Il est 1h du matin à New York, et le dernier métro de la ville fait son trajet habituel sur la ligne 5. Un groupe d'amis, un peu éméchés, monte à bord. Dans leur wagon, Un couple quinquagénaire et une adolescente sont assis non loin d'eux. C'est dailleurs les seules personnes présenté dans le train. Les stations défilent, et l'ambiance dans le groupe d'amis balance entre rigolade et taquineries.  

Brusquement, le train s'arrête sous un crissement aigu des roues frottant les rails. Tout le monde regarde par reflèxe à quelle station le métro s'est arrêtté, et se rendent compte qu'il sont en plein milieu du souterrain. Loin d'être inquièts, ils se disent qu'il va repartir d'ici quelques instants. Mais les minutes passent, et toujours rien.  

C'est alors que la lumière s'éteint. Les faibles éclairages du tunnel ne permettent pas de bien voir. Alors Georges, le quinquagénaire, sort de son sac une petite lampe de poche. Il s'approche du groupe d'amis et leur propose de les rejoindre lui et sa femme afin de profiter de la lumière. Au passage, il invite également April, l'adolescente.  

Courageux, Georges prend l'initiative d'ouvrir la porte du train et d'alles voir le conducteur pour s'assurer que tout va bien. Le petit groupe le suit, marchant à tâtons le long du wagon. Arrivés au niveau de la cabine du conducteur, ils s'apperçoivent qu'elle est vide. Intrigué, Georges fait le tour pour passer de l'autre côté du train, et une goutte de sang lui tombe sur la pomette droite. Puis plusieurs gouttes. Il lève les yeux au plafond, aidé de sa lampe torche, et voit le cadavre du conducteur, accroché avec des câbles électriques, la gorge dévorée.  

Devant cette vision d'horreur, tout le monde se met à courrir pour regagner le wagon duquel ils étaient descendu. Effrayés, en larmes, le groupe pense alors toutes sortes de choses. Comment le conducteur est mort? Qui a bien pu l'accrocher au plafond? Et surtout, pourquoi avoir mordu à pleines dents sa gorge?  

Georges, avec son esprit courageux, tente de rassurer tout le monde en leur disant qu'en restant unis ils ne risquaient rien. Alors qu'il parlait, un bruit sourd se fait entendre dans le wagon. Georges, toujours avec sa lampe de poche à la main, éclaire en direction du bruit. Il apperçcoit alors une énorme araignée de la taille d'un ballon de foot, qui, à la vue de la lumière, se met à courrir vers eux. Sans hésitation, Georges ouvre rapidement la porte du train et sort avec le groupe dans le tunnel. Une course poursuite s'engage, jusqu'à ce que Georges trouve une barre de fer et frappe l'araignée jusqu'à l'écraser complètement.  

A plusieurs centaines de mêtres du métro, le groupe pense qu'en continuant leur chemin ils finiront par tomber sur la prochaine station du métro. Ils se mettent en marche, et apperçcoivent un peu plus loin une issue de secours. Un des membres du groupe se dit que cette issue mène forcément dehors. Georges, chef de groupe malgré lui, les conduit vers ce chemin. En ouvran la porte de l'issue de secours, ils font face à deux chemins possibles: un avec des escaliers, et l'autre qui constitue une sorte de gallerie souterraine plutôt étroite. Instinctivement, Georges choisit les escaliers.  

Arrivés en haut des marches, ils se rendent compte que l'issue est bouchée, et qu'ils seront obligès d'emprunter le deuxième chemin. Après avoir demi-tour, le groupe s'engage donc dan la gallerie souterraine. Au bout du long chemin, ils découvrent un wagon abandonné avec de la lumière dedan. Georges prend l'initiative d'aller frapper à la porte pour savoir si quelqu'un vit ici. A peine ont ils le temps de regarder a l'intérieur du wagon, qu'une étrange créature, mi homme mi mort vivant, les attaque de plein fouet en sautant sur l'un d'eux et lui dévorant la cage thoracique. C'est le début d'une longue traque...  

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Durée: 1h50