Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Ciné Merveilles » Dim Mai 15, 2011 18:29

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Retour sur le box-office -
semaine 13-19 février 2021



Superwolf, carton au box-office !

Pour sa seconde Série A, Loupieau France Production GM a frappé un grand coup avec un film d’animation « barré et fantastique » de Fabrice Rye, SuperWolf.
En première semaine d’exploitation, 12,9 millions de spectateurs et déjà près de 800 000 $ de bénéfices pour le plus gros budget de l’histoire de Loupieau.

Côté critique, SuperWolf est qualifié d’ « agréable », de « sympa », l’arrivée d’un héros du monde animal étant qualifié de « frais ».
Le casting vocal (Peter Jones et Myrtille Lèche) est également apprécié.

Bref, avec trois films au compteur en cette année 2021 et une sixième place au box-office, Loupieau Production devrait dépasser très largement ses objectifs annuels (120 millions d’entrées et TOP10)
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Myrtille Lèche, la voix de la semaine !

Découverte par Luxure, Myrtille Lèche est l’une des rares de cette écurie a ne pas vraiment avoir percé (6 films en 4 ans).

Pourtant, dans SuperWolf, elle signe la meilleur prestation de sa carrière, preuve qu’elle a du coffre !



Lou Gibbs, la cata de la semaine !

Qu’est-il arrivé au réalisateur de Bestioles (Sergiot Production) ?

Certes, ce n’est pas la première fois (Psychopates pour le même Sergiot, SOS pour Grahael), mais là on se demande même si elle a déjà appris a tenir une caméra ! Pourtant, avec 25 films au compteur…
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Mass Effect, film critique de la semaine !

Nanoyo Production présentait cette semaine le premier opus de sa franchise Mass Effect, Nous ne sommes plus seuls. Malgré la faible côte du genre de science-fiction, ce volet franchit la barre des 10 millions d’entrées et la seconde place du box-office.

Surtout, cette Série A est portée au nue par les critiques – excepté un (« opaque » pour un « novice ») - : un « texte dense » qui « ne fait pas que raconter le jeu », une « grosse claque (…) superbement amené ». D’ailleurs, de nombreuses critiques affirment que c’est le meilleur film de science-fiction depuis un bon bout de temps, certains citant Dead Plan ou Maelstrom. L’affiche est globalement jugée positive.

Avec cette belle performance, Nanoyo Production prend la tête du box-office avec 14,75% de part de marché devant la GCP (13,51%), la JLP (12,97%) et PBP (12,50).


Claire Pettruciani, rédactrice en chef de Ciné Merveilles.
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Nanoyo » Dim Mai 15, 2011 18:30

Erreur, premier opus de la franchise. ;)

Edit : Chier, je suis grillé comme étant féru lecteur de la petite semaine... :mrgreen:
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Ciné Merveilles » Lun Mai 16, 2011 0:09

EXCLUSIF – Jérémie Walken quitte Gérardmerveille.


Fondateur de la Walken Production en 2005, le producteur et scénariste Jérémie Walken a pris la décision selon nos informations de quitter définitivement Gérardmerveille pour Montréal. Cette décision a fait l’objet d’un court communiqué aux salariés de la Walken Production dirigée actuellement par Amanda Beins. Par ailleurs, sa demeure dans le quartier de Mountain Hill a été mise en vente.

Premier retour sur l’évènement.
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Jérémie Walken est l’une des grandes figures du monde du cinéma. En décembre 2019, lorsque Ciné Merveilles annonce la cure de désintoxication du fondateur de la Walken Production qui a eu lieu à la fin du printemps précédents, l’ensemble de la profession réagit. En 2020, lorsque Quentin LGD égratigne le paysage actuel du cinéma Gérardmerveilleux, Jérémie Walken est cité en contrepoint.

