Vivien Guards a écrit :... ou par Arno Grey :p
Ce serait plutot Tessa...
Vivien Guards a écrit :... ou par Arno Grey :p
PITBULL a écrit :L'idée me plaît vraiment ^^ co-réalisation avec Arno Grey, ce dernier est sur pas mal de projets dont "Bleuets de France : le Temps de Vivre" alors ça ne me dérange pas qu'il soit en guest pour une co-réalisation
Ciné Merveilles a écrit :Le box-office n'atteindra pas les résultats espérés en 2028
Morcar a écrit :On n'en sera pas loin pourtant, des 2,5 milliards. Dommage pour cette année. Si Morcar Prod avait été plus active au second semestre, ça aurait sans doute permis d'obtenir ce qui manquait pour passer ce cap...
Morcar a écrit :Ca fait un moment que traine sur le wiki un certain film catastrophe dans la filmo d'un grand nombre d'acteurs
La saga Worth aura eut du mal à commencer : si deux premiers films sortirent après sa création en 2009, tous deux produits par Cooran, aucun producteur ne prendra la suite de la saga à l'exception de Morcar Prod avec un DIrect-to-Dvd. Il faudra attendre l'annonce d'un Worth III par Blizzard Production et qui verra le jour en 2021 pour que Misterdada Studio révèle au public de GM un projet tenu secret, qui finalement fera office de quatrième volet, et qui sortira l'année suivante. Les producteurs de GérardMerveille resteront cependant toujours muets quand à une quelconque suite, jusqu'à la fin d'année 2025, où Guards Brothers annonce un nouveau film de la franchise, prenant place plusieurs décennies après les événements des précédents films (à l'exception du film de Misterdada Studios, ne se rapportant à aucun des personnages ou événements du reste de la franchise), This is Worth qui sortira en début d'année 2026 et qui bénéficiera d'un très bon accueil critique. Plusieurs producteurs se montreront intéressés à nouveau pour la franchise, mais c'est Pitbull Production qui finalement contactera Guards Brothers pour une Trilogie prenant place après les événements de This is Worth, et reprenant jusqu'à ses personnages principaux. La Trilogie, nommée "Trilogie du Serpent" comptera trois films, deux (le premier et le dernier) produits par Pitbull Production, et un deuxième film produit par Guards Brothers. Le Venin du Serpent sort en fin d'année 2027 et reçoit à la fois un accueil chaleureux, un succès en salles et le GM Awards du Meilleur Film de Science-Fiction. Il est suivi en octobre 2028 par La Pierre du Serpent qui reçoit lui aussi de bonnes critiques malgré un succès public moins fameux. Alors que le casting du volet distribué par Guards Brothers avait été jugé "parfait" par les critiques, il semble que celui du troisième film distribué par Pitbull Production possède encore un casting plus impressionnant : si Nathan Brook, Lisa Edwards et Alec Lederman reprennent leurs rôles, on va pouvoir accueillir Johnny Arzanavelegger dans le rôle du Roi Serpent, Marcus Lee Bampton, Jeff Collins (qui, selon Kelvin Pitbull, « a dû prendre près de 15 kilos pour être plus proche de son personnage de Berror le Gros. » Berror le Gros, personnage qui, rappelons-le, apparaissait déjà dans This is Worth), Jane Hayworth, Alessandra Bosselli, Axel Winthorp, Jocelyn Gunning, Ewan Lerner, Ashley Brewster sans oublier les jeunes de Cinéstar, Melany Dennis et Dale Brown. Un casting alléchant qui promet un final en apothéose, d'autant plus que le tout sera orchestrée par Iliana Dojdravia, qui succédera donc à Enzo Vitali et Rafael James. Alors que le titre du projet était à l'origine Worth au Serpent, les deux producteurs sont restés indécis concernant le titre : finalement, il n'est resté que deux possibilités, Worth : La Morsure du Serpent et Worth : Le Sang du Serpent. Pour plus d'objectivité, les deux productions ont choisi de laisser le choix aux producteurs concurrents de choisir un titre à l'aide d'un sondage qui devrait être lancé