[Chaîne TV] TG1

[TG1]

Réponse du service presse au mail envoyé par Misterdada à l'émission :

Une fois le montage de ce document terminé, il a été fait la remarque qu'on aurait du parler de cette collaboration très originale qu'est Septième cercle. Mais il était trop tard pour retoucher le document. Quand à "petit nouveau", c'est parce que vous êtes encore nouveau dans le Top 5 des producteurs. C'est la première fois que vous y figurez

[Misterdada]

Réponse de la réponse du service presse au mail envoyé par Misterdada à l'émission :

Là, je vais être chiant car en 2017, j'ai été 5ème durant presque toute l'année et je me suis fait doubler par Morcar qui a sortit son sérial tout à la fin.
Du coup, je suis passé sixième mais le jeu préfère mettre Ember's Falt à ma place. Tenez, je vous met le lien : http://www.cinejeu.net/index.php?page=p&id=54&unite=resultats

C'est la deuxième fois que cela m'arrive que le jeu mette quelqu'un d'autres à ma place...
Cela m'est arrivé à Fundanse où ils ont mis Blade (Vegas Temptation Media) meilleur producteur à ma place.

[Loloestla]

Du coup, je suis passé sixième mais le jeu préfère mettre Ember's Falt à ma place.

Mais Mais

[Misterdada]

Du coup, je suis passé sixième mais le jeu préfère mettre Ember's Falt à ma place.

Mais Mais

Quoi ? C'est vrai, regarde les résultats de l'année 2017...

[TonTon Luc]

Suite à la coupure de courant, TonTon Luc, après avoir dégusté une bonne partie de tout les petits Tuc trainant sur le plateau et en coulisses, s'est endormi sur le canapé club réservé aux invités. A son réveil, après avoir adressé quelques œillades à Daniela Richardson, il attend avec impatience qu'on rétablisse la lumière, et espère que le tournage va bientôt se finir : ce soir il a une Irish Night à organiser au Carpet BB !

[TG1]

L'interview : Tonton Luc

Alors que la musique de l'émission est lancée en musique de fond, Tonton Luc entre sur le plateau où attend Daniella Richardson. Deux sièges ont été installés face à face, une table les séparant sur laquelle sont posés quelques Tucs. L'animatrice se lève à l'arrivée du producteur, et lui sère la main cordialement, avant de l'inviter à s'asseoir. Elle s'assoit ensuite face à lui. Daniela Richardson : Bienvenue Tonton Luc, et tout d'abord merci d'avoir accepté de participer à cette première émission en prime time. Pour ce bilan du premier semestre de l'année, il nous paraissait évident que nous devions vous recevoir, vous qui avez marqué ce début d'année d'une empreinte toute particulière. Et à ce propos, quel regard avez-vous, de manière générale, sur le cinéma de Gérardmerveille à la vue de ces premiers mois passés en ville ? Tonton Luc : Tout d'abord, Daniela, merci de m'avoir invité ici. Je ne regarde pas beaucoup la télé, entre mes différentes activités, vous savez je n'ai pas beaucoup le temps... Mais quand je la regarde, c'est souvent pour vous y voir... Non pas que votre émission me passionne plus que ça, mais vous avez

un joli minois ça égaye ma journée ! Et puis faire la première en prime avec vous et de petits Tucs, c'est un vrai bonheur...
Par contre, j'ai un peu oublié votre question du coup...

L'animatrice sourit, devinant que cette première interview ne sera pas banale. Elle s'y attendait avec un producteur tel que Tonton Luc. Tandis qu'il dévore un Tuc, elle poursuit, imperturbable.

Daniela Richardson : Vous semblez particulièrement apprécier le cinéma "bis". Trouvez-vous qu'il soit assez représenté à Gérardmerveille ?

