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Dreamgates présente
Le Phare du Bout du Monde

Réadaptation libre du célèbre roman de Jules Verne : Le Phare du Bout du Monde  

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Alors que nous ramions vers le Phare, moi, Vasquez (Sebastian Avery), je me remémorai le fabuleux hasard d’être ici même, loin de tout.  

Je n’avais jamais entendu parler de ce phare, que le gouvernement argentin voulait faire construire à l'extrême sud de l'Amérique du Sud, afin d'éviter un naufrage aux voiliers qui passeraient par là.  

 

L’année dernière, en 1859, je croisai un ami que j’avais perdu de vue, William Sherwood, je ne réussie pas à le reconnaître, mais lui oui. Qu’est ce qu’il avait changé ! Il était bien loin le temps où je le protégeais dans la cour d'école. Un seul regard m’avait suffi à le deviner.  

Il me proposa de l’accompagner. Il avait une affaire urgente et je lui avais dit, qu’en ce moment, je cherchais un travail.  

Nous rentions donc à la mairie. Il me dit qu’il est le directeur des affaires maritimes et qu’il aurait peut-être un boulot pour moi si j’étais sélectionné.  

Gardien de Phare ? Moi ?  

Il avait remarqué dans mes propos que j’avais changé moi aussi, j’étais devenu solitaire.  

Il faut dire qu’à l’armée, j’ai été marqué à vie. La Grande Guerre, ça ne s’oublie pas. Le choix se porta comme dans la plupart des cas sur le candidat qui avait servi un long temps dans l’armée ; une préférence accordée aux anciens militaires pour leur qualité de ponctualité et de discipline.  

Malheureusement, ils engagèrent aussi deux jeunes, le sieur Cruon François, saunier et parent d’un des gardiens, il passe pour un être peu intelligent.  

Il y a aussi Le sieur Erable, forgeron, 27 ans, il paraît qu’il est sujet à des coups de sang qui le mettent dans un état voisin de l’épilepsie.  

 

Voila donc ou j’en suis : chargé de garder un Phare et de former ces deux jeunots insouciants et ignorants. Mais qui voudrait de ce boulot, à part les miséreux que nous sommes ?  

Nous commençons à apercevoir sa lumière. Caché par la brume, le vent souffle fort et la mer est agitée. Pas étonnant d’avoir construit un phare à l'est de la Terre de Feu, là où le Pacifique et l'Atlantique se rencontrent.  

Nous l’aperçurent, de sa couleur rouge et blanche, construit sur un rocher de quelques mètres seulement, je me demande bien comment il peut tenir, les vagues l’enfouissent presque complètement sous des tonnes d’eau.  

 

Après avoir rejoint le phare, non sans mal, déposé nos maigres baguages et avoir envoyé un message en morse, à l’aide d’un télégraphe aux affaires maritime pour leurs dirent que nous sommes bien arrivés, nous prirent possession des lieux.  

Le ravitaillement se fait tous les mois. En attendant, il faut faire attention à ne pas tout engloutir, surtout que la boisson est abondante et il ne serait pas étonnant que les deux s'y mettent si je les laisse faire.  

Mais ce n’est pas le seul problème, William m'a parlé d’un mystère qui entourerait les lieux, les nombreux bateaux qui se sont échoués auraient, parait-t-il, tous sans exception disparu avec leurs cargaisons, il m'a demandé personnellement de découvrir la cause de ce problème et d’y mettre un terme.  

J’ai immédiatement pensé à des pirates et lui aussi, mais le fait qu’ils disparaissent reste très troublant. Si jamais c’est le cas, nous appellerons la marine pour nous venir en aide.  

 

Pendant la première semaine, tout se passa pour le mieux, sauf au sujet de sieur Cruon et Erable, deux empotés. J’ai l’impression que plus je leur apprends des choses et plus ils sont stupides.  

 

La deuxième semaine fut le commencement d’une péripétie bien étrange.  

Alors que je fis mon tour de garde, je fus alerté par un bruit de machinerie provenant de la mer. Un bruit qui ne cessait de s’intensifier et réveilla bientôt mes deux compagnons.  

Nous aperçûmes à notre grande stupéfaction un immense navire sortir de l’eau. Il était étrange, il ne semblait pas venir de cette époque, ce n’était ni un vapeur et ni un bateau à voile.  

