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Delirium Productions présente
Bokor (Jack Daniels 2)

Jack Daniels est de retour dans une affaire des plus étranges...  

 

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Une enquête de Jack Daniels par Delirium Productions  

 

Scenario: Cendar le Rouge  

Réalisé par Cordelason Forza  

Avec Steven Arnold dans le rôle de Jack Daniels  

et Sabrina Sbrizi dans le rôle de Madame N'Bassa  

Musiques Originales: Lisa Kelly  

 

Attention: synopsis long!  

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- Barman! Un autre whisky, s'il te - HIPS - plait...  

- Jack, c'est déjà le sixième... T'es sûr?  

- Rien à foutre, je peux payer, j'ai du flouze!  

Le jeune barman ressortit la bouteille et remplit mon verre.  

- Aaaah, tu sais ce que signifie ce doux glou-glou dans mon verre?  

- Heu, non...  

- Ca signifie qu'il va bientôt se passer la même chose dans mon gosier! Hahaha! Allez hop, cul-sec!  

J'avalai le tout d'une traite.  

- Bon, faut que j'y aille, salut l'artiste! Et garde la monnaie.  

Je lui sortis un billet que je déposai sur le comptoir. Je faillis m'étaler par terre en voulant me mettre debout et j'atteignis la sortie du bar avec beaucoup de peine. Ma dernière affaire avec le perroquet de jade m'avait certes fait un peu d'argent, mais m'avait laissé plus dévasté que jamais. La femme avait joué avec moi comme avec un vulgaire slip sale qu'on jette parce qu'on en veut plus. J'ai failli me faire tuer, brûler au troisième degré, découper en sushi et la moitié du quartier chinois voulait me faire la peau... Mais J'avais fait mon job, et là, j'avais besoin de décompresser un max! Donc, rien de tel que d'aller noyer sa vie misérable dans le fond d'un bon verre de whisky au "Rotten Rat", le boui-boui le plus paumé de toute la ville. Mais il était l'heure de rentrer, et putain, c'était dur. Même de longer les murs, c'était un exploit. Je m'arrêtai dans une ruelle pour dégueuler un coup, puis repris mon chemin en titubant. Je bataillai cinq bonnes minutes avec la serrure de mon "bureau-appartement" jusqu'à ce qu'elle cède enfin. Je jetai mon manteau sur le fauteuil à gauche de l'entrée et essayai de trouver l'interrupteur à tâtons. Un moustachu bedonnant était assis derrière mon bureau.  

- Charlie? Bordel, qu'est-ce que tu fous chez moi à une heure pareille?  

Charlie était mon ancien collègue à la criminelle. Son besoin immodéré des donuts l'avait propulsé commissaire tandis que moi j'avais préféré suivre la voie moins traditionnelle. Il était livide, comme si on venait de sortir son cadavre de terre.  

- T'as vraiment une sale gueule, tu sais? Et c'est un homme complètement imbibé qui te dit ça. Je t'offre un petit remontant?  

- Pas aujourd'hui, Jack. J'ai pas la tête à ça...  

- Je sens que je vais pas aimer la suite de cette conversation...  

- Je suis dans la merde, Jack. J'étais sur une affaire, et je crois que j'ai été fouiner un peu trop loin. Il y a des choses qu'il vaut mieux ne pas savoir de ce côté de la...  

Il ne finit pas sa phrase car il toussa comme un cancéreux en fin de vie et cracha ce qui semblait du sang, mais très sombre.  

- Eh, Charlie, ça va? Tu veux que j'appelle un médecin?  

Il s'essuya les lèvres avec le revers de sa manche.  

- Non, non, pas besoin... Ecoute...  

Il se leva et s'approcha de moi. Bon sang, il arrivait à peine à tenir debout et ses jambes tremblaient! Il sortit de la poche de sa veste un petit fourreau rectangulaire en cuir.  

- Il faut que tu gardes ce truc au péril de ta vie, Jack. C'est une pièce à conviction de mon affaire en cours... Tiens, prends aussi mes clés... Va chez...  

