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Cyfer.Prod' présente
The president

Ce texte est long car il retrace toute la vie de John Fitzgerald Kennedy. Le texte est écrit comme si JFK aurait raconter sa propre vie. Ceci est un hommage donné au président le plus charismatique de l'Histoire...  

 

1943, 02hOO. Océan Pacifique, large des îles Salomon.  

 

J'étais dans la cabine. Je me tenais devant mon gouvernail, entrain de naviguer tranquillement. J'avais rarement vu de mer si calme. Ce calme ne me disais rien qui vaille, en vue des Japonnais qui nous suivaient depuis quelques jours. Mon équipage dormait pour la première fois depuis deux jours. Je bloqua le gouvernail et sortit de la cabine de commandement. J'alla à l'avant du navire et me tenu sur les barrières; contemplant les paysages tropicaux non-commun pendant quelques instant puis je retourna vers la cabine.  

Soudain, je m'arrêta brusquement; un bruit de torpille qui venait d'au fond de l'eau m'interpella. Je n'eut même pas le temps de me retourner qu'elle toucha le milieu du bateau, à seulement trois mètres de moi.  

Je fus automatiquement projeté à l'autre bout du navire, ce qui me fracassa le bas du dos sur la barrière de sécurité. Le bateau avait été touché au centre, ce qui le coupa complètement en deux parties.  

Tous l'avant explosa, tuant deux de mes hommes qui se trouvaient dans la cale avant. Puis elle coula.  

La partie arrière dans laquelle j'étais commença elle aussi à couler, alors je me précipita vers la cale ou dormais les hommes, ouvrit la porte et vit premièrement quatre hommes debout, qui étaient seulement secouer. Je leurs ordonna d'abandonner le navire et de rejoindre l'île la plus proche qui se trouvait à cinq kilomètres d'ici.  

Ils s'exécutèrent automatiquement. J'eus à peine le temps d'avancer  

jusqu'à la porte qui mène à la dernière cale, que le bateau coula  

entièrement. Je me trouva maintenant sous l'eau, ayant pris une grande inspiration en quelques secondes. Je naja vers la porte et je réussit à l'ouvrir sans difficultés. J'y trouva trois hommes à moitié noyer.  

Il ne me restait presque plus d'oxygène mais mon enthousiasme me  

permis de tenir quelques secondes de plus et je réussit enfin à les prendre et les sortir de l'épave. En les portants, je parvint à sortir ma tête et celles des trois rescapés de l'eau ce qui me permis de reprendre mon souffle.  

Ils étaient encore inconscients. J'aperçut l'île et je naja de toute mes force, de toute mon énergie vers elle. J'y arriva en dix minutes, les dix minutes les plus longues et dures de ma vie. Ils reprirent leurs esprits et me remercièrent.L'un des trois rescapés était blessé gravement, je le soigna.  

Le reste de l'équipage nous rejoignit. Je tira une fusée éclairante. Six jours plus tard, un avion se posa et nous ramena en Amérique.  

 

 

Après la seconde guerre mondiale, je continua mes études pour devenir politicien. Mon père était ambassadeur américain au Royaume-Uni. Il devint riche dans les années 30', ce qui lui permis de nous payer, à mes frères et moi des études à Harvard.  

Je me fit facilement élire deux fois à la chambre des représentants malgré mes oppositions avec le président Harry S. Truman.  

A partir de là, ma carrière de politicien était lancée...  

 

En 1952, je suis devenu candidat au siège du sénat et j'ai fait sortir le sénateur H. Cabot Lodge.Jr.  

En 1960, j'avais l’opportunité de réaliser le rêve de beaucoup d'américains: devenir président des USA. J'étais maintenant assez connu pour me présenter comme candidat aux élections présidentielles, et succéder au grand Eisenhower. Je remporta les élections primaires dans des états importants comme le Wisconsin ou la Virginie Occidentale. Il n'y avait qu'une seule chose qui aurait pu me freiner dans ma candidature: ma religion catholique.  

 

Mon adversaire principal était un certain Richard Nixon. Je << l'affronta >> à la télévision, devant des millions de personnes, lors de notre premier débat. Il se montra très nerveux, stressé, en sueur, d'un aspect matinal alors que moi, au contraire, j'étais sûr de moi, et de ce que je devais dire. Le combat de parole était à moitié remporter pour moi. Je n'avais plus qu'à convaincre les américains... Malgré cela, il se montra légèrement plus convaincant que moi.  

 

Ma politique était nommé par la presse comme étant une nouvelle frontière. Mes intentions étaient de prévoir une détente envers l'URSS, d'envoyer le premier homme sur la Lune, de valorisé l'égalité entre les noirs et les blancs, de relancer l'économie, de lutter contre les crimes organisée et d'arrêter l’expansion communiste dans le monde.  