Je reconnue le drapeau qui était accroché en haut du navire, c’était un drapeau pirate !  

Leurs cris commencèrent à se faire entendre, plus aucun doute n’était permis, c’était bel et bien eux qui ont volé les bateaux et les marchandises.  

Je me précipitai vers le télégraphe le plus rapidement possible pour que la marine nous viennent en aide.  

 

Ils commencèrent à tirer à coups de canon sur le phare, détruisant ainsi notre seul moyen de communication.  

Le phare s’écroula brutalement avec nous à l’intérieur. Je fus, par chance, sauvé par une poutre qui me protégea des débris.  

Ne voyant plus de signe de vie, les pirates repartirent aussi vite qu’ils étaient arrivés en s’enfonçant comme par magie sous l’eau.  

Ne voyant plus de danger, je décidai de sortir des débris, je cherchai en vain Cruon et Erable mais je n’en vis pas une trace... Ils sont sûrement mort.  

 

Je suis en bien mauvaise posture maintenant. Seul, au bout du monde, sur un rocher et sans moyen de communication.  

Impossible de rester ici, les pirates pourraient revenir pour m’achever. Mais où aller ? La barque dans laquelle nous étions pour venir ici fut détruite par un obus.  

Mais je ne pouvais m’empêcher de penser aux pirates. Par quel procédé peuvent-ils jaillirent de l’eau ? Je ne crois pas en la magie.  

J’allais donc à la nage jusqu’à l’endroit ou il ont apparu.  

Je retint mon souffle et plongea sous l’eau, je vis un gigantesque trou sous le sable.  

 

Je n’ai pas énormément de choix : soit j’attends de mourir sur mon bout de roche, soit je prends mon courage à deux mains et je plonge dans le trou pour découvrir qui sont ces pirates. Je m’engouffrai donc à l'intérieur. Il faisait sombre, plus je m’enfonçais et plus je me disais que c’était une mauvaise idée. Finalement, de la lumière apparut. Je me dirigeai vers elle hâtivement car l’air commençait à manquer. Je sortis de l’eau en franchissant une sorte de portail qui fonctionnait grâce à un procédé que j’ignorais possible. Et là, à ma grande surprise, je ne vis pas qu’un simple repaire de criminel mais une véritable usine. Des centaines de bateaux se faisant réparer à l’aide de machines complexes. Comment cela était-il possible ? Il fallait vraiment le voir pour y croire. A moitié sonné à cause de la pression à laquelle j’ai plongé, et à l’étonnement général d’une telle découverte, je heurtai une caisse à outil avec mon pied, faisant du bruit, ce que les pirates entendirent.  

 

Je me faisais donc capturer et mener en prison pendant 2 jours avec comme seule nourriture du pain rassie et de l’eau de mer.  

On me réveilla pour m’emmener sur un bateau, le plus beau de tous, c’était celui du capitaine.  

Je me retrouvai dans sa cabine en face de lui, en train de boire une bouteille de rhum avachis sur son siège.  

Le Capitaine(Carsten Weiner) : Donne-moi une seule bonne raison de ne pas te tuer sur le champs.  

Vasquez : Et bien, vous détruisez le Phare sans me tuer et au passages m’avez laissez pourrir dans une cellule pendant 2 jours en me nourrissant, alors il serait parfaitement illogique de me tuer maintenant.  

Le Capitaine : Comment ? J’ai fais ça ? Faut vraiment que j’arrête de boire ! Bon, voila ce qu’on va faire, tu as l’air d’être un chic type, tu t’es trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment.C'est juste que nous votre Phare on n'en veux pas,on vie des épaves échoués vois tu ?Bon,Puisque tu te retrouve sans boulot, que dirais-tu de faire parti de mon équipage ?  

Sur ces paroles, je me disais qu’il n’en était pas question mais si je disais ça, ils me tueraient sans aucun doute donc mieux vaut jouer le jeu et à la première occasion je m’enfuirai.

Scénario : (2 commentaires)
une série A fantastique de Sylvester Klimek

Sebastian Avery

Lou Green

Carsten Weiner

Kerrilyn Klimek
Sorti le 20 novembre 2038 (Semaine 1768)
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