TARDIS PRODUCTIONS ouvre enfin ses portes afin de vous apporter le meilleur des films sortis de leurs studios pour le plus grand plaisir du spectateur.
Nous souhaitons caracoler dans le top ten en cette première année d'exploitation.
Le Docteur
TARDIS PRODUCTIONS - Fil Officiel
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par Le Docteur » Sam Mai 31, 2008 21:57
Dernière édition par Le Docteur le Sam Juil 12, 2008 0:55, édité 5 fois.
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par Matteo » Dim Juin 01, 2008 20:00
Des projets intéressants en perspective.
Mais si je comprends bien, c'est carrément un nouveau studio qui va ouvrir ses portes, et non Grain de Folie qui va changer de nom, c'est bien ça ?
Mais si je comprends bien, c'est carrément un nouveau studio qui va ouvrir ses portes, et non Grain de Folie qui va changer de nom, c'est bien ça ?
Enzo Matteo
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par Le Docteur » Lun Juin 02, 2008 19:47
On change de nom... On reprend les studios de Grain, on garde son palmarès...
La seule chose qui change, c'est le nom et la direction. Bien sur, pour les prochaines cérémonies de récompenses, nous ne présenterons que nos films sortis à partie de Janvier 2011.
La seule chose qui change, c'est le nom et la direction. Bien sur, pour les prochaines cérémonies de récompenses, nous ne présenterons que nos films sortis à partie de Janvier 2011.
Dernière édition par Le Docteur le Sam Juin 14, 2008 1:47, édité 1 fois.
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par Le Docteur » Ven Juin 13, 2008 3:06
*** LE 1er JANVIER 2011***
MUSES
Comédie Sentimentale
Etrange pouvoir que je possède. Un don du ciel peut-être… Mon nom est Dan Wiltrapp et vous avez sûrement entendu mes morceaux à la radio. Je suis n°1 des ventes depuis plus d’un an et demi.
Je joue du synthé depuis plus de 20 ans. On me considère comme le nouveau Jean-Michel Jarre et mes albums se vendent par millions dans le monde entier. Un an et demi que je surf sans tomber sur la vague du succès. Avant ça, c’était galère sur galère. Mes compositions étaient moyennes. Les producteurs ne s’intéressaient pas à moi. Je vaguais de petits boulots en petits boulots pour gagner ma vie, et le soir, j’allais dans des restaurants faire de petits concerts pour les clients.
Mais un soir, tout bascula. Alors que je rentrai chez moi sur ma vielle bicyclette, une voiture survint d’une rue, brûlant un feu rouge. Si le chauffeur avait oublié de s’arrêter, il n’avait par contre pas oublié de me percuter violement. Je me suis réveillé cinq jours après dans un hôpital de la capitale. J’avais quelques cotes cassées, et une commotion cérébrale. Mais la seule chose dont j’avais envie, c’était de jouer de la musique… Après une semaine d’insistance, je demandais à la direction de l’hôpital de faire un petit récital pour les malades du bâtiment. Un peu frileux, le directeur fini par accepter ma requête.
Le jour du concert, la grande salle de restaurant, réorganisée en salle de gala était pleine à craquer. Même des familles de patients s’étaient jointes à la foule. J’allais leur jouer mes morceaux qui étaient pour moi les plus écoutable, lorsque soudain je vis au fond de la salle une belle infirmière, qui somnolait assise sur une table. Durant quelques secondes, qui durèrent une éternité pour moi, je la dévisageais, la regardait dormir, sa tête penchant sur le coté, appuyée contre le mur. Lorsque je sortis de ma torpeur, je m’aperçu que mes mains jouaient une musique que je ne connaissais pas. Une douce mélopée qui semblait enchanter le public. Dans certains regards, je voyais des larmes couler. A la fin du morceau, il y eu quelques secondes de silence, et là, les mains commencèrent en chœurs à applaudirent à tout rompre. Jamais un public ne m’avait fait telle ovation depuis que je faisais de la musique. C’était magique. L’infirmière au fond de la salle s’était réveillée au son des applaudissements et me fixait droit dans les yeux. Quand je plongeai mes yeux dans les siens, la musique reprenait. Toujours aussi majestueuse, douce. Et elle, se rendormait, un léger sourire aux lèvres.
