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Onze Arpents présente
Dangerous Method

 

 

 

Au milieu de cette église, Judith Rey (Miley Lange) ne se trouve guère à sa place. Elle a cette douloureuse impression de ne pas être à sa place, d'être contemplée, jugée et observée par cet oeil tout puissant qui traîne au dessus d'elle. A ses côtés, son père (Robert Angier) et sa mère (Katia Oblomov) suivent avec attention le serment que leur confère le prêtre. Sa famille est très coyante, rien de bien étrange à cette époque, il faudrait être fou pour remettre Dieu et ses principes en question. Son père a parfaitement éduqué sa fille selon les principes divins, peut être un peu trop selon sa mère. Il la pousse à être parfaite si bien que la jeune femme rêve de s'évader, elle admire ces filles que son père pointe du doigt dans la rue.  

Heureusement pour elle, sa mère est bien plus compréhenssive même si elle persiste à la mettre en garde face au jeunes hommes qui l'entourent et qui tentent de la séduire par divers moyens.  

Judith croît en ce Dieu, elle a lu la bible, execute ses prières et tente tant bien que mal d'éviter de céder aux divers tentations qui l'entourent. Judith a tout de la petite fille idéale, admirée par les plus jeunes, contemplée par les hommes, chérie par ses parents. Et malgré cela, Judith ne sent pas à sa place dans ce monde, elle ne le comprend pas, ou est ce monde qui l'entoure qui ne la comprend pas ?  

 

L'homme (Jeff Collins) ingurgite une gorgée de son vin et glisse lentement sa main dans son pantalon, se caressant le sexe et admirant cette femme nue allongée face à lui. Il profite paisiblement de ce moment silencieux et jouit de son plaisir solitaire. Il approche violement son siège jusqu'à la table d'opération pour sentir l'odeur que dégage sa patience. Il touche ses seins fermes, sa peau éclatente et s'abandonne dans se cheveulure avant de terminer son affaire.  

Après s'être restauré et s'être lavé les mains, le psychiatre Hermerson s'approche de nouveau de sa patiente. Il espère enfin que les électrochocs auront fais leurs effets. Judith Rey est dans ce lieu sordine depuis maintenant trois mois, elle est accusée d'avoir massacré l'ensemble de sa famille à la hache en pleine nuit. Un voisin l'a retrouvé le lendemain faisant de la balancoire complétement ensanglée. Elle fut immédiatement arrêté et envoyée ici, le juge plaidant la folie, la jugeant totalement irresponsable de ces actes.  

Outre ce massacre, Hermerson a établit une thérapie pour inverser la tendance sexuelle de la jeune femme. Judith désire ardemment les femmes allant à l'encontre des principes divins. Depuis trois mois, le psychiatre est face à une véritable impasse, il lui est impossible de remettre la jeune femme sur le droit chemin. Cette dernière a affirmé plusieurs fois s'être détorné des femmes mais Hermerson sait pertinament qu'elle ment.  

Le psychiatre s'approche de la jeune femme encore endormie sous l'effet des somnifère qu'elle a ingurgité. Hermerson a prit l'habitude de lui en attribuer pour s'offrir quelques plaisirs solitaires. Cette patiente est devenue pour lui une véritable obsession, il rêve de glisser sa main entre ses cuisses, de sentir son humidité sur son sexe, de la faire crier de plaisir. Il pourrait abuser d'elle, il en eu l'opportunité à de multiple reprise mais l'homme préfère attendre que la jeune femme s'offre à lui, qu'elle le désire et prenne du plaisir à ses côtés. Bien plus qu'une thérapie, c'est devenue pour lui une affaire personnelle.  

 

Depuis son enfance, Judith suit les cours à domicile, c'est sa mère qui gère son éducation. La jeune femme sest habituée à ce rythme de vie mais parfois elle aimerait quitter cette "prison" dans laquelle sa famille l'y a enfermé. Lorsqu'elle se promène autour du lac et passe près de l'école de fille du village, Judith les envie. Elle n'a pas d'amies et reste la pluspart du temps à l'écart des autres à lire des livres que son père lui avait conseillé.  

Outre le fait d'envier ces groupes de filles qui s'amusent entre elles, Judith possède un curieux sentiment, lequel elle n'a toujours pas réussi à qualifier et qu'elle garde au plus profnd d'elle. Judith trouve ses filles magnifiques, bien plus que la mojorité des garçons qu'elle croise et qui lui lance des regards de désirs et d'admiration. Parfois ces filles reviènnent dans ses rêves ou elle se met à imaginer leurs corps sur le sien.  

Judith sait pertinement que ce désir naissant et contre nature. Elle ne pense à aucun instant en parler à son famille, ni même confesser son crime lors de ses confessions. Pour elle, la vie suit son cour et elle subie malgré elle ses pulsions malsaine, tentant de les cacher au monde et à sa famille.  

 

Hermerson rejoint la jeune Judith dans sa cellule qui lui serre de chambre. Après l'avoir salué et contemplé, le psychologue lui fait signe de le suivre dans le bureau et la jeune femme s'execute aussitôt.  