Si l’homme était revenu à la vie réelle à la mi-2020, ses apparitions publiques étaient rares et ses prises de positions peu nombreuses. Néanmoins, récemment, il a pris part au débat sur la phase de sélection des GM Awards, une cérémonie à laquelle il s’était toujours opposé. Il y a quelques jours, Jérémie Walken nous avait confié qu’il ne se sentait plus à l’aise dans « l’ambiance nauséabonde qui règne dans la profession » et regrettait qu’il faille « maintenant demander la permission pour s’exprimer au risque de se faire lyncher publiquement ».

Dans sa demeure de Mountain Hill, Jérémie Walken avait fait part de ses ressentiments envers un grand producteur de la ville, le qualifiant de « roi sur un trône d’ivoire ». Il évoquait également sa « perte de plaisir », conséquence de rancœur qu’il ne cachait pas et analysait clairement vis-à-vis de certains producteurs.

Jérémie Walken, un homme que la grande presse avait pensé enfermer dans une case, dans un rôle, celui d’un producteur lié au crime organisé et aux positions –notamment politiques - instables. Pourtant, Jérémie Walken a su dans le bras-de-fer qui l’a opposé à ses propres démons (2006-2009), puis à la maladie en 2014, se construire une personnalité profonde et hors du commun. En témoigne la dizaine de scénario qu’il a écrit pour la Walken Production ces dix dernières années, davantage mystique (EsPrit, 2016) et sombre (Au cœur de l’hiver, 2013). Ainsi, le dernier film de la Walken Production, Le tueur à la cannette rouge (février 2017), sorti dans le cadre du concours rouge, témoignait de la vitalité de la prose de Jérémie Walken et son talent à bâtir une critique féroce du néo-libéralisme.

Malgré tout ce qu’on a pu dire ou lire, Jérémie Walken fut sans doute bien plus fidèle à ses convictions et à ses amis que bon nombre individus de la profession. Ses va-et-vient dans l’arène politique, entre William Molchany, Rafaël Calvet ou le financement de l’extrême gauche de Nadja Svetlana, montrent davantage le jeu d’un homme dans les faux-semblants de ce milieu-là. D’ailleurs, dans le milieu du cinéma, Jérémie Walken a toujours été fidèle à une poignée d’hommes, ceux composant la galaxie Walken Production (Amanda Beins, Alex Hickey) et diverses personnalités à la marge de la profession tel Ralphaez ou Riri2, deux hommes pour lesquels il a travaillé dans leurs sociétés respectives (AtPenumbra Production et la PRNA).

Jérémie Walken a donc quitté Gérardmerveille. Bien sûr, on ne peut dire que cela est définitif tant la carrière de l’homme a été interrompu a de nombreuses reprises. Néanmoins, on sentait il y a quelques jours en évoquant avec lui certains aspects, une grande lassitude et une porte qui s’était refermé depuis longtemps, quelque part entre la sortie du Tueur à la cannette rouge et son retour de sa cure de désintoxication en juin 2020.

Jérémie Walken est aujourd’hui à Montréal, dans la ville qui l’a vu naître et où il a grandi. Ici, à Gérardmerveille, le retour de la Walken Production sur la scène du cinéma demeure plus que jamais hypothétique. Ici, à Gérardmerveille, on s’attend à ce que beaucoup d’encre soit utilisée pour publier les communiqués et les déclarations des acteurs du cinéma de notre ville.

Le départ de Jérémie Walken marque la fin d’une époque. Comme dans Ultime récolte (octobre 2013), on espère que comme Lucy que revoit pour une dernière fois son père John avant d’être emporté par la grande faucheuse, le public de Gérardmerveille aura le droit à une dernière cartouche de la Walken en salle. Une cartouche affûtée par sieur Jérémie en personne…

Andréa Koristo, journaliste de Ciné Merveilles.
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Léa Risson » Lun Mai 16, 2011 7:16

Hé bé, pour une mauvaise nouvelle, en voilà une de grosse. :(
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Nanoyo » Lun Mai 16, 2011 7:27

Une dernière cartouche afûtée ou une dernière pierre à l'édifice de la tension qui règne dans la ville et dont il est également responsable.

