a décidé

d'en écrire un second, il avait dans l'idée de faire deux trilogies, une première sur le personnage de James Anderson, et une seconde sur celui de Bloody Sara. "Retribution" cloture cette seconde trilogie.

Ciné Merveilles : Cela veut-il dire que le personnage de Sara Anderson va subir le même sort que son père dans le troisième volet ?

Courteney Campbell-Seasong : Vous comprendrez dès le début de ce nouveau film que Sara a compris qu'en suivant le même chemin que son père elle filait vers un même destin, et qu'elle cherche à tout prix à éviter de le faire. Son père a fini sa vie seul, et elle ne tient pas à finir comme lui. Je vous laisserai découvrir si elle va ou pas parvenir à ça. Tout ce que je vous dirai c'est que ce volet plus que les autres encore est très sombre. La malédiction des Anderson n'est jamais loin.

Ciné Merveilles : Vous dites donc avec ce film adieu à ce personnage important de votre filmographie, mais vous allez prochainement retrouver celui de Malaury Richards dans une douzième saison du serial "Lost Shadows". Vous semblez avoir du mal à dire réellement au revoir à vos personnage.

Courteney Campbell-Seasong : Kelly Schneider m'a proposé de reprendre le rôle de Malaury une dernière fois, car le scénario de leur intrigue ne pouvait pas tenir sur un film. J'ai accepté de le reprendre, mais il s'agira cette fois de la toute dernière enquête de Malaury. Un autre personnage auquel je vais devoir définitivement dire adieu.

Ciné Merveilles : Quel impact pensez-vous que cela puisse avoir sur votre carrière ?

Courteney Campbell-Seasong : Cela va me permettre de me concentrer sur de tous nouveaux projets. Ces personnages m'ont occupé beaucoup de mon temps, et il est temps maintenant que je passe à autre chose.

Ciné Merveilles : "Outlaws - Retribution" bénéficie une fois encore d'un budget très confortable, de plus de 25 millions de dollars. Au total la franchise a déjà rapporté plus de 135 millions de dollars à Morcar Prod. Pensez-vous qu'elle nécessitait obligatoirement d'aussi gros moyens ? Courteney Campbell-Seasong : Nikolas Morcar voulait se faire plaisir et ne pas lésiner sur les moyens pour le premier volet. Les autres ont suivi de la même manière. Le succès de Redemption (ndlr : "Redemption" est le premier film de l'histoire de Gérardmerveille à avoir dépassé les 30 millions de dollars de chiffre d'affaire) a confortablement assis la franchise. Chaque volet a attiré au moins 25 millions de spectateurs en salles. Il serait dommage de les décevoir en réduisant le budget des suites. Ciné Merveilles : Les budgets des films à Gérardmerveille, et notamment chez Morcar Prod, semblent être de plus en plus importants en moyenne. On découvre de moins en moins de films à petit budget. Pourtant à l'inverse, le cinéma attire

moins de spectateurs qu'avant. Ne pensez-vous pas qu'il faille revoir le système autrement ?

Courteney Campbell-Seasong : Je suis actrice, et je me contente de jouer les rôles qu'on me confie. Je laisse ceux qui gèrent les budgets des films s'en occuper. Mais il est vrai que le cinéma attire moins de spectateurs ces derniers temps. J'ose espérer que ceci va s'inverser prochainement.

Ciné Merveilles : Beaucoup d'artistes connaissent des carrières assez courtes, mais vous, à l'instar d'Alec Lederman ou de Cristina Rasmuson, êtes toujours là vingt ans après avoir démarré votre carrière. Quel est le secret de votre longévité ?

Courteney Campbell-Seasong : La motivation. J'avais envisagé à une époque de mettre un terme à ma carrière moi aussi, mais j'ai fait le choix finalement de persister, et de tenter d'autres choses. Ca m'a plutôt bien réussit. Je conseillerais à toute personne qui voudrait continuer dans le cinéma de ne pas avoir peur de bousculer un peu les gens, de leur montrer que vous pouvez faire autre chose que ce dans quoi on vous a vu.