Tonton Luc : Pour moi le cinéma « bis » sera TOUJOURS sous-représenté ! J'apprécie bien évidemment tout particulièrement le travail de Gerard Cousin dans ce domaine. Je salue aussi des projets comme « la brigade des moeurs à Saint-Tropez » de la toute récente Vision International Production. Mais ce film, voyez-vous, est un bon exemple de la crise générale que nous traversons : il y a tout dans ce film : de l'humour des tétons et des culs nus ! Et encore une fois, comme souvent dans notre ville, ce film a été tué par son distributeur : accorder une sortie quasi-intimiste a ce film, c'est condamner toute une génération à devoir encore subir les retombées de la Nouvelle Vague franchouillarde et des films intellos. Et je ne dis pas ça parce que j'ai moi aussi embauché Lou Gibbs. J'ai mal pour nos enfants. Quel patrimoine culturel allons-nous leurs laisser ?
J'aimerais ajouter, que de manière général, question comédie, encore, on s'en sort. Mais ce que je retrouve moins dans cette ville, ce sont des gens qui osent le second degré, le décalage, dans des films à sujet « dit » plus sérieux. J'ai grandi en lisant, dans son grenier, des romans pulp que je volais à mon grand père ou en regardant Fathom, l'espionne parachutiste... Cet esprit d'aventure, de science-fiction dépaysant, transmis par ces livres et ces films JUSTEMENT parce qu'improbable m'a toujours ému. C'est aussi une des raisons pour lesquels très prochainement j'organiserai un festival pour rendre hommage au cinéma bis.

Daniela Richardson : On en reparlera par la suite. Mais Gérardmerveille, c'est aussi une presse, dans laquelle vous avez été très présent de manière générale dès votre arrivée sur la scène médiatique. Que pensez-vous de la presse cinéma à Gérardmerveille ?

Tonton Luc : Les médias, comment en dire du mal ? Vous savez, je les ai côtoyé dès mon plus jeune âge. On ne devient pas producteur par talent, mais par relations. Et moi, mon talent c'est d'avoir su me faire des relations ! Je ne suis pas réellement étonné d'être « people », je fais tout pour. Durant mes études, j'ai rencontré une bonne partie de ceux qui font la presse masculine d'aujourd'hui, et ai couché avec une bonne partie de celles qui font la presse féminine. Depuis je roule en Porsche, j'ai le culte du bikini, des piscines à bulles et des soirées où inviter les amis. Dans ces soirées, j'y retrouve bien évidemment tout une partie de ceux qui font notre presse. Ils ne me font pas peur. Côté ciné, je regrette bien sur certaines parutions un peu trop « intello » à mon goût... mais, n'est pas « Cahiers arrachés du cinéma » qui veut...Et puis il faut bien qu'il reste des magazine à lire pour les vieux !

L'animatrice sourit. A n'en point douter, cette interview fera parler d'elle. Fidèle à sa réputation, Tonton Luc n'avait pas sa langue dans sa poche.

Daniela Richardson : Désormais, grâce à l'aide financière que vous avez eut, et au succès de vos derniers films, Carpet Films semble en meilleure santé. Est-ce que cela va changer quelque chose pour vos projets à venir ?

Tonton Luc : Ne dites pas ça. Je viens de consulter Lynda, qui en plus de faire très bien les cafés gère aussi nos comptes. Nous avons bénéficié d'une aide financière d'un généreux donateur, certes, (et je le remercie encore une fois ce soir si il nous regarde), mais chez Carpet, nous ne nous conformons pas aux tendances. Nous ne faisons pas de films « parce que c'est ce que le public attend », mais parce qu'ils correspondent à notre politique, à nos envies ! Quand on voit les rentrées de Japanese Bombass Police, de Süper Dangerous, ou de El Gringo... Nous entrons tout juste dans nos frais avec ces films ! Et pourtant ils sont le fruit de beaucoup de travail et d'amour de la part de toute nos équipes. La production, c'est lutter chaque jour ! Faire des films d'action, de nos jours, c'est suicidaire... Et pourtant regardez les sondages! Depuis notre arrivée c'est un genre qui commence à remonter dans le coeur des spectateur. J'aime a penser que nous n'y sommes pas pour rien. Mais encore une fois, nous ne lâcherons rien !