Il toussa et cracha à nouveau de ce sang noirâtre.  

- Va chez moi, j'ai pris des notes qui pourront t'éclairer, moi, je suis finiaaaaaAAAAAAAAAAAH!  

Il se raidit d'un coup et son visage sembla figé dans la peur et l'horreur tout en hurlant. Puis il s'effondra dans un bruit sourd. Il convulsa quelques fois en vomissant encore un peu de sang sur mon parquet, et rendit sa révérence devant l'Eternel.  

- Charlie!  

Et merde, les cadavres recommencent à s'accumuler, et ça sent vraiment la poiscaille pas fraîche, cette histoire foireuse! pensais-je en mettant un coup de pied de rage dans mon bureau. Bon... D'abord, reprendre ses esprits. J'allai dans ma salle de bains, passai un peu d'eau fraîche sur mon visage, et m'enfilai un Alka Seltzer. Si je voulais pouvoir visiter l'appartement de Charlie avant les flics, je ne pouvais pas signaler son décès tout de suite. Et si je faisais ça, je devenais le suspect numéro un dans le meurtre d'un commissaire de police. D'ailleurs, rien que le fait qu'il soit mort dans mon appartement faisait de moi le bouc émissaire idéal. J'étais donc pieds et poings liés et obligé de m'occuper de cette merde. Je te dois bien ça, mon vieux. Je m'assis derrière mon bureau et sortis le petit fourreau en cuir qu'il m'avait donné. Je déliai le petit lacet qui l'entourait et l'ouvris. A l'intérieur, j'y découvris un tout petit crâne ainsi qu'une sorte de baguette torsadée enduite de sang séché. Dans quel bousier t'as encore été te fourrer, Charlie? Alors que je fermais le fourreau pour le glisser dans mes poches, quelque chose traversa la fenêtre a toute allure dans un grand fracas de verre brisé. Par réflexe, j'avais bondi de ma chaise et m'étais adossé au mur. En y regardant de plus près, c'était un corbeau. Un satané corbeau avait défoncé ma fenêtre et s'était écrasé au milieu de mon bureau! Il semblait en mauvais état. Il essayait de battre des ailes, mais apparemment, il s'en était brisée une au passage. Je m'approchai pour tenter de l'aider, mais d'un coup il sembla aller mieux et se mit à voler en direction de ma tête. Je l'esquivai d'un pas sur le côté. Il fit le tour de la pièce en croassant puis repartit par là où il était venu.  

- Mais qu'est-ce que c'est que cette soirée de dingues!?  

- Euuuaaarrh...  

- Quoi encore?  

Là, j'ai regretté d'avoir tourné la tête. Charlie était en train de se relever, plus livide qu'un drap qui sort de la blanchisserie.  

- Charlie? Qu'est-ce que tu fais?  

Il commença à s'approcher de moi, les bras en avant.  

- Rrrraaaahhhh...  

- Ecoute, Charlie, j'aime bien les câlins, mais qu'avec les personnes du sexe opposé, tu vois?  

Je reculai vers mon bureau pour y atteindre le tiroir central.  

- Rrrrhheeuuuu...  

- Je crois que t'as la gorge un peu enrouée, mec.  

Je sortis mon vieux Luger du tiroir et mit Charlie en joue.  

- J'ai bien un remède, mais je suis pas sûr que tu vas aimer. N'approche pas plus près où je tire!  

Il approcha et je tirai. La balle lui arriva en pleine poitrine au niveau du coeur, mais il continua d'avancer comme si de rien n'était. Je lui vidai mon chargeur dessus. La dernière balle lui arriva entre les deux yeux et il s'effondra enfin. Bon bah maintenant, s'ils retrouvent les balles de mon arme dans son corps, ça va pas arranger mes bidons! Je rechargeai l'arme et pris quelques munitions supplémentaires. Je traînai le corps dans mon cagibi et ferma la porte à clé. Il était temps d'aller voir chez lui ce que je pouvais trouver pouvant m'aider dans cette histoire qui commençait sérieusement à me mettre en pétard. Je remis mon manteau et remarquai qu'il restait encore des traces du vomi que j'avais déversé dans la ruelle tout à l'heure. Et merde, un imper tout neuf!  