Ciné Merveilles : Cette année pourtant, vous êtes d'abord revenue dans un rôle que vous avez déjà interprêté plusieurs fois dans la franchise "Mark Reed", maintenant dans celui de Sara Anderson, et ensuite dans celui de Malaury Richards.

Courteney Campbell-Seasong : C'est ma manière de tirer un trait sur tout ça, de mettre un point final à mon "ancienne carrière" pour en démarrer une nouvelle.

Ciné Merveilles : Vous ne réapparaitrez donc plus non plus dans la franchise "Mark Reed" ?

Courteney Campbell-Seasong : Peut-être que si. Ce rôle n'est pas un rôle aussi important que les deux autres que vous avez cités. Et peut-être pourrait-il prendre d'avantage d'importance à l'avenir. Pour le moment rien n'est prévu en ce sens, mais je ne dirais pas non à un tel projet.

Ciné Merveilles : Merci d'avoir répondu à nos questions, et bonne chance pour votre nouvelle carrière qui commence.

Courteney Campbell-Seasong : Merci.

[Ciné Merveilles]

La collaboration entre Misterdada Studio et InShadow Production arrive enfin !

Voilà maintenant presque huit ans que le projet était en attente et en post-production. Les deux productions sont habitués à collaborer avec d'autres sociétés mais c'est la première fois qu'ils produisent ensemble. L'occasion pour nous d'en savoir plus sur ce film.
Entretien avec les deux scénaristes du film, Rob Wardly et Mathias Fontail.

Vous sortez enfin la collaboration qui date depuis longtemps. Combien de temps exactement ? 10 ans ?
Rob : Ce projet a été lancé il y a très longtemps ... je dirai même une Éternité ... (rires). À l'époque je travaillais surtout pour la télévision (Metro, Mournful Process) et j'avais soif de changement. J'adorais ce que je faisais mais j'avais un réel besoin d'accomplir autre chose. Paavo Väyrynen était à l'époque très lié aux dirigeants de DNH, chaine pour laquelle je bossais. Il m'avait contacté, m'expliquant qu'il appréciait mon job avant de me proposer un contrat. Alors que j'avais moi-même envie de me lancer dans le cinéma, c'est l'industrie qui venait à moi. J'ai pas hésité, j'ai immédiatement accepté. Et dès mon arrivée, j'ai été placé sur un gros projet : une co-production de science-fiction avec Misterdada Studio.

Mathias : Je pense que le film a mis du temps à se faire suite à l'emploi du temps de chacun. C'était la période où notre équipe avait du mal à aboutir ses projets et avait d'autres priorités vu que c'était la période Lost Shadows, le Western Union etc... Et puis après, le projet était en stand-by et je suis passé un peu à autre chose avant que Daphné me rappelle pour terminer le film.

Racontez-nous comment vous avez lancé le projet.
Rob : L'initiative du projet appartient entièrement à Mathias. Il me semble qu'il avait acquis un certain degré de liberté artistique chez Misterdada Studio et avait réussi à faire produire ses projets de longue date. Parmi eux ? StarSvation, retitré L'Éternité. C'est bien ça Mathias ?

Mathias : J'avais très envi de travailler avec InShadow Production. J'aime leurs films, leurs ambiances, les personnages qu'ils mettent en place. Vraiment. Du coup, j'avais envi d'écrire un film avec eux et ça a donné L'éternité. Cela a été une très bonne expérience et j'espère que ça se refera mais plus rapidement.

Est-ce quand vous vous êtes lancé dans ce film, vous avez ressenti une certiane pression ? Sachant que vous travailler très différemment ?
C'était mon premier projet cinématographique, évidemment que j'étais tendu. J'y pensais continuellement, j'avais peur de ne pas assurer. Mais le fait de partager les critiques avec Mathias avait tout de même quelque chose de rassurant, je ne vous le cache pas (rires) ! Le fait d'être associé à lui nous offrait une liberté que je n'aurais pas eu si j'avais été seul. Alors, évidemment, je ne pouvais pas toujours imposer mes choix. Et heureusement pour le film d'ailleurs ... Je me souviens qu'à la suite d'une soirée bien arrosée, j'ai voulu me pencher sur le scénario. Je pensais avoir une idée génial, j'avais eu une illumination. J'appelle immédiatement Mathias pour lui en parler, pour lui vendre ma formidable trouvaille et voilà que je l'entends exploser de rire. Mon idée ? Faire de l'expédition au centre du film le cadre d'une télé-réalité morbide. C'était évidemment ridicule et la réaction de Mathias me l'a bien fait comprendre. C'est devenu un running gag ensuite ...