Comme à son habitude, Hermerson se serre un bon verre de vin sans pour autant en proposer à la jeune femme. Contrairement à la dernière fois, il ne donnera pas un verre d'eau remplis de somnifère à la jeune femme, sûrement dû au fait que ses rêves de la nuit dernière l'ont suffisamment comblé du point de vu sexuel.  

Je vais vous poser une question Judith et je vous en conjure, répondez moi avec la plus grande honneteté...  

- Allez-y docteur.  

- Pensez-vous que nous avonçons ? Arrivez-vous à oublier ce désir contre nature ?  

- Pour être tout à fait franc, je désire toujours les femmes mai croyez moi docteur... Je sais que c'est mal.  

- C'est ce désir qui a tué vos parents, il est grand temps d'y prendre conscience. Vos désirs contre nature ont crée une discorde et est à l'origine de votre geste de folie.  

Hermerson se lève, tapote légèrement l'épaule de la jeune femme et lui fait comprendre qu'elle va devoir de nouveau passer par la case des électrochocs. Judith s'assoit sur une simple chaise face à un immense mur blanc tandis que Hermerson prépare le projecteur. Il passera à la jeune femme divers photos, de femmes dénudées ainsi que d'hommes. Dès qu'il lui montrera une photos de femme, Judith recevra immédiatement un électrochoc pour associer cette image à la douleur et la dissocier ainsi du désir.  

La séance suit son cour et Hemerson appuie avec conviction sur ce petit déclencheur d'électrochocs en y ressentant un certains plaisirs.  

 

Judith ne peut plus garder ce sentiment étrange pour elle, si bien qu'elle décide se rendre à confesse pour se livrer corps et âme à Dieu et écouter son terrible châtiment.  

Face à un prêtre désabusé, Judith raconte son histoire, ses désirs, ses craintes. Ce dernier lui affirme qu'elle se trouve à contre courant, que ses désirs et fantasmes sont contre nature et qu'elle ira en Enfer si rien ne change.  

Malmenée par les propos de son confesseur, Judith rentre totalement déboussolée chez elle ou elle retrouve son père et sa mère pour le dîner. A peine le souper eut-il débuter que sa mère comprit que quelque chose n'allait pas chez la jeune femme. C'est alors que Judith laissa sortir l'ensemble de ses émotions, les larmes débordants de son corps, elle raconte tous à ses parents. Sa mère baisse les yeux et se tue, tandis que son père se lève aussitôt de la table, tire sa fille de la table tout en la traînant jusqu'à sa chambre ou il l'enferme à double tours.  

Recroquevillée sur son lit, Judith laisse s'échapper sa peine et se morfond sur son propre sort. Elle en veux à ce monde, à ce Dieu qui la crée différente des autres jeunes filles.  

 

Encore une nouvelle journée au sein de cette prison psychiatrique pour Judith, elle déambule dans les couloirs, tentant tant bien que mal d'éviter les autres patients. Elle qui ne se sentait pas à sa place à l'extérieur, s'y trouve encore moins aujourd'hui.  

Elle se rend à reculons jusqu'au bureau d'Hermerson pour sa séance quotidienne. Elle sait que cet homme est là pour l'aider, pour la ramener sur le droit chemin, mais plus le temps passe et d'avantage la jeune femme pense qu'elle est définitivement perdue. Ces séances ne l'aident pas et ne cessent de lui prouver qu'elle est différente, un simple monstre de foire, un rat de laboratoire.  

De son côté, Hemerson attend ce moment avec impatience, pressé de revoir son fantasme lui livrer ses secrets. L'homme lui ouvre la porte et lui fait signe d'entrer. Il lui fait comprendre qu'il est grand temps pour eux de passer à l'étape supérieure et tenter le tout pour le tout pour sauver la jeune femme de son trouble.  

L'homme demande à la jeune femme de se déshabiller, cette dernière s'execute non sans la présence visible d'une grande gêne et d'une hésitation palpable. Judith enlève délicatement son habit tandis que son psychiatre l'observe avec envie.  

Une fois sa patiente totalement nue face à lui, Hemerson lui explique qu'il va lui montrer la photo d'un homme totalement nu à l'aide du projecteur, cette dernière devra alors se toucher jusqu'à ressentir du désir envers cette homme. Mal à l'aise, voulant refuser la demande, Judith laisse glisser sa main jusqu'à son entre jambe. Derrière son bureau, assis sur sa chaise, Hermerson en fait de même, refusant de quitter la jeune femme des yeux. Bien loin de vouloir aider la jeune femme, l'intention première est d'atténuer son désir jusqu'à ce que Judith s'offre à lui avec passion, laissant derrière elle son désir pour la gente féminine, oubliant ses fantasmes contre nature.  

 

 

 

Scénario : (3 commentaires)
une série B dramatique de Sheinaz El Ramani

Jeff Collins

Miley Lange

Robert Angier

Katia Oblomov
Sorti le 26 juillet 2036 (Semaine 1647)
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