 

Charlie habitait dans une petite maison en périphérie de la ville. Son salaire de commissaire lui avait permis de s'acheter sa propre maison. Surtout qu'il vivait seul, donc il était large au niveau budget et pouvait se permettre ce genre de petits plaisirs. Le taxi s'arrêta.  

- 221b, vous êtes arrivé monsieur. Ca fera douze dollars cinquante.  

- Je vous en donne quinze et attendez-moi là, je devrais pas en avoir pour longtemps et je vous paierai le trajet de retour.  

- Ok, je bouge pas!  

Je regardai ma montre. Trois heures et demie du mat'! C'est quand que je vais pouvoir dormir, moi? Je traversai la route. Par précaution, je fis le tour de la maison, arme à la main. En passant par le jardin, je remarquai quelque chose d'étrange sur la porte arrière de la maison. Quelqu'un y avait cloué un poulet avec la tête coupée et avait dessiné avec le sang un espèce de pentacle. Juste en dessous, il y avait écrit, également avec du sang: "Mauvais Oeil". Apparemment, Charlie s'était attiré les foudres de personnes qui ne lui voulait pas que du bien. Je jetai un oeil par la fenêtre pour m'assurer que je ne serais pas accueilli par un indésirable. Personne... Je sortis les clés que m'avait passé Charlie avant de mourir et ouvris la porte. A l'intérieur, tout semblait à sa place. Je connaissais plus ou moins l'endroit pour y être passé une ou deux fois boire des coups avec mon ancien collègue. Je me dirigeai donc d'instinct vers son bureau.  

Visiblement, ça faisait un moment qu'il était sur cette affaire! Lorsque j'ouvris la porte, je tombai sur une pièce remplie de photos et de papiers divers épinglés contre les murs. Des annotations au feutre noir parcouraient la plupart des documents. Sur un des murs, il y avait une collection de photos d'hommes noirs avec écrit en gros dessus: "BOKOR ?". Sur le coté, il y avait un tableau avec la carte de la ville. Il avait entouré certains lieux au stylo rouge et les avait reliés à des photos de victimes. Sur son bureau je découvris un dossier marqué "confidentiel" avec tout les détails de l'affaire en question. Je le fermai et l'enfilai dans mon manteau. Dessous, il y avait également un carnet de notes. Je l'embarquai dans la foulée. Bon, mieux vaut ne pas traîner ici... Je ressortis de la maison sans encombres et me dirigeai vers le taxi qui m'attendait toujours...  

 

De retour au bureau, je décidai que la soirée était assez pourrie comme ça et que je méritais un petit somme réparateur. Je m'affalai sur mon canapé. Je pensais pouvoir enfin dormir un peu, mais le fait d'avoir un cadavre planqué dans l'armoire, tout en sachant qu'il s'était déjà relevé une fois, n'inspirait pas des masses mon sommeil. Je décidai finalement de me remettre au boulot. Je sortis le dossier trouvé chez mon ancien collègue ainsi que son carnet de notes et commençai à les éplucher. Apparemment, la police avait retrouvé un certain nombre de victimes, toutes le visage figé dans la peur, sans aucun lien entre elles. Effectivement, à voir les photos, c'était pas du joli-joli. Elles avaient un peu le même teint pâle que Charlie quand il s'est relevé. En plus, sur les photos, on pouvait voir qu'elles avaient craché du sang noir, exactement comme mon vieux pote. Mais ce n'était pas tout! Sur les lieux des crimes, il y avait à chaque fois des symboles dessinés avec du sang, ressemblant étrangement à celui que j'avais vu un peu plus tôt dans la nuit avec "mauvais oeil" écrit dessous. D'après les notes de Charlie, il pensait que ces crimes étaient une vengeance ou des sacrifices perpétrés par un culte vaudou. J'étais pas trop du genre à croire à ce genre de conneries, mais depuis que j'avais vu mon ancien collègue se relever alors qu'il semblait aussi mort que ma belle-mère, et qu'il a fallu que je lui vide un chargeur dessus pour le calmer, j'étais devenu... Comment dire?.. Un peu plus... Récéptif.  

