) de la création des histoires, et également des affiches.Vous y verrez aussi le bilan financier de chacune des oeuvres sorties et les budgets.
Catalogue des films sortis chez Grain De Folie Films
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Catalogue des films sortis chez Grain De Folie Films
par Le Docteur » Ven Fév 08, 2008 23:29
Pour les nouveaux joueurs, mais également les plus anciens, voici le catalogue des films sortis de nos studios. Cela permet de voir l'évolution (ou non ) de la création des histoires, et également des affiches.
Vous y verrez aussi le bilan financier de chacune des oeuvres sorties et les budgets.
) de la création des histoires, et également des affiches.Vous y verrez aussi le bilan financier de chacune des oeuvres sorties et les budgets.
Dernière édition par Le Docteur le Dim Fév 10, 2008 0:56, édité 3 fois.
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par Le Docteur » Ven Fév 08, 2008 23:31
001 - AMERICAN HISTORY I – ERIK LE ROUGE
"Eirikr Thorvaldsson, tu as tué. Ton châtiment sera donc l'exil pendant 3 ans."
Ainsi parla le chef du village au grand homme aux cheveux roux surnommé Erik le rouge. Celui-ci avait déjà été banni de Norvège, du moins, son père, suite à un meurtre. Ils s'étaient depuis installés en Islande et Erik avait fondé une famille.
Cette fois-ci, la cause de son bannissement était le meurtre de deux islandais qui avaient battu à mort quelques uns de ses esclaves. Erik n'a d'autre choix que de repartir en mer.
Il emmena donc sa famille et son clan en quête d'une terre où il pourrait s'installer à l'ouest.
50 ans auparavant, le navigateur norvégien Gunnbjörn Ulfsson avait aperçue des terres à l'ouest, et Erik se basait sur ses récits pour les chercher.
Après un long voyage, il découvrit une grande île montagneuse et déboisé.
"C'est ici que nous nous installerons"
Il nomma cette terre : Groenland. Nous sommes en l'an 981.
3 ans passèrent. Il retourna, lui et les siens en Islande, son bannissement étant terminé.
Il décida qu'il fallait coloniser la terre sur laquelle il a vécu son exil.
En 988, 25 Drakkars partirent donc vers ces terres nouvelles. Il réussi a installer sur la côte, une colonie durable, à Eystribygght entre le cap de Farewell et le cercle polaire.
Sur les 600 personnes partis dans cette aventure, seul 14 arrivèrent à destination, les autres ayant fait demi-tour ou sombrer en mer.
En 990, le fils d'Erik, Leif Eriksonn découvrit, le premier, l'Amérique du nord et la terre qu'on appelle aujourd'hui Terre-Neuve.
Revivez l'épopée de ce fier clan nordique en quête d'un monde nouveau, qui, cinq siècles avant Christophe Colomb, découvrirent les premiers, les côtes américaines.
Budget technique : 30 000$
Total des cachets : 8 549$
Budget publicitaire : 70 000$
Sorti le 10 février 2007 (Semaine 110)
Entrées : 702 061
Budget total : 108 549$
"Eirikr Thorvaldsson, tu as tué. Ton châtiment sera donc l'exil pendant 3 ans."
Ainsi parla le chef du village au grand homme aux cheveux roux surnommé Erik le rouge. Celui-ci avait déjà été banni de Norvège, du moins, son père, suite à un meurtre. Ils s'étaient depuis installés en Islande et Erik avait fondé une famille.
Cette fois-ci, la cause de son bannissement était le meurtre de deux islandais qui avaient battu à mort quelques uns de ses esclaves. Erik n'a d'autre choix que de repartir en mer.
Il emmena donc sa famille et son clan en quête d'une terre où il pourrait s'installer à l'ouest.
50 ans auparavant, le navigateur norvégien Gunnbjörn Ulfsson avait aperçue des terres à l'ouest, et Erik se basait sur ses récits pour les chercher.
Après un long voyage, il découvrit une grande île montagneuse et déboisé.
"C'est ici que nous nous installerons"
Il nomma cette terre : Groenland. Nous sommes en l'an 981.
3 ans passèrent. Il retourna, lui et les siens en Islande, son bannissement étant terminé.
Il décida qu'il fallait coloniser la terre sur laquelle il a vécu son exil.
En 988, 25 Drakkars partirent donc vers ces terres nouvelles. Il réussi a installer sur la côte, une colonie durable, à Eystribygght entre le cap de Farewell et le cercle polaire.
Sur les 600 personnes partis dans cette aventure, seul 14 arrivèrent à destination, les autres ayant fait demi-tour ou sombrer en mer.
En 990, le fils d'Erik, Leif Eriksonn découvrit, le premier, l'Amérique du nord et la terre qu'on appelle aujourd'hui Terre-Neuve.
Revivez l'épopée de ce fier clan nordique en quête d'un monde nouveau, qui, cinq siècles avant Christophe Colomb, découvrirent les premiers, les côtes américaines.
Budget technique : 30 000$
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par Le Docteur » Ven Fév 08, 2008 23:40
002 - CINEJEU I – QUI VEUT LA PEAU D'ARI GOLAN ?
C’est la panique dans le bureau du président des Studios de cinéma MMP. En effet, dans le courrier adressé à Ari Golan, se trouvait une lettre anonyme le menaçant de mort.
Gerardmerveille est un regroupement de studios cinématographiques, ainsi que Fundanse. Ces studios se trouvent à une centaine de kilomètres d’Hollywood, lancés par les grands réalisateurs George Lucas, Steven Spielberg et Eric Lestrade, afin d’enrayer la grosse machine commerciale hollywoodienne.
Ari Golan a de quoi être victime de jalousie. Sortit grand vainqueur de la dernière cérémonie des Cinés D’or, cérémonie aussi importante que celle des Oscars, il a su attiser la haine de certains producteurs, surtout de la partie Fundanse des Studios.
Dans un hangar de Fundanse, une réunion secrète est en train de se faire. Les membres ne sont rien d’autres que les grands patrons des principaux Studios de cinéma fundansien.
Pour plus de discrétion, ils portent tous des surnoms. Ces producteurs, mené par Grain, complotent afin de faire disparaître définitivement Ari Golan du paysage cinématographique.
Grain prit la parole :
- Bon quelqu’un à une idée pour se débarrasser de cette vermine ?
Frida se leva
- Nous allons fêter la réouverture de nos studios. On pourrait l’inviter. Nous savons qu’il adore les huîtres. Rien de plus facile de maquiller, un meurtre en intoxication alimentaire. C’est le traiteur qui prendra pour nous…
- Pourquoi pas….
Jetprod, Summerzik, Athéna et Barbu semblaient d’accord sur le principe… Tout à coup, la porte s’ouvrit et deux hommes entrèrent….
- Bonjour chers amis et confrères. Nous sommes Daigoro et Warner de chez Gerardmerveille. Nous avons eu vent de votre complot et voulons nous joindre à vous. MMP est notre principal adversaire et nous empêche d’avoir le succès que nous devrions avoir…
- Vous êtes les bienvenues… Cela dit, pour une réunion secrète, je trouve que beaucoup de monde est au courant…
J’espère juste que Golan ne l’est pas, sinon, on l’a dans l’os !!!
Bon les amis, ici, on complote, on fomente, on cherche des idées pour renverser le pouvoir Golanien… Nous avons notre plan de base… Reste plus qu’à attirer le pigeon dans sa cage… Nous lui enverrons une invitation pour la réouverture des Studios Dindarviens, et mettrons notre plan à exécution. En espérant que notre menace de mort anonyme ne l’empêche pas de venir…. Mettez bien sur l’invitation que c’est "huîtres à volonté", ça devrait l’influencer !!!.... Mesdames, messieurs, rompez !!! Bientôt nous serons les maîtres de l’univers cinématographique du monde entier !!! Gniak Gniak Gniak !!!...
(Toutes ressemblances avec des personnages existants ou ayant existés n’ai pas pure coïncidence. C’est voulu !!!)
Budget technique : 30 000$
Total des cachets : 9 914$
Budget publicitaire : 400 000$
Sorti le 03 mars 2007 (Semaine 113)
Entrées : 1 557 178
Budget total : 439 914$
C’est la panique dans le bureau du président des Studios de cinéma MMP. En effet, dans le courrier adressé à Ari Golan, se trouvait une lettre anonyme le menaçant de mort.
Gerardmerveille est un regroupement de studios cinématographiques, ainsi que Fundanse. Ces studios se trouvent à une centaine de kilomètres d’Hollywood, lancés par les grands réalisateurs George Lucas, Steven Spielberg et Eric Lestrade, afin d’enrayer la grosse machine commerciale hollywoodienne.
Ari Golan a de quoi être victime de jalousie. Sortit grand vainqueur de la dernière cérémonie des Cinés D’or, cérémonie aussi importante que celle des Oscars, il a su attiser la haine de certains producteurs, surtout de la partie Fundanse des Studios.
Dans un hangar de Fundanse, une réunion secrète est en train de se faire. Les membres ne sont rien d’autres que les grands patrons des principaux Studios de cinéma fundansien.
Pour plus de discrétion, ils portent tous des surnoms. Ces producteurs, mené par Grain, complotent afin de faire disparaître définitivement Ari Golan du paysage cinématographique.
Grain prit la parole :
- Bon quelqu’un à une idée pour se débarrasser de cette vermine ?
Frida se leva
- Nous allons fêter la réouverture de nos studios. On pourrait l’inviter. Nous savons qu’il adore les huîtres. Rien de plus facile de maquiller, un meurtre en intoxication alimentaire. C’est le traiteur qui prendra pour nous…
- Pourquoi pas….
Jetprod, Summerzik, Athéna et Barbu semblaient d’accord sur le principe… Tout à coup, la porte s’ouvrit et deux hommes entrèrent….
- Bonjour chers amis et confrères. Nous sommes Daigoro et Warner de chez Gerardmerveille. Nous avons eu vent de votre complot et voulons nous joindre à vous. MMP est notre principal adversaire et nous empêche d’avoir le succès que nous devrions avoir…
- Vous êtes les bienvenues… Cela dit, pour une réunion secrète, je trouve que beaucoup de monde est au courant…
J’espère juste que Golan ne l’est pas, sinon, on l’a dans l’os !!!
Bon les amis, ici, on complote, on fomente, on cherche des idées pour renverser le pouvoir Golanien… Nous avons notre plan de base… Reste plus qu’à attirer le pigeon dans sa cage… Nous lui enverrons une invitation pour la réouverture des Studios Dindarviens, et mettrons notre plan à exécution. En espérant que notre menace de mort anonyme ne l’empêche pas de venir…. Mettez bien sur l’invitation que c’est "huîtres à volonté", ça devrait l’influencer !!!.... Mesdames, messieurs, rompez !!! Bientôt nous serons les maîtres de l’univers cinématographique du monde entier !!! Gniak Gniak Gniak !!!...
(Toutes ressemblances avec des personnages existants ou ayant existés n’ai pas pure coïncidence. C’est voulu !!!)
Budget technique : 30 000$
Total des cachets : 9 914$
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Sorti le 03 mars 2007 (Semaine 113)
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Le Docteur - Producteur culte
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par Le Docteur » Ven Fév 08, 2008 23:47
003 – WESTERN UNION – 1 : LA GENESE
Ce film fait parti d’un projet lancé par plusieurs producteurs de Gerardmerveille, sur le forum du jeu.