C’est comme ça que mon premier album fut, à la suite de ça, à la tête des ventes du hit parade. Je l’avais appelé « Sarah », comme le nom de cette infirmière qui m’avait inspiré ces musiques. Les mois passèrent. Je fis des rencontres amoureuses. Et chaque fois que je les regardais dormir, je prenais mon clavier, et les musiques venaient d’elles même. Deux autres albums sortirent en peu de temps. « Emilie » et « Barbara » sortirent également premier. C’était pour moi la consécration.
Depuis cet accident, rien n’était comme avant. Je travaillais actuellement sur la musique d’un film d’un grand réalisateur américain qui était tombé sous le charme de ma musique. Pénélope, ma fiancée du moment m’inspirait chaque fois qu’elle s’endormait. Le film devait s’appeler « Muses ». Toutes ces femmes endormies avaient été pour moi comme des muses m’inspirant mes œuvres.
Mais ce qui devait arriver un jour arriva. Alors que Pénélope dormait profondément sur le lit. J’avais beau la fixer, mais rien ne venait. Comme si le charme avait été rompu…
Etait-ce la fin d’une inspiration illimitée ? Mon accident était-il la cause de tout cela ? Avais-je vraiment du talent, ou bien était-ce un miracle ? Laissez moi vous conter mon histoire…
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Bradley Kordic
Rôles Principaux : Jonathan Noyes & Carrie Tager
Rôles Secondaires : Gaspar Alizan & Joanna Fillion
MUSES
Comédie Sentimentale
Etrange pouvoir que je possède. Un don du ciel peut-être… Mon nom est Dan Wiltrapp et vous avez sûrement entendu mes morceaux à la radio. Je suis n°1 des ventes depuis plus d’un an et demi.
Je joue du synthé depuis plus de 20 ans. On me considère comme le nouveau Jean-Michel Jarre et mes albums se vendent par millions dans le monde entier. Un an et demi que je surf sans tomber sur la vague du succès. Avant ça, c’était galère sur galère. Mes compositions étaient moyennes. Les producteurs ne s’intéressaient pas à moi. Je vaguais de petits boulots en petits boulots pour gagner ma vie, et le soir, j’allais dans des restaurants faire de petits concerts pour les clients.
Mais un soir, tout bascula. Alors que je rentrai chez moi sur ma vielle bicyclette, une voiture survint d’une rue, brûlant un feu rouge. Si le chauffeur avait oublié de s’arrêter, il n’avait par contre pas oublié de me percuter violement. Je me suis réveillé cinq jours après dans un hôpital de la capitale. J’avais quelques cotes cassées, et une commotion cérébrale. Mais la seule chose dont j’avais envie, c’était de jouer de la musique… Après une semaine d’insistance, je demandais à la direction de l’hôpital de faire un petit récital pour les malades du bâtiment. Un peu frileux, le directeur fini par accepter ma requête.
Le jour du concert, la grande salle de restaurant, réorganisée en salle de gala était pleine à craquer. Même des familles de patients s’étaient jointes à la foule. J’allais leur jouer mes morceaux qui étaient pour moi les plus écoutable, lorsque soudain je vis au fond de la salle une belle infirmière, qui somnolait assise sur une table. Durant quelques secondes, qui durèrent une éternité pour moi, je la dévisageais, la regardait dormir, sa tête penchant sur le coté, appuyée contre le mur. Lorsque je sortis de ma torpeur, je m’aperçu que mes mains jouaient une musique que je ne connaissais pas. Une douce mélopée qui semblait enchanter le public. Dans certains regards, je voyais des larmes couler. A la fin du morceau, il y eu quelques secondes de silence, et là, les mains commencèrent en chœurs à applaudirent à tout rompre. Jamais un public ne m’avait fait telle ovation depuis que je faisais de la musique. C’était magique. L’infirmière au fond de la salle s’était réveillée au son des applaudissements et me fixait droit dans les yeux. Quand je plongeai mes yeux dans les siens, la musique reprenait. Toujours aussi majestueuse, douce. Et elle, se rendormait, un léger sourire aux lèvres.
