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Les Flims Plalstique présente
Le Ninja de Brooklyn est à louer

 

Le soleil disparait derrière l’horizon dessiné par les immeubles de Manhattan. Liberty Island a été désertée par les touristes avec les derniers ferrys du début de soirée. Théoriquement, il n’y a pas âme qui vive sur la petite île qui accueille la fameuse Statue de la Liberté. Pourtant, une ombre furtive en tenue sombre apparaît entre deux buissons et roule au sol en direction d’une clôture qu’elle franchit habilement et silencieusement. Le Ninja de Brooklyn (Lukas Hart) parvient au pied de la Statue se redresse et observe les alentours. Il semble être seul.  

- C’est quoi cette embrouille ? Elle est où Miss Liberty ?  

Visiblement perdu, le jeune homme contourne le piédestal et finit par apercevoir une silhouette filiforme qui se tient sous la lumière. En s’approchant, le Ninja se rend compte que la jeune femme a pris la posture de la Statue de la Liberté et porte un masque qui dissimule ses yeux. Néanmoins, on devine une cicatrice toute fraîche qui zèbre son front. Elle reste parfaitement immobile, hormis son sourire qui se transforme en rictus diabolique.  

- Bonsoir Marcus.  

- Bonsoir madame.  

- Tu ne te demandes pas comment je sais ton nom.  

- Ah oui, tiens. Comment savez-vous mon nom ?  

- Je connais ton identité depuis le départ ! Ha ha ha !  

- Ah d’accord.  

Un silence s’installe alors que les bruits de la ville lointaine leur parviennent à peine. Montrant quelques signes d’impatience, la jeune femme déguisée en Statue de la Liberté enchaîne.  

- Et puisque tu ne me le demandes pas, je vais te révéler comment j’en sais autant sur toi et quelle est la réelle raison de ta présence ici-même.  

Le ninja n’a pas de réaction. Du coup, elle continue.  

- Tu connais très bien celui pour lequel je travaille. Vous vous êtes affrontés, il y a quelques mois. Il a bien failli te faire fondre dans une forge de métal en fusion mais une aide providentielle et miraculeuse t’a sorti d’affaire. Suite à l’explosion de l’entrepôt tu as cru te débarrasser de cet homme puissant. Mais c’était sous-estimer son pouvoir. Il n’en a pas fini avec toi. Il veut ta peau car tu as stoppé ses projets de conquête.  

- Mais il va venir ou pas, Malcolm X ?  

La jeune femme reste bouche bée. Son sourire disparaît aussitôt.  

- Je vois. Le Baron m’avait prévenu. Tuez-le.  

Marcus tourne la tête et aperçoit deux colosses, qui étaient dissimulés derrière un stand de marchand de glaces, s’approcher de lui. L’un d’eux a le visage tuméfié et porte une minerve. Ignorant la jeune femme qui s’esquive discrètement, le Ninja de Brooklyn se met en position de combat.  

- Comme on se retrouve.  

Il saute sur le premier homme et tente un coup de pied retourné. Mais un violent coup de coude l’envoie brutalement au sol. La chute est amortie par l’herbe fraiche mais plutôt que de se relever, le Ninja recule sur ses fesses jusqu’à heurter un mur. Il ne peut plus fuir et les deux mastodontes font craquer leurs phalanges avec un sourire sadique.  

Soudain, un coup de feu retentit. L’un des baraqués s’effondre au sol dans un grand bruit sourd. Le second s’enfuit en levant les bras au ciel et en hurlant comme une fillette. Le Ninja tourne la tête et aperçoit Sugar Belly (Geneva Backhouse) qui s’approche. Comme toujours, la jeune femme vient lui sauver les miches au dernier moment…  

- Oh Sugar, t’avais raison, elle est super méchante. Mais elle travaille pour un autre type. Et elle n’a jamais voulu me révéler son identité et… c’est qui lui ?  

Sugar n’est pas seule. À ses côtés, un homme tient un pistolet dont le canon fume encore. En le reconnaissant, Marcus bondit sur ses pieds et se remet en position de combat, les jambes légèrement fléchies et les bras écartés.  

- VOUS !  