La suite de ce film sera produit par un producteur différent a chaque nouvel opus.
L’histoire est construite selon la technique dite du « Cadavre Exquis » qui consiste à continuer une histoire, là où le précédent auteur s’est arrêté.
Et bien sur, cela se fait en accord avec les différents producteurs concernés pour conserver une cohérence entre les différentes histoires.
Pour plus de détails, ou si vous voulez vous-même faire parti de l'aventure, allez voir sur le forum, dans la partie « Gerardmerveille », le message appelé « Projet Commun Sondage ».
------------------------------------------------------------------
Le vent est totalement absent dans ce désert que parcourt Angus Macpherson, cow-boy solitaire de son état. Les vautours tournoyaient au dessus de sa tête, prêt à se ruer sur leur potentielle future proie.
Angus parcourait le pays à la recherche de petits boulots et venait en aide parfois à des personnes qui avaient besoin d’un homme de main. Il n’acceptait ce genre de job que si la cause était juste. Certes il lui arrivait de tuer des hommes, mais il ne tirait jamais le premier, ce qui lui avait valu pas mal de blessures plus ou moins graves. Il avait échappé déjà cinq fois à la mort et sentait que ce désert allait être encore plus fatal que toutes les balles reçues par le passé.
Sa gourde étant vide et sa monture à la limite de la mort, il ne se donnait pas beaucoup de chance pour se tirer de ce mauvais pas. Le soleil au zénith lui chauffait le crâne. Il ne faisait pas moins de 45°. Ses yeux étaient embués par la sueur qui dégoulinait de son front. Ca en était trop. Ce fut le trou noir et ne senti même pas son corps tombé lourdement au sol, alors que son cheval alla s'écrouler quelques centaines de mètres plus loin. Etait-ce la fin pour le fier Angus Macpherson ?
La fraîcheur le réveilla. Il ouvrit les yeux et regarda autour de lui. Il se trouvait dans une grotte sombre. A coté de sa couche, ses vêtements et ses armes étaient là. Au milieu de la grotte, se trouvait une jeune indienne semblant faire des incantations prêt d’un feu. Angus la regardait avec fascination. Il semblait voir la fumée former des animaux… Mais il se dit qu’il devait mettre ça sur le compte du malaise. Elle devait être chaman.
Ce qui l’intriguait encore plus, c’est qu’il n’arrivait pas à lui donner une tribu. Connaissant toutes les tribus d’indiens de la région, il ne reconnaissait pas en elle un style typique à un peuple particulier. Qui plus ai que les indiens du coin étaient plutôt farouches avec le visage pâle.
- Vous êtes enfin réveillé ?
Elle venait de se tourner vers lui. Ses grands yeux verts le dévisageaient, et un sourire s’était dessiné sur ses lèvres.
- Je vous ai trouvé inconscient dans le désert. Les vautours commençaient leur office à mon arrivée. Puis je vous ai emmené ici et vous ai soigné…
- Et c’est où ? Ici ?
- C’est chez moi. Mais désolé, je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Mahouna. Et je suis une sorte de chaman.
- Moi c’est Angus… Mais dîtes-moi, vous me semblez bien civilisée pour une…
- Sauvage ? (elle sourit) Je comprends votre perplexité. En fait je suis née en Europe. Mes parents sont venus ici pour essayer de faire fortune, mais ils ont été tués par un ours sauvage, j’avais alors 12 ans. Bizarrement l’ours ne m’a pas touché. Peu de temps après, un indien de la tribu Anasazi m’a trouvé errante et m’a recueilli, et il m’a appris tout son savoir, à l’insu de sa tribu. Il m’a caché pendant de longues années de ses pairs. Et à même trouvé un professeur blanc pour m’éduquer. Ils m’auraient sûrement tuée, sinon. Ils n’apprécient guère les hommes blancs, et quand ils peuvent en massacrer un, il ne se gène pas.
- Dans un sens, je les comprends…
Tout en écoutant Mahouna, Angus, regardait des fresques dessinées sur les parois de la grotte. Beaucoup représentaient des animaux, ou bien alors, des représentations d’indiens, mais chose étrange, sur certaines scènes, les indiens semblaient vénérer quelque chose venu du ciel. Une espèce de bonhomme, avec un cercle sur la tête.
- Et ça ? Qu’est ce que c’est ?
- Je n’ai aucunes idées rationnelles honnêtement. Stypowpow, celui qui m’a recueilli me racontait qu’il y a de très nombreuses lunes, des hommes avec des casques de cristal étaient venus du ciel sur terre, afin de nous prévenir d’un grand danger qui allait arriver. Et que seuls cinq élus, venus d’endroits différents pourraient faire face et avoir une chance d’annihiler cette terrible menace. D’après Stypowpow, la menace est toute proche, et que selon lui, je serai l’une des cinq élus, et qu’il m’avait préparé en conséquence. Il m’a également dit que je le sentirai si j’étais proche d’un autre élu. Et lorsque je vous ai trouvé, j’ai eu une sensation bizarre, comme si j’avais été attiré par vous.
- Zut, ce n’est pas mon charme alors… Et en quoi consiste… cette menace ?
- Je n’en ai aucune idée pour le moment. J’ai essayé de parler avec les esprits, mais je n’ai pas trouvé de réponse à mes questions…
- Et où trouver ces trois autres « élus »… Si tenté que ce ne soit pas un vaste canular, cette histoire ?
- Si j’ai eu cette sensation en vous trouvant, vous devriez l’avoir ressenti à mon égard.
Angus se rappela sa fascination à l’égard de Mahouna à son réveil, et après mûre réflexion, se dit qu’il n’avait jamais ressenti cela auparavant.
- Mettons que ce vous dites est vrai ? Où trouvez les trois autres ?
- D’après mon maître, cette épreuve doit rassembler des personnes que tout oppose. Malgré mes origines européennes, je tiens plus des indiens que des hommes blancs. Vous, vous êtes l’homme blanc que les miens méprisent le plus actuellement. J’allais donc proposer de partir vers le sud, vers le Mexique. Ennemis communs à nos deux peuples… Je sais que ma théorie semble farfelue, mais, je n’ai pas trouvé d’autres solutions.
Après plusieurs heures de discussion, nos deux amis décidèrent de partir dès le lendemain en direction du Mexique à la recherche d’un potentiel élu.
Budget technique : 30 000$
Total des cachets : 9 803$
Budget publicitaire : 1 500 000$
Sorti le 24 mars 2007 (Semaine 116)
Entrées : 5 055 225
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Ce film fait parti d’un projet lancé par plusieurs producteurs de Gerardmerveille, sur le forum du jeu.
La suite de ce film sera produit par un producteur différent a chaque nouvel opus.
L’histoire est construite selon la technique dite du « Cadavre Exquis » qui consiste à continuer une histoire, là où le précédent auteur s’est arrêté.
Et bien sur, cela se fait en accord avec les différents producteurs concernés pour conserver une cohérence entre les différentes histoires.
Pour plus de détails, ou si vous voulez vous-même faire parti de l'aventure, allez voir sur le forum, dans la partie « Gerardmerveille », le message appelé « Projet Commun Sondage ».
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Le vent est totalement absent dans ce désert que parcourt Angus Macpherson, cow-boy solitaire de son état. Les vautours tournoyaient au dessus de sa tête, prêt à se ruer sur leur potentielle future proie.
Angus parcourait le pays à la recherche de petits boulots et venait en aide parfois à des personnes qui avaient besoin d’un homme de main. Il n’acceptait ce genre de job que si la cause était juste. Certes il lui arrivait de tuer des hommes, mais il ne tirait jamais le premier, ce qui lui avait valu pas mal de blessures plus ou moins graves. Il avait échappé déjà cinq fois à la mort et sentait que ce désert allait être encore plus fatal que toutes les balles reçues par le passé.
Sa gourde étant vide et sa monture à la limite de la mort, il ne se donnait pas beaucoup de chance pour se tirer de ce mauvais pas. Le soleil au zénith lui chauffait le crâne. Il ne faisait pas moins de 45°. Ses yeux étaient embués par la sueur qui dégoulinait de son front. Ca en était trop. Ce fut le trou noir et ne senti même pas son corps tombé lourdement au sol, alors que son cheval alla s'écrouler quelques centaines de mètres plus loin. Etait-ce la fin pour le fier Angus Macpherson ?
La fraîcheur le réveilla. Il ouvrit les yeux et regarda autour de lui. Il se trouvait dans une grotte sombre. A coté de sa couche, ses vêtements et ses armes étaient là. Au milieu de la grotte, se trouvait une jeune indienne semblant faire des incantations prêt d’un feu. Angus la regardait avec fascination. Il semblait voir la fumée former des animaux… Mais il se dit qu’il devait mettre ça sur le compte du malaise. Elle devait être chaman.
Ce qui l’intriguait encore plus, c’est qu’il n’arrivait pas à lui donner une tribu. Connaissant toutes les tribus d’indiens de la région, il ne reconnaissait pas en elle un style typique à un peuple particulier. Qui plus ai que les indiens du coin étaient plutôt farouches avec le visage pâle.
- Vous êtes enfin réveillé ?
Elle venait de se tourner vers lui. Ses grands yeux verts le dévisageaient, et un sourire s’était dessiné sur ses lèvres.
- Je vous ai trouvé inconscient dans le désert. Les vautours commençaient leur office à mon arrivée. Puis je vous ai emmené ici et vous ai soigné…
- Et c’est où ? Ici ?
- C’est chez moi. Mais désolé, je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Mahouna. Et je suis une sorte de chaman.
- Moi c’est Angus… Mais dîtes-moi, vous me semblez bien civilisée pour une…
- Sauvage ? (elle sourit) Je comprends votre perplexité. En fait je suis née en Europe. Mes parents sont venus ici pour essayer de faire fortune, mais ils ont été tués par un ours sauvage, j’avais alors 12 ans. Bizarrement l’ours ne m’a pas touché. Peu de temps après, un indien de la tribu Anasazi m’a trouvé errante et m’a recueilli, et il m’a appris tout son savoir, à l’insu de sa tribu. Il m’a caché pendant de longues années de ses pairs. Et à même trouvé un professeur blanc pour m’éduquer. Ils m’auraient sûrement tuée, sinon. Ils n’apprécient guère les hommes blancs, et quand ils peuvent en massacrer un, il ne se gène pas.
- Dans un sens, je les comprends…
Tout en écoutant Mahouna, Angus, regardait des fresques dessinées sur les parois de la grotte. Beaucoup représentaient des animaux, ou bien alors, des représentations d’indiens, mais chose étrange, sur certaines scènes, les indiens semblaient vénérer quelque chose venu du ciel. Une espèce de bonhomme, avec un cercle sur la tête.
- Et ça ? Qu’est ce que c’est ?
- Je n’ai aucunes idées rationnelles honnêtement. Stypowpow, celui qui m’a recueilli me racontait qu’il y a de très nombreuses lunes, des hommes avec des casques de cristal étaient venus du ciel sur terre, afin de nous prévenir d’un grand danger qui allait arriver. Et que seuls cinq élus, venus d’endroits différents pourraient faire face et avoir une chance d’annihiler cette terrible menace. D’après Stypowpow, la menace est toute proche, et que selon lui, je serai l’une des cinq élus, et qu’il m’avait préparé en conséquence. Il m’a également dit que je le sentirai si j’étais proche d’un autre élu. Et lorsque je vous ai trouvé, j’ai eu une sensation bizarre, comme si j’avais été attiré par vous.