Mathias : Sachant qu'il s'agissait pour ma part de ma première collaboration, je ne savais pas trop comment aborder le film avec Rob... Puis ensuite, je lui ai proposé une base sur laquelle travailler et le reste est venu tout seul... même l'idée d'une télé-réalité... mais non, ça, c'était juste pas possible. Le problème, c'est qu'on avait tellement d'idées qu'on n'était jamais satisfait. Rob est là pour vous le confirmer. Lui ne voulait pas de virus alors que moi oui, lui voulait faire une sorte de télé-réalité alors que moi non etc... On a vraiment discuté sur le film qu'on l'a renommé. C'est dire ! (sourire



Avec du recul, comment jugez-vous le film et le travail de l'autre production ?
Rob : Je pense que le développement plutôt chaotique a été bénéfique. Nous avons tous deux muri depuis le lancement du projet. Les idées ont gagné en profondeur, les personnages en nuance. Mais nous sommes toujours resté prêt de nos idées initiale qui témoignaient d'un certain bouillonnement propre à la jeunesse.

Mathias : Ce film est la preuve que la patience a du bon. Comme le dit Rob, si on l'avait sorti à nos débuts de carrière, je pense que le film aurait été moins bon, plus naïf et moins dense. Je me répète mais nous avons abordé tellement de sujet que nous pensons avoir gardé le meilleur et l'essentiel sinon on y serait encore dessus. Il ne s'agit pas d'un travail bâclé pour autant, attention.

Et quels sont vos futurs projets ?
Rob : Je développe en ce moment un film fantastique pour InShadow Production. C'est sans aucun doute mon projet le plus ambitieux. J'espère véritablement que le résultat sera à la hauteur de mon enthousiasme.

Mathias : Pour ma part, je travaille actuellement chez Morcar Prod, j'ai pas mal de projet plus ou moins ambitueux mais je ne vais pas trop en parler pour l'instant. Je préfère travailler dans la discrétion.

Merci à vous.

[Ciné Merveilles]

Rencontre avec le duo de réalisateurs Kat Hana et Simon Tang
Ils ont chacun connu une grande carrière en solo pendant des années, parsemée de quelques collaborations, avant de décider de ne travailler qu'en duo pendant un moment. On leur droit d'énormes succès comme la franchise "Sonic the Hedgehog", et ont participé à différents niveaux à des franchises aussi prestigieuses que "The Samouraïs", "Dr Edwards" et même "Western Union", on plus récemment la franchise Méditerranéenne et la franchise "Mark Reed". Ils sont surtout réputés pour leurs films d'action et de science-fiction, mais ont également expérimenté de nombreux autres genres.
Aujourd'hui, ils ont surtout beaucoup travaillé avec Morcar Prod, mais ont de nombreux autres projets notamment avec Gérard Cousin Prod qui avait lancé la carrière de Simon Tang. Ciné Merveilles est allé à leur rencontre pour les interroger sur leurs projets en cours et leur carrière.

Kat Hana et Simon Tang, bonjour. Vous revenez cet été avec un nouveau volet de la franchise "Mark Reed", qui vous occupe beaucoup depuis votre retour en duo. Pensez-vous pouvoir encore renouveler cette franchise qui compte déjà de nombreux épisodes ? Kat Hana : Oui, sans ça nous aurions déjà laissé la main à quelqu'un d'autre. C'est la nouvelle direction choisie par Morcar Prod qui nous a fait accepter de prendre la relève sur cette franchise, et nous poursuivons ce travail encore avec "Duty of Care". Simon Tang : Nous nous sommes engagés uniquement sur les films mettant en scène le personnage de Mark Reed, et pas les spin-off, parce que ces films allaient dans une direction qui nous plaisait. En tournant un film par an pour cette franchise, ne craignez-vous pas de vous retrouver enfermés dans celle-ci ?