prochainement sur le forum. Si leur collaboration sur Worth est terminée, les deux productions ont commenté leur intérêt pour se lancer dans une nouvelle coproduction, sans plus de détails. Vivien Guards et Kelvin Pitbull se sont dis tous deux "très satisfaits" de cette entente et du résultat, et on peut espérer et prévoir qu'une telle coproduction pourrait se reproduire ! La Saga Worth avait été lancée en 2009 avec un film de Cooran Movies, production qui a fermé ses portes depuis lors. | Galactic Western et Western Union ont toujours été les deux franchises phares de GérardMerveille, et les autres tentatives se souvent terminées par un échec (Civilization, Dr Cropes), et ce malgré le lancement récent d'Une Journée Ordinaire. Le pari pour Guards Brothers et Pitbull Production est donc de donner à Worth une place de choix dans le cercle restreint des Franchises Communes, surtout qu'elle part avec un handicap : producteurs n'adhérent pas à cette franchise et la répudiant, réputation moyenne ou complexité de mise en place de l'univers (mix de Science-Fiction et de Fantasy). Le pari, dès le premier volet de la franchise, semble déjà rempli : auréolé d'un GM Awards, la franchise part de belle façon, et montre un regain d'intérêt de la part des producteurs. Après le succès du second film, il n'y a plus qu'à espérer que le destin soit semblable pour les deux épisodes suivants. Vivien Guards commente : « Nous espérons plus que tout que d'autres productions viendront à notre suite. Car ce que nous avons fait sur Worth, Kelvin et moi, a été de complexifier un univers qui souffrait d'un classicisme trop important, et avoir maintenant de nouveaux points de vue sur cet univers est la meilleure chose que l'on puisse espérer pour la franchise. » Iliana Dojdravia, réalisatrice de ce nouveau film de la saga Worth, révélée par Nanoyo Production et réalisatrice de plusieurs volets de la saga Mark Reed, mais aussi de Mixkox et Mass Effect : Nous ne sommes plus seuls. Nathan Brook, qui avait succédé à Raphaël Lillard dans le rôle de Mecel à partir du Venin du Serpent et qui, après avoir début sa carrière dans des productions David Ponthieux a finalement su trouver sa place dans le milieu du cinéma GérardMerveillois. Ce premier rôle aura finalement confirmé son talent, dont beaucoup ignoraient l'existence jusqu'alors. Le Rôle de sa vie ? Reste la question de la production qui prendra la suite pour la Franchise Commune Worth, et qui devra repartir sur de nouvelles bases et de nouveaux personnages, dans l'un des deux Âges déjà existant (la séparation de ces deux Âges étant la première guerre contre le Roi Serpent décrite dans les films de Cooran et de Blizzard), ou dans une nouvelle époque complètement nouvelle. On sait déjà qu'Asimov Line Production s'était montré intéressée par la production d'un volet à son arrivée à GérardMerveille, tout comme Morcar Prod dont l'intérêt pour la franchise a été ravivé après la sortie des nouveaux films de la saga et de ses nouvelles "bases", et si on sait que certaines grosses productions comme la Gérard Cousin Prod ne veulent vraisemblablement pas en faire partie, interrogé sur le sujet Kelvin Pitbull a commenté « je verrais bien la Boost Films Production produire un volet de la franchise », mais il est bon de rappeler que n'importe quel société peut prendre la suite de la saga si il n'y a pas de projet annoncé en préparation ! Quand aux producteurs actuels, il est probable qu'ils s'arrêtent là pour le moment. Vivien Guards nous a confié : « Je suis très satisfait de ce que j'ai pu apporté avec Guards Brothers à la franchise et de l'accueil que cela a reçu, mais je pense en avoir fini pour le moment. J'ignore de ce qu'il en est pour Kelvin, mais je préfère voir comment les choses vont se profiler à l'avenir. Et si on en a le courage, peut-être reviendront nous sur Worth, mais on préfère laisser les autres et le temps faire leur effet. » |