Je pense que ce départ, ou plutôt cette absence, permettra peut-être à la ville de retrouver un peu ses bases. Mais je sens l'arrivée imminente de certaines personnalités de la profession qui sauront jouer les pleureuses. Toutefois, Walken aura le mérite d'avoir pris la meilleure décision pour lui. Il ne cible juste pas le bon problème et ce depuis l'année 2009 où la première tension est apparue.

Profitez de ce départ pour tous revenir dans le temps et dans les archives de notre communauté... Et pour certains, merci d'éviter d'être constamment acides dans vos réponses, ou de le devenir.
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Morcar » Lun Mai 16, 2011 9:41

Walken Prod, et Jeremie Walken, ont toujours fait des aller/retour à Gérardmerveille, mais le nom de Jeremie est toujours resté lié à sa société. Le fait qu'il quitte Gérardmerveille semble affirmer la fin d'une époque pour Walken Prod, mais j'espère que ça ne signifie pas pour autant la fin de Walken Prod, et que Mme Bein saura assurer pour la relève.
Mais Jeremie ne semblait plus le même depuis quelques temps, et je ne suis donc pas totalement surpris de ce choix de sa part. Je lui souhaite toute la réussite possible pour ses futurs projets, et peut-être à bientôt, quand même.

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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Mr. Rammstein » Lun Mai 16, 2011 16:14

Jeremie !!!!! NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON :cry: :cry: :cry: :cry: :arrow:
La Rammstein prod c’est du désespoir, de la haine, et un manque intense de courage et d’imagination pour finir un seul putain de film…
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Ciné Merveilles » Lun Mai 16, 2011 22:08

EXCLUSIF – Walken Production ferme ses portes.


Hier soir, Amanda Beins a démissionné de son poste de directrice générale par intérim, une décision faisant suite au départ de Gérardmerveille de Jérémie Walken que nous vous annoncions hier.
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Ce matin, Karl Medeyes, président de Walken Production, a annoncé la fermeture définitive de la Walken Production. C'est donc officiel, le départ de Jérémie Walken marque la fin de la société qu'il a fondée. Premier retour sur l’évènement.

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Walken Production est né en 2005 de la décision d'un homme, Jérémie Walken, et financé par Maurice Boucher. Entre 2005 et 2017, la société a produit 94 films et cumulé au total 1,4 milliards d'entrées, ce qui la classe à la huitième position du TOP30 des sociétés.

En effet, Walken Production a fortement marqué de son empreinte les années 2005-2010, en étant aux avant-postes du box-office (4e en 2005, 5e en 2006 et 2008). Après une période creuse (2009-2011) s’expliquant par une première incarcération de Jérémie Walken, la mort de Maurice Boucher au début de l’année 2012 marque paradoxalement la renaissance de la production. Rachetant la société, Jérémie Walken impulse un nouveau ton a sa société, plus sombre et proposant des films psychiques et mystiques comme une marque de fabrique. Cette année-là, Temps et poussière (Awards du meilleur film d’horreur), Lui, le masque de fer (Award du meilleur film fantastique) ou La céleste mélodie (Award du meilleur thriller) sont acclamés par la critique et le public. Se classant 9e au box-office 2012, Jérémie Walken fait signer le réalisateur Ralphaez, licencié d’AtPenumbra Production au début de l’année 2013, en lui confiant le studio Max Zorin et la franchise Vulgate. A nouveau couronné aux GM Awards 2013 (Award du meilleur drame avec Ultime récolte, Award du meilleur film de science-fiction avec Last Travel, Award du meilleur thriller avec Une dernière folie), le tandem Ralphaez/Walken s’empare de la 7e place du box-office. Ces deux années-là sont sans aucun doute les plus belles de la société, des années où Jérémie Walken occupe les « unes » des magazines pour son art.

