Cinejeu.net : devenez producteur de cinéma ! (jeu en ligne gratuit de simulation économique)

Luxure présente
La Lolita

Rien n’allait plus dans la cité Staline ! En plus du chômage et de la laideur des bâtiments, voilà que la violence n’était plus seulement dirigée contre l’extérieur mais ciblait de jeunes beurettes qui s’écartaient un peu trop de la vertu. Dans le quartier, l’ancien humoriste raté Donnédieu faisait la pluie et le beau temps avec le théoricien à la noix Alsor et influençaient grandement la communauté qui, après avoir été réduite en esclavage par le patronat, l’était par des hommes a qui il manquait une sérieuse psychanalyse. DonnéDieu et Soral clamaient que succomber aux plaisirs charnel avant le mariage était l’œuvre des sionistes et l’imam Smigoua affirmaient qu’il fallait châtier les collaboratrices du sionisme pour éviter que le mal se propage.  

 

La méthode était simple. Préventivement, on mettait des slips en métal avec cadenas à toutes les jeunes filles de la cité. Mais très vite, Alsor, Donnédieu et Smigoua comprirent que cela ne suffisait pas. Pire, le mal augmentait ! Les sionistes étaient partout et ils étaient pervers ! Ils attiraient les gamines du quartier pour vider leurs cerises dans leur tube digestif ! Ca ne pouvait plus durer. Très vite, fut mis en branle, grâce aux gamins frustrés de la cité, des punitions exemplaires. Lors de descente dans les quartiers extérieurs, ils choppaient toutes les beurettes qui étaient trop prés de l’ennemi pour les châtier dans les caves sombres de la cité Staline.  

 

La jeune Loubna avait été prise alors qu’elle faisait une petite gâterie à son copain, Levy, dans les chiottes du Lycée. Elle avait essuyé des gifles des coups et pire, le sermon de Smigoua puis les délires psychopathes d’Alsor durant toute une nuit ! Loubna se dit que ça ne pouvait plus durer. En plus de ne plus pouvoir se faire culbuter par son copain, la voilà avec des bleus. Franchement, elle aimait encore mieux les douleurs de son derrière quand son copain était saôul et qu'il se trompait d'entrée ! Alors Loubna appela Lolita.  

 

Avec son physique de teen, son petit mètre cinquante, Lolita détonnait sur le bitume de la cité Staline toute de rose vêtue, en mini jupe, botte de cuir. Aucun rebeu n’osait l’approcher ni l’arrêter lorsqu’elle se rendit dans le hall d’un immeuble et qu’elle se rendit dans les caves. Se guidant aux bruits de cris féminins – qui l'excitait car tout cris chez elle évoquaient l’orgasme –, Lolita arriva enfin dans la salle où une dizaine de mec était en train de mettre en purée une jolie petite beurette aux gros obus et à la bouche pulpeuse.  

 

Ni une, ni deux, Lolita se mit en action. Boum ! Boum ! Boum ! A coup de pied, a coup de boule, elle mis hors de fonctionnement ces petits morveux et n’oublia pas au moment final d’imprimer sa signature à coup de talons dans les cerises de ces bouffons ! C’était un beau spectacle de les voir par terre gémir, impuissants. Pour les humilier, Lolita se déshabilla et se frotta contre eux en murmurant : « Alors les gamins, on est frustré ! ».  

 

Il ne restait plus qu’une chose a faire : allez foutre une bonne dérouillée à Alsor, Donnédieu et Smigoua !

Scénario : (1 commentaire)
une série Z sentimentale de Stanley Kubrock

Aslan Karagül

Whitney Salmon
Sorti le 01 janvier 2016 (Semaine 574)
Entrées : 12 592 597
url : http://www.cinejeu.net/index.php?page=p&id=54&unite=fenetre&section=vueFilm&idFilm=10575