Grain De Folie Films - (Officiellement Fermé)
par Le Docteur » Mar Oct 30, 2007 22:11
et voici les affiches de ma série TRY HARD dont l'affiche du très attendu TRY HARD III : UN NUIT AU PARADIS
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Mer Oct 31, 2007 21:11
en cours d'écriture : LE VEAU LUMINEUX, CHASSE INTERDITE, et un documentaire sur les MONTY PYTHONS
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Jeu Nov 01, 2007 18:55
LE 1 NOVEMBRE 2008
Quelle gueule de bois… Jean à comme une boite techno dans la tête…
Boom Boom Boom Boom…
La soirée de la veille a été plutôt bien arrosée pour l’enterrement de vie de garçon d’un de ses collègues de boulot. Y’avait longtemps qu’il n’avait comme ça, mais il avait besoin de ça, pour essayer d’oublier son divorce récent d’avec sa femme Mathilde.
Boom Boom Boom Boom…
Il était rentré à 4 heures du matin, presque sur les genoux, ramené par une amie sobre. En tant que policier, il ne pouvait se permettre d’enfreindre la loi en conduisant en état d’ivresse. Il se devait de montrer l’exemple…
Boom Boom Boom BOUUUUUUUUUUM
Tiens, bizarre, ce Boum là ne venait pas de sa boite techno interne personnelle. Cela venait plutôt de dehors. La preuve en ait que les vitres de son appartement ont volé en éclat, au moment de celui-ci…
Jean se mit doucement debout, essayant de trouver son équilibre… Il regarde dehors. A 200 mètres, en bas de sa rue, une bijouterie était en partie dévastée par une explosion et en flamme. Apparemment, vu l’heure qu’il était, personne n’était encore au boulot, et la rue semblait déserte. Pas de corps non plus sur le trottoir… C’est déjà ça… Jean pris son portable et appela quand même le poste de police pour les prévenir de l’incident… Lui, resterai chez lui, aujourd’hui. C’est son jour de congé… Merci les RTT !!!
Il s’habilla péniblement et descendit en bas de chez lui pour constater les dégâts. Ce qu’il avait oublié, c’est que sa voiture était garée devant la bijouterie, et qu’apparemment, ce n’est pas cette dernière qui avait été piégé, mais son propre véhicule…
« Et merde, voilà que ça recommence… Ils ne lâcheront donc jamais l’affaire ? »
Sur le trottoir, était fraîchement peinte une tête de dragon chinois, avec un large sourire. Jean avait eu affaire à eux une fois, lors du mariage d’un de ces amis et avait contrecarré leur plan. Ils avaient essayé, en vain de le supprimer quelques mois après, en planquant quelques bombes dans un avion, mais là encore, il avait eu raison de la menace. C’était trop beau. Ils n’étaient pas du genre à laisser tomber facilement. Ce groupe, « le sourire du dragon » était une sorte de groupuscule terroriste chinois. Nul ne sait qui en ai à la tête, ni pourquoi, ils étaient venu perturbé la cérémonie de mariage, à Notre-dame. Le monument s’en était sorti indemne de cette attaque, mais pas certains terroristes, que Jean avait pris soin de neutraliser tant bien que mal.
Il était à nouveau la cible. Il décida d’aller à pied à son boulot, malgré son jour de congé. Après une demi-heure de marche, il aperçu à cent mètres de lui le bâtiment qui à son tour explosa… Des policiers ensanglantés, blessés sortaient du bâtiment en flamme, certains rampaient même, aidés par leurs collègues valides ou des passant. Le gang avait décidé de se venger de lui en s’attaquant à tout ce qui l’entourait. Peut-être essayait t’il de l’avoir psychologiquement.
Le bip de son portable le sorti de sa vision d’horreur du poste en flamme. Il avait un message sur son répondeur.
« Bonjour, monsieur McFlane. Comme vous le voyez, nous ne vous avons pas oublié. Nous avons échoué une fois dans notre vengeance !!! Pas deux !!! Nous allons réduire votre vie en cendre. Où que vous alliez, nous vous devancerons et nous poserons de nouvelles bombes. Jusqu'à ce que vous soyez en état de vous rendre. Et là, nous nous dirons adieu. Le vent à tourné monsieur McFlane, maintenant, c’est à nous de jouer avec vous… A moins que vous ne fassiez quelques petites missions d’intérim pour nous… Nous vous recontacterons bientôt… Ah oui, j’allais oublié…. Votre femme…. Ou plutôt ex-femme est entres nos mains… Si vous n’obéissez pas, elle moura et d’autres bombes exploseront… »
Le voilà bien. Ces foutus terroristes le colle au derrière, et son ex est leur otage. Ce n’est pas qu’elle mérite d’être libérée, mais Jean est avant tout policier. Il met de coté son passé tapageur avec elle pour essayer de la sortir de cette impasse, où lui-même l’y a emmené.
Après avoir fait analyser d’où provenait l’appel sur son portable, la piste l’emmena au cabaret : le Paradis Latin…
Ainsi commença une chasse à la l’homme, ou le gibier devient petit à petit le chasseur afin de sauver celle qu’il a aimé par le passé, et éviter que d’autres bombes explosent dans Paris.
« Try Hard devient une série d’action à part entière, laissant malgré la trame, une large place à l’humour qui a fait le succès de la série (même si l’humour n’est pas visible dans le synopsis !!!
Retrouvez Jean McFlane, policier, loin d’être modèle, dans ses nouvelles embrouilles avec le gang du « Sourire du dragon »… »
(Librement inspiré de la série des Die Hard)
(Personnage sur l'affiche : Jean Dujardin)
Quelle gueule de bois… Jean à comme une boite techno dans la tête…
Boom Boom Boom Boom…
La soirée de la veille a été plutôt bien arrosée pour l’enterrement de vie de garçon d’un de ses collègues de boulot. Y’avait longtemps qu’il n’avait comme ça, mais il avait besoin de ça, pour essayer d’oublier son divorce récent d’avec sa femme Mathilde.
Boom Boom Boom Boom…
Il était rentré à 4 heures du matin, presque sur les genoux, ramené par une amie sobre. En tant que policier, il ne pouvait se permettre d’enfreindre la loi en conduisant en état d’ivresse. Il se devait de montrer l’exemple…
Boom Boom Boom BOUUUUUUUUUUM
Tiens, bizarre, ce Boum là ne venait pas de sa boite techno interne personnelle. Cela venait plutôt de dehors. La preuve en ait que les vitres de son appartement ont volé en éclat, au moment de celui-ci…
Jean se mit doucement debout, essayant de trouver son équilibre… Il regarde dehors. A 200 mètres, en bas de sa rue, une bijouterie était en partie dévastée par une explosion et en flamme. Apparemment, vu l’heure qu’il était, personne n’était encore au boulot, et la rue semblait déserte. Pas de corps non plus sur le trottoir… C’est déjà ça… Jean pris son portable et appela quand même le poste de police pour les prévenir de l’incident… Lui, resterai chez lui, aujourd’hui. C’est son jour de congé… Merci les RTT !!!
Il s’habilla péniblement et descendit en bas de chez lui pour constater les dégâts. Ce qu’il avait oublié, c’est que sa voiture était garée devant la bijouterie, et qu’apparemment, ce n’est pas cette dernière qui avait été piégé, mais son propre véhicule…
« Et merde, voilà que ça recommence… Ils ne lâcheront donc jamais l’affaire ? »
Sur le trottoir, était fraîchement peinte une tête de dragon chinois, avec un large sourire. Jean avait eu affaire à eux une fois, lors du mariage d’un de ces amis et avait contrecarré leur plan. Ils avaient essayé, en vain de le supprimer quelques mois après, en planquant quelques bombes dans un avion, mais là encore, il avait eu raison de la menace. C’était trop beau. Ils n’étaient pas du genre à laisser tomber facilement. Ce groupe, « le sourire du dragon » était une sorte de groupuscule terroriste chinois. Nul ne sait qui en ai à la tête, ni pourquoi, ils étaient venu perturbé la cérémonie de mariage, à Notre-dame. Le monument s’en était sorti indemne de cette attaque, mais pas certains terroristes, que Jean avait pris soin de neutraliser tant bien que mal.