Les années 2014-2017 sont bien plus calmes. En août 2014, Jérémie Walken démissionne pour raison de santé de son poste de directeur général, remplacé par le fidèle Alex Hickey. Au rythme de deux/trois films par an, chaque film de Walken Production suscite des critiques positives et rempli les salles obscures (Liverpool’s Way, 2014 ; Le don de Dieu, 2015 ; EsPrit, 2016) et lorsque les sorties se font plus conséquente en 2017, toute la profession parle d’un retour prochain de Jérémie Walken aux manettes de la société après son échec à la PRNA (2016-2018).

Pourtant, rien ne viendra plus de la Walken Production et les apparitions publiques de Jérémie Walken se font de plus en plus rares à Gérardmerveille. Ce début d’année 2021 semble donc apporter un épilogue à la storie de la WP. Le dernier acte en somme.



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Message par Skinny » Lun Mai 16, 2011 22:41

WTF !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! si on peut me permettre cette expression...
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Paavo Väyrynen » Lun Mai 16, 2011 22:54

Dommage. J'aimais bien ce producteur, bien que quelques fois, ses paroles, pouvaient être acerbes et vexantes, et mal venues. Ses remarques, parfois cyniques, m'ont plusieurs fois fait sourire.
Amicalement, Paavo Väyrynen d'InShadow Production
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Un jour, Ralphaez a écrit :C'est la barbe, ça vieillit, ma copine a ce problème.

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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Mr. Rammstein » Lun Mai 16, 2011 23:03

heu je croit que j'ai louper plusieurs saison de la terrible vie des feux de G-M :roll:
La Rammstein prod c’est du désespoir, de la haine, et un manque intense de courage et d’imagination pour finir un seul putain de film…
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Matt Kayler » Mar Mai 17, 2011 17:28

le forum commence à être déserter, cela est peut-être dû au mauvaise conduite de certain.
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Ciné Merveilles » Mar Mai 17, 2011 17:59

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Retour sur le box-office -
semaine 20-26 février 2021



Ghost catcher : carton, film critique et performances de la semaine !

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Cette semaine, Well Walling Production nous fait du trois en un.

Premièrement, Ghost catcher, série A d’animation raffle la tête du box-office avec 16,5 millions d’entrée, plus que convenable pour un genre côté en dessous des 12%. Le budget total avoisinant les 18,5 millions de $ devrait donc être largement couvert en fin d’exploitation.

Deuxièmement, Ghost catcher est le film critique de la semaine, largement devant ses autres concurrents (Le migrateur et L’étudiante anglaise). « Histoire » et « univers » excellents, « ambitieux » même… Reste une « course aux fantômes » qui ne fait pas l’unanimité. L’affiche quant à elle ne convainc pas » l’ensemble des critiques.

Troisièmement, la force de Ghost Caster, c’est aussi un casting bien pensé. Il est rare que l’ensemble des acteurs soient bien noté dans un film de cette envergure.
Ici, excepté peut-être Joel Anderson un ton en dessous – pour une prestation plus que correct -, tous éblouisse dans des rôles surprenants, telle Sandrine Taufen dans le rôle d’Ydra, une actrice qui en six films a presque toujours convaincu, excepté dans Japan Expo (2017).

Bref, avec Ghost Catcher, Well Walling Production recolle à PB Productions (11,04% contre 11,36%) au classement du box-office provisoire et conforte sa cinquième place.


Cassandra James peine à convaincre !


Premier rôle dans L’étudiante anglaise produit par la GCP cette semaine, Cassandra James prouve encore une fois que son jeu est limité en peinant à incarner Jessica, dans un teen-movie à l’esprit très américain chez les ritals ! Pire, Cassandre James peine a être réellement sexy et l’on se demande ce qui attire Péppino (Herbert Flanagan) !