Daniela Richardson : Pouvez-vous à ce propos nous parler de vos prochains films ? Quel objectif vous êtes-vous fixé pour la fin de l'année 2018 ?

Tonton Luc : Mon premier objectif, c'est de me mettre à la gym. J'ai promis à ma femme, et à tant d'autres, de retrouver le corps d'athlète de mes vingt ans. Vous verrez, réinvitez moi dans un mois et vous tomberez sous le charme. (rires) Plus sérieusement, nous avons un certain nombre de projets sur le grill. Il y aura bien évidemment les prochains épisodes du serial « Süper Dangerous », qui sortiront très prochainement, un film de SF dans la veine des « femelles de combat » dans lequel on retrouvera le « jeune », si l'on peut dire, Big Barracuda, mais aussi Brenda Levay, qui, non contente d'être Süper Dangerous, s'offre un second rôle dans l'espace. Chose nouvelle, nous ferons un passage par la comédie sentimentale. A côté de ça, nous enquêtons pour un projet de plus longue halène que nous espérons mener à bien : un documentaire pour lequel nous avons sollicité et solliciterons encore certains producteurs de GerardMerveille. Sur du très long terme j'aimerais aussi aboutir à une coproduction avec Gerard Cousin. En attendant nous sommes en contact, rien n'est fait, mais je crois beaucoup à la combinaison de nos deux esprits fous ! Dans un futur plus lointain, nous pensons aussi avec Misterdada à la suite de Septième Cercle, mais ça c'est pour 2019 ! Et bien d'autres choses encore dans nos tiroirs, et rapidement sur vos écrans, mais je vais m'arrêter là, ça me laisse de temps de vous inviter prendre un café ! … 'permettez que j'emporte les petits Tucs pour les tremper dedans ?

Daniela Richardsons : Eh bien si vous le voulez bien, nous allons profiter d'une courte page de publicité pour profiter de ces petits Tucs, et nous nous retrouvons juste après pour la suite de cette interview.

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[Loloestla]

J'ai promis à ma femme

[TonTon Luc]

J'ai promis à ma femme

Oui, certes, je suis marié, mais mon coeur ne rayonne que d'un seul feu qui cri à haute voix votre nom :
"Loloestla! Loloestla! Loloestla!"

Vous faite de ma vie une autre hisoire
Je divorcerais pour vous, je vendrais ma Porsche pourri pour vous.
Pour vous je pourrais même acheter une Xantia !
Vous êtes le soleil de ma résurrection.

[Loloestla]

J'ai promis à ma femme

Oui, certes, je suis marié, mais mon coeur ne rayonne que d'un seul feu qui cri à haute voix votre nom :
"Loloestla! Loloestla! Loloestla!"

Vous faite de ma vie une autre hisoire
Je divorcerais pour vous, je vendrais ma Porsche pourri pour vous.
Pour vous je pourrais même acheter une Xantia !
Vous êtes le soleil de ma résurrection.

[littlesim]

Bon, c'est pour quand le mariage ?

[TonTon Luc]

Bon, c'est pour quand le mariage ?

Ce n'est pas moi qui vais pouvoir te répondre... dans la vie, tu sais, c'est toujours les femmes qui choisissent...

[TG1]

Reprise de l'interview, après une page de Pub durant laquelle Tonton Luc a pu répondre aux différents mails reçus, notamment un mail de "plainte" dont nous ne parlerons pas, car il concerne la vie privée de Monsieur .

Daniela Richardson : Nous revoici avec Tonton Luc, pour cette première émission en prime time de TdinG de Ciné. Tonton Luc, vous avez abordé le sujet de « Süper Dangerous », un serial que vous avez créé. Ce genre de programme n'est pas très apprécié par certains producteurs, et on connait plus d'échecs que de réussite dans les projets de ce format à Gérardmerveille. N'était-ce pas un peu risqué, pour une jeune production comme la votre, de vous lancer dans un tel projet ?

