Rome, Italie  

Septembre 1949  

''96 cadavres ont été retrouvés sur la place publique ce matin. Tous ses morts seraient directement liés à la vague virale qui circule dans la ville depuis quelques mois. Jusqu'à maintenant plus de 145 000 morts seraient directement liées à cette infection. Les autorités rassurent toutefois le public et invitent la population à se faire vacciner. Les autorités n'osent toujours pas dire que le pays traverse actuellement une épidémie virale meurtrière, mais il est maintenant impossible de le cacher. En cas d'infection, veuillez rester à la maison pour éviter la contamination.''  

67 jours c'était écoulé depuis la découverte de la première victime. Depuis ce temps, plus de 145 000 morts avaient été retrouvées à leur tour. Cette infection avait rendu le monde fou. Les autres pays européens refusaient catégoriquement la moindre entrée ou sortie en direction italienne. La situation était-elle que la panique était lisible dans le visage de l'annonceur télé. Ma soeur avait survécu à l'infection et elle était probablement la solution à cette épidémie. Elle semblait être immunisée et son sang pourrait bien être le vrai vaccin. Je ne l'avais revu depuis le premier du mois. J'étais même inquiet, inquiet, car le gouvernement aussi voudrait également mettre la main sur l'antidote...  

La mort était partout autour. L'air était maintenant dangereux a respiré et l'eau contaminée impossible a boire. J'avais ma combinaison militaire en cas d'attaque au gaz. Très inconfortable, mais grâce a elle, j'étais toujours en vie. Je doutais toujours de la thèse de l'attaque virale, mais c'était ce que tout le monde avait en tête. 145 000 morts en seulement quelques jours et j'avais des craintes face a une éventuelle pandémie mondiale. C'était selon moi inévitable. Et si le monde en était à ces derniers jours?Les rues était complètement déserté depuis quelques jours.LA ville ressemblait a une véritable ville fantômes.Des cadavres était un peu partout dans les rues et les services sanitaires tentait tant bien que mal de contrer la vague virale.Le pays était en plein chaos et rien ne semblait s'améliorer et peut-être l'homme qui avait lui même crée se désastre.