Prod'Artaud : le cinéma et son double !
par Jérémie Walken » Dim Jan 18, 2009 9:24
En voilà un au moins qui ne risque pas d'être assassiné en pleine rue. Qui oserait faire du mal à un si délicat vieillard, sachant qu'il ne lui reste de toute façon que quelques semaines à vivre ?
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par Nando Arrabal » Dim Jan 18, 2009 13:16
L'agence intérim nous a assuré que le secteur "attaché de presse - porte parole de groupuscule dont la diplomatie est délicate" est un domaine quelque peu bouché.
C'est le seul qu'on a pu trouver... Nando.
Marcel Duchampignon.
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Marcel Duchampignon.
Le cinéma des autres
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par FireWolf » Dim Jan 18, 2009 15:54
Jérémie Walken a écrit :En voilà un au moins qui ne risque pas d'être assassiné en pleine rue.
Je pense qu'il mourra de vieillesse avant d'être assassiné.
Roger admire beaucoup Lénine, Roger admire beaucoup les nones. Thierry Hazard, 1990
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par Nando Arrabal » Dim Jan 18, 2009 19:44
Un peu de respect pour nos anciens. On lui a mis les piles du petit lapin rose.
Marcel. Duchampignon.
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Plus simple qu'une bouteille de lait...
par Nando Arrabal » Jeu Jan 22, 2009 15:42
Cher Riri,
Nous sommes très enthousiastes, l'un l'autre, à la simple idée de pouvoir collaborer, oui, mais avec un allié de choix. Le projet "Simulation de crise chez Prod'Artaud" répond à une demande de curiosité comme le visiteur achète un billet pour la galerie des monstres.
Bienvenue, donc, au muséum d'histoires naturelles des producteurs de GM. Le projet suscite une passion pour ce jeu. Nous en espérons des commentaires de même calibre. Et déjà, ici un 3 étoiles, là pousse un 0 étoile. Non vraiment quelle curiosité !
La production MORCAR déclare ne plus s'amuser et nous prend personnellement à parti. La guerre que nous avons lancée est psychologique et nous pratiquons la torture sur des boucs émissaires de choix. Nous cherchons à ébranler et à remettre en question certains acquis ! En lançant cette bataille, due au départ de Rrose Sélavy, nous savions que nous la perdrions. Le "Cinéma innovant, d'avant-garde et d'auteur" contre "le cinéma de foire, divertissant et visuel", ne s'entendront jamais tout comme la pensée et l'acte. Il s'agit de deux mondes égaux et différents, si différents qu'il convient parfois mieux de les distinguer.
Dans cette bataille, tout n'est que rôle bien sûr. Rrose Sélavy, le loufdingue manipulé ; Marcel Duchampignon, le totalitaire paranoïaque et, bientôt, Nando Arrabal, l'increvable ancien SS reconverti dans la diplomatie. Même nos convictions jouent la comédie : n'oublions pas que nous sommes dans la ville des masques !
Assurément, nous espérons un jour sortir de la petite mégalomanie qui nous tiraille. Mais pour l'heure, Prod'Artaud traverse une crise et c'est en proposant cette dernière oeuvre qu'elle ouvre le champagne.
Alors c'est quoi cette oeuvre ? Une chose est sûre : celui qui prend au sérieux et reste dans les rails droits de la convention sera déçu. Nous avons beaucoup de sincérité et de nos convictions que nous avons choisi, a posteriori, de tourner en ridicule. A la base, c'est vrai, nous voulions rendre un projet vide mais nous nous sommes dit que, tant qu'à perdre notre rang, bousillons toutes les statistiques.
Nous ne voulions pas de discrétion. Cela est pour les modestes et les humbles qui sont des valeurs de pauvres d'esprit. Alors il nous faut zigzaguer entre "Nous voulons voir grand pour GM" et "il ne faut pas péter plus haut que son cul" (en plus ça tâche ton joli pull).
Oui nous fonctionnons à tâtons, un peu aveugle. Nous fonctionnons par déductions et ne sommes sûrs de rien. A notre passage, même la terre devient molle comme un tableau de Dali.