Des trois films sortis cette semaine 1254, celui qui aura le plus réuni les critiques est sans aucun doute le nouveau film de Maurizio Gira produit par Guards Brothers et Gothic Theory, Song of the Angels. Qualifié de « coup de maître », de « beau travail de scénariste » et maîtrisé de « bout en bout », il ne fait aucun doute qu'en atteignant la première place du box-office de la semaine avec près de 18 millions d'entrées alors que le genre Policier est loin d'être le plus à la mode, ce Song of the Angels est la réussite critique et commercial de la semaine (même si le film, en raison d'un budget élevé, est déficitaire pour cette première semaine d'exploitation). On notera aussi l'excellente performance du cinéaste Maurizio Gira, qui après la douche froide Bloody Christmas où sa réalisation en avait déçu plus d'un, réalise ici l'une des meilleures performances de sa carrière. Au casting, Saka Khouïye, Chris Wertan et Kaylee Cobb font le boulot, tandis que Logan Mandown sort une nouvelle fois un piètre jeu d'actrice. A la compo, Wolfgang Blakstad, très peu présent depuis deux ans à GérardMerveille, et dont la dernière participation à une production ramenait en août dernier et l'excellente bande-originale de Rôde la mort (Hendrickx Pictures), passe à côté de son sujet. |
Douche froide cependant pour L'île au trésor 2 de B2 Production, suite du premier du nom sorti le 13 juin 2026. Malgré un bon box office (2ème place avec 8,7 millions d'entrées - cependant en deçà des espérances puisque le genre comique est actuellement à la mode, le film reçoit un accueil très mitigé, pour beaucoup le film « manque d'originalité » ou de « sympathique mais sans plus ». La réalisation de Aileen Diamond est du même niveau que ce qu'elle avait put faire sur le premier volet, et c'est plutôt bon de ce côté là, tandis que les performances du casting sont plutôt réussies : Dirk Gold fait du bon boulot, Ivan Suerte est vraiment excellent, et on ne peut qu'applaudir Logan Mandown, qui pour son deuxième film de la semaine, livre une performance convaincante. On reste dubitatifs face à une Leila Kaplan une nouvelle fois très plate. On est aussi surpris devant la BO de qualité de Jennifer Emmerson qui livre l'une des meilleures expériences qu'elle a put composer de toute sa longue et misérable carrière ! |
Troisième au box-office avec 8.2 millions d'entrées, le deuxième épisode de la saison 2 du serial Decay intitulé A Dark Quest produit par Pickaboost Films. S'il fait un peu moins d'entrées que le premier épisode, le succès critique est au rendez-vous, puisque selon les critiques, le serial dispose d'un « un univers toujours aussi complet », et que la saison ne faiblit pas puisque c'est aussi « Toujours aussi bon » selon beaucoup. Un exercice totalement réussi s'il n'était pas entaché par la réalisation d'un Richard Meyer pas très inspiré : si le réalisateur avait montré sa maîtrise (alors que personne ne l'attendait au tournant) sur le serial Une Guerre d'Acier puis sur le premier épisode de cette saison de Decay, ici il passe complètement à côté de son sujet, et tous s'accordent à dire que « La réalisation est désastreuse ». Le casting est cependant très convaincant : un Ken Barby qui s'améliore par rapport au premier épisode, Jenny Hereman qui confirme tout le bien qu'on pensait d'elle, et un Sean Bright et une Carrie Kwiat qui font au moins acte de présence. Par contre, alors que sa composition pour la saison 1 était une franche réussite, pour le moment les nouvelles musiques de Leila Sansel ne font que recycler en plus mauvais ce qui avait fait le succès de la première saison, dommage. |