- Zut, ce n’est pas mon charme alors… Et en quoi consiste… cette menace ?
- Je n’en ai aucune idée pour le moment. J’ai essayé de parler avec les esprits, mais je n’ai pas trouvé de réponse à mes questions…
- Et où trouver ces trois autres « élus »… Si tenté que ce ne soit pas un vaste canular, cette histoire ?
- Si j’ai eu cette sensation en vous trouvant, vous devriez l’avoir ressenti à mon égard.
Angus se rappela sa fascination à l’égard de Mahouna à son réveil, et après mûre réflexion, se dit qu’il n’avait jamais ressenti cela auparavant.
- Mettons que ce vous dites est vrai ? Où trouvez les trois autres ?
- D’après mon maître, cette épreuve doit rassembler des personnes que tout oppose. Malgré mes origines européennes, je tiens plus des indiens que des hommes blancs. Vous, vous êtes l’homme blanc que les miens méprisent le plus actuellement. J’allais donc proposer de partir vers le sud, vers le Mexique. Ennemis communs à nos deux peuples… Je sais que ma théorie semble farfelue, mais, je n’ai pas trouvé d’autres solutions.
Après plusieurs heures de discussion, nos deux amis décidèrent de partir dès le lendemain en direction du Mexique à la recherche d’un potentiel élu.
Budget technique : 30 000$
Total des cachets : 9 803$
Budget publicitaire : 1 500 000$
Sorti le 24 mars 2007 (Semaine 116)
Entrées : 5 055 225
Budget total : 1 539 803$
-
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- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Ven Fév 08, 2008 23:53
004 - VENDETTA DE FOLIE
La Terre va mal. Celle-ci a été envahie par des espèces d’androïdes : Les Androtrons. Ceux-ci veulent annihiler la Terre puis en prendre possession, vider ses réserves naturelles et repartir.
Bien sur, une résistance humaine a été organisée pour essayer de les contrer. Mais beaucoup y ont laissé la vie.
Laure, une jeune femme de 21 ans fait partie de cette résistance. Elle y est entrée suite à la mort de sa petite sœur, massacrée par un Andotron, il y a deux mois. Elle n’a jamais pu s’en remettre, et lutte depuis pour détruire l’envahisseur, avec une tendance suicidaire. Elle veut en faire une affaire personnelle. Mais les chefs de la résistance essaient de la contenir, car elle risque de mettre en péril les diverses missions secrètes organisées. Le nom de code de « Vendetta » lui a été attribué.
Ce soir, une mission importante est mise en place. Elle consiste à s’introduire dans le vaisseau mère et de le faire sauter de l’intérieur, et Laure en est. Elle doit retrouver à l’intérieur un espion, qui sert d’esclave des Androtrons à bord. Cet homme est connu dans le monde entier sous le nom de « Grain de Folie ». Il s’agit en fait de Karl Jenkins, un célèbre chanteur, qui a décidé de ne pas se laisser faire.
Son pseudo lui vient du fait qu’il a osé montrer ses fesses à l’envahisseur, et à en exterminer 4 ou 5 au passage a lui tout seul. Puis il s’est livré de lui-même pour servir d’esclave à la place de deux femmes. Depuis, du vaisseau mère, il observe, sabote parfois les installations pour les ralentir, et attend avec impatience la relève. Jusqu’à présent, il a toujours réussi à éviter de se faire prendre.
Il n’a aucunes réelles motivations, mis à part éviter que trop d’innocents soient tués par ces « boites de sardines » comme il les appelle.
Il garde contact avec la résistance par le biais d’un émetteur implanté dans son cerveau qui lui de communiquer avec elle. Il sait que Laure doit venir avec quatre autres personnes et que ce soir, ce sera le grand feu d’artifice.
Laure et Karl se comprenaient. Dès leur rencontre, ils savaient qu’ils allaient s’entendre. De plus, elle était très jolie, ce qui ne gâchait rien à l’affaire. Elle et ses hommes se sont volontairement fait prisonnier afin d’être emmener sur le vaisseau mère comme esclaves. Une fois sur place, Karl les avait pris en charge. Ne restait plus qu’à trouver le moyen de faire sauter l’engin, avec rien sous la main, que les choses se trouvant à bord. Pour cela, il fallait trouver des espèces de grenades Androtroniennes et les lancés dans le générateur de propulsion du vaisseau afin de provoquer une réaction en chaîne.
Hélas tout ne se passa pas comme prévu. Alors qu’il ressortait de l’armurerie, ils furent repérés par des gardes. Seul Laure et Karl en réchappèrent. Leur plan tombé à l’eau, ils décidèrent de s’armer au maximum, et de prendre possession du vaisseau.
A deux contre une centaine d’Androtrons, ils avaient une chance minime. Mais qu’avaient-ils à perdre ? De toute façon, ils étaient coincés sur le vaisseau. Les Androtrons les recherchaient partout. L’alerte était donnée.
Laure regarda Karl, lui sourit et lui dit :
- Bon, ben………… go ? Faisons de notre mieux pour faire le maximum de dégâts…
Budget technique : 30 000$
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Sorti le 14 avril 2007 (Semaine 119)
Entrées : 2 305 250
Budget total : 1 538 799$
La Terre va mal. Celle-ci a été envahie par des espèces d’androïdes : Les Androtrons. Ceux-ci veulent annihiler la Terre puis en prendre possession, vider ses réserves naturelles et repartir.
Bien sur, une résistance humaine a été organisée pour essayer de les contrer. Mais beaucoup y ont laissé la vie.
Laure, une jeune femme de 21 ans fait partie de cette résistance. Elle y est entrée suite à la mort de sa petite sœur, massacrée par un Andotron, il y a deux mois. Elle n’a jamais pu s’en remettre, et lutte depuis pour détruire l’envahisseur, avec une tendance suicidaire. Elle veut en faire une affaire personnelle. Mais les chefs de la résistance essaient de la contenir, car elle risque de mettre en péril les diverses missions secrètes organisées. Le nom de code de « Vendetta » lui a été attribué.
Ce soir, une mission importante est mise en place. Elle consiste à s’introduire dans le vaisseau mère et de le faire sauter de l’intérieur, et Laure en est. Elle doit retrouver à l’intérieur un espion, qui sert d’esclave des Androtrons à bord. Cet homme est connu dans le monde entier sous le nom de « Grain de Folie ». Il s’agit en fait de Karl Jenkins, un célèbre chanteur, qui a décidé de ne pas se laisser faire.
Son pseudo lui vient du fait qu’il a osé montrer ses fesses à l’envahisseur, et à en exterminer 4 ou 5 au passage a lui tout seul. Puis il s’est livré de lui-même pour servir d’esclave à la place de deux femmes. Depuis, du vaisseau mère, il observe, sabote parfois les installations pour les ralentir, et attend avec impatience la relève. Jusqu’à présent, il a toujours réussi à éviter de se faire prendre.
Il n’a aucunes réelles motivations, mis à part éviter que trop d’innocents soient tués par ces « boites de sardines » comme il les appelle.
Il garde contact avec la résistance par le biais d’un émetteur implanté dans son cerveau qui lui de communiquer avec elle. Il sait que Laure doit venir avec quatre autres personnes et que ce soir, ce sera le grand feu d’artifice.
Laure et Karl se comprenaient. Dès leur rencontre, ils savaient qu’ils allaient s’entendre. De plus, elle était très jolie, ce qui ne gâchait rien à l’affaire. Elle et ses hommes se sont volontairement fait prisonnier afin d’être emmener sur le vaisseau mère comme esclaves. Une fois sur place, Karl les avait pris en charge. Ne restait plus qu’à trouver le moyen de faire sauter l’engin, avec rien sous la main, que les choses se trouvant à bord. Pour cela, il fallait trouver des espèces de grenades Androtroniennes et les lancés dans le générateur de propulsion du vaisseau afin de provoquer une réaction en chaîne.
Hélas tout ne se passa pas comme prévu. Alors qu’il ressortait de l’armurerie, ils furent repérés par des gardes. Seul Laure et Karl en réchappèrent. Leur plan tombé à l’eau, ils décidèrent de s’armer au maximum, et de prendre possession du vaisseau.
A deux contre une centaine d’Androtrons, ils avaient une chance minime. Mais qu’avaient-ils à perdre ? De toute façon, ils étaient coincés sur le vaisseau. Les Androtrons les recherchaient partout. L’alerte était donnée.
Laure regarda Karl, lui sourit et lui dit :
- Bon, ben………… go ? Faisons de notre mieux pour faire le maximum de dégâts…
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par Le Docteur » Sam Fév 09, 2008 23:45
005 - CINEJEU II - WARNER BROSSE, BARBU BALAIE
Résumé de l’épisode précédent. Un groupuscule de producteurs de cinéma de Fundanse et Gerardmerveille, mené par Grain complote contre Ari Golan, grand producteur devant l’éternel de bons films. Voulant empoisonner le président de MMP par une intoxication alimentaire aux huîtres, leur plan échoue lamentablement. (En fait, Golan préférai le foie gras). Refroidi par cet échec, la plupart des producteurs se retirent peu à peu du complot….
Dans les bureaux de Grain de Folie Films, Grain fait les cents pas, mastiquant ses fraises tagadas. Il détient déjà les plus grosses parts de marché de Fundanse et espère bien en faire de même à Gerardmerveille. Mais MMP, entre autre, lui barre le chemin, et Grain, il n’aime pas ça.
- Judith, faites entrer mon espion : Lestrade !!!
Un grand homme tout de noir vêtu entra. Pas très passe partout pour un espion, mais Grain n’avait rien trouvé de mieux….
- Alors, Lestrade… C’était quoi ce tuyau foireux des huîtres ??? Vous vous foutez pas un peu de moi ? Au prix où je vous paie !!!
- Je suis désolé, monsieur, mais il semble…
- Comment m’as-tu appelé ????
- Oups… Pardon monsieur le président directeur général en chef que nous vénérons. Gloire à toi, O grand Grain de notre folie douce....
- C’est mieux, continuez !!!
- En fait, il semblerait que MMP ai envoyé des contres espions pour contrer votre plan.
- Et a-t-on identifié ces espions ?
- Oui. Il semblerai que ça soit les individus connu sous le nom de Warner et Barbu… Vous les auriez embauché comme hommes d’entretiens dans vos studios, il y a un mois…
- Ca m’apprendra à ne pas lire les fiches des employés, moi !!! Mais qu’est ce qu’ils foutent là, eux ? Ils n’ont pas des studios à gérer ?
- Oui et non. Warner, la commission cinématographique l’a mis en arrêt. Paraît que le ministère de l’éducation à porter plainte contre ses studios pour nombres de fautes trop importantes sur ses affiches et ses génériques. L’affaire est toujours en cours de jugement. Pour le cas Barbu, je ne sais vraiment pas pourquoi il est là, mais je me renseigne toujours.
- Il veut sûrement se venger de moi vu que je lui ai piqué sa place sur le marché… Surveillez moi, ces deux énergumènes… Tiens dîtes à Judith de leur filer une éponge et un balai. Ils vont me nettoyer de fond en comble notre studio de super production. Il est très bordélique, ça leur fera les pieds à ses traîtres….
- Bien, monsieur le président directeur général en chef que nous vénérons. Gloire à toi, O grand Grain de notre folie douce....
