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Morcar Prod présente
Mexican Outlaws

Un soleil de plomb s'abattait sur la petite ville texane de Mirando City, non loin de la frontière mexicaine, ce qui ne dérangeait pas particulièrement la population locale habituée à ces fortes châleurs. Chevauchant la vieille Panhead qu'il retappait à mesure qu'il économisait de quoi s'acheter les pièces pour le faire, James Anderson (Jake Hopkins) traversait la campagne aride en direction de la bourgade pour se rendre à la quincaillerie où il devait faire quelques achats. A sa sortie de prison quatre ans plus tôt, le motard avait fait l'acquisition d'une maison dans ce coin reculé non loin de la ville de Laredo, et vivait depuis en effectuant des petits boulots ici et là. D'un naturel solitaire, il menait sa vie à l'écart de la ville sans ennuyer personne.  

Mirando City ne comptait que quelques centaines d'habitants, mais James trouvait toujours quelqu'un qui avait besoin de faire réparer une fuite d'eau, retaper une toiture ou encore repeindre une façade. Cela faisait trois ans déjà qu'il était installé là, et beaucoup appréciaient l'aide qu'il pouvait leur apporter. Peu curieux, personne ne s'interrogeait sur qui il était ou bien d'où il venait. Il était arrivé là un jour, avait racheté cette vieille maison en piteux état, et s'était installé sans se faire remarquer.  

Saluant le quincailler, et connaissant parfaitement le magasin, James se dirigea droit vers le rayon qui l'intéressait, lorsqu'il croisa la jeune Francesca et son petit frère. Tous les deux vivaient non loin de chez lui, dans une maison qui n'était pas en meilleur état que la sienne. James lui avait plusieurs fois rendu service, sans rien lui demander car la pauvre jeune femme avait peu de moyens. Francesca (Esperanza Morales) lui avait expliqué avoir quitté le Mexique avec son petit frère après la mort de leur parents. Il était encore très jeune, et n'avait lui-même aucun souvenir d'eux. James n'osait pas se l'avouer, mais il s'était pris d'affection pour la jeune femme car elle lui rappelait sa propre soeur.  

 

Patientant avec tous les autres visiteurs venus au parloir, Sara essayait de calmer le bébé qu'elle portait dans les bras. Cette fois-ci, elle espérait que son frère allait accepter de la rencontrer, que son dernier courrier l'avait convaincu de ne pas s'entêter à se tenir éloigné d'eux comme il disait préférer faire. Elle avait tout juste dix-huit ans, et elle savait qu'elle parviendrait à s'occuper seule de cet enfant. Mais elle avait besoin du soutien de son frère, et ce bébé avait besoin de l'unique parent qu'il lui restait.  

Lorsque James avait été arrêté pour avoir mené cette vendetta contre les criminels qui s'en étaient pris à sa fiancée enceinte, Sara lui avait promis de s'occuper du bébé. Malgré tous leurs efforts, les médecins avaient pu sauver l'enfant, qui avait survécu plusieurs semaines dans une couveuse, mais n'avaient rien pu faire pour Anna. Prématuré, l'enfant démarrait sa vie sans certitude qu'elle dure longtemps, mais il avait tenu bon. Incarcéré, James n'avait même pas pu le voir, et avait refusé depuis de le faire.  

Dans un courrier adressé à sa soeur, il disait préférer ne pas voir cette vie qu'on lui avait volée. En tuant sa fiancée, ces criminels avaient détruit tout ce qu'il avait construit, lui qui avait déjà souffert très jeune à la mort de ses propres parents. Sara avait tenté de le convaincre d'accepter de voir son enfant. C'était déjà la sixième fois qu'elle faisait le déplacement jusqu'au pénitentier pour voir son frère. Elle espérait que cette fois il aurait changé d'avis. Mais lorsque les visiteurs furent invités à avancer vers le box qui leur était attribué, celui qu'on lui indiqua fut encore désespérément vide.  