Il était à nouveau la cible. Il décida d’aller à pied à son boulot, malgré son jour de congé. Après une demi-heure de marche, il aperçu à cent mètres de lui le bâtiment qui à son tour explosa… Des policiers ensanglantés, blessés sortaient du bâtiment en flamme, certains rampaient même, aidés par leurs collègues valides ou des passant. Le gang avait décidé de se venger de lui en s’attaquant à tout ce qui l’entourait. Peut-être essayait t’il de l’avoir psychologiquement.
Le bip de son portable le sorti de sa vision d’horreur du poste en flamme. Il avait un message sur son répondeur.
« Bonjour, monsieur McFlane. Comme vous le voyez, nous ne vous avons pas oublié. Nous avons échoué une fois dans notre vengeance !!! Pas deux !!! Nous allons réduire votre vie en cendre. Où que vous alliez, nous vous devancerons et nous poserons de nouvelles bombes. Jusqu'à ce que vous soyez en état de vous rendre. Et là, nous nous dirons adieu. Le vent à tourné monsieur McFlane, maintenant, c’est à nous de jouer avec vous… A moins que vous ne fassiez quelques petites missions d’intérim pour nous… Nous vous recontacterons bientôt… Ah oui, j’allais oublié…. Votre femme…. Ou plutôt ex-femme est entres nos mains… Si vous n’obéissez pas, elle moura et d’autres bombes exploseront… »
Le voilà bien. Ces foutus terroristes le colle au derrière, et son ex est leur otage. Ce n’est pas qu’elle mérite d’être libérée, mais Jean est avant tout policier. Il met de coté son passé tapageur avec elle pour essayer de la sortir de cette impasse, où lui-même l’y a emmené.
Après avoir fait analyser d’où provenait l’appel sur son portable, la piste l’emmena au cabaret : le Paradis Latin…
Ainsi commença une chasse à la l’homme, ou le gibier devient petit à petit le chasseur afin de sauver celle qu’il a aimé par le passé, et éviter que d’autres bombes explosent dans Paris.
« Try Hard devient une série d’action à part entière, laissant malgré la trame, une large place à l’humour qui a fait le succès de la série (même si l’humour n’est pas visible dans le synopsis !!!
Retrouvez Jean McFlane, policier, loin d’être modèle, dans ses nouvelles embrouilles avec le gang du « Sourire du dragon »… » (Librement inspiré de la série des Die Hard)
(Personnage sur l'affiche : Jean Dujardin)
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Jeu Nov 01, 2007 19:26
voici en avant première, l'affiche de notre prochain documentaire consacré aux meilleurs humoristes anglais : MONTY PYTHON's FLYING CIRCUS STORY
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Lun Nov 05, 2007 20:42
Nos studios sont fiers d'avoir remonté petit à petit la pente pour arriver cette semaine dans le top 10 des producteurs 
On fait pète le bouchon de champomy pour fêter ça !!!
On fait pète le bouchon de champomy pour fêter ça !!!
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Mar Nov 06, 2007 23:57
Nos Studios sont fiers de vous annoncer que le frère de notre cher aimé président Grain va travailler pour nos studios.
Nous souhaitons donc la bienvenue à Perceval Grain dans nos locaux où il réalise actuellement son premier film : TORCHWOOD : A LA RECHERCHE DU DOCTEUR, avant de s'atteler au tournage du GRAIN ANNUAL SHOW
Nous souhaitons donc la bienvenue à Perceval Grain dans nos locaux où il réalise actuellement son premier film : TORCHWOOD : A LA RECHERCHE DU DOCTEUR, avant de s'atteler au tournage du GRAIN ANNUAL SHOW
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Mer Nov 07, 2007 12:57
LE 8 NOVEMBRE 2008
« Santo Domingo, le lycée où j’ai passé toute mon adolescence, il y a maintenant dix ans de cela. Je me rappelle très bien comme si c’était hier, toutes les tribulations que nous avons pu faire avec Jerry et Mikey, mes deux meilleurs amis.
Mikey était le beau gosse du groupe, un peu rebelle, musicien dans l’âme. Il est devenu road manager pour un groupe de rock à la mode. Jerry, quand à lui, est la personne la plus dévouée que je connaisse. Ce garçon avait un ordinateur à la place du cerveau. C’est bien pour ça qu’IBM l’a engagé il y a cinq ans de ça, à la fin de ses études universitaires. Chose encore plus surprenante, il sort avec ma petite sœur, Shelly.
A l’époque, Shelly était une petite peste, prête à tout pour me faire chanter, ou m’humilier, voir même me griller auprès des parents. Mais je lui redonnais toujours la monnaie de sa pièce… C’était le bon vieux temps…. Note pour plus tard : Demander à Jerry quel est son secret pour la rendre si agréable comme actuellement.
Quand à moi, je m’appelle Parker Lewis. Santo Domingo était mon fief, il y a dix ans, et c’est sans aucunes appréhensions que je reviens ici, pour la soirée retrouvailles de la promo 97 du lycée. Je me faisais déjà un plaisir de recroiser notre grand ami Kubiac, sorte d’estomac sur pattes géant, qui nous a sorti, Jerry, Mikey et moi de bien des pétrins.
Dix ans déjà que nous sommes sorti de ce bahut gouverné par une main de maître par Melle Musso, sorte de surgé sorti tout droit d’un film sur la Gestapo… Elle était épaulée par son fidèle adjoint, Franck Lemmer, qui lui était entièrement dévoué. Je dirai presque que c’est l’inventeur du gothique, mais personne ne me croirait de tout manière… Franck était rentré dans l’armée par goût des armes à feu. Quand à Melle Musso, elle était toujours au lycée, fidèle à elle-même
Aujourd’hui, fini l’époque où les filles voulaient toutes ressembler à Madonna… Les jeunes lycéennes d’autrefois étaient devenues des femmes, avec leur propre personnalité.
Cette soirée organisée par le lycée mélangeait anciens élèves et ceux de maintenant. Je me dis que les temps changent mais que certaines choses… non…. !!! Je venais d’entendre Grace Musso hurler à un élève d’aller en direction vers son bureau, son célèbre pouce fixer en arrière, désignant la porte de son bureau… Note pour plus tard : Essayer avec Mikey et Jerry d’aller dans son bureau ce soir, pour une bêtise quelconque en souvenir du bon vieux temps.
En parlant de Musso, celle-ci venait de se diriger vers le podium où une estrade et un micro l’attendaient… Après avoir tester si ce dernier fonctionnait, le sifflement strident dans les haut-parleurs confirmant que celui-ci marchait très bien, elle commença son discours… »
- Chers élèves de Santo Domingo, anciens comme nouveau, je suis ravie de vous accueillir ce soir pour fêter la promotion 1997 qui m’a laissé beaucoup…. Beaucoup de souvenirs…
« Pourquoi me regardait elle en disant cela ? Serai-ce à cause du cerveau de chimpanzé que j’ai laissé sur le siège passager de sa voiture, le dernier jour au lycée ???? »
- Oui, mais hélas, ça sera la dernière fête que donnera le lycée. En effet, la ville à décider de le fermer, afin de le raser pour construire une grande vidéothèque. Donc profitez bien de la fête… Amusez-vous bien… Car cela ne se reproduira peut-être plus.
« Musso avait pris un sacré coup de vieux en disant cela. C’est quand même une grande partie de sa vie qui allait partir ainsi. Jerry et Mikey me regardèrent comme si j’avais un plan… »
« Monsieur Lewis, c’est catastrophique. Si un magasin de vidéos ouvre à la place du lycée, la boutique de vos parents risque de faire faillite – il sort une calculatrice dernier cri de son imper – en six mois, Monsieur… »
« Jerry sortait toute sorte de chose de son imper, calculatrice, boule de bowling, gâteau à la crème, photocopieuse, déchiqueteuse, cafetière… Note pour plus tard : Suggérer à Jerry de commercialiser son imper.
Mikey quand à lui, avait, malgré tout passé, d’excellents moments ici, même si les études n’étaient pas son truc. Mais si Santo Domingo disparaissait, une partie de sa vie s’évanouirait.