 

8 Novembre 1960. élections présidentielles.  

Ce fut le jour le plus attendu de toute ma vie. Le verdict allait être annoncé. Les sondages étaient très serrés entre moi et Nixon. Le compte à rebours fut lancé. Mon coeur battait de plus en plus rapidement. Mon ancienne douleur au dos me fit atrocement mal d'un  

coup, mais je garda mon calme et souffrit en silence. Je fit une petite prière dans ma tête et au même moment le présentateur annonça:  

-Et notre nouveau président est: John Fitzgerald Kennedy!  

Les scores étaient incroyablement serrés, comme si ma prière me permis de gagner. A deux petits dixièmes près, il y aurait eut ex-æquo. J'eut 49,7% des votes contre 49,5% de Nixon. Mon rêve fut enfin réaliser. A partir d'aujourd'hui on ne m’appellerait plus monsieur Kennedy mais monsieur le président...  

 

22 Novembre 1963.  

 

Je me leva comme tous les jours à 8h30. Je descendit déjeuner et je vis ma  

délicieuse femme Jacqueline, qui m'avait préparée mes petites tartines de pain à la confiture de groseille, comme je les aiment avec en supplément, une bonne tasse de café.  

 

Après mon petit déjeuner, j'alla me préparer dans ma chambre. Ma femme était déjà là depuis longtemps. Elle mit ces boucles d'oreilles tandis que je la contemplait avec de grands yeux. Elle me dit de me dépêcher car nous devions prendre l'avion pour nous rendre à Dallas, dans le Texas pour débuter ma campagne de réélection. Nous priment l'avion vers les 10h.  

 

Lorsqu'on arriva là-bas, à 11h30, nous furent accueillit très aimablement par les gens de la région ce qui me surpris car les habitants du Texas préféraient mon adversaire, Nixon. Je ne souhaitait pas faire ce voyage car c'était donc risqué mais ma femme me convaincue de le faire. Nous priment la voiture et le cortège accompagnés du gouverneur Conelly et de sa femme Nellie. Le chauffeur effectua un trajet pour visiter la ville et ses banlieues.  

 

Je regarda ma montre pour la cinquième fois déjà. Je ne sais pas ce que j'avais, j'était anxieux et je vis que le gouverneur et sa femme étaient dans le même état que moi. La seul qui ne craignait rien était me femme. Il était maintenant 12H25 et je commençait à avoir faim. Nous arrivâmes vers la fin du trajet.  

 

Nous avions contourner Dealey Plaza, pour nous trois, sans compter ma femme, c'était la fin du suspense et Nellie me fit remarquer en plaisantant que je ne pourrait plus dire que Dallas me haïssait étant donné l'accueil qu'on nous avait fait. Je rit ce qui me soulagea et me détendit.  

 

La voiture ralentit devant une sorte de librairie. Je regarda une dernière fois ma montre; il était 12h30. Un des agents du Secret Service déclara dans son micro que j'arriverait dans quelques minutes au Trade Mart.  

 

Soudain je ressentit une douleur insoutenable dans la gorge et le coup de feu retentit  

quelques secondes après. J'avait aussi très mal dans le haut du dos. Je vis le gouverneur tomber en gémissant. Personne ne comprenait ce qui se passait. Les deux agents n'avait rien remarqué encore. Je toucha ma gorge qui me brûla énormément et ma main était pleine de sang. Nos femmes hurlèrent en voyant ça.  

 

Je parvenait à tenir quand même jusqu'à ce qu'une autre balle vienne me toucher au crâne. Deux coups de feu retentir ce qui interpella les deux agents qui s'arrêtèrent.  

Le gouverneur hurla:<< Non, non! Il vont nous avoir tous les deux!>>  

Puis je n'entendit plus rien, ma femme me tenait la tête en pleurant. Mes yeux s'alourdirent, puis se fermèrent. Je tomba lentement dans mon fauteuil. Je ne sentait  

plus rien, je ne comprenait pas, je n'entendait pas, je ne voyait plus, je suis mort...  

 

 

 

 

 

écrit par Cyril Ferreirinha.  

dans le rôle de JFK: Colin Richardson  

dans le rôle de Jackeline Kennedy: Joséphine Hytépatatte  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Scénario : (3 commentaires)
une série Z dramatique (historique) de Laura Hanson

Colin Richardson

Joséphine Hytépatatte
Musique par Benjamin Sagnier
Sorti le 21 juin 2025 (Semaine 1068)
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