Le Ciné-Salle 2014 : Les films vus dans les cinémas

[Erbaf]

On ne la voit pas souvent non ...

Ça va alors.
Comme ça, elle n'est pas trop ridicule.

[La Grande Divine]

Jamais entendu parler de ces grognasses hollywoodiennes

[Erbaf]

Jamais entendu parler de ces grognasses hollywoodiennes

L'une est mannequin et fait pas de cinéma et l'autre connaît pas.

[La Grande Divine]

Jamais entendu parler de ces grognasses hollywoodiennes

L'une est mannequin et fait pas de cinéma et l'autre connaît pas.

Vivien, pour 22 JS, je vous attends sur le topic habituel auquel vous semblez deserter. J'ai mis ce film sur ma liste.

Pas fait de critiques depuis Boyhood, j'ai vu trop de films depuis !
Mais je parlerai de 22 JS et Hercule (que j'ai vu aujourd'hui) dans quelques jours puis que je vais voir Enemy / Sils Maria / Budori / The Salvation / Les Combattants / Nos étoiles contraires / Expendables 3 / ... dans les prochains jours.

Ben justement faut nous en parler plutôt que de s'attarder sur les photos de cul des Hollywoodians naked sausages. Meme si sur SALVATION c'est fait et rhabiller et pis le 3 petits points non, je veux les titres

ENEMY qui l'a vu ? Les retours dessus ne sont pas bons de mon coté. Qui confirme ? infirme ? Pas très envie de me faire enfler une fois de plus. PARTY GIRL m'a suffit pour le mois. A moins que ENEMY soit un film difficile d'accès ? VIsiblement celui-ci a été fait avant PRISONERS...Généralement ce n'est pas très bon signe que de sortir un film tourné avant le précédent succès sorti récemment, et filmé après le succès d'avant. Heu, z'avez compris ? En gors ENEMY a été fait après INCENDIES et avant PRISONERS. En gros ça fait sortie de derriere les fagots...

[Vivien Guards]

J'ai vu Enemy et j'ai adoré, mais c'est pas un film facile d'accès effectivement...
Vous m'excuserez de copier/coller ma critique :


Denis Villeneuve n'est pas un cinéaste comme les autres : lorsqu'il réalise un polar labyrinthique, il privilégie le fond à la forme, et lorsqu'il sort un thriller allégorique, il fait l'inverse. Sur Enemy, il travaille avec Jake Gyllenhaal pour la deuxième fois d'affilée - et pour la deuxième fois d'affilée, il sait l'utiliser, le castant pour un rôle qui n'est pas sans rappeler celui que l'acteur interprétait déjà dans Donnie Darko.

Denis Villeneuve n’est pas un cinéaste comme les autres : architecte malin, construisant ses films selon des plans que lui seul semble comprendre complètement. Enemy est une œuvre que l’on pourrait pourtant déconstruire en trois films. Une première couche, très fine, celle d’un récit paranoïaque, oppressant et merveilleusement mis en scène, sorte de relecture contemporaine du concept de doppelgänger. Un deuxième niveau, souvent lourd, didactique, celui d’une métaphore casse-gueule sur la vie de couple et le refoulement castrateur des hommes mariés. Et enfin une troisième œuvre, presque fantôme, et paradoxalement similaire à la première, où le réalisateur semble regarder son public avec un rictus moqueur, l’air de dire : « La première fois, c’est une tragédie. La deuxième, c’est une farce. » On sent souvent que Villeneuve n’est pas totalement sérieux dans sa démarche, il y a comme une ironie palpable dans chacune des scènes, des répliques de Enemy – la symbolique de l’araignée, l’ouverture, le plan final vont dans ce sens. A démarche amusée, film amusant ? Non, Enemy est un drame sans fin, un schéma mental qui semble se répéter, encore et encore. En tout cas la première fois. Car la deuxième, ce n’est plus le même film. Le tragique se teinte de burlesque, les enjeux deviennent ridicules – on l’a déjà vu, non ? – et soudain tout ce qui faisait l’intensité du film de Villeneuve ressemble à une bonne blague.
C’est ce qui en fait sa force, son intelligence, son unicité. Chacun des aspects bien différents de Enemy est maîtrisé à la perfection, Villeneuve s’amuse, se réinvente à chaque plan, à chaque point de vue et à chaque visionnage. Ce nouveau film est tout sauf une démarche frontale, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise interprétation – il y a seulement plusieurs manières de le percevoir. C’est un film qui fait parler, qui divise. Est-ce que l’accueil qu’allait subir son film était dans les papiers de Villeneuve ? Probablement pas, mais quoi qu’il en soit, cela appuie fortement sa tenue : oui, Enemy est un film sur une dualité intérieure – mais celle-ci existe en double. La dualité du personnage de Gyllenhaal, et la dualité de l’œuvre en elle-même, s’opposant en même temps comme un thriller et comme une histoire drôle, sorte de contradiction improbable mais pourtant bien présente.