Il était temps d’agir, pour cela, il nous fallait un plan pour sauver, et le lycée, et la boutique de mes parents. « Mondo Video » n’était qu’un petit magasin de location vidéo où mes parents ont investi toute leur vie dedans, et il était hors de question qu’une grande enseigne le mange sans combattre… »
- Messieurs, synchronisation des montres : Opération : Sauvetage !!!
« C’est alors que nous allions tout faire pour sauver le lycée que nous voulions tous éviter étant plus jeune… »
LE 15 NOVEMBRE 2008
Erica et Maxime sont fait pour être ensemble. Ils ont les mêmes loisirs, les mêmes passions… Seulement voilà, ils ne se connaissent pas. Chacun habite à un bout de la France, et mène sa petite vie seul.
Garizou sait qu’ils sont fait l’un pour l’autre. Il a voyagé a travers tout le pays, à la recherche du couple élu. Garizou est un vieux chat que les humains appellent « de gouttière ». Mais il est aussi le plus grand savant de sa communauté et le sorcier de celle-ci. Garizou est parti depuis bientôt quinze ans à la recherche de ces deux personnes afin de les réunir pour réaliser la prophétie.
Celle-ci raconte qu’à la prochaine pleine lune de cette année, les élus doivent se transformer en chat et doivent se trouver et s’unir ensemble afin d’être le trait d’union entres les chats et les humains. Hors la prochaine pleine lune est ce soir.
Alors que la lune apparaissait dans le ciel, pleine, dans la maison d’Erica, d’étranges faisceaux de lumière zébrèrent la nuit. La transformation était en cours. Erica, par la magie féline était devenue une jolie petite chatte. Garizou entendait ses cris de terreur de l’extérieur et décida à rentrer en contact avec afin de lui expliquer la situation.
C’est ainsi que débuta le long périple pour retrouver Maxime, devenu lui aussi un chat, afin de réalisé la prophétie.
Seulement voilà, dans les écrits, il n’était nullement stipulé que la même chose devait se passer chez les chiens pour empêcher cette prophétie afin de rester le meilleur ami de l’homme.
Le chemin de cette quête allait être semé d’embûches.
Il n’était pas non plus mentionné que Erica et Maxime ne s’entendent pas comme Garizou l’espérait, ce qui allait sûrement compromettre la mission, vu que logiquement, ils devaient célébrer leur union pour que tout se réalise…
« Grain de folie revient dans l’animation, un peu plus tournée vers un public familiale, avec ce compte de fée mélangeant le film traditionnel et l’animation. »
LE 22 NOVEMBRE 2008
En 1480, le jeune Amerigo Vespucci à alors 26 ans accompagne son oncle en France. Il y devient secrétaire d’ambassade, et rencontre des gens influents, comme Leonard de Vinci ou Botticelli, grands peintres de l’époque.
Un jour, il fit la connaissance d’un certain Bartolomé Colomb, venu plaider la cause de son frère Christophe auprès du roi Louis XI qui veut veux découvrir une nouvelle voie maritime vers les indes par l’ouest.
Amerigo rencontre Christophe en 1493, au retour de son premier voyage, reçu triomphalement. Ils sympathisent très vite.
Vespucci décide de prendre part à l’affrètement de la seconde expédition de son ami Colomb, la même année.
En 1494, il signe un accord commercial avec Bartolomé Colomb sur le transport d’esclaves noirs.
Amerigo fit quatre voyages vers le nouveau monde entre 1501 et 1503 que nous vous contons dans ce film.
En 1507, un géographe allemand, Waldseemüller, met à jour l’ouvrage géographique de référence de l’époque « LA COSMOGRAPHIA DE PTOLEMEE » à la demande de l’imprimeur Lud. Ces deux personnages se souviennent d’un ouvrage où était publier les lettres d’Amerigo Vespucci faisant état de ses voyages sur le nouveau monde. Ils décidèrent d’appeler le nouveau continent « Americi Terra » en rapport avec le prénom de l’auteur de lettre, qu’ils considèrent comme le premier à avoir fait état du nouveau continent au monde. Et c’est Waldseemüller lui-même qui propose personnellement de donner le nom de « America » en hommage à « Americus Vespucci »…
« Un nouvel opus de notre cours d’histoire sur l’Amérique. La provenance de son nom viendra de ce nouveau chapitre, avec l’histoire d’Amerigo Vespucci. »
LE 29 NOVEMBRE 2008
Ce film d’animation s’adresse surtout aux tout petits, donc pardonnez à l’avance la « pauvreté de l’histoire »
Pauli est un petit veau de quelques mois, qui paître prêt de sa maman Marguerite. Pauli a aussi quelques amis : Chloé et Babo. A eux trois, ils ne font que des bêtises.
Souvent, à l’insu de leurs parents, les trois petits veau se faufile sous l’enclos pour aller se promener dans les champs, attendant que les grosses machines de métal des « animaux qui tiennent sur leurs pattes de derrière » s’éloignent de la zone.
Ils s’aperçurent qu’un des animaux avait oublier son sac. Pauli, très gourmand, pense trouver de quoi manger dedans. Il goûte à tout ce qui se trouve à l’intérieur, et avale par mégarde, un petit tube de plastique noir.
Après quelques heures, les trois comparses retournent auprès de leurs parents, la conscience tranquille comme tout enfant peut avoir lorsqu’il fait une bêtise.
La nuit, Pauli à mal au ventre. Il se met à avoir le hoquet, lorsque tout à coup, son ventre devient lumineux. Que pouvait t’il bien se passer.
Pauli avait en fait avalé une lampe torche, qui s’était allumé avec son hoquet. Tout le troupeau commença alors, à se poser des questions. Morissette, la plus ancienne vache décide que Pauli devait aller voir le grand maître Balfur, taureau vivant à deux jours de marche, qui sait résoudre tout ce qui concerne les phénomènes bizarres provoqués par la race de « ceux qui marchent sur leurs pattes de derrière ».
C’est alors que commença le voyage de Pauli, Chloé et Babo, qui ne s’imaginent pas qu’ils partent vers une aventure extraordinaire…
LE 6 DECEMBRE 2008
Nous ne savions pas comment écrire un synopsis pour ce documentaire, alors le mieux était de donné la parole au président directeur général de Grain de folie films : Mr Grain himself…
« Beaucoup d’entres nous, selon les générations, ont connu un aperçu de l’humour anglais, par le biais de Benny Hill ou Rowan Atkinson alias Mr Bean. Chacun d’entres eux ont connu un succès assez impressionnant dans le monde entier.
Mais aucun d’eux ne pourra rivaliser avec les Monty Python. Ce groupe de comiques était composé de Graham Chapman, John Cleese, Terry Jones, Eric Idle, Michael Palin et Terry Gilliam. A eux six, ils firent connaître l’humour british dans le monde entier, en passant même a l’Hollywood Bowl aux USA !!!
C’est en 1969 que ces six trublions vont apparaître sur la BBC dans leur show « Monty Python’s Flying Circus » qui durant 30 min est composée de sketchs tous aussi hilarants les uns que les autres. Durant 5 années, ils enchaîneront 45 émissions, pour se tourner vers le cinéma, en groupe ou en solo, mais jamais très loin les uns des autres.
Pour les plus jeunes d’entres vous qui me liront, je vous conseil leurs films « Sacré Graal » et « La vie de Brian » en version originale avec de bons sous-titres. Quasiment la totalité de leurs longs métrages sont devenus culte avec le temps :
Un poisson nommé Wanda, Le Sens De La Vie, Sacrée Graal, La Vie De Brian, Les Aventures du baron de Münchhausen…
Terry Gilliam a également réalisé Brazil, L’armée des 12 singes, Las Vegas Parano, 3 films qui ont cartonnés. Cleese fut Nick Quasi-sans-tête, le fantôme dans les deux premiers Harry Potter et célèbre pour le duo qu’il formait avec Jamie Lee Curtis dans un poisson nommé Wanda…
Chacun d’entres eux et en groupe ont marqués à un moment ou un autre, chacun d’entres nous. Dans ce documentaire, vous trouverez toute l’histoire des Monty Python, avec des extraits télévisés et cinématographiques, des interviews exclusives avec a la fin du film, une projection de leur spectacle à l’Hollywood Bowl en 1980 où 6 petits comiques britanniques se moquent parfois bien de leur hôtes américains, sans que ceux ne réalisent vraiment les énormités qu’ils sortent parfois…
« Mais maintenant quelque chose de complètement différent !!!....