Une fois Lestrade sorti de son bureau, Grain prit une fraise Tagada…. La conclusion était simple. D’après ses renseignements, Ari Golan aurait accepté un défi cinématographique avec les vieux du Muppet Show de chez Dindarv. Grain avait décidé d’en faire de même contre Jetprod. Et ainsi pouvoir défier Ari Golan une fois le défi gagné contre Jet… Il ne pouvait pas perdre… Il était le meilleur, et comptait bien le prouver au monde entier… Quand à Warner et Barbu, ils ne savaient pas que Grain savait qu’ils étaient des espions et allait profiter de cet avantage pour leur en faire baver.
- Nul ne pourra faire plier ma suprématie !!! Ari Golan !!! Je t’aurai un jour !!! Oh oui !!! Je t’aurai un jour, foi de Grain !!! Tu me paieras cher ces humiliations devant mes pairs !!! Crois-moi
- Monsieur le président directeur général en chef que nous vénérons. Gloire à toi, O grand Grain de notre folie douce ?
- Oui, Judith ? Qui y’a-t-il ?
- Il semblerait que Jetprod accepte votre défi. Nous avons mis nos meilleurs experts pour déchiffrer le brouillon que nous avons reçu par fax. Il semblerait que Jetprod ne sache pas se servir correctement du fax que vous lui avez si gentiment offert.
- Mouais… Cette vieille carne n’est vraiment bon a rien… J’espère que le coup du détournement de mineurs que j’ai organisé pour le faire tomber va l’achever… Je suis un esprit machiavélique !!! Que c’est bon… Gniak Gniak Gniak….
Pendant ce temps là, au studio « Pierre Richard » des établissements Grain De Folie, Warner et Barbu font leur office… Ils n’ont jamais pu encadrer le mégalo qu’était Grain et étaient là pour se venger. Ils savaient que Grain pensait qu’ils ne savaient pas qu’il savait. Mais une autre taupe se cachait dans ses studios et les avaient mis au courant. En tout cas, les bombes étaient installées ici, dans ce studio de tournage où se préparait la prochaine superproduction Grain De Folie. Ils n’avaient plus qu’à plier bagage avant le grand boum…
Second opus des aventures des producteurs de Fundanse et Gerardmerveille. Ca complote toujours, ça se trahit, ça fait boum… De l’action, de l’humour, avec le premier Anti-héro de l’histoire cinématographique : Grain, grand mégalo voulant être calife à la place du calife, vivez des moments d’anthologie d’humour.
PS : Avis aux producteurs cités dans le film : Il n’y a rien de personnel, c’est une fiction : Je suis fier et honoré de vous avoir comme concurrent !!! Même si vous allez perdre quand même !!!
PSS : Pour les autres producteurs : patience, votre tour viendra :p
PSSS : Désolé pour le jeu de mot pourri du titre
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Résumé de l’épisode précédent. Un groupuscule de producteurs de cinéma de Fundanse et Gerardmerveille, mené par Grain complote contre Ari Golan, grand producteur devant l’éternel de bons films. Voulant empoisonner le président de MMP par une intoxication alimentaire aux huîtres, leur plan échoue lamentablement. (En fait, Golan préférai le foie gras). Refroidi par cet échec, la plupart des producteurs se retirent peu à peu du complot….
Dans les bureaux de Grain de Folie Films, Grain fait les cents pas, mastiquant ses fraises tagadas. Il détient déjà les plus grosses parts de marché de Fundanse et espère bien en faire de même à Gerardmerveille. Mais MMP, entre autre, lui barre le chemin, et Grain, il n’aime pas ça.
- Judith, faites entrer mon espion : Lestrade !!!
Un grand homme tout de noir vêtu entra. Pas très passe partout pour un espion, mais Grain n’avait rien trouvé de mieux….
- Alors, Lestrade… C’était quoi ce tuyau foireux des huîtres ??? Vous vous foutez pas un peu de moi ? Au prix où je vous paie !!!
- Je suis désolé, monsieur, mais il semble…
- Comment m’as-tu appelé ????
- Oups… Pardon monsieur le président directeur général en chef que nous vénérons. Gloire à toi, O grand Grain de notre folie douce....
- C’est mieux, continuez !!!
- En fait, il semblerait que MMP ai envoyé des contres espions pour contrer votre plan.
- Et a-t-on identifié ces espions ?
- Oui. Il semblerai que ça soit les individus connu sous le nom de Warner et Barbu… Vous les auriez embauché comme hommes d’entretiens dans vos studios, il y a un mois…
- Ca m’apprendra à ne pas lire les fiches des employés, moi !!! Mais qu’est ce qu’ils foutent là, eux ? Ils n’ont pas des studios à gérer ?
- Oui et non. Warner, la commission cinématographique l’a mis en arrêt. Paraît que le ministère de l’éducation à porter plainte contre ses studios pour nombres de fautes trop importantes sur ses affiches et ses génériques. L’affaire est toujours en cours de jugement. Pour le cas Barbu, je ne sais vraiment pas pourquoi il est là, mais je me renseigne toujours.
- Il veut sûrement se venger de moi vu que je lui ai piqué sa place sur le marché… Surveillez moi, ces deux énergumènes… Tiens dîtes à Judith de leur filer une éponge et un balai. Ils vont me nettoyer de fond en comble notre studio de super production. Il est très bordélique, ça leur fera les pieds à ses traîtres….
- Bien, monsieur le président directeur général en chef que nous vénérons. Gloire à toi, O grand Grain de notre folie douce....
Une fois Lestrade sorti de son bureau, Grain prit une fraise Tagada…. La conclusion était simple. D’après ses renseignements, Ari Golan aurait accepté un défi cinématographique avec les vieux du Muppet Show de chez Dindarv. Grain avait décidé d’en faire de même contre Jetprod. Et ainsi pouvoir défier Ari Golan une fois le défi gagné contre Jet… Il ne pouvait pas perdre… Il était le meilleur, et comptait bien le prouver au monde entier… Quand à Warner et Barbu, ils ne savaient pas que Grain savait qu’ils étaient des espions et allait profiter de cet avantage pour leur en faire baver.
- Nul ne pourra faire plier ma suprématie !!! Ari Golan !!! Je t’aurai un jour !!! Oh oui !!! Je t’aurai un jour, foi de Grain !!! Tu me paieras cher ces humiliations devant mes pairs !!! Crois-moi
- Monsieur le président directeur général en chef que nous vénérons. Gloire à toi, O grand Grain de notre folie douce ?
- Oui, Judith ? Qui y’a-t-il ?
- Il semblerait que Jetprod accepte votre défi. Nous avons mis nos meilleurs experts pour déchiffrer le brouillon que nous avons reçu par fax. Il semblerait que Jetprod ne sache pas se servir correctement du fax que vous lui avez si gentiment offert.
- Mouais… Cette vieille carne n’est vraiment bon a rien… J’espère que le coup du détournement de mineurs que j’ai organisé pour le faire tomber va l’achever… Je suis un esprit machiavélique !!! Que c’est bon… Gniak Gniak Gniak….
Pendant ce temps là, au studio « Pierre Richard » des établissements Grain De Folie, Warner et Barbu font leur office… Ils n’ont jamais pu encadrer le mégalo qu’était Grain et étaient là pour se venger. Ils savaient que Grain pensait qu’ils ne savaient pas qu’il savait. Mais une autre taupe se cachait dans ses studios et les avaient mis au courant. En tout cas, les bombes étaient installées ici, dans ce studio de tournage où se préparait la prochaine superproduction Grain De Folie. Ils n’avaient plus qu’à plier bagage avant le grand boum…
Second opus des aventures des producteurs de Fundanse et Gerardmerveille. Ca complote toujours, ça se trahit, ça fait boum… De l’action, de l’humour, avec le premier Anti-héro de l’histoire cinématographique : Grain, grand mégalo voulant être calife à la place du calife, vivez des moments d’anthologie d’humour.
PS : Avis aux producteurs cités dans le film : Il n’y a rien de personnel, c’est une fiction : Je suis fier et honoré de vous avoir comme concurrent !!! Même si vous allez perdre quand même !!!
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par Le Docteur » Sam Fév 09, 2008 23:58
006 - TRY HARD I : PIEGE DE VITRAIL
10 heures du matin… Jean McFlane est dans sa vieille Renault 5. Son réveil n’a pas sonné et il est en retard pour le mariage de son neveu Fabrice qui se marie avec cette Miko, qu’il a ramené de son voyage au Japon, à la cathédrale Notre-dame de Paris, le père du marié n’ayant lésiner sur aucuns moyens pour faire plaisir à son fils.
Lorsqu’il entre dans l’église, la cérémonie est déjà commencée. Il se précipite vers le presbytère, sous les yeux courroucer du père du marié, où un clavier Yamaha l’attend. Musicien à ses heures, il doit interpréter une chanson à la fin du mariage.
Impossible de mettre la main sur ce maudit clavier, et le moment de passer est dans cinq minutes. Il le retrouva soudain, lorsqu’il entendit des coups de feu et des cris venant de l’autel. Il jeta un coup d’œil par l’embrassement de la porte et vit cinq hommes, tous asiatiques armés de fusils automatiques.
Agent de la circulation, à Paris, Jean n’en a pas été moins flic par le passé. Il se précipita sur le téléphone pour appeler ses anciens collègues, mais les lignes ont sûrement dû être coupé. Bon, il fallait composer avec le peu de moyen qu’il avait, pour sortir les gens de là. Il allait devoir s’occuper de chacun des preneurs d’otages un à un. D’après ce qu’il avait entendu, les terroristes seraient membre d’une espèce de groupuscule visant à supprimer toutes les religions du monde, et de faire la leur l’unique. Une sorte de mini guérilla sainte de cinglés… Déjà que Jean détestait les églises, mais se retrouver coincé à l’intérieur de l’une d’elles, il n’en était pas question.
L’un des preneurs d’otages avait sûrement dû le voir passé à son arrivé, et se dirigea vers le presbytère. Jean n’eu malgré tout aucun mal à le maîtriser. Et lui piqua son arme. Impossible d’y aller franc jeu contre ces fanatiques. La vie de trop de gens était entres ses mains. Il allait falloir y aller en douceur, et se débarrasser, un à un, de ces troubles fêtes.
Ceci dit, la dernière fois qu’il s’était occupé d’une prise d’otages, c’était à la Banque Populaire de l’avenue des Champs-Elysées. Résultat des courses : Les otages relâchés, mais les gangsters morts, le bâtiment et ceux voisins complètement explosés. Ce qu’il lui avait valu une mise à pied et un engagement non volontaire et forcé à la circulation.
Là, fallait pas gaffer… Notre-dame de Paris n’était pas n’importe quel édifice !!! Il n’avait pas le droit à l’erreur… Et ne voulait pas avoir tous les français à dos pour avoir détruit un monument du patrimoine français…
- Mon petit Jean, tu es dans une sacrée merde… Reste plus qu’à espérer que tu mettras le pied gauche dedans…. Ca me portera peut-être chance…
(Inspiré de Piège de Cristal)
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10 heures du matin… Jean McFlane est dans sa vieille Renault 5. Son réveil n’a pas sonné et il est en retard pour le mariage de son neveu Fabrice qui se marie avec cette Miko, qu’il a ramené de son voyage au Japon, à la cathédrale Notre-dame de Paris, le père du marié n’ayant lésiner sur aucuns moyens pour faire plaisir à son fils.