Alors c'est quoi cette oeuvre ? Ce n'est pas un film ! Il n'y a que des références punk, pop'art et dada. Nous ne sommes ni anarchistes de droite ni nihilistes. Nous espérons que, par exemple, d'ici deux ans, nous ferons une biographie acceptable sur Marc-Edouard Nabe et Jean-Edern Hallier.
Alors cette oeuvre c'est quoi ? Le projet signifie aussi, et dorénavant, que vous, Riri, seul vous, avez 5 millions de $ (incompressible) dans notre maison. Cela signifie encore que nous devrons vous inclure dans un projet de série A par an. Cela veut dire aussi qu'à partir d'une de vos idées - y compris concours - développer un film qui symbolisera nos échanges culturels. Cela dit, nous vous assurons que ce n'est pas sans contrepartie : nous n'avons pas le même pouvoir dans votre maison et nous ne voulons pas de ce pouvoir. Nous désirons que vous sortiez un film qui nous serait dédié comme vous aviez prévu de le faire. Nous désirons aussi que nous fixions ensemble une quantité de projets et de réalisation par année. Est-ce si présomptueux ? ... oui - et ça a de la gueule ainsi.
Alors c'est oeuvre c'est quoi ? C'est un projet où la critique peut détruire le projet comme une pinata. Si on met 5 étoiles, on a rien compris car il ne rentre pas dans les conventions de GérardMerveille. Une telle note est une insulte pour tous les autres concurrents ! Si on met un zéro pointé, c'est que le projet a été pris au sérieux sur la forme et sur le fond et on a rien compris aussi.
Alors cette oeuvre c'est quoi ? C'est la plus belle leçon qu'un projet puisse transmettre à son public et aux autres producteurs : puisque toutes les cabrioles, ne fonctionne pas, puisque ni la langue ni l'acte ne peut contrarier cette provocation, il faut user d'humour, il faut relativiser, prendre du recul - ce qui vient en parfait décalage avec la passion qu'il y a dans le film. Votre critique, Riri, peut devenir le calme après la tempête.
Alors cette oeuvre, c'est quoi ?
Dis, papa, c'est quoi cette bouteille de lait ?
Le Camarade Olivier.
PS : On ne dit plus PS mais Ségolène.
Ségolène : Vous adorez notre affiche ? Nous l'aimons beaucoup aussi mais elle mériterait d'être mieux traitée. Elle est pleine d'influences (pop et constructiviste). Trop primitive dans son traitement cela dit, dommage. Nous ne voulions pas d'un packaging, nous voulions pas être noté pour l'affiche.
Nous sommes très enthousiastes, l'un l'autre, à la simple idée de pouvoir collaborer, oui, mais avec un allié de choix. Le projet "Simulation de crise chez Prod'Artaud" répond à une demande de curiosité comme le visiteur achète un billet pour la galerie des monstres.
Bienvenue, donc, au muséum d'histoires naturelles des producteurs de GM. Le projet suscite une passion pour ce jeu. Nous en espérons des commentaires de même calibre. Et déjà, ici un 3 étoiles, là pousse un 0 étoile. Non vraiment quelle curiosité !
La production MORCAR déclare ne plus s'amuser et nous prend personnellement à parti. La guerre que nous avons lancée est psychologique et nous pratiquons la torture sur des boucs émissaires de choix. Nous cherchons à ébranler et à remettre en question certains acquis ! En lançant cette bataille, due au départ de Rrose Sélavy, nous savions que nous la perdrions. Le "Cinéma innovant, d'avant-garde et d'auteur" contre "le cinéma de foire, divertissant et visuel", ne s'entendront jamais tout comme la pensée et l'acte. Il s'agit de deux mondes égaux et différents, si différents qu'il convient parfois mieux de les distinguer.
Dans cette bataille, tout n'est que rôle bien sûr. Rrose Sélavy, le loufdingue manipulé ; Marcel Duchampignon, le totalitaire paranoïaque et, bientôt, Nando Arrabal, l'increvable ancien SS reconverti dans la diplomatie. Même nos convictions jouent la comédie : n'oublions pas que nous sommes dans la ville des masques !