 

Debout dans la cour de la prison, James Anderson observait à travers le grillage la silhouette de Sara qui se dirigeait vers le bus qui la ramènerait chez elle. Par dessus son épaule, il aperçut la petite tête de l'enfant qu'elle portait, son enfant. Une fois de plus, il n'avait pas eu le courage d'affronter les yeux de ce bambin qui pourtant n'avait aucune idée de ce qui se passait.  

A son incarcération, il avait longuement réfléchi à la situation. Pour avoir tué froidement ces criminels sans autre forme de procès, il savait qu'il allait passer de nombreuses années en prison, et il refusait que son enfant passe toutes ces années à venir lui rendre visite au pénitentier. Mieux vallait se tenir à distance de lui, le laisser grandir comme un enfant normal, loin de ce monde qui allait être celui de son père. Bien sûr, cela allait être difficile, mais il avait toute confiance en sa soeur cadette pour s'occuper de lui.  

Lui même avait élevé Sara lorsque leurs parents étaient morts, et qu'elle n'avait encore que cinq ans et lui dix-huit. Il savait que ça n'allait pas être facile pour elle, mais était convaincu que le mieux qu'il pouvait faire pour elle était aujourd'hui de disparaitre de leur vie. Non seulement il continuerait de refuser ses visites, jusqu'à ce qu'elle abandonne, mais il était désormais résolu également à ne plus répondre à ses courriers.  

Il lui avait dit tout ce qu'il avait à lui dire. A présent, la seule chose qu'il lui restait à faire était de totalement disparaître.  

 

"Bonjour Monsieur Anderson !" James fut tiré de sa rêverie par la jeune Diego (Ricardo Muños), qui continua son chemin en direction de la caisse, suivie de sa soeur. Celle-ci passa silencieusement près de son voisin en lui adressant seulement un sourire. Observant la jeune femme qu'il voyait s'occuper de son jeune frère malgré la difficulté depuis aussi longtemps qu'il les connaissait, il eut une pensée pour sa soeur qui, il en était certain, s'occupait sans doute aussi bien de son enfant.  

Deux hommes entrèrent alors dans la boutique, tandis que Francesca cherchait de quoi payer. N'ayant pas assez d'argent sur elle, elle s'excusa auprès du commerçant et lui demanda si elle pouvait passer payer plus tard, tandis que les deux clients s'approchaient en ricanant. Gêné, le quincailler qui savait dans quelle situation financière était la jeune femme, lui expliqua qu'il pouvait lui mettre de côté le produit qu'elle était venue acheter, pour qu'elle passe le chercher plus tard lorsqu'elle aurait de quoi payer, mais Francesca disait en avoir besoin tout de suite.  

Les deux hommes se postèrent alors de part et d'autre de la jeune femme, lui proposant de régler la facture pour elle si elle acceptait de se montrer gentille envers eux en retour. Tournant le regard vers Diego, l'un d'eux lui déclara que s'il le voulait, il pouvait travailler pour eux et gagner bien assez pour s'acheter tout ce qu'il voulait dans le magasin. Leur patron avait toujours du travail à proposer aux jeunes garçons comme lui. Refusant poliment leur proposition, Francesca voulut s'écarter avec son petit frère pour quitter le magasin, mais l'un des deux hommes l'attrappa par le bras sans lui laisser la possibilité de s'enfuire.  

 

Voyant la situation qui allait dégénérer, James Anderson s'avança dans l'allée du magasin qui menait droit à la caisse, fixant silencieusement les deux hommes du regard. Se voyant ainsi observé, l'un des deux s'adressa à lui pour lui demander ce qu'il leur voulait. Derrière la caisse, le commerçant n'en menait pas large, craignant avant tout de voir sa boutique sacagée si ces clients en venaient aux mains.  

Prenant sur lui, James Anderson resta silencieux, espérant que les deux hommes allaient préférer éviter les soucis et s'éclipser sans rien dire. Mais a priori, ni l'un ni l'autre ne semblait vouloir se laisser impressionner. Abandonnant la jeune femme qui en profita pour fuire à l'extérieur avec son fils, il s'approchèrent du malheureux qui semblait oser vouloir les défier, prêts à en découdre. Toujours silencieux, James resta immobile, se contentant de les fixer durement sans baisser le regard.  