Lorsqu’il entre dans l’église, la cérémonie est déjà commencée. Il se précipite vers le presbytère, sous les yeux courroucer du père du marié, où un clavier Yamaha l’attend. Musicien à ses heures, il doit interpréter une chanson à la fin du mariage.
Impossible de mettre la main sur ce maudit clavier, et le moment de passer est dans cinq minutes. Il le retrouva soudain, lorsqu’il entendit des coups de feu et des cris venant de l’autel. Il jeta un coup d’œil par l’embrassement de la porte et vit cinq hommes, tous asiatiques armés de fusils automatiques.
Agent de la circulation, à Paris, Jean n’en a pas été moins flic par le passé. Il se précipita sur le téléphone pour appeler ses anciens collègues, mais les lignes ont sûrement dû être coupé. Bon, il fallait composer avec le peu de moyen qu’il avait, pour sortir les gens de là. Il allait devoir s’occuper de chacun des preneurs d’otages un à un. D’après ce qu’il avait entendu, les terroristes seraient membre d’une espèce de groupuscule visant à supprimer toutes les religions du monde, et de faire la leur l’unique. Une sorte de mini guérilla sainte de cinglés… Déjà que Jean détestait les églises, mais se retrouver coincé à l’intérieur de l’une d’elles, il n’en était pas question.
L’un des preneurs d’otages avait sûrement dû le voir passé à son arrivé, et se dirigea vers le presbytère. Jean n’eu malgré tout aucun mal à le maîtriser. Et lui piqua son arme. Impossible d’y aller franc jeu contre ces fanatiques. La vie de trop de gens était entres ses mains. Il allait falloir y aller en douceur, et se débarrasser, un à un, de ces troubles fêtes.
Ceci dit, la dernière fois qu’il s’était occupé d’une prise d’otages, c’était à la Banque Populaire de l’avenue des Champs-Elysées. Résultat des courses : Les otages relâchés, mais les gangsters morts, le bâtiment et ceux voisins complètement explosés. Ce qu’il lui avait valu une mise à pied et un engagement non volontaire et forcé à la circulation.
Là, fallait pas gaffer… Notre-dame de Paris n’était pas n’importe quel édifice !!! Il n’avait pas le droit à l’erreur… Et ne voulait pas avoir tous les français à dos pour avoir détruit un monument du patrimoine français…
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par Le Docteur » Sam Fév 09, 2008 23:59
007 - BISOUNOURS : LE FILM
Pour la première fois sur vos grands écran de votre salle de cinéma favorite : LES BISOUNOURS en chair et en os !!!!
Grosbisou, Grosdodo et Grosjojo descendent sur terre pour aider une fillette orpheline qui est perdu toute seule dans la grande ville de New York.
Mission de routine me direz-vous ? A ceci prêt que d'habitude, ils n'apparaissent qu'aux personnes au coeur pur, comme la petite fillette. Et là non, ils apparaissent aux yeux de tous et de plus sous leurs formes véritables : c'est à dire de véritables ours, à ceci prêt que ceux-ci parlent et sont de couleurs étonnantes.
Harry Comik Jr se dit que c'est une aubaine de capturer de tels spécimens et que ça ferait de belles bêtes de cirque qui pourraient lui rapporter beaucoup d'argent. Il se met donc en chasse...
Nos amis les Bisounours arriveront-ils à remplir leur mission tout en évitant des plombs dans les fesses tirés par un chasseur de prime animalière qui fait de l'excès de zèle ?
Vous le saurez dans cet étonnant film mélangeant images réelles et images de synthèse...
Du bonheur pour petits et grands !!!
AVIS AUX PERSONNES QUI FUME DE LA DROGUE : Si vous voyez des ours de couleur rose, jaune, ou bleu, c'est normal, ce n'est pas un nouvel effet de votre herbe !!!
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Pour la première fois sur vos grands écran de votre salle de cinéma favorite : LES BISOUNOURS en chair et en os !!!!
Grosbisou, Grosdodo et Grosjojo descendent sur terre pour aider une fillette orpheline qui est perdu toute seule dans la grande ville de New York.
Mission de routine me direz-vous ? A ceci prêt que d'habitude, ils n'apparaissent qu'aux personnes au coeur pur, comme la petite fillette. Et là non, ils apparaissent aux yeux de tous et de plus sous leurs formes véritables : c'est à dire de véritables ours, à ceci prêt que ceux-ci parlent et sont de couleurs étonnantes.
Harry Comik Jr se dit que c'est une aubaine de capturer de tels spécimens et que ça ferait de belles bêtes de cirque qui pourraient lui rapporter beaucoup d'argent. Il se met donc en chasse...
Nos amis les Bisounours arriveront-ils à remplir leur mission tout en évitant des plombs dans les fesses tirés par un chasseur de prime animalière qui fait de l'excès de zèle ?
Vous le saurez dans cet étonnant film mélangeant images réelles et images de synthèse...
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par Le Docteur » Dim Fév 10, 2008 0:01
008 - A L'OMBRE DU SOLEIL SOUS LES NUAGES UN JOUR DE PLUIE
2053 : Il n'y a plus de saisons. Elle sont toutes détraquées. L'homme n'a rien fait pour arranger les choses. La pollution à raison petit à petit de notre planète.
Les pays du tiers-monde sont ravagés par des innondations, alors que tout l'émisphère nord croule sous la chaleur. D'ailleurs, la fonte de la calotte glaciaire du pole nord, menace chaque jour les villes de la cote. Elles ne sont plus à l'abri d'un tsunami.
C'est ce qui est arrivé à la ville de La Rochelle en France l'année dernière. Elle est depuis sous les eaux.
Alors que les pays soviétiques vivent le plus chaud hiver de leur histoire, les gouvernements du monde entier se réunissent régulièrement pour essayer de trouver une solution pour remettre tout ça en ordre. Ce jour là, à la commission, quatre jeune gens y ont été conviés. Ils sont considérés comme des génies. L'un deux, n'a même pas 13 ans.
D'après leur explication, il serai possible de construire un immense champs de force capable de remplacer la couche d'ozone détruite par la faute de l'homme, et responsable de tous les maux du moment. Mais ce champs de force demande beaucoup d'énergie, et il faut que chaque pays y mette du sien.
Certains gouvernement sont frileux comme la Grande-Bretagne, la Russie ou la Chine. Chacun essai de trouver des raisons pour expliquer que ce projet est irréalisable. Mais les jeunes gens répondent avec une telle précision qu'ils finissent après quelques débats à se joindre à la majorité.
Là où commencent les ennuis, c'est de savoir quelle nation gèrera ce champs de force. Bien sur les Etats-Unis se propose en premier lieu. Mais les 3/4 des pays refusent. Ces dernières années, les USA ont voulu jouer aux plus forts contre des pays soupçonnés d'être des nids à terroristes, et beaucoup d'innocents ont périt par leur faute.
Damien, le jeune garçon de 13 ans propose de créer une agence civile composée d'un membre de chaque pays qui gèrera ce bouclier pour le monde entier. Il préfère que cette gestion soit faite sur un pied d'égalité, et espère que cela créera de vrais relations pacifiques entres certains pays...
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2053 : Il n'y a plus de saisons. Elle sont toutes détraquées. L'homme n'a rien fait pour arranger les choses. La pollution à raison petit à petit de notre planète.
Les pays du tiers-monde sont ravagés par des innondations, alors que tout l'émisphère nord croule sous la chaleur. D'ailleurs, la fonte de la calotte glaciaire du pole nord, menace chaque jour les villes de la cote. Elles ne sont plus à l'abri d'un tsunami.
C'est ce qui est arrivé à la ville de La Rochelle en France l'année dernière. Elle est depuis sous les eaux.
Alors que les pays soviétiques vivent le plus chaud hiver de leur histoire, les gouvernements du monde entier se réunissent régulièrement pour essayer de trouver une solution pour remettre tout ça en ordre. Ce jour là, à la commission, quatre jeune gens y ont été conviés. Ils sont considérés comme des génies. L'un deux, n'a même pas 13 ans.
D'après leur explication, il serai possible de construire un immense champs de force capable de remplacer la couche d'ozone détruite par la faute de l'homme, et responsable de tous les maux du moment. Mais ce champs de force demande beaucoup d'énergie, et il faut que chaque pays y mette du sien.
Certains gouvernement sont frileux comme la Grande-Bretagne, la Russie ou la Chine. Chacun essai de trouver des raisons pour expliquer que ce projet est irréalisable. Mais les jeunes gens répondent avec une telle précision qu'ils finissent après quelques débats à se joindre à la majorité.
Là où commencent les ennuis, c'est de savoir quelle nation gèrera ce champs de force. Bien sur les Etats-Unis se propose en premier lieu. Mais les 3/4 des pays refusent. Ces dernières années, les USA ont voulu jouer aux plus forts contre des pays soupçonnés d'être des nids à terroristes, et beaucoup d'innocents ont périt par leur faute.
Damien, le jeune garçon de 13 ans propose de créer une agence civile composée d'un membre de chaque pays qui gèrera ce bouclier pour le monde entier. Il préfère que cette gestion soit faite sur un pied d'égalité, et espère que cela créera de vrais relations pacifiques entres certains pays...
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par Le Docteur » Dim Fév 10, 2008 1:14
009 - MAY TODD
Lorsque en 1875, le chef Cheyenne Little Wolf propose au président Grant d’échanger mille femmes blanches contre mille chevaux afin de les faire épouser à ses guerriers, pour favoriser l’intégration des indiens dans une société caucasienne de plus oppressante, ce dernier est tout d’abord estomaqué.
Malgré cela, il finit par accepter. On vide les asiles d’aliénés et les prisons pour recruter des femmes, les volontaires étant trop peu nombreuses. Un premier convoi part donc pour une nouvelle vie avec les sauvages.
A bord du premier convoi, May Todd, qui avait été enfermé dans un asile par sa famille parce qu’elle a aimé un homme qui ne convenait pas à son père, et eux deux enfants avec lui sans être mariée.
Dès son départ de Chicago, elle entreprend d’écrire son périple sur des carnets. Elle y fait également de belles rencontres avec d’autres volontaires, ayant toute un passé différent. Entre Phémie, l’ancienne esclave noire, qui deviendra par la suite une grande guerrière Cheyenne, Sara, une jeune femme qui ne dit rien, qui sera la première à s’adapter vraiment à la vie indienne, les sœurs Kelly, jumelles irlandaise et quelques autres encore, elles partent vers une nouvelle aventure.
Le premier contact avec les Cheyennes est comme un round d’observation. Chaque indien repérant la femme qui lui plait le mieux. Little Wolf, le chef choisit May. Peu avant, dans un fort, elle a rencontré le capitaine Bourke, dont elle s’est éprise et s’est offerte à lui, avant de partir avec Little Wolf.
La vie indienne est assez dure pour toutes, mais la plupart commencent à s’habituer et à aimer cette vie. Seulement la réalité revient vite… Le président Grant n’envoie pas d’autres femmes auprès des cheyennes, manquant à sa parole. De plus, de part les colons qui arrivent dans la région pour cause d’or, il ordonne aux cheyennes de rejoindre une réserve avant la fin de l’hiver.
Suivez les aventures de May Todd qui nous montre toute la cruauté que l’homme blanc était capable envers les indiens.