Assurément, nous espérons un jour sortir de la petite mégalomanie qui nous tiraille. Mais pour l'heure, Prod'Artaud traverse une crise et c'est en proposant cette dernière oeuvre qu'elle ouvre le champagne.
Alors c'est quoi cette oeuvre ? Une chose est sûre : celui qui prend au sérieux et reste dans les rails droits de la convention sera déçu. Nous avons beaucoup de sincérité et de nos convictions que nous avons choisi, a posteriori, de tourner en ridicule. A la base, c'est vrai, nous voulions rendre un projet vide mais nous nous sommes dit que, tant qu'à perdre notre rang, bousillons toutes les statistiques.
Nous ne voulions pas de discrétion. Cela est pour les modestes et les humbles qui sont des valeurs de pauvres d'esprit. Alors il nous faut zigzaguer entre "Nous voulons voir grand pour GM" et "il ne faut pas péter plus haut que son cul" (en plus ça tâche ton joli pull).
Oui nous fonctionnons à tâtons, un peu aveugle. Nous fonctionnons par déductions et ne sommes sûrs de rien. A notre passage, même la terre devient molle comme un tableau de Dali.
Alors c'est quoi cette oeuvre ? Ce n'est pas un film ! Il n'y a que des références punk, pop'art et dada. Nous ne sommes ni anarchistes de droite ni nihilistes. Nous espérons que, par exemple, d'ici deux ans, nous ferons une biographie acceptable sur Marc-Edouard Nabe et Jean-Edern Hallier.
Alors cette oeuvre c'est quoi ? Le projet signifie aussi, et dorénavant, que vous, Riri, seul vous, avez 5 millions de $ (incompressible) dans notre maison. Cela signifie encore que nous devrons vous inclure dans un projet de série A par an. Cela veut dire aussi qu'à partir d'une de vos idées - y compris concours - développer un film qui symbolisera nos échanges culturels. Cela dit, nous vous assurons que ce n'est pas sans contrepartie : nous n'avons pas le même pouvoir dans votre maison et nous ne voulons pas de ce pouvoir. Nous désirons que vous sortiez un film qui nous serait dédié comme vous aviez prévu de le faire. Nous désirons aussi que nous fixions ensemble une quantité de projets et de réalisation par année. Est-ce si présomptueux ? ... oui - et ça a de la gueule ainsi.
Alors c'est oeuvre c'est quoi ? C'est un projet où la critique peut détruire le projet comme une pinata. Si on met 5 étoiles, on a rien compris car il ne rentre pas dans les conventions de GérardMerveille. Une telle note est une insulte pour tous les autres concurrents ! Si on met un zéro pointé, c'est que le projet a été pris au sérieux sur la forme et sur le fond et on a rien compris aussi.
Alors cette oeuvre c'est quoi ? C'est la plus belle leçon qu'un projet puisse transmettre à son public et aux autres producteurs : puisque toutes les cabrioles, ne fonctionne pas, puisque ni la langue ni l'acte ne peut contrarier cette provocation, il faut user d'humour, il faut relativiser, prendre du recul - ce qui vient en parfait décalage avec la passion qu'il y a dans le film. Votre critique, Riri, peut devenir le calme après la tempête.
Alors cette oeuvre, c'est quoi ?
Dis, papa, c'est quoi cette bouteille de lait ?
Le Camarade Olivier.
PS : On ne dit plus PS mais Ségolène.
Ségolène : Vous adorez notre affiche ? Nous l'aimons beaucoup aussi mais elle mériterait d'être mieux traitée. Elle est pleine d'influences (pop et constructiviste). Trop primitive dans son traitement cela dit, dommage. Nous ne voulions pas d'un packaging, nous voulions pas être noté pour l'affiche.
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par Morcar » Jeu Jan 22, 2009 16:47
Un film très travaillé, en effet.
Reste que le but du départ était de perdre un maximum de pognon, comme tu m'avais demandé par MP comment le faire, donc autant jouer le jeu à fond de notre côté aussi...
