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Oz Films présente
Jésus-Christ

Durée: 2h00  

Restriction: 12 ans  

 

AVERTISSEMENT : l’histoire racontée ci-dessous n’est que pure fiction, et toute ressemblance avec un livre ou toute autre œuvre existante n’est que purement fortuite. De même, les commentaires narratifs (bien qu’intelligemment placés) sont destinés à faire rire et n’ont aucune intention de blesser. A prendre au…ben disons que question degré, il fait chaud !  

Dernière chose, ne venez pas prétendre que cette fiction est pleine d’anachronismes parce que, jusqu’à nouvel ordre, vous n’étiez pas là quand ça s’est passé ! (Surtout que ça c’est pas passé…)  

 

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En l’an 100 après JC (Jules César – oui c’est bien sa naissance à lui qui détermine l’an 0, même en Judée, où se passe notre histoire.), ce qui deviendra un jour l’état d’Israël (et qui s’appelait à l’époque la Terre Promise) est entièrement sous le contrôle de l’empire romain. L’autorité est exercée par un représentant de César (plus Jules, un autre) et le roi juif Hérode n’a qu’un pouvoir d’influence sur son peuple. Les soldats romains considèrent cette Terre comme une bénédiction, pleine de ressources et de splendeurs. En fait, le rêve de tout soldat était d’être expédié là-bas (un peu comme les français rêvent d’être mutés dans le sud…). Les veinards profitaient alors pleinement de leur privilège, et n’hésitaient pas une seconde à abuser des bienfaits que pouvaient leur offrir la région. Qu’elle fût d’accord ou non. Il n’était donc pas rare d’entendre de temps à autres les jeunes et jolies filles du coin gémir de plaisir (et/ou de souffrance, ça dépendait du soldat. Et oui, on n’est pas tous égaux devant les choses de la vie…) et de la voir quelques mois plus tard mettre au monde un enfant.  

 

A Bethléem, la nuit du 25 décembre (les romains avaient le même calendrier que nous en fin e compte, étonnant non ?), un enfant naquit dans une étable. Sa mère, une jeune vierge (Hum Hum…), et son père, forgeron, étaient arrivés dans la ville le matin même après un exil depuis leur Galilée natale. Chassés on ne sait trop pourquoi (paraîtrait que la fille était chaude comme la braise), ils avaient trouvé refuge dans cette étable, en attendant leur heureux évènements. Enfin, heureux, ce n’est pas ce qu’ils en pensaient, eux. Un enfant sous les bras, cela signifiait une bouche en plus à nourrir, et surtout un statut social révisé. La jeune mère était censée être mariée maintenant, et plus moyen de s’envoyer les beaux légionnaires ! Il ne lui restait qu’un barbu médiocre, mais c’était le seul qu’elle avait trouvé pour lui sauver la mise (elle aurait mieux fait de cherche un peu plus, tiens !).  

 

Mais heureusement pour les jeunes parents, les traditions et coutumes juives avaient survécu à l’arrivée romaine. Ainsi, il y avait une très ancienne prophétie qui annonçait la naissance d’un messie, à peu près de ces jours-là. Un nouveau roi, qui mènerait le peuple juif jusqu’au sommet de la tour, plus proche que jamais du ciel et du royaume divin.  

Trois rois mages, bien informés de la prophétie, avaient fait route des jours durant afin d’assister aux premiers instants de leur nouveau roi. Avec dans leurs mains d’innombrables cadeaux, à la valeur inestimable, ils se prosternèrent devant le bébé en larmes (qu’est-ce qu’il y avait comme vacarme dans cette étable !). Les parents se regardèrent et sourirent à la vue de la vie royale qui s’offrait à eux.  

 

Une ou deux semaines plus tard, ils abandonnèrent leur enfant (que les mages avaient nommés Jésus le Christ…pfff c’est pompeux…). Une vierge (encore une !) du nom de Marie le recueillit et l’éleva avec l’homme qui était destiné à devenir son mari, un certain Joseph. Ils élevèrent l’enfant comme s’il é était le leur, malgré leur situation précaire et l’absence d’allocations depuis l’invasion romaine. Pendant ce temps, l’autre salope et son poulet barbu organisaient des orgies avec César, Hérode, Ponce, et tout un tas de belles pépées importées d’Italie. C’est ça la vue de roi…  

 

Il ne reste que peu de renseignements concernant le reste de l’existence de Jésus, de ses parents (adoptifs ou non), mais selon des sources très sûres (on parle de CNN quand même…), il aurait fait carrière dans le football. Un joueur talentueux, mais brisa sa progression à deux reprises. La première fois, en stage avec l’équipe nationale en Samarie, il avait été enfermé plusieurs jours dans une prison (l’empêchant de jouer le match de barrage pour la Coupe du Monde à Lutèce), après une altercation avec un lépreux :  

 

- Monsieur Jésus, vous voulez bien me signer un autographe ?  

- Je veux bien moi, mais t’as un stylo ?  

Et le lépreux, sans bras, de répondre :  

- Mais monsieur…bien sûr que non regardez-moi…  

- Pas de bras, pas d’autographe !  

 

La seconde fois, c’était un peu avant la finale de la coupe qui opposait Jérusalem à Bethléem. Le match le plus important de la saison, et sans doute de sa carrière. Mais malheureusement, le samedi soir, il n’a jamais pris par à la rencontre. On dit que ce jour-là, il était suspendu…  

Scénario : (2 commentaires)
une série A comique de Le Docteur

Sean Tager

Diane Bensz

Raoul Sbrizzi

Maude Lester
Avec la participation exceptionnelle de Armando Boglioni, Raphael Nathanson
Musique par Luke Goodwin
Sorti le 02 octobre 2015 (Semaine 561)
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