Tonton Luc : Risqué ? Ca l'est ! Mais Brenda est une amie, quand elle ne tourne pas, elle sert parfois des cafés au Carpet Bar-Boîte... Ce n'est pas une comédienne hors paire, mais elle aime faire ça le week-end et ça l'occupe.
Elle avait du temps à perdre et moi une équipe de techniciens qui était justement au chômage "technique". On s'est dit qu'on pouvait occuper productivement (je n'ose pas dire « intelligemment ») notre temps, en faisant péter des trucs, en en profitant pour voir des filles court vêtues tout en ne dépensant pas trop d'argent, histoire de fournir un produit fast-food pour occuper notre jeunesse délinquante. En quelque sorte c'est plus une manière de faire du social que du cinéma ! Cela déplait à certains producteurs ? Oui j'ai déjà pu le remarquer... Tant pis... Nous ne sommes pas à un écart près...

Daniela Richardson : Revenons au festival dont vous avez parlé tout à l'heure. Parlez-nous plus en détail de celui que vous comptez organiser à Gérardmerveille. Quand doit-il avoir lieu, et comment celui-ci se déroulera-t-il ?

Tonton Luc : Le « TonTon Luc Mégalo Z FestiShow » est un projet qui me tient à coeur : j'aimerais entretenir le culte du cinéma bis. Le vieux Z tourné dans sa cave, au scénario idiot et inexistant : je veux que nos enfants puisse vivre dans un monde « fun ». C'est la crise, certes, mais alors qu'on traverse une crise financière mais aussi « des idées », on s'entête à faire du film d'« intellectuels » qui n'ont plus rien à dire, au contenu morne et insipide. La vrai solution c'est l'acception de cet état de fait : « une fille atomique qui court, l'arme à la main, en bikini va plus loin que deux vieilles qui réfléchissent, le cul posé autour d'une table ! » C'est pourquoi j'ai invité l'ensemble des producteurs de GerardMerveille à participer à un concours autour de ce cinéma bien particulier. Cela renforcera sa production pendant un temps, et peut-être, si je me prend à rêver, cela prendra aux jeux certains producteurs pour relancer la machine, en parallèle de leurs productions habituelles. Combien de studios Z, aptes à produire ce genre de contenus, sont, à l'heure actuelle, en sous production ? Ou en location ?... J'en sais quelque chose : je loue parfois les studios de GCP.... Plus qu'un concours, ce seront des horizons plus larges sur ce cinéma que je veux ouvrir aux spectacteurs : nous rediffuserons donc une partie des films qui ont fait l'Histoire-bis du cinéma de GerardMerveille. J'espère ainsi amener les nouvelles générations de producteurs vers un univers qu'ils ne connaissent peut-être pas, et ramener les plus anciennes dans le droit chemin !

Daniela Richardson : Avez-vous déjà des films sélectionnés pour ce festival ?

Tonton Luc : Le festival est encore « en structuration », nous réfléchissons au fond, comme à la forme. Vous en saurez plus dans un prochain communiqué, mais je préfère, en attendant, laisser tout les feux sur le concours "secret" de mon excellent ami Misterdada.... Petite exclu tout de même : contrairement à ce qu'il avait été annoncé, c'est peut-être le Carpet BB, maintenant qu'il est ouvert, qui servira à l'accueil de ce grand événement, ce sera un bon moyen de vendre des consommations et des petits Tucs ! Nous ne saurions organiser un tel événement sans cet excellent biscuit apéritif !

Daniela Richardson : Eh bien je vous remercie d'avoir répondu à mes questions.

Se tournant de nouveau vers la caméra et s'adressant au public, pendant que Tonton Luc disparait en emmenant avec lui les petits Tucs qui restaient sur la table, l'animatrice poursuit alors l'émission.

A présent, après avoir fait une petite retrospective des six derniers mois de l'année en matière de cinéma, jetons un oeil aux productions qui arrivent dans les salles, aux films les plus attendus, mais aussi aux projets annoncés pour la fin de l'année.

Suite de l'émission d'ici peu...

