big bang productions a écrit :Je pense pas que le voir en VO changera grand chose puisque la VO ne changera pas la lenteur du film et sa fin vite faites...
Ca peut changer l'ambiance du film. Faut pas croire, au cinéma, le son et ce que l'on entend est aussi important que ce que l'on voit. Sinon c'est du muet et encore le cinema muet etiat souvent accompagné au piano, ou de la peinture.
LE PLAISIR DE CHANTER (mk2 hautefeuille 4) : Et bé ils ont pas froid dans ce film. Pouahahah, on y voit à poil, tout bien à poil, Marina Foïs itou, si si, Jeanne Balibar itou aussi, Julien Baumgartner itou
Hinhinnnnnnnnnnnnn , Loran Deutsch heu alors là lui c'est pas itou. Mais qu'est-ce qui fout avec son slip
Ah n'a une ptite quequette alors, voila ce que ça cache ce morceau de tissu. INA UNE PTITE BITEEEU. En plus elle va pas s'envoler, hein, tient demande à Julien B
Hinhinnnnnnnnnnnnnnn , voui mais lui c'est généreux comme il faut, d'ailleurs la Foïs, La Balibar, la mechante et meme le gros mechant poilu pas beau ils vont se le faire. Et moi alors, bah la Vivine a failli sauter dans l'ecran, pouahahaha
. Après tout je ne vois pas pourquoi je n'y aurai pas droit au Juju
Hinhinnnnnnnnnnnnnnnnnn puisqu'il se tape tout ce qui passe. Bon sinon, l'histoire d'espionnage c'est comme du James Bond sans Daniel C.
Hinhinnnnnnnnnnnnnnnnnnn ni l'action, en France on a pas de sous pour faire peter des hotels dans le desert, du coup on remplace par des histoires de culs, de sexe, de conception, de coeur, une histoire d'amour quoi, avec une clé USB et des trucs d'uranium dont on se fout puisqu'il à Julien qui se fout encore à poil
Hinhinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn . Entre 2, bah ils chantent, et là on a le droit à une jolie batterie de casseroles. Toute la cuisine y passe. Ca Balibar, elle chante mal, Pouahahahaha
. Ce film joyeusement foutraque, reellement bordelique, totalement decomplexé, m'a bien amusé, meme s'il n'est pas entierement reussi. Certaines sequences ne sont pas toujours tres bien jouées, mais au moins les comediens s'amusent, et le realisateur à un plaisir de filmer en scope ce drole d'objet filmique entre bonne humeur et cruauté, sans vulgarité ni complexes à part Lorant Deutch.
COTE : --***