26 décembre 2004. Sur les cotes indonésiennes, un couple célèbre en famille la naissance de leur fils. Il s’agit de riches propriétaires terriens, qui ont différents plantations et investis dans quelques hôtels touristiques.  

La fête bât son plein, lorsqu’un tremblement se fait sentir. Se qui n’inquiète guère les convives. Ce tremblement est suivi, quelques minutes plus tard, d’un autre tremblement encore plus grand. La fête s’arrête, chaque personnes restent figés, se regardant dans les yeux. Puis quelques uns, prit de panique tente de quitter la somptueuse demeure, panique qui parvint aux autres…  

A peine ont-ils eu le temps de réagir, q’un immense raz-de-marée submerge la cote, et vient se fracasser contre les battisses, emportant les murs avec elle…  

Pratiquement rien ne résiste à cette force de la nature. L’eau charrie en son sein, décombres, arbres, cadavres, … Toujours en s’enfonçant dans les terres…  

Lorsque cette catastrophe prend fin, quand les eaux reprennent le large, cette famille qui faisait la fête découvre avec horreur l’ampleur des dégâts, et le nombre des victimes ou disparu de sa famille. C’est ainsi que le mari découvre sa pauvre femme empalée sur la grille d’entrée. Prit de frénésie, il va dans la chambre où se trouvait son bébé, mais ce dernier a disparu, certainement emporté par des eaux en furies qui ont éventrés les murs de la chambre. Il court vers la cote, et voit au loin le berceau d’où émane les cris à peine audible de son bébé…  

Il prend un corde, se l’attache autour de la taille et à ce qui reste d’un arbre, et cours vers la mer. Il se laisse emporter par la vague qui repart d’où elle vient. Après d’immenses efforts, il parvient à atteindre le berceau. Il regagne la berge en s’aidant de la corde, tout en agrippant le berceau…  

A son retour sur la terre ferme, il est accueilli comme un héros. Après l’enterrement de sa femme et de ses amis, il aide à la reconstruction de la cote…  

Une vingtaine d’années plus tard, alors que ces affaires son fleurissantes, il accueil, pendant les vacances d’été, son fils. En effet, ce dernier était aux Etats-Unis pour suivre une scolarité très poussée. Pour pouvoir reprendre les affaires de son père…  

Mais le fiston est quelqu’un d’impatient, et ne veux pas attendre la mort de son père pour jouir enfin de la fortune familiale. Arrivé sur le sol indonésien, qu’il a une idée bien précise en tête. A peine fait-il les salutations d’usages à son père, qu’il le poignarde violemment dans le ventre. Le fils lui dis au creux de l’oreille « T’es pu dans le coup, vieux !». Le paternel gisant au sol, ne restant que quelques soupirs à vivre se met à penser à une chose : En serait-il là en ce moment ? Si il n’avait pas sauver son fils lors du tsunami….