C’est le MONTHY PYTHON’s FLYING CIRCUS !!! » ***
*** : “And Now For Something Completely Different. It’s The Monty Python’s Flying Circus” était la phrase qui débutait chacun de leur show télévisé Flying Circus
LE 20 DECEMBRE 2008
« Santo Domingo, le lycée où j’ai passé toute mon adolescence, il y a maintenant dix ans de cela. Je me rappelle très bien comme si c’était hier, toutes les tribulations que nous avons pu faire avec Jerry et Mikey, mes deux meilleurs amis.
Mikey était le beau gosse du groupe, un peu rebelle, musicien dans l’âme. Il est devenu road manager pour un groupe de rock à la mode. Jerry, quand à lui, est la personne la plus dévouée que je connaisse. Ce garçon avait un ordinateur à la place du cerveau. C’est bien pour ça qu’IBM l’a engagé il y a cinq ans de ça, à la fin de ses études universitaires. Chose encore plus surprenante, il sort avec ma petite sœur, Shelly.
A l’époque, Shelly était une petite peste, prête à tout pour me faire chanter, ou m’humilier, voir même me griller auprès des parents. Mais je lui redonnais toujours la monnaie de sa pièce… C’était le bon vieux temps…. Note pour plus tard : Demander à Jerry quel est son secret pour la rendre si agréable comme actuellement.
Quand à moi, je m’appelle Parker Lewis. Santo Domingo était mon fief, il y a dix ans, et c’est sans aucunes appréhensions que je reviens ici, pour la soirée retrouvailles de la promo 97 du lycée. Je me faisais déjà un plaisir de recroiser notre grand ami Kubiac, sorte d’estomac sur pattes géant, qui nous a sorti, Jerry, Mikey et moi de bien des pétrins.
Dix ans déjà que nous sommes sorti de ce bahut gouverné par une main de maître par Melle Musso, sorte de surgé sorti tout droit d’un film sur la Gestapo… Elle était épaulée par son fidèle adjoint, Franck Lemmer, qui lui était entièrement dévoué. Je dirai presque que c’est l’inventeur du gothique, mais personne ne me croirait de tout manière… Franck était rentré dans l’armée par goût des armes à feu. Quand à Melle Musso, elle était toujours au lycée, fidèle à elle-même
Aujourd’hui, fini l’époque où les filles voulaient toutes ressembler à Madonna… Les jeunes lycéennes d’autrefois étaient devenues des femmes, avec leur propre personnalité.
Cette soirée organisée par le lycée mélangeait anciens élèves et ceux de maintenant. Je me dis que les temps changent mais que certaines choses… non…. !!! Je venais d’entendre Grace Musso hurler à un élève d’aller en direction vers son bureau, son célèbre pouce fixer en arrière, désignant la porte de son bureau… Note pour plus tard : Essayer avec Mikey et Jerry d’aller dans son bureau ce soir, pour une bêtise quelconque en souvenir du bon vieux temps.
En parlant de Musso, celle-ci venait de se diriger vers le podium où une estrade et un micro l’attendaient… Après avoir tester si ce dernier fonctionnait, le sifflement strident dans les haut-parleurs confirmant que celui-ci marchait très bien, elle commença son discours… »
- Chers élèves de Santo Domingo, anciens comme nouveau, je suis ravie de vous accueillir ce soir pour fêter la promotion 1997 qui m’a laissé beaucoup…. Beaucoup de souvenirs…
« Pourquoi me regardait elle en disant cela ? Serai-ce à cause du cerveau de chimpanzé que j’ai laissé sur le siège passager de sa voiture, le dernier jour au lycée ???? »
- Oui, mais hélas, ça sera la dernière fête que donnera le lycée. En effet, la ville à décider de le fermer, afin de le raser pour construire une grande vidéothèque. Donc profitez bien de la fête… Amusez-vous bien… Car cela ne se reproduira peut-être plus.
« Musso avait pris un sacré coup de vieux en disant cela. C’est quand même une grande partie de sa vie qui allait partir ainsi. Jerry et Mikey me regardèrent comme si j’avais un plan… »
« Monsieur Lewis, c’est catastrophique. Si un magasin de vidéos ouvre à la place du lycée, la boutique de vos parents risque de faire faillite – il sort une calculatrice dernier cri de son imper – en six mois, Monsieur… »
« Jerry sortait toute sorte de chose de son imper, calculatrice, boule de bowling, gâteau à la crème, photocopieuse, déchiqueteuse, cafetière… Note pour plus tard : Suggérer à Jerry de commercialiser son imper.
Mikey quand à lui, avait, malgré tout passé, d’excellents moments ici, même si les études n’étaient pas son truc. Mais si Santo Domingo disparaissait, une partie de sa vie s’évanouirait.
Il était temps d’agir, pour cela, il nous fallait un plan pour sauver, et le lycée, et la boutique de mes parents. « Mondo Video » n’était qu’un petit magasin de location vidéo où mes parents ont investi toute leur vie dedans, et il était hors de question qu’une grande enseigne le mange sans combattre… »
- Messieurs, synchronisation des montres : Opération : Sauvetage !!!
« C’est alors que nous allions tout faire pour sauver le lycée que nous voulions tous éviter étant plus jeune… »
LE 15 NOVEMBRE 2008
Erica et Maxime sont fait pour être ensemble. Ils ont les mêmes loisirs, les mêmes passions… Seulement voilà, ils ne se connaissent pas. Chacun habite à un bout de la France, et mène sa petite vie seul.
Garizou sait qu’ils sont fait l’un pour l’autre. Il a voyagé a travers tout le pays, à la recherche du couple élu. Garizou est un vieux chat que les humains appellent « de gouttière ». Mais il est aussi le plus grand savant de sa communauté et le sorcier de celle-ci. Garizou est parti depuis bientôt quinze ans à la recherche de ces deux personnes afin de les réunir pour réaliser la prophétie.
Celle-ci raconte qu’à la prochaine pleine lune de cette année, les élus doivent se transformer en chat et doivent se trouver et s’unir ensemble afin d’être le trait d’union entres les chats et les humains. Hors la prochaine pleine lune est ce soir.
Alors que la lune apparaissait dans le ciel, pleine, dans la maison d’Erica, d’étranges faisceaux de lumière zébrèrent la nuit. La transformation était en cours. Erica, par la magie féline était devenue une jolie petite chatte. Garizou entendait ses cris de terreur de l’extérieur et décida à rentrer en contact avec afin de lui expliquer la situation.
C’est ainsi que débuta le long périple pour retrouver Maxime, devenu lui aussi un chat, afin de réalisé la prophétie.
Seulement voilà, dans les écrits, il n’était nullement stipulé que la même chose devait se passer chez les chiens pour empêcher cette prophétie afin de rester le meilleur ami de l’homme.
Le chemin de cette quête allait être semé d’embûches.
Il n’était pas non plus mentionné que Erica et Maxime ne s’entendent pas comme Garizou l’espérait, ce qui allait sûrement compromettre la mission, vu que logiquement, ils devaient célébrer leur union pour que tout se réalise…
« Grain de folie revient dans l’animation, un peu plus tournée vers un public familiale, avec ce compte de fée mélangeant le film traditionnel et l’animation. »
LE 22 NOVEMBRE 2008
En 1480, le jeune Amerigo Vespucci à alors 26 ans accompagne son oncle en France. Il y devient secrétaire d’ambassade, et rencontre des gens influents, comme Leonard de Vinci ou Botticelli, grands peintres de l’époque.
Un jour, il fit la connaissance d’un certain Bartolomé Colomb, venu plaider la cause de son frère Christophe auprès du roi Louis XI qui veut veux découvrir une nouvelle voie maritime vers les indes par l’ouest.
Amerigo rencontre Christophe en 1493, au retour de son premier voyage, reçu triomphalement. Ils sympathisent très vite.
Vespucci décide de prendre part à l’affrètement de la seconde expédition de son ami Colomb, la même année.