C’est cette même contradiction qui parsemait déjà la vision troublée de la justice que proposait Prisoners, qui ne peut pas être pour autant mis en parallèle avec Enemy. Film sur la réplique, sur la répétition, sur le cycle infernal bipolaire de chaque événement, chaque personnage, chaque œuvre. Tout semble revenir deux fois, les plans, les répliques, les scènes. En apparence, Enemy se vend comme un décryptage pessimiste de l’appétit sexuel de l’homme, il est en réalité un exercice de style brillant sur notre acte de perception, conscient et inconscient. Ou comment ériger l’itération au rang d’Art.

[Morcar]

Faire un film d'horreur se déroulant dans les catacombes de la ville lumière c'était vraiment une bonne idée, d'autant plus qu'au départ on se trouverait avec un sorte d'aventurière chercheuse de reliques ancestraux ! Ca me plaisait bien, la partie "chasse à la relique" me plaisait également bien. Mais on a affaire à un film d'horreur ici ! Et de ce côté là c'est assez médiocre !

Présenté comme ça, ça me rappelle un peu le film "Brocéliande", qui partait sur un pitch intéressant mais s'avérait être finalement très mauvais.

Franchement, vous ne trouvez pas que pas mal d'affiches sont beaucoup mieux réalisées sur GM que celle-là ?

Celle là en particulier manque en effet de recherche. On prend en photo l'acteur et on colle des textes...

On la voit souvent à Barbara Palvin ?

Erby, toujours à la recherche de films dans lesquels on voit beaucoup les actrices.

ENEMY qui l'a vu ? Les retours dessus ne sont pas bons de mon coté. Qui confirme ? infirme ? Pas très envie de me faire enfler une fois de plus. PARTY GIRL m'a suffit pour le mois. A moins que ENEMY soit un film difficile d'accès ? VIsiblement celui-ci a été fait avant PRISONERS...Généralement ce n'est pas très bon signe que de sortir un film tourné avant le précédent succès sorti récemment, et filmé après le succès d'avant. Heu, z'avez compris ? En gors ENEMY a été fait après INCENDIES et avant PRISONERS. En gros ça fait sortie de derriere les fagots...

Le fameux pote qui l'a vu avant même sa sortie en salle m'a dit que c'était très bien.
Tu es certaine qu'il a été filmé avant "Prisoners" ? Ecrit avant, peut-être, mais il me semble qu'à l'époque de la sortie de "Prisoners" ils avaient parlé du fait que Jake Gyllenmachin allaient REjouer pour Denis Villeneuve. Donc ça a du être tourné après.

[Gérard Cousin]

Présenté comme ça, ça me rappelle un peu le film "Brocéliande", qui partait sur un pitch intéressant mais s'avérait être finalement très mauvais.

Très mauvais mais tellement marrant au final!

