Brad a deux tics dans la vie ! Egorger des nanas toutes de latex vêtues et bouffer des Haribos, surtout les bananes jaunes ! Beau paradoxe et double facette de cet huberlulu des temps modernes, chemises ouvertes, bide bien avancé et calvitie précoce !  

Bref, ça craint du boudin à Ploucland. Les boîtes échangistes ont fermés leurs portes et les fans de soirées SM, domination et torture de tétons ne peuvent plus s'adonner à leurs fantasmes. Sans ces jouissances, la ville de Ploucland risque d'être innondée d'une vague puissante de foutre lorsque la digue sera enfin abbatue...  

Où plutôt quand le psycho-couac qui serre des kikis de demoiselles toujours habillées en noir sera arrêté ! Et là, le commissaire Rien-dans-le-ciboulot est grave dans la panade ! Car côté cogite, c'est pas gégéne !  

Bref, alors que les pratiquants de SM se retiennent la peur au ventre, Brad doit trouver la parade ! Après avoir égorgé une bonne trentaine d'adeptes du Latex, faut qu'il fasse son deuil de l'époque y-avait-qu'à-s'baiser ! Fini les soirées SM et coquines où il allait à la pêche !  

Heureusement qu'y s'rappelle qu'l'dernière p'tiote, Eva, qu'il a avait égorgé allait au club avec ces deux amatrices de domination que son Laurie et Lauralie. Bouffant des bananes jaunes, le voilà qui s'radine chez les deux donzelles pour les ligoter et les emmener dans sa cave voir si son couteau est bien aiguisé...  

Brad arrivera-t-il a bouffer des bananes jaunes sans qu'elles soient éclaboussées par le sang ?  

Lauralie et Laurie vont-elles dominer ce serreur de kiki ?  

Le commissaire rien-dans-le-ciboulot va-t-il enfin comprendre ces drôle de bananes jaunes en état de décomposition dans le ventre de la trentaine de victimes ?  

Ilias, le vendeur d'Haribo a-t-il compris avant les autres ou bien pense-t-il que sa copine le trompe pour suivre d'aussi près son épouse, cul en mouvement qui s'radine chez Lauralie ?  

VOUS LE SAUREZ EN ALLANT VOIR Serial Killer, SM et Haribo !  

NB - Au p'tit' rien dans le bide qui vient de mettre un 0 sans commentaire, ait les burnes de commentez bonhomme !