Reste que le but du départ était de perdre un maximum de pognon, comme tu m'avais demandé par MP comment le faire, donc autant jouer le jeu à fond de notre côté aussi...
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par Nando Arrabal » Jeu Jan 22, 2009 19:00
Cher Morcar,
Vous pouvez mettre la critique et la note que vous jugez utile car, de toute manière, un film d'horreur avec autant de budget ce sera très dur... Je ne suis pas sûr de rentabiliser le cachet de N.Morcar même en aynat dix commentaires à cinq étoiles.
Je ne pense pas que les étoiles changent grand chose.
En effet, le premier principe était de perdre.
De fil en aiguille, je n'avais pas choisi la méthode discrète. Alors tant qu'à faire, autant le faire avec le sourire "émail diamant"(copyright).
N'est-ce pas superbe !?
Marcel Duchampignon.
Ségolène : N. Morcar est grand maintenant, il veut s'émanciper. Laissez-le partir.
Vous pouvez mettre la critique et la note que vous jugez utile car, de toute manière, un film d'horreur avec autant de budget ce sera très dur... Je ne suis pas sûr de rentabiliser le cachet de N.Morcar même en aynat dix commentaires à cinq étoiles.
Je ne pense pas que les étoiles changent grand chose.
En effet, le premier principe était de perdre.
De fil en aiguille, je n'avais pas choisi la méthode discrète. Alors tant qu'à faire, autant le faire avec le sourire "émail diamant"(copyright).
N'est-ce pas superbe !?
Marcel Duchampignon.
Ségolène : N. Morcar est grand maintenant, il veut s'émanciper. Laissez-le partir.
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par Production Riri et neveu » Jeu Jan 22, 2009 20:18
Monsieur Nando Arrabal,
Monsieur Marcel Duchampignon,
Monsieur Rrose Sélavy,
Olivier,
Votre lettre à l'intention de Riri2 est bien parvenue à Production Riri3 et Neveu Associé (PRNA).
Riri2 est actuellement à l'étranger pour voyage d'affaire. Nous même, à PRNA, ne savons rien : ni sur la destination (même si le programme électoral du FMLN qui a remporté les législatives au Salvador traïnait sur son bureau ainsi qu'un guide du routard), ni sur l'objet de ce voyage.
Par contre, Riri2 m'a parlé de notre entrée chez Prod'Artaud. Bien sûr, cela s'est fait avec mon accord et devrait être en toute logique être approuvé par le prochain conseil d'administration.
En outre, Riri2 m'a parlé avec enthousiasme de ce fameux Simulacre de crise chez Prod'Artaud.
Enfin, Riri2 m'a confié peu avant son départ de ses désirs de collaboration avec Prod'Artaud. Nous n'avons pu approfondir cette discussion.
Comme vous le savez, aprés une pause, nous avons annoncé notre retour : trois films ont été annoncé à la presse dans l'indifférence générale. Si le film qui est dédié à Rrose Sélavy n'est pas prévu dans ce calendrier, c'est que Riri2 a refusé tout les "final cut" de réalisateur voulant fourvoyer son projet. C'est pourquoi il s'est attelé lui même a l'écriture du scénario et devrait le réaliser.
Comme vous le savez, je dois faire le point avec Riri2 des projets de PRNA devant la meute de journalistes à la fin du mois de janvier 2012. Ce point englobera bien sûr les propositions que vous nous faîtes.
Nous savons bien sûr que l'existence de PRNA comme celle de Prod'Artaud est précaire au contraire de la majorité des autres boîte de production.
Non pas pour une histoire de trésorerie.
Bien plus par les démons intérieurs qui nous guette.
Nous vous tenons au courant avant que la teneur de nos décisions soit livrée aux autres producteurs via l'entretien qui devrait paraître dans ce torchon qu'est Flash Merveilles.
Cordialement,
Malek Ouasetine, réalisateur, P-D.G de PRNA
Monsieur Marcel Duchampignon,
Monsieur Rrose Sélavy,
Olivier,
Votre lettre à l'intention de Riri2 est bien parvenue à Production Riri3 et Neveu Associé (PRNA).