Surtout, alors que Cassandra James a effectué une longue carrière dans les sous série télévisée, il se chuchote en interne à la GCP une erreur de recrutement, un contrat sur lequel à beaucoup pesé Michael Cannon. Après les mauvaises prestations dans Monsieur Sukiyaki, Kirmizi, The Newcomer ou Von Rhaïm, on a aussi l’impression que la GCP n’a pas mis le paquet sur la promotion d’un film balançé à la va-vite dans les prévisions. D’ailleurs, Cassandra James a annulé certains plateaux télévisée, remplacé par une autre affiche du film, Matt Ador.

Bref, alors que le genre est côté à 12,5%, cette Série A comique dépasse avec peine la barre des 10 millions d’entrées… Heureusement, le budget est déjà rentabilisé !
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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Sergiot » Mer Mai 18, 2011 9:48

Ciné Merveilles a écrit :Qu’est-il arrivé au réalisateur de Bestioles (Sergiot Production) ?

Certes, ce n’est pas la première fois (Psychopates pour le même Sergiot, SOS pour Grahael), mais là on se demande même si elle a déjà appris a tenir une caméra ! Pourtant, avec 25 films au compteur…|
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Communiqué de presse :

Lou a toujours eu du mal à trouver sa place en tant que réalisatrice. D'autant plus, que d'avoir travailler pour des producteurs peu scrupuleux (Grahael, Matsutani Production, ...), l'a décrédibilisée auprès du public et de la profession.
D'où un investissement moindre dans la réalisation des films. Et elle a avouée qu'elle a acceptée son 1er film d'animation, uniquement dans un but alimentaire.
Surtout qu'elle préfère diriger des êtres de chair et de sang...

Lucas Fard
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Des films que vous rêviez ? Non ! Ici prendront formes vos pires cauchemars…
La vie n'est pas un Disney. Bienvenue dans la vrai vie... (Sergiot)
Ne prenez pas la vie au sérieux, de toute façon vous n'en sortirez pas vivant... (Pierre Tombale)

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Re: Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

Message par Ciné Merveilles » Mer Mai 18, 2011 18:30

Baisse de la qualité des films programmés en 2021 ?


Ce fut vraiment une sinécure d'enchaîner les septs avants-premières des films sortant ce mercredi 27 février. Histoires banales, parfois mal construites, incarnées souvent par des acteurs de second voir de troisième rang... Une tendance de fond comme le ressente certains critiques dont les notes sont bien plus basse qu'à pareille époque en 2020. Premier éclairage de la situation.


Sortie à la chaîne, qualité défaillante ?

C'est sans doute la première question à se poser. En effet, depuis le début du mois de janvier, certains producteurs enchaîne le film / semaine. C'est le cas de Jacob Leiter Production ou de Nanoyo Production. Si cela s'avère payant en terme de position au box-office (JLP est 3e, NP 1er), cela s'avère plus périlleux pour présenter un film qui fait l'évènement chaque semaine.

Pour tenir la cadence, les stratégies divergent : si au sein de JLP, Jacob Leiter signe la quasi totalité des scénarios et supervise les tournages, Nanoyo Production fait appel à plusieurs plumes et réalisateurs plus ou moins confirmés. Dans les deux cas, on est pas à l'abri des plantages.

Ce n'est plus un secret : une partie de la profession et la presse reproche à la JLP un manque d'approfondissement de ses films, et la société de Jacob Leiter est maintenant synonyme de course effreiné aux chiffres. Avec Hotel Pavillon, on a donc le droit à un thriller plutôt mal construit dans ses enchaînements et livrant le spectateur à une étrange
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ambiance, pas vraiment flippante à cause de dialogues pas vraiment justes.