En 1494, il signe un accord commercial avec Bartolomé Colomb sur le transport d’esclaves noirs.
Amerigo fit quatre voyages vers le nouveau monde entre 1501 et 1503 que nous vous contons dans ce film.
En 1507, un géographe allemand, Waldseemüller, met à jour l’ouvrage géographique de référence de l’époque « LA COSMOGRAPHIA DE PTOLEMEE » à la demande de l’imprimeur Lud. Ces deux personnages se souviennent d’un ouvrage où était publier les lettres d’Amerigo Vespucci faisant état de ses voyages sur le nouveau monde. Ils décidèrent d’appeler le nouveau continent « Americi Terra » en rapport avec le prénom de l’auteur de lettre, qu’ils considèrent comme le premier à avoir fait état du nouveau continent au monde. Et c’est Waldseemüller lui-même qui propose personnellement de donner le nom de « America » en hommage à « Americus Vespucci »…
« Un nouvel opus de notre cours d’histoire sur l’Amérique. La provenance de son nom viendra de ce nouveau chapitre, avec l’histoire d’Amerigo Vespucci. »
LE 29 NOVEMBRE 2008
Ce film d’animation s’adresse surtout aux tout petits, donc pardonnez à l’avance la « pauvreté de l’histoire »
Pauli est un petit veau de quelques mois, qui paître prêt de sa maman Marguerite. Pauli a aussi quelques amis : Chloé et Babo. A eux trois, ils ne font que des bêtises.
Souvent, à l’insu de leurs parents, les trois petits veau se faufile sous l’enclos pour aller se promener dans les champs, attendant que les grosses machines de métal des « animaux qui tiennent sur leurs pattes de derrière » s’éloignent de la zone.
Ils s’aperçurent qu’un des animaux avait oublier son sac. Pauli, très gourmand, pense trouver de quoi manger dedans. Il goûte à tout ce qui se trouve à l’intérieur, et avale par mégarde, un petit tube de plastique noir.
Après quelques heures, les trois comparses retournent auprès de leurs parents, la conscience tranquille comme tout enfant peut avoir lorsqu’il fait une bêtise.
La nuit, Pauli à mal au ventre. Il se met à avoir le hoquet, lorsque tout à coup, son ventre devient lumineux. Que pouvait t’il bien se passer.
Pauli avait en fait avalé une lampe torche, qui s’était allumé avec son hoquet. Tout le troupeau commença alors, à se poser des questions. Morissette, la plus ancienne vache décide que Pauli devait aller voir le grand maître Balfur, taureau vivant à deux jours de marche, qui sait résoudre tout ce qui concerne les phénomènes bizarres provoqués par la race de « ceux qui marchent sur leurs pattes de derrière ».
C’est alors que commença le voyage de Pauli, Chloé et Babo, qui ne s’imaginent pas qu’ils partent vers une aventure extraordinaire…
LE 6 DECEMBRE 2008
Nous ne savions pas comment écrire un synopsis pour ce documentaire, alors le mieux était de donné la parole au président directeur général de Grain de folie films : Mr Grain himself…
« Beaucoup d’entres nous, selon les générations, ont connu un aperçu de l’humour anglais, par le biais de Benny Hill ou Rowan Atkinson alias Mr Bean. Chacun d’entres eux ont connu un succès assez impressionnant dans le monde entier.
Mais aucun d’eux ne pourra rivaliser avec les Monty Python. Ce groupe de comiques était composé de Graham Chapman, John Cleese, Terry Jones, Eric Idle, Michael Palin et Terry Gilliam. A eux six, ils firent connaître l’humour british dans le monde entier, en passant même a l’Hollywood Bowl aux USA !!!
C’est en 1969 que ces six trublions vont apparaître sur la BBC dans leur show « Monty Python’s Flying Circus » qui durant 30 min est composée de sketchs tous aussi hilarants les uns que les autres. Durant 5 années, ils enchaîneront 45 émissions, pour se tourner vers le cinéma, en groupe ou en solo, mais jamais très loin les uns des autres.
Pour les plus jeunes d’entres vous qui me liront, je vous conseil leurs films « Sacré Graal » et « La vie de Brian » en version originale avec de bons sous-titres. Quasiment la totalité de leurs longs métrages sont devenus culte avec le temps :
Un poisson nommé Wanda, Le Sens De La Vie, Sacrée Graal, La Vie De Brian, Les Aventures du baron de Münchhausen…
Terry Gilliam a également réalisé Brazil, L’armée des 12 singes, Las Vegas Parano, 3 films qui ont cartonnés. Cleese fut Nick Quasi-sans-tête, le fantôme dans les deux premiers Harry Potter et célèbre pour le duo qu’il formait avec Jamie Lee Curtis dans un poisson nommé Wanda…
Chacun d’entres eux et en groupe ont marqués à un moment ou un autre, chacun d’entres nous. Dans ce documentaire, vous trouverez toute l’histoire des Monty Python, avec des extraits télévisés et cinématographiques, des interviews exclusives avec a la fin du film, une projection de leur spectacle à l’Hollywood Bowl en 1980 où 6 petits comiques britanniques se moquent parfois bien de leur hôtes américains, sans que ceux ne réalisent vraiment les énormités qu’ils sortent parfois…
« Mais maintenant quelque chose de complètement différent !!!....
C’est le MONTHY PYTHON’s FLYING CIRCUS !!! » ***
*** : “And Now For Something Completely Different. It’s The Monty Python’s Flying Circus” était la phrase qui débutait chacun de leur show télévisé Flying Circus
LE 20 DECEMBRE 2008
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Sam Nov 10, 2007 23:28
C'est officiel !!!
Le troisième Opus de notre saga "CINEJEU" est actuellement en cours de tournage. Il devait avoir pour titre Dindarv Devil, mais il a été changé contre "Un Grain Contre La Défense". "Dindarv Devil sera en fait la quatrième épisode de la saga.
Ce troisième film se voudra aussi délirant que les précédents mettant en scène le procès de Grain pour proxénetisme et traffic d'influence...
Le troisième Opus de notre saga "CINEJEU" est actuellement en cours de tournage. Il devait avoir pour titre Dindarv Devil, mais il a été changé contre "Un Grain Contre La Défense". "Dindarv Devil sera en fait la quatrième épisode de la saga.
Ce troisième film se voudra aussi délirant que les précédents mettant en scène le procès de Grain pour proxénetisme et traffic d'influence...
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Lun Nov 12, 2007 13:58
Le 27 DECEMBRE 2008
Nous sommes en 1953, dans un petit village de la France. Le pays se reconstruit doucement, et le petit village de Galerne dans le Périgord n’échappe pas à cela.
L’ambiance y ai plutôt cordial en ce samedi matin. C’est jour de marché aujourd’hui. Pendant que les femmes partent faire leurs emplettes et discuter des ragots du moment entres elles, les hommes, eux, préfèrent lever le coude devant le comptoir du bar « Chez Gégène ». On y parle de tout mais surtout de l’ouverture de la chasse, prévue le lendemain matin.
Dans ce bar, se trouve Gaston Lepeuch, agriculteur apprécié par ses pairs, qui, chaque samedi matin, vient boire son petit verre de Whisky. Il parle des dernières marques pour les semences de l’année prochaine, voire celles qui serait le plus rentable pour tous, niveau qualité / prix. Deux de ses amis l’écoutent avec intérêt, car tout deux font également partis de la Coopérative Agricole, créé deux ans plus tôt, pour aider les agriculteur à s’en sortir et les aider à choisir leurs matériels ainsi que leurs semences. Les prix y sont plus abordables que sur le marché classique.
Tout allait donc pour le mieux en ce samedi matin, dans ce petit bar, lorsque tout a coup, arriva un petit homme. Le faciès d’un homme que l’on pourrait qualifier de pas beau. Des lunettes avec des culs de bouteilles en guise de verre. Lucien Maraîcher n’était pas du tout apprécié par Gaston. Mais vraiment pas du tout.