Kat Hana : C'est une des raisons pour lesquelles nous n'avons pas voulu réaliser les spin-off. Nous ne voulions pas que la franchise nous accapare tout notre temps. Nous voulions avoir du temps pour nous consacrer à d'autres projets.

Simon, vous avez co-écrit "Out of Control" avec Andrew Graber. Pourquoi ne pas avoir continué à co-écrire les films suivants ?

Simon Tang : J'ai accepté la proposition de participer à l'écriture du premier film que nous avons co-réalisé, pour apporter ma touche à ce volet, et initier la nouvelle direction de la franchise. Mais maintenant que cette direction est prise, Andrew gère très bien la suite.

Vous avez également réalisé le premier volet de la franchise Wave Girl, dont une suite est annoncée par Morcar Prod. Serez-vous de nouveau derrière la caméra pour ce film ?

Kat Hana : La direction de Morcar Prod nous l'a proposé, mais nous avons refusé cette offre. Nous préférons nous concentrer sur d'autres projets que cette franchise.

Votre réalisation sur ce film a été vivement critiquée. Est-ce la raison de votre choix ?

Simon Tang : Si on s'arrêtait à l'avis des critiques et spectateurs sur notre travail pour choisir nos projets, nous n'aurions pas fait la carrière que nous avons faite.

Vous avez déjà pris part, chacun de votre côté ou ensemble à plusieurs franchises à succès. Y a-t-il certaines franchises actuellement en production à Gérardmerveille auxquelles vous aimeriez participer ?

Kat Hana : J'avais adoré travailler sur la franchise "Dr Edwards" avec Simon. J'aurais beaucoup aimé pouvoir mettre en scène le dernier film qui a été confié à May Elbez, d'autant plus que la nouvelle direction prise par la franchise de Gérard Cousin Prod me plait beaucoup.
Et puis il y a également la franchise "The Samouraïs" dont j'avais réalisé un film, et que Simon écrit. Ca me plairait bien de repasser derrière la caméra, surtout avec Simon qui connait par coeur l'univers qu'il a créé.

"J'aurais beaucoup aimé pouvoir mettre en scène le dernier Dr Edwards"
Quels quatres projets avez-vous en cours ?

Simon Tang : Nous avons un projet en cours avec Gérard Cousin Prod et WB Entertainment, mais nous préférons ne rien révéler encore à son sujet, un film de science-fiction pour Morcar Prod et un film d'action à l'atmosphère un peu humoristique également pour Morcar Prod.

Kat Hana : Simon, tu oublies l'adaptation du "Collège fou fou fou" qui est toujours en écriture mais que nous devrions mettre en scène.

Une comédie ?

Kat Hana : Oui. On a décidé de tenter l'expérience. On en sait pas encore ce que ça va donner, et si on voudra en faire d'autres par la suite, mais quand Michael Wang nous a proposé l'idée, on a assez vite accepté.

Vous semblez ne plus rien avoir à prouver, faire des films pour vous amuser.

Simon Tang : On ne fait jamais de films pour se faire chier. On n'a pas choisi ce métier pour ça.

Kat Hana : On accepte de temps en temps de mettre en scène des films qui ne sont a priori pas dans notre "univers". Mais c'est en quelque sorte une manière de se prouver à nous-même, et de prouver au public, qu'on est capable de faire autre chose que ce qu'on a l'habitude de faire. Pour le moment on a plutôt réussi l'expérience avec "Un heureux évènement", espérons qu'il en sera de même pour cette comédie.

Pour "Duty of Care", vous avez dirigé Jake Hopkins qui reprend le rôle de Mark Reed après Alan Evans. Comment s'en est-il sorti dans ce rôle aujourd'hui très célèbre à Gérardmerveille ? Kat Hana : Plutôt bien, je trouve. Jake a assuré pour les scènes d'actions. Il tenait à faire la plupart de ses cascades lui-même. On sent qu'il veut s'impliquer à fond dans ses films, et notamment dans ce rôle. A mon avis il assuere très bien la relève. Simon Tang : Il n'est pas nécessairement facile de reprendre un rôle comme celui-là, comme ça n'a pas été facile de reprendre la réalisation de cette franchise. Mais il a su prendre rapidement ses marques, et il devrait être encore meilleur dans les prochains volets. Vous serez encore à la réalisation pour les prochains ? Kat Hana : Pour le moment il n'est pas question d'abandonner la franchise. Logiquement nous devrions réaliser encore le suivant. Pour les autres, on verra en temps voulu. De l'eau va couler sous les ponts d'ici là.

