Paradis  

Petit projet d'un nouveau réalisateur, l'histoire s'articule autour de 3 court métrage de 20 minutes chacun.  

Paradis : Le Signal  

Tyler regardait encore Sabrina, la jeune femme arrivait tout juste d'Amiens pour préparer une licence en médecine dans la capital. Tyler lui était un Paradisien née, professeur de sport dans un lycée du centre ville il avait hâte de montrer le belle appartement en Duplex qu'il venait de s’offrir.  

La neige tombait déjà et l'hiver allait être rude, l'odeur des usines de Barcelone emporter par la les vents donnait une teinte marron au nuage.  

Enfin arrivé à l'appartement les deux amants s’ébattait follement dans le lit quand le téléphone sonna c'était un des amis de Tyler, il devait lui emmener un dvd, mais l'appel fut bizarre, son ami lui disait de fuir le plus rapidement ou de rester confiné dans l'appartement et de ne pas en sortir puis la ligne coupa.  

Puis tout a coup les lumières faiblirent, dehors la neige tomber à gros flocon et il régnait dans l'appartement un silence assourdissant quand soudain quelque chose ou quelqu'un tapait violemment à la porte, Sabrina se collait à son petit ami, il ne s'agissait pas de petit dealer défoncer ou de délinquant, c'était autre chose quelqu'un voulait rentrer à tous prix entrer dans l'appartement.  

Les lumières se rallumèrent et le bruit s'envola.  

Sabrina effrayé mais curieuse de savoir si la personne était partis alla ouvrir la porte, à peine ouvert elle vis.....  

Paradis : La Divine Peur  

Cela faisait maintenant trois jours, trois jours cloitrer apeuré à attendre patiemment que la mort viennent vous cherchez, la jeune fille n'osait plus regarder par la fenêtre elle avait peur d'une chose que la lumiére s'éteigne à nouveau. A l'extérieur la neige recouvrait tout et tous le monde la ville était devenue un océan blanc ou apparaissait des grand building en centre ville, pourtant Paradis situer au Sud de la France jouissait d'un climat doux et ensoleillé pendant l'hiver mais c'était comme si la météo avait plongé la ville dans une mort glacial.  

Sabrina regardait son portable, aucun appel ses traits si doux était devenu dur et son visage miner par le sommeil et la crainte, elle regarda vers la cheminé, quand soudain la lumière clignota puis s’éteignit Sabrina pleurait en se calfeutrant contre le mur blanc, ses choses frappaient encore plus fort sur la porte elle allait bientôt céder, elle ne savait pas quoi faire.  

Dans le vestibule Tyler gisait mort la gorge trancher du sans c'était répandu partout, s'insinuer dans chaque recoin dans chaque fissure du sol, qui l'avait tuer ? Sabrina, juste à coter un couteau long d'une trentaine de centimètre plein de sang commençait à trembler, puis tout l'appartement trembla un morceau du toit s’effondra sur la jeune fille qui juste avant de perde connaissance vis Tyler la regarder.  

Paradis : Pourquoi moi ?  

Courir dans la neige était un calvaire mais il le fallait le jour allait faire place au ténèbres de la nuit, à ses choses qui la pourchassait. Elle ne les voyaient pas, ils étaient nombreux, très nombreux tapis dans l'ombre à attendre qu'une proie facile telle qu'elle ne vienne embrasser leurs bras.  

L'immeuble c'était effondré, Sabrina avait eu le courage de s’enfuir de l'immeuble avant qu'il ne s’effondre la sirène d'alerte n’arrêtait pas de sonné à travers toute la ville. La trentaine de centimètre de poudreuse rendait les déplacements difficile et la jeune femme n'était tout simplement pas préparer à ça.  

Elle le sentait sa fin était proche et elle allait y passé tout comme Tyler, elle voyait encore ses images dans sa tête, elle était persuadé de l'avoir tuer mais non ce n'était pas elle c'était ses choses. Sabrina cru devenir folle quand elle vis de la lumière, un bar, c'était bel et bien un bar on ne pouvait distingué personne à l'intérieur elle posa la main sur la poignet de la porte et déglutit avant d’ouvrir puis ferma les yeux en l'ouvrant, mais personne, il n'y avait strictement personne dans le bar tout était posé tel qu'elle. Comme si les gens étaient partis précipitamment pourtant Paradis était un grande métropole avec soixante dix millions d'habitant repartie tous le long de la méditerranée. Il n'y avait personne mais la lumière était là et elle comptais bien en profiter elle devait survivre pour raconter au monde que..... D'un seul coup du sang gicla sur la vitre du magasin..