C’est comme ça que mon premier album fut, à la suite de ça, à la tête des ventes du hit parade. Je l’avais appelé « Sarah », comme le nom de cette infirmière qui m’avait inspiré ces musiques. Les mois passèrent. Je fis des rencontres amoureuses. Et chaque fois que je les regardais dormir, je prenais mon clavier, et les musiques venaient d’elles même. Deux autres albums sortirent en peu de temps. « Emilie » et « Barbara » sortirent également premier. C’était pour moi la consécration.
Depuis cet accident, rien n’était comme avant. Je travaillais actuellement sur la musique d’un film d’un grand réalisateur américain qui était tombé sous le charme de ma musique. Pénélope, ma fiancée du moment m’inspirait chaque fois qu’elle s’endormait. Le film devait s’appeler « Muses ». Toutes ces femmes endormies avaient été pour moi comme des muses m’inspirant mes œuvres.
Mais ce qui devait arriver un jour arriva. Alors que Pénélope dormait profondément sur le lit. J’avais beau la fixer, mais rien ne venait. Comme si le charme avait été rompu…
Etait-ce la fin d’une inspiration illimitée ? Mon accident était-il la cause de tout cela ? Avais-je vraiment du talent, ou bien était-ce un miracle ? Laissez moi vous conter mon histoire…
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Bradley Kordic
Rôles Principaux : Jonathan Noyes & Carrie Tager
Rôles Secondaires : Gaspar Alizan & Joanna Fillion
Dernière édition par Le Docteur le Mer Juin 25, 2008 1:38, édité 3 fois.
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par Le Docteur » Dim Juin 15, 2008 0:19
*** BIENTOT ***
MALCOLM MORCAR : PENDRE ET PRENDRE
Animation
Gerardville – 7 Juillet 1984
Mon nom est Morcar, Malcolm Morcar. Et je suis actuellement sur le lieu de ma première enquête en tant qu’inspecteur de la Gerardville Police Department (GPD). Premier de ma promotion sur 86 postulants. Je m’en suis sorti au concours avec une note de 96.8 sur 100… La grande classe, quoi.
Les caméras des journaux télévisés sont toutes braquées sur la maison de l’acteur Max Jetto. Sa femme l’a retrouvé mort, pendu en plein milieu du salon. Avec à ses pieds, une lettre d’adieu… La lettre disait qu’il en avait marre de cette vie de strass et de paillettes. Qu’il était vraiment malheureux sur cette terre… La lettre classique, quoi… Au premier abord rien ne semblait vraiment suspect. Le témoignage de l’épouse semblait bien cohérent. Mais j’allais apprendre qu’il ne fallait pas se fier aux apparences.
Alors que mes collègues commençaient à remballer le matériel et que le médecin légiste arrivait, le commissaire Golan arriva sur place. Fixa la scène du pendu, se tourna vers moi et me sortit tout de go : « C’est un crime, on va ouvrir l’enquête !!! »
Quelque chose avait du m’échappé. Pour moi le suicide était vraiment plausible. Le commissaire Golan était réputé pour être très pédagogue avec ses collègues et m’explique tout simplement les choses. Si on mesurai la taille du tabouret sur lequel la victime aurai du monter pour se pendre, on s’apercevait qu’il était 10 cm trop petit, et que même sur la pointe des pieds, la victime n’aurai pu monter dessus, et se mettre la corde au cou.
Après avoir examiné le corps, le docteur Grain, le légiste, annonça que la mort remontait à 3h environ, et que la cause était du à un coup donné sur l’arrière du crâne au niveau de la nuque. Comme le coup du lapin. Et non de la pendaison.
Golan avait une fois de plus démontré son professionnalisme et son sens de l’observation. Il ne me restait plus qu’à prendre exemple sur lui et commencer l’enquête pour retrouver le ou les coupables. La lettre d’adieu fut emballée afin de prélever peut-être des empruntes dessus, et voir si la calligraphie pouvais nous aider à trouver une piste. A cette époque, nous n’avions pas encore les recherches ADN ou autres matériels sophistiqués de maintenant. Ca nous aurait, je pense, bien servi pour boucler l’enquête plus rapidement. Mais bon, faut vivre avec son temps.