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Lorsque en 1875, le chef Cheyenne Little Wolf propose au président Grant d’échanger mille femmes blanches contre mille chevaux afin de les faire épouser à ses guerriers, pour favoriser l’intégration des indiens dans une société caucasienne de plus oppressante, ce dernier est tout d’abord estomaqué.
Malgré cela, il finit par accepter. On vide les asiles d’aliénés et les prisons pour recruter des femmes, les volontaires étant trop peu nombreuses. Un premier convoi part donc pour une nouvelle vie avec les sauvages.
A bord du premier convoi, May Todd, qui avait été enfermé dans un asile par sa famille parce qu’elle a aimé un homme qui ne convenait pas à son père, et eux deux enfants avec lui sans être mariée.
Dès son départ de Chicago, elle entreprend d’écrire son périple sur des carnets. Elle y fait également de belles rencontres avec d’autres volontaires, ayant toute un passé différent. Entre Phémie, l’ancienne esclave noire, qui deviendra par la suite une grande guerrière Cheyenne, Sara, une jeune femme qui ne dit rien, qui sera la première à s’adapter vraiment à la vie indienne, les sœurs Kelly, jumelles irlandaise et quelques autres encore, elles partent vers une nouvelle aventure.
Le premier contact avec les Cheyennes est comme un round d’observation. Chaque indien repérant la femme qui lui plait le mieux. Little Wolf, le chef choisit May. Peu avant, dans un fort, elle a rencontré le capitaine Bourke, dont elle s’est éprise et s’est offerte à lui, avant de partir avec Little Wolf.
La vie indienne est assez dure pour toutes, mais la plupart commencent à s’habituer et à aimer cette vie. Seulement la réalité revient vite… Le président Grant n’envoie pas d’autres femmes auprès des cheyennes, manquant à sa parole. De plus, de part les colons qui arrivent dans la région pour cause d’or, il ordonne aux cheyennes de rejoindre une réserve avant la fin de l’hiver.
Suivez les aventures de May Todd qui nous montre toute la cruauté que l’homme blanc était capable envers les indiens.
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par Le Docteur » Dim Fév 10, 2008 1:17
010 - LE PETIT NICOLAS : J'AI FAIT LE BONHEUR DE TOUT LE MONDE
Y’a des jours où les enterrements sont vraiment tristes. Le temps est rarement à la fête, et la tristesse se lit sur des visages défaits par la disparition d’un proche.
Pourtant aujourd’hui, le temps est au beau fixe. Bien sur, y’a toujours les pleureuses de services, mais dans un coin, un groupe d’amis sont là, et souris. L’un de leur meilleur ami d’enfance vient de s’éteindre, mais eux ont dans la tête que les bons souvenirs. Ces gens s’appellent Alceste, Rufus, Agnan, Maixent, Geoffroy, Eudes, Clotaire.
Eux et Nicolas Lepetit se connaissaient depuis l’école primaire. Et ne s’était jamais perdu de vue depuis cette époque. Après plus de 57 ans, ils étaient restés les meilleurs amis du monde. Nicolas était le copain idéal, avec des parents très gentils qui n’hésitaient pas à participer à leurs jeux enfantins. Ils se rappelèrent la fameuse fois où ils jouaient aux cow-boys et aux indiens, attachant le père de Nicolas à un poteau de fil à linge et le laissant là, attaché, allant prendre leur goûter.
Durant cet enterrement, pleins de souvenirs remontèrent à la surface. La fameuse photo annuelle à l’école, où ils n’hésitaient pas à faire les quatre cents coups pour énerver la maîtresse, qu’ils aimaient bien pourtant, et de par la même, le photographe. Les rires fusèrent quand ils se rappelèrent l’arrivée de Geoffroy habillé en martien ce jour là.
Plus le cercueil descend dans la terre, plus les souvenirs refont surfaces, laissant échapper des sourires sur le faciès des compères.
Le cimetière fait place à la cour d’école, le terrain vague ou bien la salle de classe. Les gens en deuils sont remplacés par des enfants qui jouent, qui crient, qui se battent. Le curé a même une légère ressemblance avec Le Bouillon, le surveillant de cette bande de gamins enragés. Et là, les souvenirs emmergent comme si ils y étaient. 57 années en arrière à revivre leurs pires bêtises. Quelle meilleure façon de se rappeler d’un ami disparu…
D’après l’œuvre de Goscinny et Sempé.
Nous prenons le risque d’adapter cette œuvre de la littérature enfantine. Difficile d’en faire une histoire. Nous aurions pu faire un dessin animé calquant le graphisme Sempeien, mais cela aurait été réducteur vis-à-vis de son talent. Par contre nous avons choisi l'un de ses dessin pour illustrer l'affiche.
Nous avons donc opté pour le film. Là encore, comment amener l’histoire à celle des enfants. Après diverses tergiversations entres nos scénaristes (c'est-à-dire, moi, moi et moi), nous avons opter pour le flash-back nous faisant revivre les meilleurs moments de cette bande de garnements. Le cadre d’un enterrement était, je trouve judicieux. Bien que cela ne soit qu’une partie minime de l’histoire. Cela vous rappellera sûrement un peu le principe utilisé dans le film de Klapish : Le Péril Jeune avec Romain Duris, remémorant les années lycée d’un ami, par le biais de flash back.
Je ne sais pas si mon pari est réussi, en tout cas, ce film nous tiens à cœur, car Le Petit Nicolas fut le premier bouquin que je lu dans ma jeunesse, et je tenais à rendre hommage à Goscinny et Sempé, qui m’ont bien fait rigoler par le passé, et même encore maintenant en relisant leur œuvre.
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Y’a des jours où les enterrements sont vraiment tristes. Le temps est rarement à la fête, et la tristesse se lit sur des visages défaits par la disparition d’un proche.
Pourtant aujourd’hui, le temps est au beau fixe. Bien sur, y’a toujours les pleureuses de services, mais dans un coin, un groupe d’amis sont là, et souris. L’un de leur meilleur ami d’enfance vient de s’éteindre, mais eux ont dans la tête que les bons souvenirs. Ces gens s’appellent Alceste, Rufus, Agnan, Maixent, Geoffroy, Eudes, Clotaire.
Eux et Nicolas Lepetit se connaissaient depuis l’école primaire. Et ne s’était jamais perdu de vue depuis cette époque. Après plus de 57 ans, ils étaient restés les meilleurs amis du monde. Nicolas était le copain idéal, avec des parents très gentils qui n’hésitaient pas à participer à leurs jeux enfantins. Ils se rappelèrent la fameuse fois où ils jouaient aux cow-boys et aux indiens, attachant le père de Nicolas à un poteau de fil à linge et le laissant là, attaché, allant prendre leur goûter.
Durant cet enterrement, pleins de souvenirs remontèrent à la surface. La fameuse photo annuelle à l’école, où ils n’hésitaient pas à faire les quatre cents coups pour énerver la maîtresse, qu’ils aimaient bien pourtant, et de par la même, le photographe. Les rires fusèrent quand ils se rappelèrent l’arrivée de Geoffroy habillé en martien ce jour là.
Plus le cercueil descend dans la terre, plus les souvenirs refont surfaces, laissant échapper des sourires sur le faciès des compères.
Le cimetière fait place à la cour d’école, le terrain vague ou bien la salle de classe. Les gens en deuils sont remplacés par des enfants qui jouent, qui crient, qui se battent. Le curé a même une légère ressemblance avec Le Bouillon, le surveillant de cette bande de gamins enragés. Et là, les souvenirs emmergent comme si ils y étaient. 57 années en arrière à revivre leurs pires bêtises. Quelle meilleure façon de se rappeler d’un ami disparu…
D’après l’œuvre de Goscinny et Sempé.
Nous prenons le risque d’adapter cette œuvre de la littérature enfantine. Difficile d’en faire une histoire. Nous aurions pu faire un dessin animé calquant le graphisme Sempeien, mais cela aurait été réducteur vis-à-vis de son talent. Par contre nous avons choisi l'un de ses dessin pour illustrer l'affiche.
Nous avons donc opté pour le film. Là encore, comment amener l’histoire à celle des enfants. Après diverses tergiversations entres nos scénaristes (c'est-à-dire, moi, moi et moi
), nous avons opter pour le flash-back nous faisant revivre les meilleurs moments de cette bande de garnements. Le cadre d’un enterrement était, je trouve judicieux. Bien que cela ne soit qu’une partie minime de l’histoire. Cela vous rappellera sûrement un peu le principe utilisé dans le film de Klapish : Le Péril Jeune avec Romain Duris, remémorant les années lycée d’un ami, par le biais de flash back. Je ne sais pas si mon pari est réussi, en tout cas, ce film nous tiens à cœur, car Le Petit Nicolas fut le premier bouquin que je lu dans ma jeunesse, et je tenais à rendre hommage à Goscinny et Sempé, qui m’ont bien fait rigoler par le passé, et même encore maintenant en relisant leur œuvre.
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par Le Docteur » Dim Fév 10, 2008 1:21
011 - WALKEN PROJECT
« Mon nom est Jack. Jack Warner. Détective privé. Mon bureau est situé dans les bas-fonds de Gerrardville. Le genre de bureau que vous pourriez voir dans un vieux polar des années 50, Imaginez un gars, avec le cigare, le chapeau, le gros calibre dans le holster sous le bras, et la photo de son collègue mort en service encadré sur le mur et son chapeau resté sur le portemanteaux, et bien c’est moi.
Mon vieux partenaire, Michael Golan s’est fait descendre, une nuit, alors qu’il enquêtait pour le compte d’une belle blonde, qui voulait surprendre son mari en train de la tromper. Golan, n’étant jamais insensible aux charmes d’une belle blonde, avait accepté. Ce genre de mission était la routine pour lui. Mais tout ne c’était pas passé comme il l’espérait. Apparemment, tout ceci était un piège organisé par le soi-disant mari, pour se venger de lui. Il l’aurai fait tombé dans une grosse affaire de drogue, du temps où Michael bossait dans la police. Et le salaud avait eu raison de lui, d’une balle dans le dos.
Je n’ai jamais réussi à épingler ce gars : John Walken. Difficile de s’attaquer à un grand producteur de cinéma. Trop médiatisé… Et les preuves contre lui étaient trop minces pour alerter les autorités, qu’il achetait d’ailleurs. Voilà deux ans que cet homme était en liberté. De source sure, il continuait à dealer de la drogue et ainsi que de l’alcool en contrebande, tout en sortant des films au cinéma pour le plus grand plaisir du public. Son image médiatique était jusqu'à présent était sans tâches.
Moi, pauvre détective à deux ronds ne pouvait pas vengé la mort de mon ami sous peine de me retrouver derrière les barreaux. Mais je ressassais, chaque jour, chaque nuit, la façon de me venger.
J’étais plongé dans mes pensées lorsque tout à coup, quelqu’un frappa à ma porte. Pourtant, je n’attendait personne, les affaires ne marchant pas trop actuellement. A travers la vitre brouillée de ma porte, où mon nom était imprimé à l’envers, je vis l’ombre d’une femme, un peu ronde. Je criai d’entrer en me servant une rasade de Bourbon.
Elle entra. Malgré ses rondeurs, c’était une brune de grande classe, avec beaucoup de charme. Son maquillage sombre faisait ressortir le bleu de ses yeux, ainsi que le rouge à lèvre qui dessinait parfaitement la forme de ses lèvres.
