J'aime ces films dans lesquels on retrouve l'ambiance de notre enfance, quelle que soit notre génération. Ici, on est clairement dans celle des enfants des années 80, mais excepté quelques clins d'oeil à cette époque, l'histoire elle-même est intemporelle. On devine un peu qui est en réalité celle qui lui a donné ce baiser, mais on a envie de savoir comment il va finir par le découvrir. Il y aura sans doute quelques cris et pleurs, puis il ouvrira les yeux et tout finira bien pour les deux amoureux. C'est en tout cas ce qu'on imagine comme fin pour un tel film. L'affiche aussi est très sympa, avec ce personnage principal qui crie victoire, heureux dans son illusion. (Morcar Prod ) [Intéressant (1)] [Anti-jeu !] Je suis fasciné par la sensibilité et la sincérité qui se dégagent de tes personnages, quel que soit le genre du film. N'importe quel garçon de 14 ans se reconnaîtrait dans Benjamin. En tout cas, j'y ai reconnu celui que j'étais, et pas seulement pour les pommes volantes ;) C'est tout à fait le genre de film qui peut me bouleverser, le genre de film où l'on se rend compte qu'on grandit (comme 'My Girl', 'Le Château de ma mère'...) et que ça va être douloureux. L'affiche est parfaitement dans le ton, conforme au style Corbeau (c'est à dire des couleurs vives, presque saturées). // J'avais déjà fait allusion à ce reportage dans les commentaires du film d'Innamoramento... :) Même si je l'ai peu lu, j'adore Zweig aussi ! Je note le titre de la nouvelle ;) (Les Flims Plalstique ) [Intéressant (1)] [Anti-jeu !]