Ils allaient arriver à sa hauteur lorsque le shérif du village poussa la porte, faisant retentir la cloche du magasin. Interrogeant le commerçant, il demanda si tout allait bien. Tournant son regard vers les trois hommes, celui-ci attendit un instant avant de répondre. Son regard croisa celui de James, toujours aussi silencieux. Ce fut l'un des deux autres clients qui répondit d'un air détendu, comme si rien ne s'était passé. "Tout va bien ici, shérif. Pas vrai, Monsieur ?" Le quincailler voyant l'homme tourner les yeux vers lui en attendant une confirmation de sa part, il répondit par l'affirmative, espérant que cela allait désamorcer la situation.  

James avança alors vers la caisse avec ce qu'il était venu chercher. Un silence de plomb régnait dans la boutique. Tandis qu'il réglait ses achats, les deux hommes se dirigèrent vers la sortie, sous le regard soutenu du shérif.  

Une fois que ceux-ci furent partis, il s'approcha de James pour l'avertir qu'il ne souhaitait pas de problème dans sa ville. Pestant intérieurement contre cet homme de loi qui restait sans rien faire face à ces criminels, James emporta avec lui ses achats en assurant qu'on pouvait compter sur lui pour ça.  

 

Tout le monde à Mirando City connaissait ces hommes, des criminels au service de trafiquants mexicains, qui traversaient la frontière régulièrement pour venir ennuyer les habitants de la région. Lorsqu'il fut dehors, James les repéra à une table du bar qui faisait face à la quincaillerie. La voiture de Francesca passa entre eux sur la route qui les séparaient. En arrivant à la hauteur de son voisin, elle le remercia du regard à travers la vitre de la portière, mais James pouvait encore y lire de l'effroi.  

Tandis que la voiture s'éloignait, le shérif disparut lui aussi au volant de la sienne. Tandis que le motard glissait ses achats dans les sacoches de sa Panhead, les deux hommes se levèrent et marchèrent jusqu'à lui. Le shérif étant à présent éloignés, ils avaient bien l'intention de reprendre leur conversation là où elle avait été laissée dans la boutique. Devant les villageois effrayés qui préféraient rester en dehors de tout ça, ils bousculèrent Anderson pour chercher à le pousser à bout. Celui-ci pris une fois de plus sur lui et resta sans réagir. L'un des deux hommes donna alors un coup de pied dans la moto pour la pousser à terre, espérant que cette fois le solitaire aller sortir de ses gonds.  

Il leva alors un regard empli de haine sur eux, bouillant intérieurement. Mais encore une fois, il repensa à ce qu'il avait à perdre. Depuis sa sortie de prison, il menait ici une vie tranquille, sans problème et sans en causer à personnne, et il voulait que ça reste ainsi. Or il s'avait qu'en s'en prenant à ces hommes, il risquait non seulement de se mettre à dos tous les criminels avec qui ils œuvraient, mais il risquait également d'apporter des problèmes à tous les habitants de Mirando City.  

Mais malgré toute sa bonne volonté, sa patience avait des limites. Il était sur le point de craquer et de libérer toute sa rage contre ces deux pauvres types lorsque le téléphone portable de l'un d'eux sonna. L'appel fut bref, et le criminel ordonna alors à son collègue de le suivre sans attendre. Disparaissant sans perdre de temps, les deux hommes abandonnèrent derrière eux le motard, qui resta un moment les poings serrés avant de retrouver son calme.  

Après avoir relevé sa moto, il grimpa sur celle-ci, démarra le moteur et repartit en direction de chez lui.  

 

De l'autre côté de la frontière, à Nuevo Laredo, deux fourgons d'hommes armés traversèrent en trombe les rues en direction d'une habitation. Ayant découvert au terme d'une minutieuse enquête où se trouverait la planque de Ricardo Estrada, Salma Gonzalès (Mariana Rojas) espérait cette fois arriver à temps pour le coincer avant qu'il n'ait eu le temps de faire évacuer son matériel. Voilà plus de trois ans qu'elle oeuvrait sans relâche pour tenter d'affaiblir Estrada, l'un des principaux trafiquants de drogue de la région, mais sans succès jusqu'à présent. Celui-ci semblait avoir toujours un coup d'avance sur elle.  