En fouillant la filmographie de Jetto, on pouvait s’apercevoir qu’il n’avait tourné que des films de la Walken Production. John Walken avait déjà eu plusieurs fois affaire à la justice par le passé, mais jamais écroué. Grand producteur de talent, golden boy en devenir, il n’hésitait pas à faire quelques entorses aux lois pour se payer de la drogue ou bien des prostitués mineures. Toujours inculpé, jamais condamné. C’était même la bête noire de Golan. Walken savait acheter très cher les personnes qui devait témoigner au tribunal contre lui. Et si l’argent ne suffisait pas, Golan le soupçonnait tout simplement de liquider les personnes trop gênantes.
Les studios Walken étaient loin d’être la taverne de la morue. Peut-être l’un des plus beaux et des plus modernes de Gerardville, qui avec Fundansetown étaient la relève toute trouvée de Hollywood. Les meilleurs films étaient sortis de ces studios. « Le guerrier de pierre », « Beneath The Hawling Star ». Que des cartons au box-office. C’était le concurrent direct du non moins célèbre Steven Spielberg et se partageaient les premières places. Walken aurait même exercé des pressions sur George Lucas pour qu’il stop sa saga « Star Wars » mais en vain.
Le jeune producteur nous reçus dans son bureau luxueux où traînaient sur une étagère derrière son fauteuil les trois Oscars qu’il avait remportés ces deux dernières années. Walken nous appris qu’il avait mis fin au contrat de Max Jetto, car ses films ne se vendaient plus aussi bien qu’avant. C’était l’ère du nouvel acteur de la maison James Owen. La nouvelle égérie de Walken. Son dernier film avait presque battu le E.T. de Spielberg en entrées. Il nous appris également que Jetto avait sombré peu à peu dans l’alcoolisme et que son non professionnalisme nuisait aux studios. Bien sur, John Walken avait un bon alibi pour l’heure du crime. Il nous fallait donc nous tourner vers ce fameux James Owen.
Le commissaire Golan, qui m’accompagnait dans cette affaire, restait silencieux et me laissait mener l’enquête à ma guise. Je pense qu’il essayait de voir si j’étais à la hauteur des mes notes d’examens. Alors que je l’attendais dans la voiture, avant d’aller chez Owen, je le vis parler avec un homme, en grand manteau beige avec un chapeau sur la tête. Je reconnu de suite le privé Jack Warner, qui avait souvent rendu service à la GPD dans des affaires difficiles. Peut-être que sur cette affaire, il savait des choses que nous ignorions…
Arrivé chez James Owen, telle ne fut pas notre surprise, en trouvant sa porte entrouverte, non fracturée, de trouver Owen, dans sa baignoire, les veines du poignet tailladées. Il était apparemment encore en vie, et devait le rester, car il était peut-être un témoin important dans cette affaire…
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Le Docteur
Rôles Principaux : Perceval Grain & Little L
Rôles Secondaires : Kalas Dias & Lou Fishburne
MALCOLM MORCAR : PENDRE ET PRENDRE
Animation
Gerardville – 7 Juillet 1984
Mon nom est Morcar, Malcolm Morcar. Et je suis actuellement sur le lieu de ma première enquête en tant qu’inspecteur de la Gerardville Police Department (GPD). Premier de ma promotion sur 86 postulants. Je m’en suis sorti au concours avec une note de 96.8 sur 100… La grande classe, quoi.
Les caméras des journaux télévisés sont toutes braquées sur la maison de l’acteur Max Jetto. Sa femme l’a retrouvé mort, pendu en plein milieu du salon. Avec à ses pieds, une lettre d’adieu… La lettre disait qu’il en avait marre de cette vie de strass et de paillettes. Qu’il était vraiment malheureux sur cette terre… La lettre classique, quoi… Au premier abord rien ne semblait vraiment suspect. Le témoignage de l’épouse semblait bien cohérent. Mais j’allais apprendre qu’il ne fallait pas se fier aux apparences.
Alors que mes collègues commençaient à remballer le matériel et que le médecin légiste arrivait, le commissaire Golan arriva sur place. Fixa la scène du pendu, se tourna vers moi et me sortit tout de go : « C’est un crime, on va ouvrir l’enquête !!! »
Quelque chose avait du m’échappé. Pour moi le suicide était vraiment plausible. Le commissaire Golan était réputé pour être très pédagogue avec ses collègues et m’explique tout simplement les choses. Si on mesurai la taille du tabouret sur lequel la victime aurai du monter pour se pendre, on s’apercevait qu’il était 10 cm trop petit, et que même sur la pointe des pieds, la victime n’aurai pu monter dessus, et se mettre la corde au cou.
