Chapitre 1 :  

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Chapitre 2 :  

Josépha McGonel (Carrie Bremner) et Oscar O'Bryan (Christopher Quinlan) sont deux journaliste d'investigation, et surtout de grand reporters de terrains, ils ont couvert de nombreux conflits armés, de nombreux reportages dans des lieux dévastés par des catastrophes naturelles. Autrement dit, ils ont vu du terrain. Quand ils apprennent que toutes les communication avec Chicago ont été perdus, ils savent qu'il y à là de quoi faire un scoop. Quelque soit la nature de ce qu'il c'est produit à Chicago, il foncent directement vers la ville devenue silencieuse. En chemin, ils apprennent que plus personne ne sort de la ville, et que ceux qui entrent dans Chicago n'en ressortent plus, il se passe quelque chose là bas, ils en sont certains. Il est temps pour eux de faire un choix, soit ils font demis tour, soit ils foncent dans le tas, prenant des risques extrêmes, mais alors ils devront faire vite, car ils savent ce qu’il allait suivre, l’armée coupera les accès à la ville d’ici quelques heures, juste le temps pour eux d’entrer dans la ville même.  

N’écoutant que leur soif de scoop, il pressent l’allure sur les routes désertes. Arrivant au abord de la ville, il rencontrent d’autres journalistes, George et Fred, eu aussi ont voulu voir ce qu’il se passe sur place, ils ont déjà observé les alentours et ont remarqué quelques étrangetés : de moins en moins de monde arrivait en ville, plus personne maintenant car les barrages routiers des militaires se mettent déjà en place – eux même sont à l’intérieur du périmètre « interdit » d’après ce qu’il ont entendu à la radio - ; en observant au jumelle la ville il n’on pas vu âme qui vivent, il n’y à personne dans les environs à part eux ; une colonne de fumée semble s’élever du centre de la ville. En gros, pour Fred, c’est comme si une explosion avait eu lieux au milieux de la ville et que les populations avaient été évacués, mais ni lui ni George n’ont entendu parlé d’une telle chose, on ne déplace pas la population d’une ville entière sans que cela se sache jusque Paris ou Chicoutimi.  

Pendant que George et Fred restent en périphérie de la ville, cherchant une fréquence radio émanant de la ville, ou tout autre moyen d’entrer en contact avec quelqu’un à l’intérieur de cette ville, Josépha et Oscar entrent vers le centre, vers la colonne de fumée, mais en restant en contact avec leur confrères, George leur ayant prêté un talkiewalkie. Leur entrée dans la ville leur confirme que celle-ci est déserte, il font un rapport environs tous les quart d’heure à leur nouveau contact, et Fred leur donne des nouvelles de leur observation – il n’y à plus un seul animal dans le coin ; même les insectes on l’air d’avoir déserté la zone ; la colonne de fumée semble augmenter et en son sommet de sombres nuage se forment… - Leur progression dans la ville leur montre des rues fantômes, mais c’est comme si la ville n’avait été « évacuée » que depuis peu, à peine une heure ou deux. Au fil des échanges par talkiewalkie Josépha se sent de plus en plus inquiète, oppressée par la ville, même sous un bombardement elle ne s’était pas sentie aussi angoissée, et elle remarque bien l’énorme nuage sombre qui s’amoncelle au dessus de la ville.  

Au fil de leur visites, le constat est toujours le même, les rues sont désertes, toutes les rues, Oscar décide de s’arrêter pour visiter un peu, il avait filmé quelques rues, mais il avait stoppé l’enregistrement, cela ne servait à rien d’en prendre trop. Ils sortent de leur minibus, Oscar met la caméra sur son épaule, et Josépha, micro en main commence son spitch sur la ville vidée. Tout en continuant à filmer et à commenter, il entrent dans une bibliothèque municipale, constatant que les lieux sont vides, comme dans les rues, pourtant, quand Oscar coupe la camera, et regarde distraitement autour de lui, il croit apercevoir une ombre parmi les rayonnages. Prévenant Josépha, il rallume la caméra et se précipite vers l’endroit ou il avait vu la chose, mais il ne trouve plus rien. Déçu, il coupe à nouveau la caméra, et sort de la bibliothèque avec Josépha. Ils remontent dans le minibus et roulent à nouveau vers le centre. Oscar s’imagine avoir eu la berlue, mais quand au moment de leur rapport a Fred et George, ceux-ci leur font par de faits similaires, eux aussi ont cru apercevoir comme des silhouettes, des ombres indistinctes, mais les phénomènes étaient furtifs, bien que de plus en plus fréquent. Un quart d’heure plus tard Fred peut encore leur faire part d’apparition de silhouettes fantômes, cette fois il en est sur, les choses apparaissent et disparaissent comme ça, comme des spectres qui surgissent au loin avant de s’évaporer.  