 

~~~~~~ LE NINJA DE BROOKLYN EST À LOUER ~~~~~~  

 

~~ Quarante-huit heures plus tôt… ~~  

 

https://www.youtube.com/watch?v=I2undzO85lg#t=0m17s  

 

 

Alors qu’un disque vinyle de funk tourne sur sa platine, Sugar Belly tourne les pages d’un magazine avec un certain énervement. La porte de son appartement s’ouvre brutalement et Marcus déboule comme un chien fou en sautillant de tous côtés.  

- Hey Sugar ! Tu devineras jamais ! Ils…  

- MARCUS ! C’EST QUOI CE BORDEL !  

Stoppé dans son élan, le jeune homme s’immobilise comme s’il jouait à « 1, 2, 3 soleil ». Sugar se lève et lui met le magazine sous le nez, à la page des petites annonces. Marcus baisse les yeux.  

- C’est rien. C’est rien du tout.  

La jeune femme lui lance un regard mauvais avant de récupérer la revue. Elle semble chercher quelque chose du regard sur la page ouverte puis se met à lire.  

- « Si vous avez besoin d’une protection personnelle, de vous venger de quelqu’un ou si vous cherchez juste le grand frisson, le Ninja de Brooklyn est à votre service ! Contactez-moi au 555-6142 et je vous mettrai en relation avec lui. Tarifs dégressifs. »  

- Bah quoi... Je fais preuve d’initiative.  

- Putain Marcus, c’est MON numéro que t’as publié !  

- Bah oui, ils ont plus le téléphone au foyer.  

- Ça fait plus de deux heures que je reçois des appels d’insulte !  

- D’insulte ?  

Marcus semble réellement peiné d’apprendre que les seules personnes qui cherchent à le contacter n’aient que des injures à lui offrir. D’un air triste, il s’approche de la fenêtre et observe les voitures qui circulent dans le quartier de Paxton Heights.  

- J’ai pas demandé que tout se passe aussi mal. J’ai pas demandé à ce que le Daron du Bronx fasse exploser la moitié du quartier de Kingsbridge et que, comme il y est resté, tout me retombe sur la gueule. J’ai pas demandé à être détesté par la majorité des habitants de la ville alors que je leur ai sauvé la peau. J’ai pas demandé tout ça. Alors, je m’accroche et j’assume ce que j’ai toujours souhaité devenir. Et tant pis pour les qu'en-diron… les qu’en-tadiraton… les qu’atardonti… les mauvaises langues. C’est peut-être ça être un vrai héros.  

Sugar s’est calmée, s’approche tendrement de Marcus et lui pose une main amicale sur l’épaule. Leurs regards se croisent. La musique douce et lascive fait son petit effet et leurs visages se rapprochent.  

Le téléphone sonne et Sugar se recule précipitamment pour aller répondre. Marcus serre les poings, son visage déformé par la colère.  

- FAIT CHIER !  

- Marcus… ? C’est pour toi.  

Toujours en train de bougonner, le jeune homme arrache le combiné de ses mains et écoute la voix au bout du fil. Au fil des secondes, son visage s’éclaire et un petit sourire apparaît au coin de ses lèvres.  

- Très bien. Je lui dirai.  

Il raccroche avec une expression de victoire. Sugar l’interroge du regard.  

- Et voila. J’ai un job. Une nana, une certaine Miss Liberty qui a besoin d’une protection rapprochée car elle a un statut important. Je… heu, le ninja doit la rencontrer en fin d’après-midi. Pffou ! Cette double identité va être compliquée à gérer !  

 

Au commissariat central de Manhattan, les effectifs de policiers sont en ébullition. Il faut dire que depuis l’explosion des hangars de Kingsbridge, on observe une recrudescence des petits délits. Pour le commissaire MacIntosh, un seul coupable : le Ninja de Brooklyn. Le policier expérimenté est proche de la retraite et il aimerait conclure sa brillante carrière sur un coup d’éclat. Histoire d’attraper une belle médaille pour ses vieux jours. Ainsi, comme presque quotidiennement, il briefe ses hommes, des plus gradés aux simples agents de circulation. Il met l’accent sur la nécessité d’appréhender ce dangereux individu qui déséquilibre