Par le passé, Gaston avait hérité de terres de son père adoptif, dont l’une d’elle était coupé par une parcelle appartenant à Lucien. Ce dernier, méchamment, n’a jamais voulu céder sa parcelle, et la laissa depuis en friche, rien que pour embêter Gaston, dont cela n’arrangeait pas les affaires, car ça l’obligeait a faire des détours inutiles. Depuis, ils étaient les deux ennemis du village.
Chaque samedi, depuis deux mois, Lucien à décider, comme ça, par méchanceté, de venir narguer Gaston au bar.
D’habitude, Gaston ignore les remarques désobligeantes de son ennemi, mais lorsque celui-ci le traita bâtard, il se leva d’un coup, relevant ses manches, prêt à en découdre avec l’outrecuidant. Gaston ne connaissait pas son vrai père, mais il respectait celui qui l’avait élevé. Mais l’insulté de Bâtard, il n’aima vraiment pas, et commença à traiter Lucien de Nabot, insulte qui détestait par-dessus tout du fait de sa petite taille.
Les deux hommes commencèrent par s’empoigner, et les insultes fusèrent… Martin Robert, maire très respecter du village usa de son pouvoir pour les séparer et somma Lucien de rentrer chez lui. Celui-ci s’exécuta sans broncher, non sans balancer une insulte à son adversaire.
Gaston, finit son verre et rentra également chez lui.
Les curieux du bar se demandent comment cela se terminera, mais le maire n’est pas inquiet. Il leur dit simplement « J’ai hâte d’être à demain ». Les autres l’interrogeant du regard, ce dernier leur répond : « Demain, c’est l’ouverture de la chasse. Ils auront tous les deux un fusil… »
Le lendemain matin, Gaston se lève aux aurores prend son casse-croûte, sa besace et son fusil pour profiter du premier jour de chasse. Mais bizarrement, il n’est pas rassuré, de part sa dispute plus virulente que d’habitude avec ce nabot de Lucien de la veille.
Dans la foret il avance prudemment, reste aux aguets du moindre bruit. Un craquement… Gaston braque son fusil dans la direction d’où provient le bruit.
- Doucement, Gaston, ce n’est que moi… Martin. Tu me sembles bien nerveux ce matin
- Normal, avec un malade dans la parages qui m’en veux et qui est armé d’un fusil. Normal que je sois nerveux.
- Je vais rester avec toi, jusqu'à midi, si ça peut te rassurer.
- Merci
Les deux hommes restèrent à discuter tout en guettant le gibier. A l’heure du repas, le maire s’éclipsa, laissant à nouveau Gaston avec sa paranoïa. Pourtant la journée se passa et rien ne se passa. Sur le chemin du retour, il aperçut au loin la silhouette du maire. Il se dirigea donc vers lui.
Le maire n’était pas seul. Un groupe de chasseur l’accompagnait ainsi que deux agents de la gendarmerie. Par terre, le corps de Lucien Maraîcher, raide mord d’un coup de fusil en plein dans la poitrine. Dès son arrivé, les visages se tourne vers Gaston. Le maire lui demanda : « Donne moi ton fusil, Gaston »
Gaston regardant le maire dans les yeux clama son innocence. Mais personne ne voulait le croire du fait de sa dispute de la veille.
Au commissariat, même scénario. Les gendarmes ne le croient pas. Même le président était prêt à accorder une clémence circonstancielle, du fait des témoignages positifs de ses amis villageois, qui n’hésitaient pas à casser du sucre sur le dos de la victime morte. Même la famille de Lucien Maraîcher n’en tenait pas rigueur à Gaston, et était même prêt à lui céder à un prix raisonnable, la parcelle de terre responsable de tout cela. Mais malgré tout cela, Gaston clame toujours son innocence.
Le commissaire Jabert le croit. Il se dit que beaucoup trop de personnes ne semblaient ne pas apprécier Maraîcher et que tout le monde pouvait potentiellement assassiner ce pauvre diable. Il décida de mener l’enquête, et de trouver le coupable, si celui-ci n’est pas Gaston Lepeuch.
Nous sommes en 1953, dans un petit village de la France. Le pays se reconstruit doucement, et le petit village de Galerne dans le Périgord n’échappe pas à cela.
L’ambiance y ai plutôt cordial en ce samedi matin. C’est jour de marché aujourd’hui. Pendant que les femmes partent faire leurs emplettes et discuter des ragots du moment entres elles, les hommes, eux, préfèrent lever le coude devant le comptoir du bar « Chez Gégène ». On y parle de tout mais surtout de l’ouverture de la chasse, prévue le lendemain matin.
Dans ce bar, se trouve Gaston Lepeuch, agriculteur apprécié par ses pairs, qui, chaque samedi matin, vient boire son petit verre de Whisky. Il parle des dernières marques pour les semences de l’année prochaine, voire celles qui serait le plus rentable pour tous, niveau qualité / prix. Deux de ses amis l’écoutent avec intérêt, car tout deux font également partis de la Coopérative Agricole, créé deux ans plus tôt, pour aider les agriculteur à s’en sortir et les aider à choisir leurs matériels ainsi que leurs semences. Les prix y sont plus abordables que sur le marché classique.
Tout allait donc pour le mieux en ce samedi matin, dans ce petit bar, lorsque tout a coup, arriva un petit homme. Le faciès d’un homme que l’on pourrait qualifier de pas beau. Des lunettes avec des culs de bouteilles en guise de verre. Lucien Maraîcher n’était pas du tout apprécié par Gaston. Mais vraiment pas du tout.
Par le passé, Gaston avait hérité de terres de son père adoptif, dont l’une d’elle était coupé par une parcelle appartenant à Lucien. Ce dernier, méchamment, n’a jamais voulu céder sa parcelle, et la laissa depuis en friche, rien que pour embêter Gaston, dont cela n’arrangeait pas les affaires, car ça l’obligeait a faire des détours inutiles. Depuis, ils étaient les deux ennemis du village.
Chaque samedi, depuis deux mois, Lucien à décider, comme ça, par méchanceté, de venir narguer Gaston au bar.
D’habitude, Gaston ignore les remarques désobligeantes de son ennemi, mais lorsque celui-ci le traita bâtard, il se leva d’un coup, relevant ses manches, prêt à en découdre avec l’outrecuidant. Gaston ne connaissait pas son vrai père, mais il respectait celui qui l’avait élevé. Mais l’insulté de Bâtard, il n’aima vraiment pas, et commença à traiter Lucien de Nabot, insulte qui détestait par-dessus tout du fait de sa petite taille.
Les deux hommes commencèrent par s’empoigner, et les insultes fusèrent… Martin Robert, maire très respecter du village usa de son pouvoir pour les séparer et somma Lucien de rentrer chez lui. Celui-ci s’exécuta sans broncher, non sans balancer une insulte à son adversaire.
Gaston, finit son verre et rentra également chez lui.
Les curieux du bar se demandent comment cela se terminera, mais le maire n’est pas inquiet. Il leur dit simplement « J’ai hâte d’être à demain ». Les autres l’interrogeant du regard, ce dernier leur répond : « Demain, c’est l’ouverture de la chasse. Ils auront tous les deux un fusil… »
Le lendemain matin, Gaston se lève aux aurores prend son casse-croûte, sa besace et son fusil pour profiter du premier jour de chasse. Mais bizarrement, il n’est pas rassuré, de part sa dispute plus virulente que d’habitude avec ce nabot de Lucien de la veille.
Dans la foret il avance prudemment, reste aux aguets du moindre bruit. Un craquement… Gaston braque son fusil dans la direction d’où provient le bruit.
- Doucement, Gaston, ce n’est que moi… Martin. Tu me sembles bien nerveux ce matin
- Normal, avec un malade dans la parages qui m’en veux et qui est armé d’un fusil. Normal que je sois nerveux.
- Je vais rester avec toi, jusqu'à midi, si ça peut te rassurer.
- Merci
Les deux hommes restèrent à discuter tout en guettant le gibier. A l’heure du repas, le maire s’éclipsa, laissant à nouveau Gaston avec sa paranoïa. Pourtant la journée se passa et rien ne se passa. Sur le chemin du retour, il aperçut au loin la silhouette du maire. Il se dirigea donc vers lui.
