Julie croyait suivre le chemin de la vie réussie et heureuse.  

Issue d’une famille de droite et catholique, elle avait pourtant passé sa jeunesse à ne rien faire à l’école occupée à faire la fête, à délirer entre « taspé » en aguichant les garçons mais jamais en franchissant la porte de la chambre (les valeurs morales du catéchisme ayant terrorisé Julie !). « Bas de plafond », Julie toucha le fond en ne faisant rien en classe. La conséquence fut une orientation en STG, un bac raté…  

Heureusement, sa famille était importante. Comme dans les pays de l’autre côté de la Méditerranée, le Père – au ventre bedonnant - qui était avocat et député UMP, veillait au grain. Ce qui lui importait était le prestige de la famille : quoi de mieux que de marier Julie avec Adrien, le fils de Pécherot qui était l’industriel le plus puissant de la région. Le vieux pensait également à sa succession politique : Adrien était intelligent, affûté aux règles du copinage, des coups bas, du mensonge, bref prêt a rentrer dans l’arène de la politique.  

Bref, Julie croyait avoir l’élément qui allait déclencher une vie heureuse et réussie : le mariage avec Adrien à l’orée de ses 20 ans.  

Pourtant, elle dû vite déchanter. Adrien était rarement présent. En femme au foyer, elle s’embêtait ferme, les délires avec ses anciennes copines occupées à bosser en Intérim pour survivre lui manquaient. Certes, elle habitait un 100 m², pouvait tout s’acheter mais le shopping la lassait.  

Surtout, elle compris rapidement qu’Adrien ne s’intéressait pas elle : elle lui servait de potiche dans les soirées mondaine et surtout lui permettait de se vider les « bourses » pendant 4 minutes montre en main chaque soir.  

Pourtant, c’est ces rapports douloureux où elle ne prenait aucun plaisir qui fut pour elle l’élément déclencheur de l’épanouissement.  

Pendant ses longues journées d’inactivité, avachis dans le canapé devant TF1 ou M6, Julie se posa cette question : le catholicisme banni les rapports sexuels qui n’ont pas pour but la procréation. Pourtant, Adrien lui impose cela chaque jour puisqu’il l’oblige à prendre la pilule. Bref : si Adrien ment aux règles catholiques et y prend son plaisir, ne pourrait-elle pas trouver son plaisir par un autre biais ?  

Cette question la tarauda. Puis, un jour elle compris la solution. Un soir où Adrien était en réunion (en fait il était en train de se soulager entre les cuisses d’une escort-girl plus habile que Julie pour faire des galipettes et faire « bander » un mec !), elle zappa par inadvertance sur Canal+ vers minuit. Elle y vit une jolie blondasse qui se caressait. Julie compris que ses soupirs n’avaient rien à voir avec ses cris qui transpiraient la douleursous les coups de butoir d'Adrien. La blondasse semblait prendre son pied.  

Ni une ni deux, Julie alla dans la chambre, se déshabilla et tenta de faire de même. Dès le premier doigt, elle fut prise d’une excitation intense. Ses tétons se durcissent.  

Ce fut pour Julie la clé du bonheur. Chaque jour, elle s’avachissait sur le canapé en expérimentant toutes les manières de se faire du bien : concombre, banane, bouteille de coca cola en verre jusqu’à sa main entière dans l’antre du bonheur !  

Le seul désavantage fut qu’elle dû acheter une cinquantaine de draps, une machine chaque jour tournant pour les nettoyer, remplis de tâches blanchâtres dues à ses plaisirs.  

Heureusement, elle comprit que le faire directement dans la baignoire lui faisait gagner un temps conséquent pour le nettoyage. En plus, elle s’amusait à orienter le jet de son antre du bonheur. Contrôler cette fontaine fut une jouissance de plus.  

Et puis un jour, ce fut le drame.  

Cherchant davantage de plaisir, elle pris une bouteille en verre d’1,5 litre de jus d’orange et se l’enfila à l’intérieur jusqu’à l’éclatement… interne.  

Elle ne put que constater les dégât : ce fut du sang qui coula en abondance !  

Qu’allait-elle faire ? Qu’allait-il advenir ?  

Si elle fut reniée par ses parents, elle prit sa liberté et divorça d’Adrien. Durant son séjour aux urgences, elle fit la rencontre d’un beau brancardier qui lui fit vite découvrir d’autres joie du sexe.  

Pour Julie, ce fut le début d’une vie réussie, heureuse et épanouie !  

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Julie est interprété par la délicieuse Stéphanie Jones qui aime les « burnes » même si les hommes prennent pour une « prune » son « minou » !!!  

Adrien est interprété par Yann Reviglio, un mec « cool » avec les escorts-girl et qui a sans cesse la « gaule » !!!  

Le tout est filmé parAmanda Landers qui n’est pas « miro » et aime regarder les « minou » vu qu’elle est lesbienne !!!