Après avoir examiné le corps, le docteur Grain, le légiste, annonça que la mort remontait à 3h environ, et que la cause était du à un coup donné sur l’arrière du crâne au niveau de la nuque. Comme le coup du lapin. Et non de la pendaison.
Golan avait une fois de plus démontré son professionnalisme et son sens de l’observation. Il ne me restait plus qu’à prendre exemple sur lui et commencer l’enquête pour retrouver le ou les coupables. La lettre d’adieu fut emballée afin de prélever peut-être des empruntes dessus, et voir si la calligraphie pouvais nous aider à trouver une piste. A cette époque, nous n’avions pas encore les recherches ADN ou autres matériels sophistiqués de maintenant. Ca nous aurait, je pense, bien servi pour boucler l’enquête plus rapidement. Mais bon, faut vivre avec son temps.
En fouillant la filmographie de Jetto, on pouvait s’apercevoir qu’il n’avait tourné que des films de la Walken Production. John Walken avait déjà eu plusieurs fois affaire à la justice par le passé, mais jamais écroué. Grand producteur de talent, golden boy en devenir, il n’hésitait pas à faire quelques entorses aux lois pour se payer de la drogue ou bien des prostitués mineures. Toujours inculpé, jamais condamné. C’était même la bête noire de Golan. Walken savait acheter très cher les personnes qui devait témoigner au tribunal contre lui. Et si l’argent ne suffisait pas, Golan le soupçonnait tout simplement de liquider les personnes trop gênantes.
Les studios Walken étaient loin d’être la taverne de la morue. Peut-être l’un des plus beaux et des plus modernes de Gerardville, qui avec Fundansetown étaient la relève toute trouvée de Hollywood. Les meilleurs films étaient sortis de ces studios. « Le guerrier de pierre », « Beneath The Hawling Star ». Que des cartons au box-office. C’était le concurrent direct du non moins célèbre Steven Spielberg et se partageaient les premières places. Walken aurait même exercé des pressions sur George Lucas pour qu’il stop sa saga « Star Wars » mais en vain.
Le jeune producteur nous reçus dans son bureau luxueux où traînaient sur une étagère derrière son fauteuil les trois Oscars qu’il avait remportés ces deux dernières années. Walken nous appris qu’il avait mis fin au contrat de Max Jetto, car ses films ne se vendaient plus aussi bien qu’avant. C’était l’ère du nouvel acteur de la maison James Owen. La nouvelle égérie de Walken. Son dernier film avait presque battu le E.T. de Spielberg en entrées. Il nous appris également que Jetto avait sombré peu à peu dans l’alcoolisme et que son non professionnalisme nuisait aux studios. Bien sur, John Walken avait un bon alibi pour l’heure du crime. Il nous fallait donc nous tourner vers ce fameux James Owen.
Le commissaire Golan, qui m’accompagnait dans cette affaire, restait silencieux et me laissait mener l’enquête à ma guise. Je pense qu’il essayait de voir si j’étais à la hauteur des mes notes d’examens. Alors que je l’attendais dans la voiture, avant d’aller chez Owen, je le vis parler avec un homme, en grand manteau beige avec un chapeau sur la tête. Je reconnu de suite le privé Jack Warner, qui avait souvent rendu service à la GPD dans des affaires difficiles. Peut-être que sur cette affaire, il savait des choses que nous ignorions…
Arrivé chez James Owen, telle ne fut pas notre surprise, en trouvant sa porte entrouverte, non fracturée, de trouver Owen, dans sa baignoire, les veines du poignet tailladées. Il était apparemment encore en vie, et devait le rester, car il était peut-être un témoin important dans cette affaire…
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Le Docteur
Rôles Principaux : Perceval Grain & Little L
Rôles Secondaires : Kalas Dias & Lou Fishburne
Dernière édition par Le Docteur le Mar Juin 24, 2008 23:13, édité 2 fois.