 

...Etait-ce de grattements que j'entendais? Je me concentrai un moment. Gratte, gratte... Mais oui, il y avait bien des grattements! Ils semblaient venir du cagibi. D'un coup, quelqu'un frappa à la porte.  

- Police! Ouvrez!  

- N'entrez pas, c'est dangereux!  

Le flic défonça la porte de mon bureau à coups de pied et entra comme un cow-boy, l'arme à la main. A ce moment précis, la porte du cagibi s'ouvrit et Charlie, complètement suintant de liquide noirâtre et la gueule décharnée, lui tomba dessus en lui mordant le cou.  

- Noooooooooooooon!!!!...  

 

Je levai la tête d'un coup. Un mauvais rêve... C'était qu'un mauvais rêve... Putain! La porte était toujours fermée et il n'y avait aucun grattement. Je regardai ma montre. Il était deux heures de l'aprèm'! Je m'étais endormi tel un narcoleptique. Bon, il est temps d'enquêter un peu plus sérieusement... J'empoignai un vieux journal qui traînait et l'ouvris pour trouver une annonce de charlatan. Madame N'Bassa, résous tout vos problèmes, argent, amour, malédictions, mauvais oeil... Voilà! Exactement ce qu'il me faut!  

L'échoppe de la voyante se trouvait dans une petite ruelle. La vitrine ne payait pas de mine. Pas de panneau, pas de devanture, pas de publicité. Juste un nom écrit sur une petite étiquette à coté d'une sonnette. J'appuyai sur le bouton. Honnêtement, je m'attendais à me retrouver face à la voyante typique, vieille, grosse, avec des gri-gris et des amulettes de partout, un oeil de verre, une jambe de bois, l'haleine de chacal, une verrue sur le bout d'un nez tordu voire même peut-être une calvitie naissante. Il n'en fut rien! Une femme étrangement svelte et sexy qui m'ouvrit la porte.  

- Madame N'Bassa?  

Elle me lança un regard perçant. Le genre de regard qui semble sonder jusqu'à votre âme. Flippant...  

- Entrez.  

Elle me fit signe et je la suivis. Après un petit couloir décoré de toutes sortes d'artefacts et autres bibelots ésotériques, elle me conduisit dans une petite pièce sombre. il y avait là une petite table ronde, deux chaises et une bougie. Des tissus étaient tendus tout autour et de l'encens brûlait sur une table basse visiblement transformée en autel. Une petite figurine que j'imaginais d'origine haïtienne trônait derrière le brûleur.  

- J'aurais une ou deux questions à vous...  

- Taisez-vous et asseyez-vous! me coupa-t-elle.  

Je ne sais pour quelle raison, moi qui d'habitude ne suis pas du genre à me laisser faire, je me suis assis et je l'ai laissé me diriger.  

- Donnez-moi vos mains.  

Je les lui tendis. Elle les prit dans les siennes et ferma les yeux. Elle hocha la tête comme si elle recevait des informations.  

- Vous êtes en danger! La mort est sur vos traces. Beaucoup de cadavres vous entourent... Vous cherchez des réponses, mais vous ne savez pas dans quoi vous avez mis les pieds!  

Soudain, elle serra mes mains beaucoup plus fort, jusqu'à me faire mal. Ses yeux s'ouvrirent mais étaient complètement révulsés. Un courant d'air froid traversa la pièce et fit bouger les tissus. Elle jeta sa tête en arrière, convulsa quelques fois, puis me regarda droit dans les yeux avec les pupilles d'un noir d'encre. Elle parla d'une voix rauque et anormalement grave qui ne devait pas être la sienne.  

- JE SAIS QUI TU ES, JACK DANIELS! JE TE RETROUVERAI ET JE TE DEVORERAI LE COEUR!!!  