Soupçonnant qu'il y ait des fuites au sein même de la police mexicaine, Salma Gonzalès avait cette fois gardé pour elle le plus longtemps possible ses investigations, ne révélant les preuves qu'elle avait réunies qu'au tout dernier moment à son supérieur pour obtenir l'autorisation de faire une descente avec une équipe. Dès qu'elle avait obtenu celle-ci, elle n'avait pas perdu un instant pour réunir les meilleurs hommes et foncer sur place avant que l'information ne fuite. Dès qu'ils arrivèrent sur place, ils encerclèrent la maison pour ne laisser aucune chance de fuite à ses occupants.  

Avançant jusqu'à la porte, elle frappa pour qu'on lui ouvre. Une femme vint alors se présenter, tenant un enfant d'à peine plus d'un an dans les bras. Sans lui laisser le temps de réagir, Gonzalès entra en lui montrant les papiers qui l'autorisaient à fouiller les lieux. Trépignant à l'idée d'enfin parvenir à porter un coup violent à ce criminel qui gangrénait toute la région sans que la police ne parvienne jamais à l'inculper pour le moindre délit, elle dut rapidement se rendre à l'évidence : il n'y avait rien ici. Bien que convaincue qu'il étaient encore arrivés trop tard, elle ordonna à ses hommes de tout fouiller de fond en comble.  

Tandis que ses hommes se mettaient à l'oeuvre, Salma sortit à l'extérieur tout en contenant sa rage. Encore une fois, Estrada avait été informé et avait fait évacuer les lieux. Tandis qu'elle se tenait debout dans le jardin, un quatre-quatre noir passa devant elle sur la route en roulant doucement. A son bord, plusieurs hommes regardaient dans sa direction en affichant un sourire moqueur. Parmi eux, les deux hommes qui avaient déguerpi en vitesse de Mirando City. Gonzalès connaissait au moins l'un d'entre eux, celui qui se tenait sur le siège passager : Juan Alvarez (Youness Jarred). C'était l'un des principaux lieutenant de celui qu'elle essayait de faire tomber. Il avait le toupet encore une fois de venir sous son nez se moquer ouvertement d'elle. Se sentant une fois de plus impuissante, la flic se demanda encore une fois si son combat n'était pas inutile, si elle ne s'épuisait pas pour rien.  

Bien des fois elle avait du contenir son envie de foncer chez ces types pour les abattre sans autre forme de procès. Après tout, c'est tout ce qu'ils méritaient, eux qui n'hésitaient pas à tirer en pleine rue sans se soucier des victimes innocentes qui se trouvaient entre eux et leurs concurrents qu'ils venaient abattre. La seule justice qu'ils connaissaient était celle des armes. Mais Gonzalès continuait de croire qu'un jour ou l'autre elle parviendrait à les arrêter, à mettre fin à leur trafic, sans avoir recours à la violence.  

 

Plusieurs jours étaient passés depuis l'alercation qui avait eu lieu à la quincaillerie. James nettoyait sa moto lorsqu'il aperçut une silhouette qui courait dans la direction de sa maison. Lorsqu'elle fut assez prêt, il reconnut Francesca et s'aperçut que ses vêtements étaient déchirés. Hâtant le pas, il fonça vers elle pour lui demander ce qui se passait et s'aperçut que son visage était couvert de larmes.  

Lorsqu'elle arriva à sa hauteur, la jeune femme s'écroula dans ses bras en sanglots. Tentant de la calmer, James lui demanda ce qui lui était arrivé. Elle mit quelques instants à retrouver son souffle. Voyant dans quel état elle était, le motard eut peur de comprendre ce qui lui était arrivé. Son chemiser avait été déchiré, tout comme la jupe qu'elle portait et qui pendait en partie sur le côté. Pourtant ce qu'on lui avait fait ne semblait pas être ce qui l'inquiétait le plus. Entre deux sanglots, elle parvint à expliquer à James qu'on avait emmené son fils.  