Riri2 est actuellement à l'étranger pour voyage d'affaire. Nous même, à PRNA, ne savons rien : ni sur la destination (même si le programme électoral du FMLN qui a remporté les législatives au Salvador traïnait sur son bureau ainsi qu'un guide du routard), ni sur l'objet de ce voyage.
Par contre, Riri2 m'a parlé de notre entrée chez Prod'Artaud. Bien sûr, cela s'est fait avec mon accord et devrait être en toute logique être approuvé par le prochain conseil d'administration.
En outre, Riri2 m'a parlé avec enthousiasme de ce fameux Simulacre de crise chez Prod'Artaud.
Enfin, Riri2 m'a confié peu avant son départ de ses désirs de collaboration avec Prod'Artaud. Nous n'avons pu approfondir cette discussion.
Comme vous le savez, aprés une pause, nous avons annoncé notre retour : trois films ont été annoncé à la presse dans l'indifférence générale. Si le film qui est dédié à Rrose Sélavy n'est pas prévu dans ce calendrier, c'est que Riri2 a refusé tout les "final cut" de réalisateur voulant fourvoyer son projet. C'est pourquoi il s'est attelé lui même a l'écriture du scénario et devrait le réaliser.
Comme vous le savez, je dois faire le point avec Riri2 des projets de PRNA devant la meute de journalistes à la fin du mois de janvier 2012. Ce point englobera bien sûr les propositions que vous nous faîtes.
Nous savons bien sûr que l'existence de PRNA comme celle de Prod'Artaud est précaire au contraire de la majorité des autres boîte de production.
Non pas pour une histoire de trésorerie.
Bien plus par les démons intérieurs qui nous guette.
Nous vous tenons au courant avant que la teneur de nos décisions soit livrée aux autres producteurs via l'entretien qui devrait paraître dans ce torchon qu'est Flash Merveilles.
Cordialement,
Malek Ouasetine, réalisateur, P-D.G de PRNA
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par Nando Arrabal » Jeu Jan 22, 2009 23:33
Riez,
Ouvrier
Ari-G !
Attendons votre critique !
Marcel Duchampignon.
Ouvrier
Ari-G !
Attendons votre critique !
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par Morcar » Jeu Jan 22, 2009 23:59
Voilà qu'ils s'associent maintenant !
On n'est pas dans la merde !
Vous allez ruiner la carrière de mon "pauvre" réalisateur avec ce film. Son compte en banque va exploser, et il est certains maintenant de devoir payer l'ISF (peut-être va-t-il devenir copain avec William Molchany finalement, pour tenter de trouver un arrangement avec le FISC...), mais après ça, plus personne ne va vouloir travailler avec lui.
Et dire que c'est moi qui vous ai conseillé sur les différentes manières de jeter son argent par la fenêtre (puisque j'avais moi même songé un moment à dilapider tout mon argent pour "redémarrer à zéro" en racontant une histoire d'amende à payer par la société, à l'époque des soucis judiciaires avec Enzo Matteo. Mais je n'ai pas eut le courage de le faire), sans penser que vous alliez faire ce coup là avec mon réalisateur.
On n'est pas dans la merde !
rroseselavy a écrit :Je ne suis pas sûr de rentabiliser le cachet de N.Morcar même en aynat dix commentaires à cinq étoiles.
Vous allez ruiner la carrière de mon "pauvre" réalisateur avec ce film. Son compte en banque va exploser, et il est certains maintenant de devoir payer l'ISF (peut-être va-t-il devenir copain avec William Molchany finalement, pour tenter de trouver un arrangement avec le FISC...), mais après ça, plus personne ne va vouloir travailler avec lui.
Et dire que c'est moi qui vous ai conseillé sur les différentes manières de jeter son argent par la fenêtre (puisque j'avais moi même songé un moment à dilapider tout mon argent pour "redémarrer à zéro" en racontant une histoire d'amende à payer par la société, à l'époque des soucis judiciaires avec Enzo Matteo. Mais je n'ai pas eut le courage de le faire), sans penser que vous alliez faire ce coup là avec mon réalisateur.