[PITBULL]

Après avoir vu "Catacombes", j'avais hâte que celui-ci sorte. Je me disais qu'avec Eric Bana et Scott Derrickson, a qui l'on doit "L'Exorcisme d'Emily Rose" et "Sinister", ça se passerait mieux et on aurait le droit à un bon film du genre.
Je ne me suis pas trompé et ça encore été mieux que je ne le pensais.
Le personnage de Eric Bana est vraiment plaisant, ce flic usé par les choses qu'il voit en permanence (bébés morts, femme battue etc...) qu'il ne croit plus en rien et semble rongé par la noirceur. Distant de sa famille avec un fardeau qui le hante depuis pas mal d'années.
Le duo qu'il forme avec Edgar Ramirez est intéressant, un flic bouffé par la noirceur et qui ne croit plus réellement en Dieu qui fait équipe avec un prêtre dont la foi a bien failli quitté. Ce personnage est également plaisant, un duo assez sombre qui met en valeur l'ambiance du film.
Le film veut également dire que le mal est partout mais sous différentes formes. C'est vraiment pas mal et se laisse regardé sans soucis. Mélange entre Polar et Horreur, "Délivres-nous du mal" est un film à l'ambiance poisseuse avec deux personnages principaux vraiment intéressants, Scott Derrickson confirme qu'il sait y faire avec ce genre de films en nous proposant une mise en scène dynamique et maitrisée !
Je dois dire que ce film sera très certainement à moi lorsqu'il sortira en DVD, tant l'ambiance qui s'y dégage m'a plu. Ca peut paraître assez classique dans le fond, mais ça marche vraiment.

3.5/5[/quote]

[Erbaf]

Ce film ne dépasse pas les 2/5 pour ma part.
Je me suis emmerdé devant tellement c'est nul.

[PITBULL]

Chaque film intéressera une personne plus qu'une autre.
Et inversement.
Ce que tu trouve nul, ne l'est pas pour d'autres. J'ai adoré ce film, l'ambiance et l'histoire.

[Morcar]

Pit' et moi avons des goûts assez similaires généralement, si bien qu'il m'a bien donné envie d'aller le voir, celui-là.
J'ai encore un ticket Cinéville à utiliser avant Décembre, je vais peut-être aller prochainement voir celui-là.

[La Grande Divine]

Ce film ne dépasse pas les 2/5 pour ma part.
Je me suis emmerdé devant tellement c'est nul.

Parfois je ne comprends pas les notations par rapport aux commentaires. Un "tellement nul" je ne mets pas 2/5 mais 0/5. Nul dit bien ce qu'il veut dire. Nul c'est, nul, donc 0 2/5 correspond davantage à un film moyen dont en tant que spectateurs on peut avoir une attente qui s'avère un peu decevante à l'arrivée.

Vous l'avez vu salles le film Erbaf ? ou vous l'avez vu "à la maison". Un ptit doute comme ça.

J'ai encore un ticket Cinéville à utiliser avant Décembre,

Renseigner vous au cinéma, y'a une carte d'abonnement "Le cinema en famille" 7 places valable 3 mois. Tant que les enfants ont de moins de 14 ans, ça ne vaut pas la peine sauf pour vous et madame si vous pouvez vous y rendre regulierement.

[Erbaf]

Je l'ai vu hier soir à Labege à la séance de 22h20 ou 30.
Je ne vole pas, moi, madame.

[La Grande Divine]

Je l'ai vu hier soir à Labege à la séance de 22h20 ou 30.
Je ne vole pas, moi, madame.

et ça me fait plaisir? Vi Mossieur. Ca fait tard la fin du film J'ai arreter d'aller à ces seances tardives.
Y'a que des VF la -bas. La salle IMAX ça tape ?
... Z'allez à L'UGC à Toulouse ou pas ?

[Erbaf]

Gaumont Labege et Wilson, Veo Muret, l'UGC de Toulouse, Méga CGR de Blagnac.
Voilà tous mes cinés. Il y en a un autre à Plaisance du Touch mais il est petit.

Le film a fini vers 1h30 du matin.