Le maire n’était pas seul. Un groupe de chasseur l’accompagnait ainsi que deux agents de la gendarmerie. Par terre, le corps de Lucien Maraîcher, raide mord d’un coup de fusil en plein dans la poitrine. Dès son arrivé, les visages se tourne vers Gaston. Le maire lui demanda : « Donne moi ton fusil, Gaston »
Gaston regardant le maire dans les yeux clama son innocence. Mais personne ne voulait le croire du fait de sa dispute de la veille.
Au commissariat, même scénario. Les gendarmes ne le croient pas. Même le président était prêt à accorder une clémence circonstancielle, du fait des témoignages positifs de ses amis villageois, qui n’hésitaient pas à casser du sucre sur le dos de la victime morte. Même la famille de Lucien Maraîcher n’en tenait pas rigueur à Gaston, et était même prêt à lui céder à un prix raisonnable, la parcelle de terre responsable de tout cela. Mais malgré tout cela, Gaston clame toujours son innocence.
Le commissaire Jabert le croit. Il se dit que beaucoup trop de personnes ne semblaient ne pas apprécier Maraîcher et que tout le monde pouvait potentiellement assassiner ce pauvre diable. Il décida de mener l’enquête, et de trouver le coupable, si celui-ci n’est pas Gaston Lepeuch.
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Lun Nov 12, 2007 15:13
EVENEMENT : LE 3 JANVIER 2009
« Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, ici Brenda Carlson, de Gerardmerv TV 1. Le monde du cinéma est en effervescence depuis plusieurs jours.
En effet depuis trois jours maintenant, les différents producteurs de Gerardmerveille sont tour à tour arrêtés à leur domicile par la police, pour différentes raisons : Abus de biens sociaux pour certains, proxénétisme pour d’autres, pots de vin, espionnage industriel, tentative de meurtres. Chacun des producteurs incriminés ont un délit qui leur est incombé.
Mr Jeremie Walken n’a voulu faire aucuns commentaires sur son accusation d’avoir importer des prostitués russes et de les avoir fourni pour Grain. Ce dernier nie bien sur ces accusations, en disant, je cite : « je préfère les prostitués françaises aux russes. ».
Seul Ari Golan des studios MMP semble épargné par ces rafles. Forcément des regards interrogateurs se tournent vers lui, surtout les regards de ses confrères accusés, qui semblent se faire une idée de qui a pu les balancer. Mais tout de suite, voyez un extrait du réquisitoire du PDG de Grain de folie films, ayant décidé de se défendre seul, face au terrible procureur de la république : Eric Lestrade. Le procès est dirigé lui par le juge Danatos. »
« Monsieur le juge, monsieur le procureur, messieurs les jurés. Je pars dans cette affaire avec un gros handicap, et prouver mon innocence dans cette malheureuse affaire va être pour moi, mission impossible. Mais qui ne tente rien n’a rien. Je lève la main droite et je jure de dire la vérité. TOUTE la vérité sur ces accusations dont nous sommes tous victimes.
On me dit : Mégalomane, misogyne, imbuvable, ayant un caractère de cochon, omni bullé par l’argent et la reconnaissance… C’est pas faux !!!
La mégalomanie n’a jamais été un crime. Je suis le plus grand producteur de Gerardmerveille et anciennement Fundanse. Certes, je n’ai pas encore été en tête du box-office gerardmerveilleux, mais ça ne saurait tarder. Ma soit-disant mégalomanie est plus un excès de confiance en moi, qui me fait avancer là où je désire arriver : Au sommet !!!!
Misogyne : je crois pas… Les femmes ont voulu être l’égale des hommes. Et bien, qu’elles assument maintenant. Je traite les femmes comme les hommes : comme des moins que rien qu’elles et ils sont !!! Je suis entouré d’incapables, et je me dois de les tenir en main pour éviter que mes studios ne fassent faillite.
Imbuvable : Etre producteur de cinéma, c’est énormément de responsabilités. Le moindre faux pas, et la chute peut être fatale. C’est pour ça que je me dois d’encourager mes troupes. Certes d’une façon despotique, mais efficace. Je n’hésite pas à virer quelqu’un quand il m’a semblé qu’il a mal fait son travail.
Voilà tout ce qui fait que je pars avec un handicap dans cette affaire. Mais pourtant, je suis innocent dans tous ce qu’on m’accuse, et la plupart de mes confrères, pour la plupart, le sont également. Et pourtant, Dieu sait que j’aimerai bien qu’ils soient tous incarcérés. Mais j’ai un cœur… Si si !!! J’en ai un !!!
Jeremie Walken n’a jamais importé de prostitués russes pour me rendre service. Je préfère les françaises, au moins, elles comprennent ce que je veux.
Athéna n’est jamais sorti avec un jeune acteur mineur.
Morcar n’a jamais reçu de pot de vin de Nicolas Karsozy, candidat devenu président, afin de promouvoir sa campagne présidentielle par messages subliminaux dans ses films.
Malgyos n’a jamais truqué des matches de boxe clandestins.
Les Dindarv n’ont pas dans un de leurs studios ouverts une maison close.
Divine n’a pas tué le chirurgien qui lui a fait des implants mammaires et qui aurait raté l’opération. Ce sont vraiment ses seins. Je le sais, j’ai pu tâter !!!
Barbu à bien tenter de faire sauter mes studios avec la complicité de Warner, l’année dernière… Eux, je ne les aime pas !!! Ils méritent un peu de zonzon, ça leur fera une bonne leçon.
Le grand coupable est Ari Golan !!! C’est lui qui a fomenter tout ça !!! De nous faire tomber tous, les uns après les autres.
Pourquoi est-ce le seul à ne pas être atteint par les diverses accusations, ces derniers jours ?
Cet homme à une dent contre nous, car il voit que sa suprématie est menacée par la venue de producteurs concurrentiels !!! Et pourtant cet homme tant respecté dans le milieu n’est pas aussi blanc que l’agneau noir à cinq pattes qui vient de naître.
Avec tout ce que je vais vous raconter, vous pourrez presque en faire un film !!! D’ailleurs, je dépose des droits sur tout ce que je vais vous dire. Comme ça, je pourrai moi-même produire ce film !!! Je l’appellerai : Un Grain Dans La Défense !!! Ou comment Grain détruit une à une les accusations qui pèsent sur ses confrères producteurs et lui-même !!!... Y’a pas à dire, je m’épate moi-même. Je suis vraiment un génie !!!!
Donc voilà, tout à commencer trois ans plus tôt, Ari Golan était déjà au somment de l’affiche…. »
« C’était un extrait du plaidoyer de Grain au tribunal de Grande Instance de Gerardmerveille. Plus de deux heures de discours sur la soi-disant culpabilité de Ari Golan. Vous pourrez retrouver l’intégralité des procès en DVD d’ici 4 mois. En attendant, Gerardmerv TV 1 vous diffuse ce soir les plaidoyers de Grain, Morcar et Athéna contre Ari Golan. Leurs témoignages seront mis en images par des acteurs histoire de recréer l’histoire du plan machiavélique de Golan et de recouper les témoignages. Ou alors, allez au cinéma voir le film : CINEJEU III : Un Grain Dans La Défense produit par Grain de folie films, tourné à la hâte pour se retrouver dans l’actualité, qui vous racontera qui est vraiment Golan.
Grain de folie films nous signale que CINEJEU 1 et 2 sont toujours en vente en DVD High Definition, 5.1…. Ici Brenda Carlson. A vous les studios…. »
ATTENTION : Ce film est une vrai production, non tourné à la hâte comme dit dans le scénario... !!! Je rappelle que ce film est une fiction, et que tous les producteurs incriminés sont appréciés par notre président !!! sauf Warner et Barbu !!! (nan, je déconne !!! Je les adore !!!
« Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, ici Brenda Carlson, de Gerardmerv TV 1. Le monde du cinéma est en effervescence depuis plusieurs jours.
En effet depuis trois jours maintenant, les différents producteurs de Gerardmerveille sont tour à tour arrêtés à leur domicile par la police, pour différentes raisons : Abus de biens sociaux pour certains, proxénétisme pour d’autres, pots de vin, espionnage industriel, tentative de meurtres. Chacun des producteurs incriminés ont un délit qui leur est incombé.