"On ne fait jamais de films pour se faire chier"
Vous ne travaillez plus qu'en duo depuis quelques temps. N'avez-vous jamais eut de désaccord sur les projets que vous mettez en scène ? N'avez-vous jamais eut envie de reprendre un film seul ?

Kat Hana : Pour le moment on est quasiment toujours tombés d'accord, et si l'un de nous deux n'est pas tenté par un projet, on le refuse. Il faut que nous soyons tous les deux partants, sinon ça n'a aucun intérêt de travailler en binôme.

Simon Tang : Rien n'interdit que nous reprenions un jour chacun notre carrière de notre côté, mais pour le moment on s'éclate à réaliser ces films ensemble, donc on continue.

Ce sera le mot de la fin, alors. Nous vous souhaitons encore une longue carrière à deux

[Gérard Cousin]

Rencontre avec le duo de réalisateurs Kat Hana et Simon Tang

C'est fou la différence entre le moment où Simon se livre vraiment et dit ce qu'il pense (comme ici) et lors de la "promo" où il est sacrément langue de bois, juste là pour assurer le service après vente!

[Erbaf]

C'est l'esprit commercial qui veut ça !

[Gérard Cousin]

C'est l'esprit commercial qui veut ça !

Et oui!

[Ciné Merveilles]

Kelvin Pitbull poursuivit pour racisme

En effet, le producteur de Gérardmerveille serait poursuivit en justice.
Les causes de cette poursuite ?
Le remerciement d'un technicien afro-gérardmerveilleux qui travaillait sur "Une Journée Ordinaire : Le Salut d'un Homme".
Ce dernier, oeuvrant en tant que perchman, aurait été licencié d'une manière vraiment dure et inappropriée et n'a pas perdu de temps pour réagir en faisant part de ses mésaventures à un avocat ainsi qu'à une ONG anti racisme.



La raison de ce licenciement ?
Selon les dires du producteur, le perchman, un certain Will Goodman, aurait agit de manières désagréable avec la petite Caroline Baxter et aurait tenu des propos déplacés envers Jessica Foster.
Des dires confirmés par l'équipe de tournage mais qui ne justifient pas le traitement qu'aurait reçu Mr Goodman.

La raison de cette poursuite ?
Selon Mr Goodman et l'Organisation Non Gouvernementale nommée Fighting Racism, Kelvin Pitbull aurait tenu des propos haineux en la personne de Will Goodman ainsi qu'à sa couleur de peau, ajoutant que "Remercier un employé à coups de poings est inadmissible."
Bien sûr, le producteur dément les dire de Mr Goodman en affirmant qu'il n'a jamais tenu des propos haineux envers la couleur de peau de la victime, "Si dire à un mec qu'il n'est rien d'autre qu'un abruti doublé d'un sale con, sont des propos haineux envers la personne ... alors c'est le comble !" mais il ne nie aucunement les accusations sur les coups portés par ce dernier, "Il a été désagréable avec Caroline et Jessica d'une manière vraiment poussée ! Je n'ai pas su me contrôlé et il s'est pris une mandale. Je ne regrette pas mon geste."
Le producteur est connu pour son impulsivité mais peut-être que la limite a été atteinte.

Que demande l'avocat de Mr Goodman ?
Maître Lawson exige que Kelvin Pitbull s'excuse publiquement dans un premier temps.
Qu'il paye un dédommagement envers son client et qu'il se résigne à reprendre le perchman sur le tournage du film.
Connaissant le caractère du producteur, il y a très peu de chances que ces demandes aboutissent. Mais Maître Lawson a prit les devants en affirmant que, si jamais, il y aurait refus de la part de Kelvin Pitbull alors ce dernier porterait cette histoire bien plus loin en justice.