la si belle harmonie de New York. L’un des officiers en uniforme (Bob Peck) boit les paroles de son supérieur avec béatitude. L’agent Arthur Crassken n’est pas un mauvais flic mais il se démarque surtout par son invisibilité. Il n’est jamais dans les bons coups et ce malgré une envie de bien faire. Quand le commissaire MacIntosh conclut son laïus, Crassken serre les poings : cette fois-ci, le Ninja sera pour lui. En retournant dans la salle de repos pour y boire un café, Arthur Crassken attrape quelques magazines afin de passer le temps. Son service débute dans un quart d’heure et il ne sent pas à l’aise au milieu des autres qui racontent leur week-end à la pêche ou le spectacle de danse de la petite dernière. Ainsi, au hasard des feuilletages, il tombe sur une annonce. THE annonce.  

- « Si vous avez besoin d’une protection personnelle, de vous venger de quelqu’un ou si vous cherchez juste le grand frisson, le Ninja de Brooklyn est à votre service… » NOM D’UN DONUT FOURRÉ AU CHOCOLAT !  

Le policier jette un œil inquiet envers ses collègues qui ne semblent pas l’avoir remarqué, comme d'habitude. Enfin une réelle opportunité ! Il pourrait prévenir le commissaire mais après une bonne tape dans le dos, il tombera vite dans l’oubli. Non, il faut qu’il gère l’opération seul et de A à Z. Comme un héros.  

 

Marcus gare sa moto en face d’un bel immeuble, le Clocktower Building, à quelques pas du pont de Brooklyn. Avec un grand sac en plastique à la main, il entre dans le hall de l’immeuble et se dirige vers les toilettes malgré le regard insistant du gardien. Il ressort quelques minutes plus tard dans son beau costume de ninja. Le gardien continue de le dévisager, ce qui est bien compréhensible. L’air de rien, Marcus s’annonce.  

- Heu, bonjour. Excusez-moi de vous importuner mais j’ai rendez-vous avec Miss Liberty.  

- L’ascenseur. Dernier étage.  

Le Ninja de Brooklyn se retrouve dans un grand loft. De larges fenêtres offrent une vue à 360° sur la ville et les gratte-ciel de Manhattan sont visibles au loin. D’un coin de la pièce principale, dans l’obscurité, une voix suave et douce se fait entendre.  

- Bonjour…  

Marcus se redresse, prêt à combattre mais il se détend lorsqu’il aperçoit une jeune femme (Logan Mandown) aux cheveux blonds et au regard envoutant. Elle fume négligemment une cigarette. Mais surtout, elle est entièrement vêtue d’un costume de Statue de la Liberté.  

- C’est vous Miss Liberty ?  

- Effectivement. C’est le rôle qu’ont bien voulu m’offrir les citoyens new-yorkais. Je suis l’ambassadrice de cette vertu magnifique et indispensable que représente si parfaitement notre belle ville.  

- Les… les hot-dogs ?  

- La Liberté, mon ami, la Liberté. Je suis l’incarnation de la Liberté. Mais un grand pouvoir implique de grandes responsabilités. Et certaines personnes mal intentionnées en veulent à mon intégrité physique. J’ai besoin de vous, la ville a besoin de vous. Il en va de la sécurité de la Liberté dans ce monde oppressé et en proie au doute.  

- Pas de problème.  

 

Tout à coup, la porte de l’ascenseur s’ouvre et deux hommes aux corps de bodybuilders pénètrent dans l’appartement, des fusils automatiques à la main. Marcus pousse violemment Miss Liberty qui se prend les pieds dans le tapis et heurte brutalement une table basse. Le Ninja, lui, saute derrière le canapé et, même s’il se bouche les oreilles, entend les déflagrations des balles qui viennent s’exploser contre les murs. Une lourde fumée plâtreuse envahit l’appartement et bientôt, le silence se fait. Marcus ose jeter un œil sur le côté et se rend compte que les malfrats ont rebroussé chemin. Il se dirige alors vers la jeune femme qui malgré une large blessure sur le front, est restée consciente.  

- R… R… R…  

- Oui ?  

- R… Rattrapez-les…  