A la troisième position du box-office, on retrouve Klecksography produit par Les Films du Cyborg. Profitant d'un genre thriller à la mode, le film récolte 8.7 millions d'entrées malgré qu'il soit une Série Z. L'accueil critique est au rendez-vous : « Stylé et furieusement accrocheur », « Le Cyborg à son meilleur. », même si certaines critiques modulent leur propos : « un peu téléphonée ». A la réalisation, Elias Epstein fait comme d'habitude : c'est pas mauvais, mais c'est pas fameux non plus. Par contre la direction de l'acteur Dennis Stone, qui s'est récemment retiré du milieu, est parfaite : il est convaincant, tout simplement génial. Un jeu qui compense la piètre performance de Jane Hayworth. A la musique, le très mauvais Quentin Courage sort quelque chose de correct, mais on se demande encore pourquoi des producteurs s'obstinent à engager un tel compositeur... Le Monkeys de Guards Brothers se positionne quatrième avec 8.2 millions d'entrées. Accueil mitigé une nouvelle fois : si certains trouvent le film « Très bon » ou même inspiré de « Lovecraft », plusieurs critiques modulent leurs propos en trouvant le film trop proche de « Far Cry », aussi produit par Guards Brothers. Tobbie Whiskey à la réalisation fait un boulot moyen et qui est loin de convaincre, tout comme le casting : Marcus Lee Bampton et Raphaël Lillard sont tout juste mauvais, Gillian Kagel un peu mieux mais c'est pas encore ça - le tout est sauvé par une correcte Ezra Monet. Ne parlons même pas de la musique de Eileen Constantinescu qui en viendrait à faire saigner nos pauvres oreilles décidément maltraitées cette semaine. | C'est sans grande surprise le Starmania de MiklProd qui se classe en premier place du box-office avec 18,5 millions d'entrées : superproduction sentimentale au casting alléchant en plein boom du genre, le film reçoit un accueil critique de grande qualité : « fidèle à l'oeuvre originale », un film qui « envoie du lourd » selon beaucoup. On applaudira la réalisation de Gillian Salmon, puriste du genre qui sort une très bonne performance. Au casting, c'est quasiment tout bon encore une fois : Derek Weiner, qui a littéralement explosé depuis deux ans, sort un jeu convainquant, Enya Dudley et Evan Osburn font un bon boulot tandis qu'Abella Batt est parfaite. On notera de même une très bonne bande-originale de Stephanie Harline. En deuxième place, Le génie du crime de Morcar Prod avec 12 millions d'entrées qui reçoit ici aussi un accueil critique de grande qualité : « Un thriller de bonne facture. », « Ingénieux » et « superbe ». Du côté du casting, David Ponthieux démontre qu'il a en tant que réalisateur le talent qu'il n'a pas en tant que producteur. Malheureusement, le casting est moins convaincant : Raphaël Lillard, sur l'un de ses deux films de la semaine, est catastrophique, même si Amy Fielding et Terry Fillion (pour son premier film) sont loin d'être mauvais. Sans oublier le jeu décevant de Ashley Curtis. La musique est elle aussi un ratage complet de la part d'un Raphael Hemmings qu'on a connu plus inspiré. On termine sur le troisième épisode du sérial Decay, intitulé God's Den. Un accueil une nouvelle fois positif de la part des producteurs qui confirme la bonne forme de cette saison 2 : « devient de plus en plus intéressante. », et un épisode qui impose une « monté de rythme de la série ». Malgré ces bons retours, on reste toujours dubitatifs quand au casting : Richard Meyer s'améliore un peu par rapport à l'épisode 2 mais c'est loin d'être encore ça, Nathan Kondor est tout simplement décevant, et même si Ken Barby et Jenny Hereman sont bons, Carrie Kwiat ne tient pas la route. Leila Sansel compose quelque chose d'un peu meilleur que la bouillie des deux premiers épisodes, mais on reste à des kilomètres de la bande-originale de la saison 1. Article de Joe Lemann |