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par Nando Arrabal » Ven Jan 23, 2009 13:36
Cher Morcar,
Le choix de Nikolas Morcar nous semblait justifier étant donné le contenu du scénario. Mais ce choix est aussi circonstanciel : nous avions opté pour le genre "horreur"...
Or votre artiste, votre bébé, qui est loin d'être un créateur-né et un réalisateur hors pair, venait dans les trois meilleures références pour le genre.
En optant pour N.Morcar, nous options pour la notoriété du mauvais goût.
Reste la justification du coût initial du mauvais goût : déjà plus de 3 000 000 $ de cachet plus une exigence tyrannique sur le pourcentage des recettes.
Vous avez créé un monstre.
Marcel Duchampignon.
Le choix de Nikolas Morcar nous semblait justifier étant donné le contenu du scénario. Mais ce choix est aussi circonstanciel : nous avions opté pour le genre "horreur"...
Or votre artiste, votre bébé, qui est loin d'être un créateur-né et un réalisateur hors pair, venait dans les trois meilleures références pour le genre.
En optant pour N.Morcar, nous options pour la notoriété du mauvais goût.
Reste la justification du coût initial du mauvais goût : déjà plus de 3 000 000 $ de cachet plus une exigence tyrannique sur le pourcentage des recettes.
Vous avez créé un monstre.
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par Nando Arrabal » Ven Jan 23, 2009 13:43
Nous vous envoyons une photo dédicacé pour vous consoler :
Marcel Duchampignon with a gun for you.
Marcel Duchampignon with a gun for you.
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par Morcar » Ven Jan 23, 2009 14:03
rroseselavy a écrit :Or votre artiste, votre bébé, qui est loin d'être un créateur-né et un réalisateur hors pair, venait dans les trois meilleures références pour le genre.
Rien ne vous empêchait d'engager un acteur plus talentueux, même si le genre horreur n'est pas sa préférence. Du moment qu'il ne déteste pas le genre.
Alain Blakstad est sans doute bien meilleur que Nikolas Morcar, par exemple.
rroseselavy a écrit :En optant pour N.Morcar, nous options pour la notoriété du mauvais goût.
Je lui transmettrai votre message de sympatie, lui qui avait jusque là le plus grand respect pour la société Prod'Artaud, malgré ses impaires en début de carrière, il risque d'être bien déçu...
rroseselavy a écrit :Reste la justification du coût initial du mauvais goût : déjà plus de 3 000 000 $ de cachet plus une exigence tyrannique sur le pourcentage des recettes.
Vous avez créé un monstre.
Correction, MÔÖsieur Duchampignon, c'est vous qui l'avez créé.
Car en faisant ce que vous avez fait, vous donnez raison à ses exigences, qu'il aurait fini par réduire en voyant que personne ne lui donnait raison. De très nombreux artistes ont eut momentanément la grosse tête (ou leurs agents, car n'oubliez pas que ce sont les agents qui négocient les contrats, et plus ils sont élevés, plus leur part l'est aussi...) et on fini par remettre les pieds sur terre en voyant que le cachet qu'ils demandaient étaient bien trop élevé et que personne ne voulait d'eux à ce tarif (à part peut-être Warner Interaction
).
Donc ne nous faites pas porter le chapeau pour des erreurs que vous faites vous ! Ce sont les producteurs comme vous, qui cèdent aux caprices des stars, qui sont responsables de ceci, et pas ceux qui produisent leurs films pour des cachets tout à fait raisonnables.
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par La Grande Divine » Ven Jan 23, 2009 15:02
Ajoutez à cela les cachtons de Aumont et de la Dondon,qui ne se grattent pas avec le dos de la cuillere. Voilà enfin un film qui ne manque pas de budget. Meme WarneRoguemachinbiduletruc n'a pas osé un trio de la sorte.
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight."
Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
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- Localisation : Dans les poubelles...Du Ritz maintenant
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