- Oh. Très bien.  

Sans hésiter une seconde, le Ninja se lance en direction des portes fermées de l’ascenseur. Il tapote frénétiquement sur le bouton puis, voyant que rien ne se passe, attend patiemment les bras croisés.  

- LES ESCALIERS !  

- Ah, d’accord.  

Suivant le conseil de Miss Liberty, Marcus pousse la porte et adjacente et se penche par-dessus le garde-fou. Ses yeux s’écarquillent, puis il revient dans l’appartement.  

- Heu… Vous êtes sûre ? Y’a l’air d’avoir beaucoup d’étages, quand même. Faudrait pas que…  

- MAIS DÊPECHEZ-VOUS ! ILS VONT VOUS ÉCHAPPER !  

Peu habitué à ce qu’on lui crie dessus, Marcus sursaute. La jeune femme tente de se relever, malgré son visage en sang.  

- Ça va, ça va. Pas besoin de gueuler, non plus. C’est pas comme ça que je vous obtiendrez le meilleur de ma personne.  

Et il retourne dans la cage d’escaliers pour y dévaler les marches jusqu’au rez-de-chaussée. Fort heureusement, les hommes armés s’y trouvent encore. Ils tirent un peu partout, faisant exploser les vitres. Quand ils aperçoivent le Ninja, les deux colosses se dirigent vers la sortie et sautent dans une fourgonnette stationnée sur le trottoir. Après un dernier coup de feu en arrière, ils démarrent sur les chapeaux de roue et disparaissent au coin de la rue. Mais Marcus ne perd pas courage et il court à toutes jambes vers sa moto qu’il enfourche.  

- Merde, mes clés !  

Le Ninja est obligé de descendre de son véhicule et, devant les regards médusés des passants, il se contorsionne pour baisser le pantalon de sa combinaison afin d’atteindre son jean moulant qu’il porte toujours. Enfin, après avoir risqué une luxation de l’épaule, il parvient à attraper le précieux sésame et à démarrer la moto. Dans un rugissement terrible, l’engin se lance à la poursuite des deux types. Derrière lui, une voiture de police démarre à son tour.  

 

Rapidement, après avoir slalomé entre plusieurs véhicules, Marcus rattrape la fourgonnette. Les coups de klaxon pleuvent de tous côtés et à plusieurs reprises, notre héros manque de se faire faucher par un autre véhicule. De plus, l’un des deux baraqués se penche parfois à la fenêtre pour lancer une rafale avec son arme automatique. Alors qu’il s’apprête à se placer à côté du fourgon, Marcus sent un choc à l’arrière. Il se retourne : une patrouilleuse du NYPD cherche à le faire chuter !  

- Les flics ! Il manquait plus que ça !  

Attaqué de toutes parts et comprenant qu’il est en position de faiblesse sur son deux-roues, le Ninja se lance dans une manœuvre impossible. Il se met debout sur sa selle, dans un numéro périlleux d’équilibriste, et lorsque la voiture de police cherche à le heurter à nouveau, Marcus saute sur le capot de celle-ci, alors que la moto se retrouve dans le décor. Tel un surfeur californien, il parvient à se stabiliser et peut ainsi mettre un visage sur celui qui est au volant.  

 

Arthur Crassken n’en revient pas. Il y a un homme cagoulé debout à l’avant de sa voiture qui parvient à maintenir son équilibre. Du coup, il accélère. Et l’agent de police reste complètement ahuri lorsqu’il se rend compte que le Ninja prend deux pas d’élan et bondit en direction de la fourgonnette qui se trouve juste devant eux !  

 

Marcus se rattrape comme il peut et il parvient à se hisser sur le toit du véhicule. Peu conscient du danger, il rampe en direction de l’avant de l’engin afin d’atteindre les deux salopards qui ont osé tirer sur la Liberté. Après un large virage, les véhicules s’engagent sur une voie rapide en direction du pont de Brooklyn. La voiture de police s’est mise à hauteur de la fourgonnette et, malgré la sirène, celle-ci accélère toujours. Les deux conducteurs se mettent alors à donner des coups de volant et à faire des écarts suite aux chocs. Sur le toit du fourgon, Marcus s’accroche difficilement, mais il parvient à conserver sa position. Le flic ne lâche rien et lorsque leurs regards se croisent, il sent toute la détermination de son adversaire qui cherche à le faire chuter.  

