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Sergiot Production présente
Z.E.P.

Depuis les émeutes dans les banlieues en octobre 2005, le climat de la société française ne s’est guère amélioré. En 2006, Nicolaï Yassork s’est fait élire à la présidence de la république française, en tablant sur l’insécurité et la délinquance. Une fois élu, Il ne fit rien ! Pourtant, la situation s’était détériorée au sein des banlieues, et les tensions à travers tout le pays étaient palpables… En 2011, il réussit à se faire élire de nouveau, mais de justesse, toujours en utilisant les mêmes arguments qui tiennent tant au français moyen. Yassork aimerait bien récupérer une troisième fois la présidence pour 2016, se qui serait une première dans l’histoire de la cinquième république. Mais comment y parvenir ??  

 

En 2014, ses conseillers devaient apporter des solutions concrètes. Mais aucunes fûts satisfaisantes pour le président. L’idée ultime lui vint un jour en visionnant un film en divx « Battle Royale »…  

 

Le président invita à l’Élisée son Garde Des Sceaux, Le ministre de l’Education Nationale, le ministre de la Défense et le ministre de l’Intérieur. A tous il leur proposa sa solution miracle, et qu’aucunes autres personnes du gouvernement ne devaient être au courant…  

 

3 mois plus tard, dans la périphérie parisienne, plusieurs camions militaires s’arrêtent aux abords d’un lycée zep (zone d’éducation prioritaire). Il est 10 heures du matin, et des centaines de soldats en tenue de combat encercle l’établissement, et repoussent tous ceux qui veulent entrer ou sortir. Tous les élèves (à peu près un millier d’individus de 15 à 20 ans) sont escortés de force dans la salle polyvalente. Tous les professeurs et autres personnels, sont évacués du lycée.  

 

Devant les regards terrorisés des élèves, qui ne comprennent rien, un général de l’armée française se présente à eux, et signale qu’il agit directement sous les ordres du président. Le gradé commence par les insulter et les rabaisser, que si le lycée est en zep, c’est uniquement la faute de ces délinquants qui rongent les bases de la société. Et donc, le gouvernement a décidé de faire un exemple avec ce lycée…  

 

Les minutes passent, et le générale expose rapidement la suite des évènements, à vrai dire c’est très simple, ils ont jusqu’à ce soir 18 heures pour survivre. Ils doivent tous s’entretuer, et seuls les 10 derniers survivants pourront s’en sortir. Comme ça, ils attacheront plus de valeur à leurs vies, et à l’importance de leurs actes… Les élèves hagards et effarés par ce qu’ils viennent d’entendre, essayent de s’enfuir de la salle, mais sont repoussés par des militaires qui tire en l’air avec leurs automatiques. Le général poursuit son laiüs en précisant, que chacun doit de défendre avec ce qu’il a, et ce qu’il trouvera. D’ailleurs, il ne se fait pas trop d’idées là-dessus, vu que la plus part se ballade avec des couteaux, quelques-uns avec des gaz lacrymo ou des pistolets à billes, et que quelques caïds avec de vraies armes. Pour conclure, le général insiste bien sur le fait que tous ceux qui tenteront de s’enfuir du lycée seront implacablement abattus…  

 

L’épreuve de force des militaires n’a pas réussi à dissuader quelques éléments perturbateurs. Ces derniers (environ une vingtaine) sont saisis, et placés au milieu de la cour. Un bref claquement de doigt du général, que les élèves dissidents reçoivent chacun une balle dans la tête. Les militaires et le générale quitte l’enceinte de l’établissement, et ce dernier lance une petite boutade en tournant les talons : « que la chasse commence !».  

 

Les élèves n’ont même pas le temps de se concerter, que certains sautes déjà à la gorge de leurs camarades. C’est la panique dans la salle polyvalente, la plus part sortent et tentent de se cacher un peu partout dans le bahut. Le carnage a déjà commencé, et on peut déjà dénombre des morts…  

 

Plus les heures passent, et plus l’asphalte de la cour rougie du sang des innocents. Les élèves se battent dans tous les recoins, les salles de classes, les escaliers, le self, ... Des étages, les fenêtres ont explosées suite aux passages inopportuns d’ados. Les plus malins se sont dirigés vers les cuisines pour y récupérer les ustensiles les plus tranchants. Ceux qui tentèrent une échappée, malgré la mise en garde, furent abattus par les militaires…  

 

Une fillette d’à peine 15 ans qui s’était planquée dans les chiottes et qui pleure toute les larmes de son corps, est retrouvée par un gars plus costaud, il lui empoigne la gorge, et la noie dans la cuvette des WC. Un gringalet binoclard, et souffre-douleur, ramasse un bout de verre et poignarde d’une dizaine de coups le mec qui le martyrisait, et ce, juste avant de se ramasser une chaise au travers de la gueule…  

 

Les meilleurs amis deviennent les pires ennemis, les duels à mort se poursuivent et s’enchaînent. Les cadavres deviennent plus nombreux que les vivants. Il n’est que midi, encore six heures à survivre à cet enfer pour les plus chanceux…  

 

En même temps, le président se délecte de ce carnage sur plusieurs écrans, grâce à des mini-caméras installées quelques jours auparavant...  

 

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Satyre sociale ? Parodie ? Critique d'un gouvernement ? ...  

A vous de faire votre propre opinion sur ce film...  

 

 

Jean-Marie en rêvait, Nicolaï l'a fait...  

Scénario : (2 commentaires)
une série A d'action (Drame / Horreur) de Virginia Kruger

Andreas Baccarin

Laura Taufen

Ron Bremner

Adélaide Lynch
Avec la participation exceptionnelle de Jack Carta, Eva M'Gonfler
Musique par Albin Bowie
Sorti le 08 novembre 2014 (Semaine 514)
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