Monsieur Warner, me demanda t’elle. Je répondis par l’affirmative, sirotant mon vieux whisky. Elle me dit qu’elle était l’ex femme de mon vieux Golan. Ayant travaillé 5 ans avec mon ami, il ne m’avait jamais parlé de sa vie privée, et j’ignorais qu’il avait eu une femme. Etant méfiant de nature, je lui posais donc des questions pour vérifier la véracité de ses dires. A ma grande surprise, elle me donna certains détails que seul lui ou moi pouvions connaître. Dans le bénéfice du doute, je décidais de lui faire confiance.
Elle se prénommait Divine, prénom qui lui allait à ravir. Ce sacré Golan avait bon goût, le bougre…
Elle aussi cherchait un moyen de se venger de celui qui avait tué son mari. Elle avait su que c’était Walken qui l’avait tué, par le biais d’un ami qui bossait pour lui. Elle me dit qu’elle avait peut-être une solution de coincer une bonne fois pour toute ce salaud. Vendredi soir, il devait rencontrer des trafiquant d’armes, dans un vieil entrepôt du vieux port. Elle me dit qu’il venait depuis peu de se lancer dans ce genre de trafic, et que c’était une bonne occasion de le discréditer auprès des autorités et de la presse. Et puis si j’avais l’occasion de le descendre par la même occasion, je pourrais faire passer ça pour de la légitime défense et non un vendetta personnelle. »
« Mais pourquoi ai-je fait confiance à une femme ??? Michael s’était fait avoir comme un bleu, et il semblerait que moi aussi. Décidément, les femmes étaient notre talon d’achille.
Je suis allé à cet entrepôt sauf que l’on m’attendait. Un homme appuie le canon de son arme contre ma colonne vertébrale. Un autre m’avait désarmé, en me filant une grosse beigne par la même occasion. Devant moi, Walken était là, souriant de toutes ses dents. Avec ses grosses lunettes à verres fumés, style années 70, ces cheveux blonds gominés en arrière, lui donnant l’air d’une personne importante. A chacun de ses bras, deux poufs blondasses souriaient bêtement à la situation, qu’elles ne comprenaient visiblement pas.
Il fallait que je me tire de ce mauvais pas, avant de finir entres quatre planches… »
-----------------------------------------
Nous sommes heureux de vous présenter notre premier thriller. Un peu style polar années 50 américain, avec le « private eye », qui se fait embringuer dans des affaires pas possibles par une jolie femme. L’idée m’ait venu en discutant de films avec notre confrère Walken. Ce film lui est donc dédié. Je remercie également mes confrères Golan, Warner et Divine, dont j’ai emprunté les noms, sans leur autorisation, pour les besoins de mon film. Même si celui-ci utilise les producteurs du jeu, il est complètement indépendant de notre saga « CINEJEU ».
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« Mon nom est Jack. Jack Warner. Détective privé. Mon bureau est situé dans les bas-fonds de Gerrardville. Le genre de bureau que vous pourriez voir dans un vieux polar des années 50, Imaginez un gars, avec le cigare, le chapeau, le gros calibre dans le holster sous le bras, et la photo de son collègue mort en service encadré sur le mur et son chapeau resté sur le portemanteaux, et bien c’est moi.
Mon vieux partenaire, Michael Golan s’est fait descendre, une nuit, alors qu’il enquêtait pour le compte d’une belle blonde, qui voulait surprendre son mari en train de la tromper. Golan, n’étant jamais insensible aux charmes d’une belle blonde, avait accepté. Ce genre de mission était la routine pour lui. Mais tout ne c’était pas passé comme il l’espérait. Apparemment, tout ceci était un piège organisé par le soi-disant mari, pour se venger de lui. Il l’aurai fait tombé dans une grosse affaire de drogue, du temps où Michael bossait dans la police. Et le salaud avait eu raison de lui, d’une balle dans le dos.
Je n’ai jamais réussi à épingler ce gars : John Walken. Difficile de s’attaquer à un grand producteur de cinéma. Trop médiatisé… Et les preuves contre lui étaient trop minces pour alerter les autorités, qu’il achetait d’ailleurs. Voilà deux ans que cet homme était en liberté. De source sure, il continuait à dealer de la drogue et ainsi que de l’alcool en contrebande, tout en sortant des films au cinéma pour le plus grand plaisir du public. Son image médiatique était jusqu'à présent était sans tâches.
Moi, pauvre détective à deux ronds ne pouvait pas vengé la mort de mon ami sous peine de me retrouver derrière les barreaux. Mais je ressassais, chaque jour, chaque nuit, la façon de me venger.
J’étais plongé dans mes pensées lorsque tout à coup, quelqu’un frappa à ma porte. Pourtant, je n’attendait personne, les affaires ne marchant pas trop actuellement. A travers la vitre brouillée de ma porte, où mon nom était imprimé à l’envers, je vis l’ombre d’une femme, un peu ronde. Je criai d’entrer en me servant une rasade de Bourbon.
Elle entra. Malgré ses rondeurs, c’était une brune de grande classe, avec beaucoup de charme. Son maquillage sombre faisait ressortir le bleu de ses yeux, ainsi que le rouge à lèvre qui dessinait parfaitement la forme de ses lèvres.
Monsieur Warner, me demanda t’elle. Je répondis par l’affirmative, sirotant mon vieux whisky. Elle me dit qu’elle était l’ex femme de mon vieux Golan. Ayant travaillé 5 ans avec mon ami, il ne m’avait jamais parlé de sa vie privée, et j’ignorais qu’il avait eu une femme. Etant méfiant de nature, je lui posais donc des questions pour vérifier la véracité de ses dires. A ma grande surprise, elle me donna certains détails que seul lui ou moi pouvions connaître. Dans le bénéfice du doute, je décidais de lui faire confiance.
Elle se prénommait Divine, prénom qui lui allait à ravir. Ce sacré Golan avait bon goût, le bougre…
Elle aussi cherchait un moyen de se venger de celui qui avait tué son mari. Elle avait su que c’était Walken qui l’avait tué, par le biais d’un ami qui bossait pour lui. Elle me dit qu’elle avait peut-être une solution de coincer une bonne fois pour toute ce salaud. Vendredi soir, il devait rencontrer des trafiquant d’armes, dans un vieil entrepôt du vieux port. Elle me dit qu’il venait depuis peu de se lancer dans ce genre de trafic, et que c’était une bonne occasion de le discréditer auprès des autorités et de la presse. Et puis si j’avais l’occasion de le descendre par la même occasion, je pourrais faire passer ça pour de la légitime défense et non un vendetta personnelle. »
« Mais pourquoi ai-je fait confiance à une femme ??? Michael s’était fait avoir comme un bleu, et il semblerait que moi aussi. Décidément, les femmes étaient notre talon d’achille.
Je suis allé à cet entrepôt sauf que l’on m’attendait. Un homme appuie le canon de son arme contre ma colonne vertébrale. Un autre m’avait désarmé, en me filant une grosse beigne par la même occasion. Devant moi, Walken était là, souriant de toutes ses dents. Avec ses grosses lunettes à verres fumés, style années 70, ces cheveux blonds gominés en arrière, lui donnant l’air d’une personne importante. A chacun de ses bras, deux poufs blondasses souriaient bêtement à la situation, qu’elles ne comprenaient visiblement pas.
Il fallait que je me tire de ce mauvais pas, avant de finir entres quatre planches… »
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Nous sommes heureux de vous présenter notre premier thriller. Un peu style polar années 50 américain, avec le « private eye », qui se fait embringuer dans des affaires pas possibles par une jolie femme. L’idée m’ait venu en discutant de films avec notre confrère Walken. Ce film lui est donc dédié. Je remercie également mes confrères Golan, Warner et Divine, dont j’ai emprunté les noms, sans leur autorisation, pour les besoins de mon film. Même si celui-ci utilise les producteurs du jeu, il est complètement indépendant de notre saga « CINEJEU ».
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par Le Docteur » Dim Fév 10, 2008 1:23
012 - UN ENFANT... UN ENFANT DE TOI...
Gary est nerveux, mais heureux. Il marche de long en large dans le couloir de la maternité. Maria, sa femme va accoucher de leur première petite fille. Il a déjà vider un quart de son paquet de cigarettes, tellement la nervosité le prenait.
Lorsqu’il vit le médecin arriver dans le couloir avec un air plutôt grave, il commença à imaginer que le bébé n’avait pas survécut. Le docteur Benson le prit à part et lui annonça que sa fille était en parfait état de santé, mais que des complications lors de l’accouchement avait provoquée une hémorragie interne chez Maria, et qu’elle était actuellement opérée d’urgence.
Les heures passent. Gary a rendu visite à sa fille mise en couveuse. Elle est mignonne comme tout. Elle a les yeux bleus de sa mère. Mais son monde s’écroule autour de lui quand Benson lui annonce le décès de sa femme sur la table d’opération. Elle était trop faible et n’a pas survécue.
Gary se retrouve à 23 ans père d’une adorable petite fille et veuf. Il ne sait comment il va faire pour s’occuper de la petite Mary, prénommée ainsi en souvenir de sa femme.
Les premiers jours s’avèrent difficile. La petite demande beaucoup d’attention et il n’est pas encore trop habitué à s’occuper d’elle. Il a peur de mal faire, de lui faire du mal, elle si petite et fragile dans ses grandes mains. Mais il y arrive tant bien que mal, et la petite grandit avec le sourire.
Cinq mois après sa naissance, Len Mitsua, une jeune étudiante d’origine japonaise de bonne famille, vint s’installer dans la maison à coté de celle de Gary et Mary. Elle trouve cela craquant de voir un homme s’occuper seul de son enfant. Mais celui-ci semble rester hermétique à ses tentatives de faire connaissance. Il porte encore le deuil de sa femme.
Pourtant tout bascula, lorsqu’une nuit, Gary vint tambouriner à sa porte. Mary était tombé malade et avait une forte fièvre. Et son téléphone ne voulait pas fonctionner. Aussitôt, Len appela les urgences. Pour Gary, de nouvelles craintes l’envahirent. Il ne voulait pas perdre sa fille. Mais sa voisine fit tout pour le soulager.
Fort heureusement, Mary n’avait rien de grave, mais une amitié naissante était né entres les deux voisins, qui commencèrent à passer du temps ensemble, en simples amis…
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Gary est nerveux, mais heureux. Il marche de long en large dans le couloir de la maternité. Maria, sa femme va accoucher de leur première petite fille. Il a déjà vider un quart de son paquet de cigarettes, tellement la nervosité le prenait.
Lorsqu’il vit le médecin arriver dans le couloir avec un air plutôt grave, il commença à imaginer que le bébé n’avait pas survécut. Le docteur Benson le prit à part et lui annonça que sa fille était en parfait état de santé, mais que des complications lors de l’accouchement avait provoquée une hémorragie interne chez Maria, et qu’elle était actuellement opérée d’urgence.
Les heures passent. Gary a rendu visite à sa fille mise en couveuse. Elle est mignonne comme tout. Elle a les yeux bleus de sa mère. Mais son monde s’écroule autour de lui quand Benson lui annonce le décès de sa femme sur la table d’opération. Elle était trop faible et n’a pas survécue.
Gary se retrouve à 23 ans père d’une adorable petite fille et veuf. Il ne sait comment il va faire pour s’occuper de la petite Mary, prénommée ainsi en souvenir de sa femme.