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par Le Docteur » Mer Juin 18, 2008 2:48
*** LE 8 JANVIER 2011 ***
POLYGAMES AMIS
Comédie
L’histoire que je vais vous conter est peu banale. Je m’appelle Julian. Je suis marié depuis presque cinq à la plus ravissante des femmes : Meg. Nous vivons un amour parfait. Pas de taches ou de routine dans notre couple. Beaucoup de nos amis nous envient.
J’aime Meg. De tout mon cœur. Mais ce qu’elle ne sait pas, c’est que j’ai une double vie. Je suis marié depuis deux avec une autre femme Samantha. Et là encore, cette histoire d’amour se passe à merveille. J’arrive à faire croire à l’une que je dois partir en séminaire pour le travail pour rejoindre l’autre, et vice versa.
Tout se passe à merveille dans ma vie. J’ai deux femmes que j’aime avec qui je me sens bien. Et j’ai toujours réussi à cacher l’existence de l’un et de l’autre.
Pourtant tout ce petit conte de fée va bientôt changer du tout au tout…
--------------
L’histoire que je vais vous conter est peu banale. Je m’appelle Meg et je suis mariée à un homme merveilleux du nom de Julian. Notre vie de couple est au summum. Même s’il est souvent absent à cause de son travail, chaque fois qu’il revient, nous savons nous retrouver. Ce qu’il ignore par contre, c’est que je suis mariée également à un autre homme que j’aime également. Bradford est drôle et talentueux. Musicien de renom il enchaîne souvent des concerts, ce que me laisse le temps de vivre ma vie avec Julian.
Cela fait plusieurs années que tout ce passe bien dans nos vies sans qu’aucuns d’eux ne soient au courant que j’ai deux maris. L’administration est pleine de failles que j’ai su exploiter. Mais cela devait sûrement avoir une fin un jour.
--------------
L’histoire que je vais vous conter est peu banale. Je suis marié avec Meg, une femme que beaucoup d’hommes m’envieraient. Elle est charmante, attentionnée et une bombe au lit. Je m’appelle Bradford, chanteur guitariste du groupe de rock Aspen.
Mon métier m’emmène souvent à voyager, partir en tournée pendant plusieurs mois. Et j’avoue que pendant, malgré le fait que je sois amoureux fou de ma femme, il m’arrive d’avoir quelques petites aventures avec des fans. Rien de bien méchant, en fait et puis je me protège toujours.
Pourtant, lors d’un concert à Atlanta, je suis tombé sous le charme d’une jolie brune, mariée, au vu de son alliance à la main gauche, portant le charmant prénom de Samantha. Pendant les trois dates de concerts passés à Atlanta, nous passâmes les nuits ensemble. Un véritable coup de foudre… Histoire hélas impossible entre nous vu qu’elle et moi étions respectivement mariés. Mais je garde d’elle le meilleur…
Pourtant cette relation secrète allait être bientôt dévoilée de façon bizarre, et j’allais apprendre de drôle de chose sur ma femme.
--------------
Quelle belle journée d’été. Me réveiller dans les bras de mon mari. Sentir son odeur. S’il savait que je l’ai trompé les dernières nuits avec un chanteur de rock, je ne sais pas comment il réagirait. Mais bon, j’ai besoin de cette indépendance sexuelle de temps en temps, cela ne fait pas de mal.
Ce dimanche s’annonce ensoleiller. Aujourd’hui nous allons manger un barbecue chez une collègue de travail, Meg. Elle avait envie d’inviter des amis chez elle pour fêter la fête national du 4 juillet. J’avais annoncé à Julian que nous étions invité et il était ravi de connaître enfin mes collègues de boulot. Nous prenons donc la voiture en direction de Denver à ce fameux pique-nique. Des drapeaux américains ornaient tout le quartier.
Je senti Julian pâlir à coté de moi, comme si être ici, dans ce quartier le dérangeait. Et lorsque je garai la voiture devant la maison de Meg, il était de plus en plus en sueur. Quelque chose clochait. Je ne l’avais jamais vu comme ça…
Quand Bradford ouvrit la porte après que j’ai sonné. Là c’est moi qui devins écarlate… Comment se faisait-il qu’il soit ici… Je vis Meg arriver derrière lui, et elle aussi fut comme choquée…
--------------
La polygamie vous en pensez quoi ? Qu’allez vous en penser après avoir vu ce film ? Parfois déroutante, parfois dérangeante, mais pourquoi pas attirante ?