Du côté de Nanoyo Production, c'est autre chose. Si depuis le début janvier 2021 certains de ses films ont déçus la critique (Le migrateur) à côté de belle réussite (Mass Effect ou Six mois), le projet à venir, N'oubliez pas de sourire ! plaira sans doute à beaucoup d'hommes de la profession... mais le public ? Dans ce documentaire très intime du producteur Nanoyo, les dessous et les conflits de personnes entre producteurs va-t-il être apprécié du public ? Surtout qu'ici, contrairement aux documentaires de Morcar Prod, ce n'est guère salivant et le message est plutôt celui des bisounours....!


Cantonner dans un genre, des hauts et des bas ?

Pour d'autres productions, la question qu'il faut se poser est davantage la volonté - parfois assumée - de ne proposer qu'un type de film. Ainsi, Guards Brothers, fondée en 2020 et qui est un sérieux concurrent pour l'Award de la meilleur révélation, a décidé de se consacrer presque uniquement à la S-F.

Avec Back Down, Guards Brothers ne révolutionne pas le genre. Sachant que c'est toujours de la série Z, l'on sait que GB ne fera pas la différence sur les effets spéciaux. Sur le script alors ? Et bien pas pour Back Down relativement plat avec des pistes non approfondies...

La même remarque peut être faîte à la Rammstein dont la refondation récente avait été saluée par la presse. Après l'intérim de Sum, une période où Mr Rammstein 'pétait les plombs', la société était revenu en pleine forme. Cependant, avec Blood Lust, on sent toujours les mêmes thèmes, sombres, avec toujours pleins de cadavres, de gun et de flic... Ici, la sauce ne prend pas...
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Idem du côté de Jean-Paul Altair, fan des aliens, des zombies et de l'hémoglobine. Avec Apocalypse, on se retrouve dans un énième fait d'actualité à la sauce nanardersque. Lassant quand ni le casting ni l'histoire pimente le tout!


Impossibilité d'avoir un bon casting :
faute des 'grands' ou incapacité à trouver de nouveaux acteurs ?


La troisième question a se poser est sans doute un relachement des producteurs au niveau du casting. Souvent les mêmes têtes enchaînant n'importe quel rôle, même sans rapports avec leurs talents.

Certains évoqueront l'impossibilité d'engager des acteurs ou réalisateurs talentueux, toujours sous contrat de longue durée chez les grandes majors de Gérardmerveille (Gérard Cousin Prod, MMP, PB Productions, etc.). Certes. Cependant, exceptés quelques nouveaux producteurs qui tentent de lancer de nouveaux acteurs, certains ne s'échignent même pas à cela. Ni même a trouver l'adéquation entre scénario et acteurs pouvant le porter.

Ainsi, l'agent Steeve Mc. Ray nous indiquait à la sortie de l'avant première de Blood Lust ses difficultés à caser ses acteurs formés à l'Acting School : "Franchement, on fournit quand même un boulot bien plus poussé qu'à Acteur Académie. Or, on se trouve confrontés à la baisse du nombre de castings non pipés. Beaucoup de producteurs comme Cousin, chez Walling ou chez Blakstad fonctionnent en vase clos. D'autres s'en foutent et signent le premier imbécile qui passe en pensant que la promo ramènera le spectateur en salle. Exceptés Guards Brothers ou Hending avec qui on travaille, on a pas beaucoup d'opportunités. Pourtant, Iris Elwood ou Sam Boston sont des acteurs singuliers, dégageant dans leur registre des bouffées d'oxygène à certains projets. Je crois que le public est en attente d'une nouvelle génération d'acteurs."

Trois questions légitiment a se poser. A noter aussi que ce début d'année 2021 est marquée par le silence inquiétant de certaines majors, telles la MMP ou la Morcar Prod. Des productions dont les critiques étaient presque toujours positives, ou du moins proposait des projets quelques peu singuliers.

Claire Pettruciani, rédactrice en chef de Ciné Merveille.
Dernière édition par Ciné Merveilles le Mer Mai 18, 2011 23:38, édité 1 fois.
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