Après plusieurs autres rues désertes, Josépha et Oscar arrivent au abord du centre ville, du moins ce qu’il en reste, en effet ils trouvent là un gigantesque cratère duquel s’élève la colonne de fumée qu’ils avaient vu depuis l’extérieur de la ville. Après avoir filmé le cratère lui-même et la colonne de fumée ainsi que le nuage qui se forme, assombrissant de plus en plus la ville, Oscar aperçoit de nouveau un ombre, puis d’autres, que Josépha peut voir elle aussi cette fois, tout autour d’eux apparaissent des silhouettes furtives, qui disparaissent aussitôt, Saisissant l’occasion, Oscar filme la scène, et quand les deux journalistes visionnent les images au ralenti, il peuvent voir qu’il s’agit de personnes, tous semblant porter les traits de la peur ou de l’angoisse sur leur visage, regardant autour d’eux, mais d’autres semblent faite d’ombre, des créatures faites d’obscurité. Et quand les silhouettes, soudain, arrêtent d’apparaître, Josépha et Oscar commencent à sentir le danger, pas comme celui qui précédait les batailles au milieux desquelles ils se trouvaient parfois, ni même ce sentiment qui les prenait juste avant que les bombes n’éclatent autour d’eux, pas ce sentiment qui précédait quelque chose de violent et très dangereux, quelque chose de bien pire et indicible.  

Reprenant leurs esprits, ils se concentrent de nouveau et évaluent la situation de façon professionnelle, il sont en reportage avant toute chose, mais savent qu’ils doivent agir aussi en fonction de leur instinct et leur expérience des terrains dangereux, il remontent dans leur minibus et retournent à la bibliothèque, faisant toujours leur rapport à Fred et George en cour de route. Josépha et Oscar se cachent dans la bibliothèque, pendant ce temps, Fred et George qui avaient vu des véhicules de l’armée approcher se sont caché dans un parking souterrain des abords de la ville et ont installé leur camp dans un appartement déserté, comme le reste de la ville. Fred leur raconte que dans cet appartement aussi une silhouette allait et venait parmi eux, jusqu'à s’asseoir entre eux deux ; il s’agit d’une petite fille, apparemment âgée de dix ans, complètement paralysée par la peur, et avec qui George essaye de parler. Du coté de la bibliothèque, Josépha à aussi d’étranges phénomènes à décrire, dans la bibliothèque aussi des silhouettes se montrent de plus en plus, de plus en plus longuement, et certaines viennent vers eux et essayent de communiquer…  

« - Fred ? Chuchote Josépha, tu m’entends ? Il y a une des silhouettes qui vient de s’arrêter devant moi, je crois que c’est une femme.  

- une femme ? Répond Fred, okey, la petite fille à parlé ici, elle s’appelle Alice, elle nous parle d’ombres qui mangent les gens, c’est bizarre tout ça, c’est pas rassurant.  

- Fred ? La femme, elle me parle…  

- Quoi ? que se passe t’il ?  

- Elle s’appelle Mary Jane apparemment, elle est devant moi, ce n’est plus une ombre »  

Fred entend alors une voix féminine, une voix assez faible car la personne n’était pas assez proche du talkiewalkie, qui répond à Josépha « bien sur que non je ne suis pas une ombre, mais ça fait un petit moment qu’on essai de vous parler, vous nous ignoriez ? Qui êtes vous ? »  

Nos deux reporters font alors la connaissance de Mary Jane, et après lui avoir raconté d’où ils venaient et montré ce qu’ils venaient de voir, Mary Jane et les autres réfugiés de la bibliothèque leur parle des hordes d’ombre qui règne dehors dans la nuit - Josépha et Oscar remarquent alors la nuit totale qui était tombée dehors -. On leur parle de ombres qui dévorent ceux qui traînent trop longtemps dehors, qui arrivent sans prévenir et font disparaître ceux qui croisent leur chemin, on leur dit aussi que ce danger ne surviens qu’a l’extérieur et que l’intérieur des bâtiments est sur. Mais ce qui étonnent les deux journalistes, c’est quand quelqu’un leur apprend que la nuit règne sur la ville depuis plus d’une journée, chose impossible pour Oscar, pour qui il faisait jour il y avais moins d’une heure à peine. Un jeune homme appelé Marc lui dit alors que la ville entière avait été plongée dans une sorte de dimension étrange ou le chaos défie les lois de la réalité, il leur dit aussi que lui et quelques autres parcouraient la ville malgré le danger affin de récolter des indices sur leur situation, et que leur recherches avançait un peu.  

Pendant ce temps, Fred et George, toujours en communication régulière avec leurs amis, sachant maintenant qu’ils ne doivent pas sortir de leur abris, se déplacent d’appartement en appartement, accompagnés par Alice, pour récolter ce qu’ils peuvent de denrée.A chaque appartement il observent la ville pas les fenêtres et aperçoivent une sorte de brume qui entoure Chicago, et d’où sortent de temps en temps des sorte d’ombres inquiétantes.  

Josépha et Oscar décident de braver le danger avec Marc et John, ils veulent percer le mystère qui entoure la ville toute entière, au dépend de leur sécurité, ils commencent à parcourir les rues et visiter les bâtiments vides avec les autres volontaire, recoupant les faits et amassant les indices – et les réserves de nourritures - qu’ils peuvent trouver, ils font leur job habituel en quelques sorte… Mais dans un environnement inhabituel.