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Alex Rosenmeyer
Rôles Principaux : Jason Raven & Virginia Kwiat
Rôles Secondaires : Sean Huang & Sandrine Stern
POLYGAMES AMIS
Comédie
L’histoire que je vais vous conter est peu banale. Je m’appelle Julian. Je suis marié depuis presque cinq à la plus ravissante des femmes : Meg. Nous vivons un amour parfait. Pas de taches ou de routine dans notre couple. Beaucoup de nos amis nous envient.
J’aime Meg. De tout mon cœur. Mais ce qu’elle ne sait pas, c’est que j’ai une double vie. Je suis marié depuis deux avec une autre femme Samantha. Et là encore, cette histoire d’amour se passe à merveille. J’arrive à faire croire à l’une que je dois partir en séminaire pour le travail pour rejoindre l’autre, et vice versa.
Tout se passe à merveille dans ma vie. J’ai deux femmes que j’aime avec qui je me sens bien. Et j’ai toujours réussi à cacher l’existence de l’un et de l’autre.
Pourtant tout ce petit conte de fée va bientôt changer du tout au tout…
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L’histoire que je vais vous conter est peu banale. Je m’appelle Meg et je suis mariée à un homme merveilleux du nom de Julian. Notre vie de couple est au summum. Même s’il est souvent absent à cause de son travail, chaque fois qu’il revient, nous savons nous retrouver. Ce qu’il ignore par contre, c’est que je suis mariée également à un autre homme que j’aime également. Bradford est drôle et talentueux. Musicien de renom il enchaîne souvent des concerts, ce que me laisse le temps de vivre ma vie avec Julian.
Cela fait plusieurs années que tout ce passe bien dans nos vies sans qu’aucuns d’eux ne soient au courant que j’ai deux maris. L’administration est pleine de failles que j’ai su exploiter. Mais cela devait sûrement avoir une fin un jour.
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L’histoire que je vais vous conter est peu banale. Je suis marié avec Meg, une femme que beaucoup d’hommes m’envieraient. Elle est charmante, attentionnée et une bombe au lit. Je m’appelle Bradford, chanteur guitariste du groupe de rock Aspen.
Mon métier m’emmène souvent à voyager, partir en tournée pendant plusieurs mois. Et j’avoue que pendant, malgré le fait que je sois amoureux fou de ma femme, il m’arrive d’avoir quelques petites aventures avec des fans. Rien de bien méchant, en fait et puis je me protège toujours.
Pourtant, lors d’un concert à Atlanta, je suis tombé sous le charme d’une jolie brune, mariée, au vu de son alliance à la main gauche, portant le charmant prénom de Samantha. Pendant les trois dates de concerts passés à Atlanta, nous passâmes les nuits ensemble. Un véritable coup de foudre… Histoire hélas impossible entre nous vu qu’elle et moi étions respectivement mariés. Mais je garde d’elle le meilleur…
Pourtant cette relation secrète allait être bientôt dévoilée de façon bizarre, et j’allais apprendre de drôle de chose sur ma femme.
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Quelle belle journée d’été. Me réveiller dans les bras de mon mari. Sentir son odeur. S’il savait que je l’ai trompé les dernières nuits avec un chanteur de rock, je ne sais pas comment il réagirait. Mais bon, j’ai besoin de cette indépendance sexuelle de temps en temps, cela ne fait pas de mal.
Ce dimanche s’annonce ensoleiller. Aujourd’hui nous allons manger un barbecue chez une collègue de travail, Meg. Elle avait envie d’inviter des amis chez elle pour fêter la fête national du 4 juillet. J’avais annoncé à Julian que nous étions invité et il était ravi de connaître enfin mes collègues de boulot. Nous prenons donc la voiture en direction de Denver à ce fameux pique-nique. Des drapeaux américains ornaient tout le quartier.
Je senti Julian pâlir à coté de moi, comme si être ici, dans ce quartier le dérangeait. Et lorsque je garai la voiture devant la maison de Meg, il était de plus en plus en sueur. Quelque chose clochait. Je ne l’avais jamais vu comme ça…
Quand Bradford ouvrit la porte après que j’ai sonné. Là c’est moi qui devins écarlate… Comment se faisait-il qu’il soit ici… Je vis Meg arriver derrière lui, et elle aussi fut comme choquée…
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La polygamie vous en pensez quoi ? Qu’allez vous en penser après avoir vu ce film ? Parfois déroutante, parfois dérangeante, mais pourquoi pas attirante ?