L'artiste est visiblement dans son milieux de prédilection : la musique mais la milieu artistique en général. Tout sourire, Axel Winthorp sort de scène avant de nous indiquer de le rejoindre à une table où se trouve "étonnament" Edward et Maynard Bradford. Alors que flottent dans l'air des reprises jazz et reggae, nous débutons les hostilités. Ciné Merveilles : Axel, comment allez-vous ? Axel Winthorp : Très bien mes amis, très bien. Vous connaissez ses deux merveilleux réal' ? (Axel se tourne vers Edward et Maynard Bradford) Ciné Merveilles : Bien-sûr ! Comment en êtes-vous arriver à vous rencontrer ? |
Ciné Merveilles : Votre carrière débute au mois de février 2027 avec tout de suite une performance qui crève l'écran dans "Black Rain". Axel Winthorp : Merci. J'ai rencontré Baker Stoecklin donc via Edward et il qui souhaitait avant toute chose me tester sur un second rôle. Une pression terrible puisqu'il s'agissait tout de même de l'adaptation de "Black Rain" à GM. J'ai obtenu sa confiance rapidement et nous toute de suite sympathisé. Finn (N. Howard) et Ruth (Chambers) m'ont mis à l'aise également puisqu'elles étaient de la maison également. Baker est un perfectionniste et autodidacte, un peu comme moi finalement. C'est sûrement pour cela qu'il m'a "confié" le rôle de Trevor Dunn/The Tormentor plus vite que prévu. Maynard Bradford : Quand je pense que mon frangin avait auditionné pour incarner le "Purgeur" ... Edward Bradford : Je voulais apparaître sur cette adaptation, un clin d'oeil quoi. Finalement, cela ne s'est pas fait. Nous étions occupés sur le tournage de "Puzzle". |
Ciné Merveilles : Vous avez déjà tourné avec Gérard Cousin Prod et les Films du Cyborg. Quelles sont les relations que vous entretenez avec les artistes du milieu ? | Axel Winthorp : Plutôt bonne. Enfin je l'espère. Je donne le meilleur de moi-même pour chacun de mes rôles et j'espère ne pas décevoir. Je me souviens encore du tournage de "The Butcher" avec la GCP Prod' ... un producteur au caractère de cochon ... un mec qui sait ce qu'il veut. J'avais merdé un peu cette fois-ci mais j'ai pris énormément de plaisir à tourner ce rôle que l'on m'a confié et je remercie Gérard de m'avoir fait confiance. Trouver ses marques, c'est toujours le problème lorsqu'on est acteur et cela demande parfois du temps. |
Ciné Merveilles : "The Tormentor III" sort la semaine prochaine et il semblerait que la franchise est atteinte son apogée. Souhaiteriez-vous continuer à vous investir dans la franchise ? | Axel Winthorp : Incarné un rôle tel que celui-ci est éprouvant (rires). Je vais peut-être passer à autres choses et je n'aime pas non plus être assimilé qu'à une icône du film d'horreur. Trevor Dunn est un barge de première et il me tarde de que l'on me confie des rôles un peu plus terre à terre. "Guilty of the Past" m'a beaucoup plu par exemple. Cela change un peu. |
Ciné Merveilles : Quels sont les artistes avec qui vous aimeriez-vous travaillé ? Sous la direction de quels producteurs ? | Axel Winthorp : Pas de plans de défini. J'ai eu d'excellents contacts avec Maurizio Gira par exemple. Dante Machine également. Vous savez, nous sommes également une petite communauté dans le milieu : si nous sommes d'excellents amis avec Edward et Maynard, je connais également Terry Fillion et Charles (L. Brown) c'est naturellement que des "groupes" se forment en dehors du milieu cinématographique. J'étudie sinon toutes sortes de propositions sérieuses. Messieurs, je vous remercie d'être venu jusqu'ici et j'espère vous revoir très bientôt. |
Sur ses paroles, Axel Winthorp se faufile dans les vestiaires du pub. Nous le verrons un peu plus tard habillé de manière classieuse sur scène pour jouer une dernière fois et rejoindre le groupe "The Cavern" pour quelques reprises de classiques du jazz tels Louis Armstrong et Roy Eldridge. L'artiste évolue rapidement dans le milieu et est clairement sous le feu des projecteurs, à tous les niveaux en ce moment. |
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