Les premiers jours s’avèrent difficile. La petite demande beaucoup d’attention et il n’est pas encore trop habitué à s’occuper d’elle. Il a peur de mal faire, de lui faire du mal, elle si petite et fragile dans ses grandes mains. Mais il y arrive tant bien que mal, et la petite grandit avec le sourire.
Cinq mois après sa naissance, Len Mitsua, une jeune étudiante d’origine japonaise de bonne famille, vint s’installer dans la maison à coté de celle de Gary et Mary. Elle trouve cela craquant de voir un homme s’occuper seul de son enfant. Mais celui-ci semble rester hermétique à ses tentatives de faire connaissance. Il porte encore le deuil de sa femme.
Pourtant tout bascula, lorsqu’une nuit, Gary vint tambouriner à sa porte. Mary était tombé malade et avait une forte fièvre. Et son téléphone ne voulait pas fonctionner. Aussitôt, Len appela les urgences. Pour Gary, de nouvelles craintes l’envahirent. Il ne voulait pas perdre sa fille. Mais sa voisine fit tout pour le soulager.
Fort heureusement, Mary n’avait rien de grave, mais une amitié naissante était né entres les deux voisins, qui commencèrent à passer du temps ensemble, en simples amis…
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par Le Docteur » Dim Fév 10, 2008 1:26
013 - LA FILLE DU COUPEUR DE JOINTS
John, Red, Mitch, Kido et Yann sont cinq chômeurs. Ils traversent ensemble les Etats-Unis à pied et en stop, et font diverses saisons pour essayer de gagner leur vie, suffisamment pour s'acheter de l'herbe à fumer... Leur pêché mignon...
Un jour, ils arrivent dans la petite ville de Arnette en Floride. Ils y croisent Samantha, la fille du dealer du coin.
Elle est belle, magnifique. Les cinq amis en tombe littéralement amoureux. Toutes les bassesses et tous les coups bas sont de mise dans cette compétition, afin de la séduire.
De son coté, Samantha est célibataire. Elle est toujours tombé sur des ringards qui s’intéressait plus à la gratuité de l’herbe que procurait une relation avec elle, que par les sentiments amoureux qu’ils étaient sensés avoir pour elle. Elle ne voulait plus se faire avoir ainsi, et décida de les tester dans différentes épreuves.
Son père, un ancien hippie, la soixantaine bien tassée regarde tout cela avec un oeil amusant, son pétard à la bouche. Il sent bien que ces garçons sont des types bien... Et il espère également casé sa fille, qui jusqu'a présent à toujours rejeté les garçons que son père lui présentait.
Les garçons acceptèrent les épreuves de Sam à part Yann. Il ne voulait pas être le jouet de cette jolie femme pour son plaisir. Il laissa ses amis se ridiculiser pour la belle, pendant que lui passait du temps avec son père, a réparer sa vieille cabane et l’aider dans d’autres travaux divers.
Les jours passaient. Yann et le père de Sam s’entendaient très bien. Mais plus le temps passait, plus il trouvait Sam vraiment belle. Elle de son coté s’amusait toujours avec ses nouveaux amis. Elle ne remarquait pas les regards que lui lançait Yann. Son père, lui, oui.
Le vieil Arthus décida d’y mettre son grain de sel, pour le bien de sa fille et de ce garçon. De plus, sans s’en rendre compte, Yann, depuis son arrivée à Arnette, n’avait plus fumé, alors que Arthus lui avait plusieurs fois proposé un petit spiff. Et ça, pour le vieil homme, c’était bien la première fois.
Alors que la nuit allait tombée, Samantha tomba dans un trou, provoqué par un gisement de terre et atterrie inconsciente au fond d’une grotte assez profonde pour l’empêcher de remonter. Personne ne l’a vit de toute la journée du lendemain. Seul Yann réagit à cette absence, tandis que les quatre autres étaient trop occupés à fêter le dernier jour des épreuves en fumant pétard sur pétard. Il décida de partir à sa recherche...
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John, Red, Mitch, Kido et Yann sont cinq chômeurs. Ils traversent ensemble les Etats-Unis à pied et en stop, et font diverses saisons pour essayer de gagner leur vie, suffisamment pour s'acheter de l'herbe à fumer... Leur pêché mignon...
Un jour, ils arrivent dans la petite ville de Arnette en Floride. Ils y croisent Samantha, la fille du dealer du coin.
Elle est belle, magnifique. Les cinq amis en tombe littéralement amoureux. Toutes les bassesses et tous les coups bas sont de mise dans cette compétition, afin de la séduire.
De son coté, Samantha est célibataire. Elle est toujours tombé sur des ringards qui s’intéressait plus à la gratuité de l’herbe que procurait une relation avec elle, que par les sentiments amoureux qu’ils étaient sensés avoir pour elle. Elle ne voulait plus se faire avoir ainsi, et décida de les tester dans différentes épreuves.
Son père, un ancien hippie, la soixantaine bien tassée regarde tout cela avec un oeil amusant, son pétard à la bouche. Il sent bien que ces garçons sont des types bien... Et il espère également casé sa fille, qui jusqu'a présent à toujours rejeté les garçons que son père lui présentait.
Les garçons acceptèrent les épreuves de Sam à part Yann. Il ne voulait pas être le jouet de cette jolie femme pour son plaisir. Il laissa ses amis se ridiculiser pour la belle, pendant que lui passait du temps avec son père, a réparer sa vieille cabane et l’aider dans d’autres travaux divers.
Les jours passaient. Yann et le père de Sam s’entendaient très bien. Mais plus le temps passait, plus il trouvait Sam vraiment belle. Elle de son coté s’amusait toujours avec ses nouveaux amis. Elle ne remarquait pas les regards que lui lançait Yann. Son père, lui, oui.
Le vieil Arthus décida d’y mettre son grain de sel, pour le bien de sa fille et de ce garçon. De plus, sans s’en rendre compte, Yann, depuis son arrivée à Arnette, n’avait plus fumé, alors que Arthus lui avait plusieurs fois proposé un petit spiff. Et ça, pour le vieil homme, c’était bien la première fois.
Alors que la nuit allait tombée, Samantha tomba dans un trou, provoqué par un gisement de terre et atterrie inconsciente au fond d’une grotte assez profonde pour l’empêcher de remonter. Personne ne l’a vit de toute la journée du lendemain. Seul Yann réagit à cette absence, tandis que les quatre autres étaient trop occupés à fêter le dernier jour des épreuves en fumant pétard sur pétard. Il décida de partir à sa recherche...
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Le Docteur - Producteur culte
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par Le Docteur » Dim Fév 10, 2008 1:28
014 - JUSTICE AVEUGLE
Il n’a plus rien à perdre. C’est devenu une vendetta personnelle. John Sinclair, 38 ans, s’apprête à affronter à lui tout seul toute une mafia, par vengeance.
Les hommes du parrain de la ville, Don Sigornio, ont assassiné sa femme et ses trois enfants par représailles. John est un ancien porte-flingue de Sigornio, et c’est rangé depuis deux ans, sous une fausse identité. Il devait témoigner dans trois jours, au tribunal contre son ancien patron. Mais celui-ci a des oreilles partout, et a pu découvrir ou celui-ci habitait. Il y a envoyer ses hommes de mains afin de « flanquer la frousse » à ce traître de Sinclair.
Linda sa femme, et Evan, Stephen et Clara ont été tous les quatre égorgés sans ménagement. Signature macabre de Sigornio. Lorsque John est rentré ce soir là et à découvert les corps de ceux qu’il chérissait le plus au monde, il voulu se suicider. Il ne pouvait vivre sans Linda, qui l’avait ramené sur le droit chemin, 4 ans auparavant et qui l’avait convaincu de fuir cette mafia si dangereuse.
John se dit que s’il devait mourir, autant que ça soit en vengeant sa famille. Il prit dans sa cave, le plus d’armes qu’il pouvait en prendre, ainsi que des munitions, et parti vers le quartier italien de la ville, fief du parrain.
Il n’a plus rien à perdre. C’est devenu une vendetta personnelle… Du moins, jusqu'à ce qu’il découvre que Sigornio tenait la sœur de Linda en otage. Le parrain avait prévu une telle réaction de son ancien meilleur garde du corps, et préférait prendre les devants au cas cela tournerai mal pour lui. Il défit John de venir le rejoindre dans son QG en affrontant toute son armada.
John sait qu’il devra affronter plus d’une centaine d’hommes avant de rejoindre le « boss de fin de niveau » comme il l’appelle. Autant dire que cela n’allait pas être du gâteau pour lui, connaissant les hommes du parrain. Mais il est décidé à sauver Heather, la sœur de sa femme, au prix de sa vie. Il a fait jurer à Sigornio que si il mourait, il laisserait repartir sa belle-sœur.
Don Sigornio, malgré ses activités douteuses et criminelles, ainsi que sa cruauté, était un homme de parole. Et John le savait. Il comptait bien profiter de cette petite faiblesse de son adversaire pour retourner la situation à son avantage.
C’est alors que commença la guerre d’un homme contre cent, pour l’honneur de sa famille et pour sauver sa belle-sœur…
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Il n’a plus rien à perdre. C’est devenu une vendetta personnelle. John Sinclair, 38 ans, s’apprête à affronter à lui tout seul toute une mafia, par vengeance.
Les hommes du parrain de la ville, Don Sigornio, ont assassiné sa femme et ses trois enfants par représailles. John est un ancien porte-flingue de Sigornio, et c’est rangé depuis deux ans, sous une fausse identité. Il devait témoigner dans trois jours, au tribunal contre son ancien patron. Mais celui-ci a des oreilles partout, et a pu découvrir ou celui-ci habitait. Il y a envoyer ses hommes de mains afin de « flanquer la frousse » à ce traître de Sinclair.
Linda sa femme, et Evan, Stephen et Clara ont été tous les quatre égorgés sans ménagement. Signature macabre de Sigornio. Lorsque John est rentré ce soir là et à découvert les corps de ceux qu’il chérissait le plus au monde, il voulu se suicider. Il ne pouvait vivre sans Linda, qui l’avait ramené sur le droit chemin, 4 ans auparavant et qui l’avait convaincu de fuir cette mafia si dangereuse.
John se dit que s’il devait mourir, autant que ça soit en vengeant sa famille. Il prit dans sa cave, le plus d’armes qu’il pouvait en prendre, ainsi que des munitions, et parti vers le quartier italien de la ville, fief du parrain.
Il n’a plus rien à perdre. C’est devenu une vendetta personnelle… Du moins, jusqu'à ce qu’il découvre que Sigornio tenait la sœur de Linda en otage. Le parrain avait prévu une telle réaction de son ancien meilleur garde du corps, et préférait prendre les devants au cas cela tournerai mal pour lui. Il défit John de venir le rejoindre dans son QG en affrontant toute son armada.
John sait qu’il devra affronter plus d’une centaine d’hommes avant de rejoindre le « boss de fin de niveau » comme il l’appelle. Autant dire que cela n’allait pas être du gâteau pour lui, connaissant les hommes du parrain. Mais il est décidé à sauver Heather, la sœur de sa femme, au prix de sa vie. Il a fait jurer à Sigornio que si il mourait, il laisserait repartir sa belle-sœur.
Don Sigornio, malgré ses activités douteuses et criminelles, ainsi que sa cruauté, était un homme de parole. Et John le savait. Il comptait bien profiter de cette petite faiblesse de son adversaire pour retourner la situation à son avantage.
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