Puis elle s'effondra sur la petite table, toujours en tenant mes mains. Ne sachant comment réagir, je me libérai d'abord de son étreinte et lui mis la main sur l'épaule.  

- Madame? Vous allez bien?  

Je la secouai un peu.  

- Madame N'Bassa?  

J'approchai mon visage du sien pour voir si elle respirait toujours. Apparemment tout allait bien. Bon sang, elle était vraiment belle, en fait! Elle ouvrit enfin doucement les yeux en soupirant.  

- Ouf! J'ai cru que j'allais encore me retrouver avec un mort-vivant!  

- Que... Que s'est-il passé?  

- Et bah vous m'avez un peu fait un remake de "l'exorciste" avant de gentiment me dire que vous alliez me dévorer le coeur. Franchement, pour un premier rendez-vous, je trouve qu'on s'en sort pas mal!  

Bon, d'accord, je vous avoue, j'espérais détendre un peu l'atmosphère tout en tentant une approche. Parce qu'autant vous dire, si vous l'aviez eu en face de vous, je suis sûr qu'elle ne vous aurait pas laissé indifférent. Enfin, on se refait pas! Elle eut quand même un petit sourire en coin. Pas bien grand, mais c'était un bon début.  

- Ecoutez, je pense que vous pouvez m'aider. Un de mes anciens amis est mort parce qu'il faisait des recherches sur des meurtres et si je suis en danger, je dois savoir à quoi je fais face.  

- Un Bokor vous en veut. C'est lui qui a pris mon corps pour vous parler directement.  

- J'ai déjà vu ce mot-là... Chez Charlie! C'est quoi, exactement, un Bokor?  

- Un Bokor est un sorcier ou une sorcière vaudou pratiquant aussi bien la magie blanche que la magie noire. Il est capable de transformer les gens en zombies pour être à son service. Ce que vous venez de voir est l'un de ses nombreux pouvoirs.  

- Et autrement, est-ce que ces objets vous disent quelque chose?  

Je sortis le petit fourreau en cuir. Lorsqu'elle vit le crâne et la baguette, elle fit rapidement quelques pas en arrière.  

- C'est... C'est...  

Elle n'arrivait plus à parler et semblait terrorisée par ce que je tenais dans les mains.  

- Quoi? C'est quoi? Dites-moi!  

- C'est... le, le, le... Rangez ça tout de suite!  

Je m'exécutai.  

- Venez avec moi, vous devez rencontrer Mama Bougassi!  

- Mais c'est quoi, ces objets? Pourquoi vous en avez peur?  

- Je crois que c'est ce qu'il reste d'une des têtes réduites du Baron Samedi. Selon la légende, le Baron avait sept têtes réduites autour de la ceinture et chacune lui conférais un pouvoir différent. Je sais qu'une des têtes par exemple lui permettait de s'envoler dans les airs, une autre de le rendre invisible... Si c'est vraiment ça, vous avez une infime chance de vaincre le Bokor qui doit lui aussi être à la poursuite de ces amulettes sacrées. J'espère qu'il n'en possède pas d'autres. Mais venez, je dois vous faire rencontrer Mama. Elle en saura plus que moi.  

 

Elle mit un châle et nous sortîmes de son échoppe. Et voilà comment on se retrouve dans une histoire complètement barge alors qu'on voulait juste se bourrer la gueule tranquille au bar. Ca vous tombe dessus, comme une attaque cérébrale. Et ma foi, bah faut faire avec. Bon, alors si je résume, j'avais un pote mort, un sorcier vaudou qui voulait ma peau, une jolie pépée pour m'accompagner vers une mort quasi-certaine, et des reliques du Baron Samedi qui se baladent dans la nature dont une en ma possession... Les choses sérieuses allaient pouvoir commencer...

Scénario :
une série Z policier (Noir) de Cordelason Forza

Steven Arnold

Sabrina Sbrizi
Musique par Lisa Kelly
Sorti le 02 juin 2029 (Semaine 1274)
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