The Line. 2036. Cette ville tentaculaire. Longueur : 170 km. Largeur : 200m. Hauteur : 500m. Habitants : 9 000 000.  

Cette ville a beau être futuriste et gérée par des intelligences artificielles, des petites mains sont toujours là pour faire les bases besognes.  

Parmi ces petites mains, Janik (Janik Colombier) et Kenza (Bianca Hewitt), sont préparateurs. Préparateur ? Cela signifie qu'il peuvent, le lundi, préparer toute sorte de nourriture qui sera envoyée aux étages supérieurs, le mardi, être au hub de réception et de répartition des colis, ou bien encore, le mercredi, être à la préparation de la future fête de quartier.  

C'est le seul emploi non qualifié ici. Les autres métiers sont soit géré par des intelligences artificielles (comme tous les métiers de vendeur) soit réservé pour les étages supérieurs.  

Peu d’entre-eux voient réellement le jour de cette cité qui devait être ouverte vers la nature. L'ensemble de leur journée de travail de 12 heures est effectuée dans "le couloir". C'est le niveau le plus bas, plus bas encore que le métro, et qui regroupe l'essentiel de leurs métiers.  

Lors de leurs périodes de repos, ils retournent, dans leur quartier, à hauteur du sol, la fenêtre unique de leur studio de 15 m² fréquemment ensablée et donc aveugle.  

Josh (Joshua Glennie-Smith), lui, profite de la lumière du jour. Il habite le dernier étage, un appartement somptueux de 200 m², doté de toutes les dernière options permises par les technologies actuelles.  

Mais il n'a pas le temps de se prélasser. Il vient de retrouver sa femme, Jenn, poignardée dans l'entrée.  

Un meurtre, ici ? Alors que toutes les portes sont filmées, tous les accès gérés par les IA ?  

En parallèle de la police dépassée par les événements, et les réponses évasives de l'IA, Josh va commencer son enquête.  

Et celle-ci va soulever de grandes conséquences, qui prendront racine au plus bas niveau de la cité ...