[TG1]

Comme à son habitude, Gérard Cousin Prod a déjà programmé de nombreux films pour les mois à venir, tandis que les autres productions, attendues habituellement en salles, tardent à annoncer leur calendrier de sorties. Mais on notera tout particulièrement le retour très prochainement en salles d'une société de production dont on n'avait plus entendu parler depuis un moment : Sergiot Production.
Voici donc, un tour d'horizon des films à venir dans nos salles, jusqu'à la fin de l'année 2018.

Les prochaines sorties

Cela faisait longtemps que PM Média n'avait pas produit de film d'action, mais les fans de leurs films de guerre pourront enfin se rassasier avec la sortie dès mercredi prochain de Black Hawk, un film à gros budget dans la plus pure traditions des films PM Média. On retrouve là la patte habituelle du studio, des scènes de combat grandioses, des explosions qui envahissent l'écran, et des scènes de bravoures comme les frères Pietrantonio aiment tant. Sans aucun doute un des plus grands succès de la semaine prochaine. La même semaine, Ember's Falt Production revient avec Arioz, un film fantastique du réalisateur Alan Caine que l'on ne présente plus. A n'en point douter un énorme succès à venir également, sans doute même le plus gros succès de la semaine. Et dès la semaine suivante, la même production nous proposera un nouveau film de la réalisatrice Loloestla, qui revient donc chez EFP avec une petite série Z dramatique. Etant donné le talent de la réalisatrice, on peut s'attendre à un film de haute tenue, accompagné de musiques d'Enya Kanno qu'on a redécouverte sur ses derniers films en grande forme.

La semaine suivante, GCP revient à l'action avec The Looters, un film d'action se déroulant durant la seconde guerre mondiale réalisé par Michael C. Hunter qui s'est déjà occupé pour le même studio du dernier St-James. Avec David Reyes, Mark Bancou et Hilary Bell à l'affiche, aucun doute qu'il s'agit là d'un des prochains cartons du box-office, qui réconciliera sans doute les spectateurs avec le cinéma d'action.

C'est la semaine suivante, le 6 octobre, que Sergiot Production fera son retour, avec une série Z dramatique intitulée Nadia et réalisée par Alain Provist. Nul doute que les fans de Sergiot Production seront au rendez-vous, eux qui attendaient avec impatience le retour de ce producteur étrangement absent depuis quelques années. Le film souffrira cependant de la concurrence d'Ulysse 31, l'adaptation originale de GCP avec Denny Baxter dans le rôle principal, à qui Gérard Cousin a accordé toute sa confiance, mais également Dia Fox, Alice Andrews, Manfred Ribic et Michel Couscous. Une adaptation cinématographique que les fans du manga attendent de pied ferme. Plus étrange cette fois, la sortie le 3 novembre de S.A.S : Unité Spéciale, un thriller de science-fiction produit par... Pictures Production. Alors que GCP a déjà produit deux adaptations de S.A.S., cette nouvelle version par un autre studio est attendue avec curiosité. Nul doute que la comparaison sera faite entre les films de GCP et ce nouveau film. Reste à savoir lequel les fans des romans préféreront.

C'est en Novembre également que Pictures Entertainment Production sortira dans les salles Seth : La Guerre Des Dieux, le nouveau film du réalisateur Nicolas Andrews. Ce film signe non seulement le retour de la production dans les salles, mais également de l'acteur Florent Hendrickx, qu'on n'avait plus revu depuis un an et demi à l'affiche d'un film.

Enfin, une nouvelle production nommée Hashiba Production a annoncé la sortie d'une série Z de guerre intitulée Battle For The Pacific pour le mois de décembre prochain. Peut-être un nouveau futur grand producteur qui démarre là sa carrière. C'est tout le mal qu'on lui souhaite en tout cas.

On peut donc dire que les spectateurs de Gérardmerveille auront encore beaucoup de choses à voir durant les six prochains mois, d'autant plus que l'on peut s'attendre à d'autres films, de MMP, PM Média, Morcar Prod, Quad9 et d'autres productions encore, qui seront programmés d'ici là.