Le dernier choc fait vibrer tout le pont. Le conducteur de la fourgonnette perd le contrôle de son véhicule et celui-ci percute un autobus, tombe sur le flanc et se dirige à toute vitesse vers le côté de la route. Dans un feu d’artifices d’étincelles, le fourgon glisse sur le macadam et heurte violemment la barrière de sécurité. Celle-ci ne résiste pas et le véhicule tombe dans le fleuve, comme au ralenti. La chute semble interminable et l’agent Crassken a tout le temps de voir le fourgon heurter la surface de l’eau avec un sourire satisfait.  

Derrière l’autobus, une silhouette observe la scène avec intérêt. Le Ninja de Brooklyn a été expulsé de son perchoir lorsque la fourgonnette s’est retournée et a pu ainsi rouler vers une cachette. Il est sain et sauf, même s’il sert les dents.  

- Aïe, ça pique. Je me suis égratigné le genou.  

 

~~ Le lendemain après-midi ~~  

 

Sugar Belly a enfin réussi à mettre le doigt sur quelque chose. À la bibliothèque municipale du quartier, elle a récupéré quelques journaux de ces dernières semaines. Un article sur l’élection de Miss Liberty, puis sur la disparition de cette dernière. La photo de la jeune femme apparaît à plusieurs reprises, notamment sur son avis de recherche. Mais ce qui est certain, c’est qu’elle ne correspond pas à la description que lui a donnée Marcus quand il est rentré la veille au soir. Sugar l’a alors sommé de se méfier mais lorsqu’il a reçu l’invitation, il est quand même parti. Sugar relit pour la centième fois le message qu’elle a trouvée sous la porte de son appartement.  

« Mon cher Ninja. Vous m’avez sauvé la vie. Ainsi, je vous convie à une grande soirée privée que je donne ce soir même au pied de la Statue de la Liberté avec quelques amis tels que Arthur Miller, Stephen Hawking, Andy Warhol et Norman Malcolm. Ne prévenez personne, ceci doit rester notre secret. Cordialement, Miss Liberty. »  

Sugar a trouvé tout cela un peu gros et, désormais, son enquête lui prouve que cette Liberty n’est pas claire du tout. Il faut qu’elle se rende sur place afin d’empêcher un malheur. Mais cette fois-ci, elle a besoin d’aide. Sugar sait rapidement qui contacter. Celui-là même qu’elle a renseigné la veille lorsqu’il cherchait à retrouver le Ninja. Elle va lui prouver que Marcus est dans le camp des gentils. Elle attrape son téléphone à cadran et compose un numéro griffonné sur une carte. Ses doigts pointent successivement chaque chiffre, tournent et attendent que le cadran revienne à sa position initiale. Mais la jeune femme se trompe dans le dernier chiffre et doit tout recommencer. Après une dizaine de minutes, elle obtient enfin la communication.  

- Agent Crassken ? Vous faites quoi ce soir ?  

 

 

 

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Les Flims Plalstique présentent  

"Le Ninja de Brooklyn est à louer"  

 

Un film d' Esteban Del Rincòn (Le Ninja de Brooklyn fait la sourde oreille)  

Sur une musique de Tara Fox (Une Journée Ordinaire : Requiem pour un Homme)  

 

Avec  

Lukas Hart (Brothers of Blood) dans le rôle de Marcus White / Le Ninja de Brooklyn  

Logan Mandown (La Merveille de Gérard) dans le rôle de Miss Liberty  

Bob Peck (Le Signal) dans le rôle de l'Agent Crassken  

Geneva Backhouse (Owlboy) dans le rôle de Sugar Belly  

 

Scénario : (2 commentaires)
une série B d'action (Kung-funk) de Esteban Del Rincòn

Lukas Hart

Logan Mandown

Bob Peck

Geneva Backhouse
Musique par Tara Fox
Sorti le 13 juillet 2035 (Semaine 1593)
Entrées : 23 190 711
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