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Alex Rosenmeyer
Rôles Principaux : Jason Raven & Virginia Kwiat
Rôles Secondaires : Sean Huang & Sandrine Stern
Dernière édition par Le Docteur le Mar Juin 24, 2008 23:14, édité 3 fois.
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par Nando Arrabal » Mer Juin 18, 2008 15:16
Bonne chance à Tardis... mais euh bon, on t'a reconnu.
C'est comme si le RPR devenait je sais pas moi... l'UMP... ah ? bon... On me signale dans l'oreillette que ça fait belle lurette qu'il n'y a plus de RPR.
Désolé.
Je rêve d'avoir des affiches comme ça, plagiat ou non.
C'est comme si le RPR devenait je sais pas moi... l'UMP... ah ? bon... On me signale dans l'oreillette que ça fait belle lurette qu'il n'y a plus de RPR.
Désolé.
Je rêve d'avoir des affiches comme ça, plagiat ou non.
Le cinéma des autres
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par Le Docteur » Jeu Juin 19, 2008 9:26
rroseselavy a écrit :Bonne chance à Tardis... mais euh bon, on t'a reconnu.
C'est comme si le RPR devenait je sais pas moi... l'UMP... ah ? bon... On me signale dans l'oreillette que ça fait belle lurette qu'il n'y a plus de RPR.
Désolé.
Je rêve d'avoir des affiches comme ça, plagiat ou non.
C'est pas une référence l'ump !!!
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Le Docteur - Producteur culte
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par Le Docteur » Ven Juin 20, 2008 9:55
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Dernière édition par Le Docteur le Mar Juin 24, 2008 23:14, édité 1 fois.
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par Le Docteur » Ven Juin 20, 2008 19:36
*** BILAN 001 ***
Pour notre première sortie sous le label TARDIS, notre premier film Muses se classe directement à la première place du box office !!!
Avec 14 555 777 entrée pour sa première semaine d'exploitation avec un bénéfice de 934 611 $, nous sommes largement satisfait.
Donc le ton est donné pour la concurrence, Grain de Folie est peut-être mort, mais Tardis Productions prend, avec succès, la relève !!!
Nous annonçons également la retraite de plusieurs artiste de l'ère Grain à la fin de leur engagement : Bruce Syphilis, Spike Bruce, et Gaspar Alizan vont rejoindre d'ici peu la maison de retraite des stars.[/b]
Pour notre première sortie sous le label TARDIS, notre premier film Muses se classe directement à la première place du box office !!!
Avec 14 555 777 entrée pour sa première semaine d'exploitation avec un bénéfice de 934 611 $, nous sommes largement satisfait.
Donc le ton est donné pour la concurrence, Grain de Folie est peut-être mort, mais Tardis Productions prend, avec succès, la relève !!!
Nous annonçons également la retraite de plusieurs artiste de l'ère Grain à la fin de leur engagement : Bruce Syphilis, Spike Bruce, et Gaspar Alizan vont rejoindre d'ici peu la maison de retraite des stars.[/b]
Dernière édition par Le Docteur le Sam Juin 28, 2008 2:34, édité 3 fois.
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par Le Docteur » Ven Juin 20, 2008 22:52
*** MERCATO ***
Cliquez sur les images pour voir leurs biographies
Alors que nos studios viennent a peine de commencer à sortir des films, nous embauchons de futures stars en herbe.
En réalisation :
Bill BAXTER
En acting :
Tamara ALLEN
Sarah Aspen
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Tamara ALLEN
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Dernière édition par Le Docteur le Mar Juin 24, 2008 23:15, édité 1 fois.
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par Morcar » Ven Juin 20, 2008 23:59
Dommage que tu ne te serves de tes artistes que le temps de leur contrat, pour ensuite les balancer et en créer d'autres. C'est sûr que 80 000 $ pour 10 films, ça vaut le coup, mais pourquoi ne pas laisser tes artistes continuer leur carrière ?
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