Vivien Guards a écrit :et Watchmen est la seule adaptation DC qui vale la peine si l'on excepte les Batman.
Sauf que
Watchmen n'est pas vraiment du DC: L'histoire comme les personnages ne font pas partit de leur univers, ils n'en sont que l'éditeur...
C'est surtout dû à la patte de Alan Moore...
Le film est très bon mais "torche" l'histoire car en 2h20, il est difficile de résumé le comic...
C'est le principal reproche...
(et aussi vendre ça comme un film de super-héros alors que ça ne l'est pas!)
Sinon concernant le style visuel de Snyder, je continue à affirmer que tel un Justin Lin (
je suis méchant là... ), il ne comprend pas le langage visuel propre au cinéma où le ralentit sert à souligné une action, quelque chose d'important...
Sauf que beaucoup de réas de maintenant, pour s'inspirer des films de Hong-Kong des années 80, l'utilise à tout bout de champs!
Snyder est de ceux-là...
Mais c'est Hollywwod qui veut ça aussi: Prenant par exemple
The Killer ou
Le Syndicat Du Crime de John Woo...
L'utilisation du ralentit sert à montrer quelque chose, à souligné quelque chose, à suspendre le temps pour marquer les esprits, faire passer une émotion...
Le même Woo a avec
Mission Impossible II prouver que l'utilisation sans respecter ces codes fait tourner le métrage à vide, c'est juste un artifice, rien d'autre...
De plus, comme tout, un effet utilisé à tout bout de champs comme le fait Snyder présente moins d'intéret que un effet "ponctuel"...
C'est aussi l'un des grands défauts de
Matrix, ce recours constant au ralentit sans raison valable, juste pour faire style...
Ce que je vais dire ça me fait mal mais l'un des seul à utiliser le ralentit correctement dans la nouvelle génération car avec parcimonie, c'est Tarantino... (La meilleure preuve c'est celui pour Shoshana dans la cabine de projection à la fin d'
Inglourious Basterds: On ressent un truc, on voit que c'est utiliser pour figer le temps, faire passer une émotion comme dans
The Killer, comme lors de la fusillade de
Inglorious Bastards de Castellari...)