Son fils ! Diego n'était donc pas son petit frère comme elle le prétendait, mais son fils. Mais peu importait. Anderson lui demanda qui s'en était pris à elle et à Diego. La réponse qu'elle lui donna était ce qu'il redoutait. Les deux hommes de l'autre jour étaient revenus. Après avoir défoncé sa porte, ils l'avaient attrapée et avaient abusé d'elle sous le regard de son fils qui pleurait et hurlait. Puis ils l'avaient abandonnée là, en emmenant Diego avec eux, crachant sur elle que personne n'avait le droit de refuser ce qu'ils exigeaient.  

 

Assis sur le bitume près du taxi accidenté, James tenait Anna inconsciente dans ses bras, tandis que les sirènes des pompiers résonnaient au loin. On avait osé s'en prendre à la femme qu'il aimait, celle qui portait son enfant. Cette fois, il ne parvenait plus à contenir cette rage qu'il avait en lui. Serrant les poings, serrant sa bien aimée contre lui, il libéra un cri de rage qu'il ne pouvait plus retenir.  

Près de lui, sa soeur se sentait impuissante, mais tentait tant qu'elle pouvait de consoler celui qui l'avait élevée comme un père. Jamais elle ne l'avait vu dans un tel état. En croisant son regard, James crut lire de la peur dans le regard de Sara. Elle redoutait ce qu'il allait faire, comme si elle savait depuis toujours de quoi il était capable.  

Lorsque les pompiers arrivèrent à sa hauteur, ils demandèrent à James de les laisser prendre en charge Anna. Ne voulant d'abord pas la lâcher, comme s'il craignait de la perdre définitivement, il finit par céder et laissa les secouristes prendre soin d'elle. Impuissant, il les regarda faire tout en essayant de calmer la colère qui bouillait en lui.  

 

James fit entrer Francesca dans sa maison, et alla chercher de quoi la couvrir. Après ça, il lui proposa de l'accompagner en ville voir un médecin. Mais pour ça, elle allait devoir monter avec lui sur sa moto. Avant de partir, il retourna à l'intérieur chercher des armes qu'il chargea dans les sacoches de sa moto.  

Lorsqu'ils arrivèrent en ville, de nombreux regards se tournèrent vers eux. Tous s'interrogeaient sur ce qui était arrivé à la jeune femme. James roula jusqu'au cabinet du médecin et accompagna Francesca à l'intérieur. Après avoir demandé à ce qu'on prenne soin d'elle, il ressortit sans perdre de temps et enfourcha de nouveau sa Panhead. Prévenu de la situation, le shérif arriva sur les lieux tandis que rugissait le moteur du deux-roues. Avant qu'il ait eut le temps de venir à sa hauteur pour interroger le motard sur la situation, celui-ci avait déjà lancé son véhicule.  

Observant le solitaire qui s'éloignait en direction du sud, le shérif s'interrogea sur ce que celui-ci comptait faire. Chevauchant sa moto, James Anderson ne contenait plus sa rage. Cette fois ces hommes allaient payer pour ce qu'ils avaient oser faire. Cela faisait trop longtemps qu'il commettaient leurs crimes en toute impunité, sans que personne n'ose se dresser en travers de leur chemin. Mais il s'en étaient pris à la mauvaise personne ce coup-ci.  

Peu importait les conséquences, peu importaient ceux qui oseraient se dresser sur son chemin. Ces sales types allaient payer pour ce qu'ils avaient fait, et James était bien décidé à ne pas rentrer sans ramener avec lui le jeune Diego.  

 

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James Anderson (Jake Hopkins)  

Salma Gonzalès (Mariana Rojas)  

Ricardo Estrada (Ángel Marcos)  

Francesca Rameriez (Esperanza Morales)  

Diego Rameriez (Ricardo Muños)  

Juan Alvarez (Youness Jarred)

Scénario : (2 commentaires)
une série A d'action de Todd Mitchell

Jake Hopkins

Mariana Rojas

Ángel Marcos

Esperanza Morales
Avec la participation exceptionnelle de Ricardo Muños, Youness Jarred
Musique par Brandon Dobson
Sorti le 10 mars 2057 (Semaine 2723)
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