Retour sur le plateau
Une actualité très remplie donc pour ces prochains mois, qui prouve que le cinéma de Gérardmerveille a encore beaucoup d'avenir devant lui. Notamment grâce à de nouveaux producteurs qui débutent. Certains font le choix de se lancer seuls, comme Hashiba Production qui débutera en fin d'année, mais d'autres préfèrent se lancer dans la co-production, comme l'a fait il y a quelques années Blakstad Films. C'est le cas de Patrick & Michael Wang, les célèbres frères Wang dont tout le monde connait aujourd'hui le nom.
Je reçois donc aujourd'hui Patrick Wang, qui a accepté de nous rejoindre sur ce plateau pour discuter de la nouvelle société qu'il a fondée avec son frère, de leurs projets en cours, et de leurs projets à venir. Voici donc tout de suite... Patrick Wang.

Suite de l'émission dans quelques temps...

[TG1]

L'interview : Patrick Wang

La musique de l'émission reprend, alors que Patrick Wang rejoint Daniella Richardson sur le plateau; qui lui sert chaleureusement la main, avant de rejoindre le siège qui a été installé pour lui, et face auquel l'animatrice s'assoit également. Daniela Richardson : Patrick Wang, bonsoir. Comme Tonton Luc qui vous a précédé, vous avez démarré votre production début 2018, bien qu'on vous connaissait déjà à Gérardmerveille. Quel est donc votre regard sur le cinéma de Gérardmerveille, notamment cette année ? Patrick Wang : Je continue sans cesse d'être émerveillé par les films que je découvre dans les salles de Gérardmerveille, et surtout par l'originalité apportée régulièrement par les nouvelles sociétés de production qui apparaissent. Chaque année, on découvre un nouveau producteur qui apporte une touche très personnelle au cinéma de la ville. Gérardmerveille a, je pense, les.

meilleurs producteurs qui soient, et attire donc sans arrêt des gens prêts à se défoncer pour réussir dans cette ville où le cinéma est de qualité. Cela pousse les nouveaux producteurs à se surpasser.
Et cette année n'échape pas à cette règle. Les "petits" producteurs découverts ces dernières années ne cessent de grandir, et de s'améliorer, et de nouveaux sont encore apparus. Il n'y a qu'à Gérardmerveille que l'on peut trouver ça, je pense.

Daniela Richardson : Vous avez fondé en fin d'année dernière votre propre société de production, bien que vous travaillez toujours avec une autre société. N'est-ce pas un peu contraignant ?

Patrick Wang : Non, au contraire. Les contraintes sont divisées par deux lorsqu'on produit un film à deux.

Daniela Richardson : Vous semblez vouloir promouvoir le cinéma asiatique et le cinéma de science-fiction, à la vue de vos premières productions. N'avez-vous pas peur qu'on vous reproche de trop rester dans les mêmes domaines ?

Patrick Wang : Non, car nous cherchons malgré tout à produire des films d'autres genres, comme des comédies sentimentales que nous devrions prochainement produire, alors que c'est un genre dans lequel nous ne sommes pas du tout expérimenté. Mais il est vrai que pour lancer notre société, nous nous sommes reposés sur des valeurs sûres.

Daniela Richardson : On aurait pu croire que Mardi Gras était une valeure sûre, et pourtant ça a plutôt été un échec qu'une réussite. Pour une première production, ça a du être difficile à gérer, non ?

Patrick Wang : Je ne vous le fait pas dire. Les fans de la franchise nous ont sacrément reproché cet échec, et nous avons su, je pense, en tirer des leçons. Mais pour être franc, personne n'a été vraiment à l'aise sur ce projet, et avec du recul, moi et mon frère regrettons d'avoir accepté ce projet. Larry a eut quelques difficultés à écrire ce scénario dont l'idée n'était pas de lui, et Kat n'était pas très à l'aise non plus.
Nous nous reprochons beaucoup de les avoir impliqué là dedans, car il s'agissait pour eux de leur premier film, et ça a surtout été dur pour eux, car ils ont craint pour la suite de leur carrière.

Daniela Richardson : Kat Hana nous a prouvé depuis qu'il était un très bon réalisateur, et on en parle aujourd'hui comme le digne successeur des frères Wang. Qu'en pensez-vous ?

Patrick Wang : Michael et moi avons toujours eut confiance en lui, et nous savions que ce premier film n'était qu'un accident. Il nous a fallu cependant négocier sérieusement pour convaincre Jenny Molchany de le laisser diriger Vertiges. Mais il a su nous prouver que nous avions raison, et les autres films qu'il a réalisés depuis, mais qui ne sont pas encore sortis dans les salles, le prouvent encore.

Daniela Richardson : Pourtant aujourd'hui, alors que Kat Hana était annoncé depuis le début à la réalisation d'Invisible War, votre tout premier projet en matière de production, vous avez depuis annoncé que vous vous occuperiez vous-même du film.

Patrick Wang : Ce n'est en aucun cas par manque de confiance en Kat que nous avons récupéré ce projet, mais parce que nous avons voulu finalement l'écrire nous-même, puis en écrivant le scénario, nous avons également eut envie de le réaliser. Il s'agit de la suite de l'un des films que nous avons déjà écrit et réalisé, et finalement, nous préférons donc nous en charger nous-même.

Daniela Richardson : Parlez-nous plus en détail de ce film, dont l'affiche apparait à présent à l'écran. Vous dites qu'il s'agit de la suite d'une de vos réalisations ? Patrick Wang : En effet, Invisible War est la suite de Deus Ex. Il se déroule vingt ans après le précédent film, et on y découvre le monde tel qu'il est suite aux évènements de la fin de Deus Ex. Le personnage principal est un nouveau personnage, mais son histoire sera malgré tout lié à celle du héros du premier film. Depuis le début, nous voulions Bjorn Ferris pour incarner le rôle principal du film, mais il a été difficile de trouver un créneau dans son emploi du temps très chargé. Nous sommes vraiment content d'avoir pu réussir à trouver une date pour tourner ce film avec lui. Depuis, nous avions tourné d'autant plus La Prophétie de l'Enfant avec lui pour GCP, et le tournage s'était déroulé à merveilles. Daniela Richardson : Kat Hana a du être déçu de se voir écarter du projet, non ?

Patrick Wang : Nous lui avons tranquillement expliqué la raison de notre décision, et il l'a accepté sans problème. Afin qu'il ne soit pas trop déçu, on lui a cependant confié la réalisation d'un autre film de science-fiction/action, mettant en scène une héroïne dans un hong-kong futuriste assez sombre. Une sorte de mélange de "New-York 1997" et "Pitch Black", intitulé "The dark messiah".

Daniela Richardson : On dit aussi que vous allez écrire un nouveau film pour Simon Tang.

Patrick Wang : En effet. Michael et moi avons voulu écrire un nouveau film d'action, dans l'esprit de notre saga Holsters et de nos autres scénarios du genre, avec lesquels nous avons débuté à Gérardmerveille. Simon devrait se charger de la réalisation de ce film, mais pour le moment tout ça n'est encore qu'à l'état de projet.

Daniela Richardson : Apparemment, WB Entertainment est en pleine effervescence, et les projets sont nombreux.L'animatrice se tourne alors vers la caméra.On continue d'en parler, après une courte page de publicité

Pub

[Morcar]

Devant sa télévision, Nikolas Morcar suivait avec intérêt TdinG de Ciné, et surtout cet interview des frères Wang, fier de voir où en étaient arrivés ceux qu'il avait lancé il n'y avait pas si longtemps que ça. Près de lui, Esther Prescott, le ventre rond, somnolait sur le canapé. Tandis qu'une nouvelle publicité pour les Tucs de 4Bury était diffusé, il en profita pour aller se chercher quelque chose à boire avant que l'émission reprenne. Il ne voulait pas en manquer une miette.