Mr Jeremie Walken n’a voulu faire aucuns commentaires sur son accusation d’avoir importer des prostitués russes et de les avoir fourni pour Grain. Ce dernier nie bien sur ces accusations, en disant, je cite : « je préfère les prostitués françaises aux russes. ».
Seul Ari Golan des studios MMP semble épargné par ces rafles. Forcément des regards interrogateurs se tournent vers lui, surtout les regards de ses confrères accusés, qui semblent se faire une idée de qui a pu les balancer. Mais tout de suite, voyez un extrait du réquisitoire du PDG de Grain de folie films, ayant décidé de se défendre seul, face au terrible procureur de la république : Eric Lestrade. Le procès est dirigé lui par le juge Danatos. »
« Monsieur le juge, monsieur le procureur, messieurs les jurés. Je pars dans cette affaire avec un gros handicap, et prouver mon innocence dans cette malheureuse affaire va être pour moi, mission impossible. Mais qui ne tente rien n’a rien. Je lève la main droite et je jure de dire la vérité. TOUTE la vérité sur ces accusations dont nous sommes tous victimes.
On me dit : Mégalomane, misogyne, imbuvable, ayant un caractère de cochon, omni bullé par l’argent et la reconnaissance… C’est pas faux !!!
La mégalomanie n’a jamais été un crime. Je suis le plus grand producteur de Gerardmerveille et anciennement Fundanse. Certes, je n’ai pas encore été en tête du box-office gerardmerveilleux, mais ça ne saurait tarder. Ma soit-disant mégalomanie est plus un excès de confiance en moi, qui me fait avancer là où je désire arriver : Au sommet !!!!
Misogyne : je crois pas… Les femmes ont voulu être l’égale des hommes. Et bien, qu’elles assument maintenant. Je traite les femmes comme les hommes : comme des moins que rien qu’elles et ils sont !!! Je suis entouré d’incapables, et je me dois de les tenir en main pour éviter que mes studios ne fassent faillite.
Imbuvable : Etre producteur de cinéma, c’est énormément de responsabilités. Le moindre faux pas, et la chute peut être fatale. C’est pour ça que je me dois d’encourager mes troupes. Certes d’une façon despotique, mais efficace. Je n’hésite pas à virer quelqu’un quand il m’a semblé qu’il a mal fait son travail.
Voilà tout ce qui fait que je pars avec un handicap dans cette affaire. Mais pourtant, je suis innocent dans tous ce qu’on m’accuse, et la plupart de mes confrères, pour la plupart, le sont également. Et pourtant, Dieu sait que j’aimerai bien qu’ils soient tous incarcérés. Mais j’ai un cœur… Si si !!! J’en ai un !!!
Jeremie Walken n’a jamais importé de prostitués russes pour me rendre service. Je préfère les françaises, au moins, elles comprennent ce que je veux.
Athéna n’est jamais sorti avec un jeune acteur mineur.
Morcar n’a jamais reçu de pot de vin de Nicolas Karsozy, candidat devenu président, afin de promouvoir sa campagne présidentielle par messages subliminaux dans ses films.
Malgyos n’a jamais truqué des matches de boxe clandestins.
Les Dindarv n’ont pas dans un de leurs studios ouverts une maison close.
Divine n’a pas tué le chirurgien qui lui a fait des implants mammaires et qui aurait raté l’opération. Ce sont vraiment ses seins. Je le sais, j’ai pu tâter !!!
Barbu à bien tenter de faire sauter mes studios avec la complicité de Warner, l’année dernière… Eux, je ne les aime pas !!! Ils méritent un peu de zonzon, ça leur fera une bonne leçon.
Le grand coupable est Ari Golan !!! C’est lui qui a fomenter tout ça !!! De nous faire tomber tous, les uns après les autres.
Pourquoi est-ce le seul à ne pas être atteint par les diverses accusations, ces derniers jours ?
Cet homme à une dent contre nous, car il voit que sa suprématie est menacée par la venue de producteurs concurrentiels !!! Et pourtant cet homme tant respecté dans le milieu n’est pas aussi blanc que l’agneau noir à cinq pattes qui vient de naître.
Avec tout ce que je vais vous raconter, vous pourrez presque en faire un film !!! D’ailleurs, je dépose des droits sur tout ce que je vais vous dire. Comme ça, je pourrai moi-même produire ce film !!! Je l’appellerai : Un Grain Dans La Défense !!! Ou comment Grain détruit une à une les accusations qui pèsent sur ses confrères producteurs et lui-même !!!... Y’a pas à dire, je m’épate moi-même. Je suis vraiment un génie !!!!
Donc voilà, tout à commencer trois ans plus tôt, Ari Golan était déjà au somment de l’affiche…. »
« C’était un extrait du plaidoyer de Grain au tribunal de Grande Instance de Gerardmerveille. Plus de deux heures de discours sur la soi-disant culpabilité de Ari Golan. Vous pourrez retrouver l’intégralité des procès en DVD d’ici 4 mois. En attendant, Gerardmerv TV 1 vous diffuse ce soir les plaidoyers de Grain, Morcar et Athéna contre Ari Golan. Leurs témoignages seront mis en images par des acteurs histoire de recréer l’histoire du plan machiavélique de Golan et de recouper les témoignages. Ou alors, allez au cinéma voir le film : CINEJEU III : Un Grain Dans La Défense produit par Grain de folie films, tourné à la hâte pour se retrouver dans l’actualité, qui vous racontera qui est vraiment Golan.
Grain de folie films nous signale que CINEJEU 1 et 2 sont toujours en vente en DVD High Definition, 5.1…. Ici Brenda Carlson. A vous les studios…. »
ATTENTION : Ce film est une vrai production, non tourné à la hâte comme dit dans le scénario... !!! Je rappelle que ce film est une fiction, et que tous les producteurs incriminés sont appréciés par notre président !!! sauf Warner et Barbu !!! (nan, je déconne !!! Je les adore !!!
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Lun Nov 12, 2007 15:52
EN COURS DE TOURNAGE :
Bouba : une adaptation "live" du dessin animé de notre enfance !!!
Il Etait Une Fois Les Spasmes : Un jeu de mot pourri pour une comédie sentimentale...
Bouba : une adaptation "live" du dessin animé de notre enfance !!!
Il Etait Une Fois Les Spasmes : Un jeu de mot pourri pour une comédie sentimentale...
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Mar Nov 13, 2007 0:27
Certes, j'adapte beaucoup, mais j'inédite qd même la chose pour éviter de trop plagier. Pi c'était un peu ma marque de fabrique à Fundanse, et je continue dans ma logique.
voici en exclu l'affiche de notre film : Bouba
voici en exclu l'affiche de notre film : Bouba
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Le Docteur » Mar Nov 13, 2007 17:43
LE 13 DECEMBRE 2008
Daklahoma est content. Ce grand et fier indien regarde son jeune fils Moy, s’amuser avec la petit Joy, fille du fermier qui leur louait à lui et son fils, une modeste cabane en rondin. Modeste mais suffisamment spacieuse pour y vivre et passer l’hiver.
Moy n’avait pas autant rit depuis la mort de sa mère, l’année passée. Mais Joy lui redonnait une certaine joie de vivre, et fort était de constater que pour une fois, l’homme blanc avait de bon coté. Mr Forestier, le père de Joy était un riche fermier, très bon, ayant le cœur sur la main. Il leur louait la cabane pour une bouchée de pain, et passait même voir, de temps en temps, si ils ne manquaient de rien.
Moy vint voir son père et lui demanda s’il pouvait aller jouer à l’entrée de la forêt avec Joy. Daklahoma accepta a condition de faire très attention, et de se méfier d’Amandine. C’est ainsi que nommait les indiens, la terrible Ourse qui vivait dans cette forêt.
Les deux enfants partirent donc et rentrèrent dans la forêt. Au bout de quelques minutes, les deux enfants aperçurent deux petits oursons. L’un était tout brun qu’ils appelèrent Bouba. L’autre était une femelle de couleur beige qu’ils prénommèrent Frisquette. Moy avait sur lui des caramels dont il se servit pour attirer les deux petits animaux.
Pas effrayés pour deux sous, les oursons s’approchèrent pour sentir le caramel et le goûter dans la main des enfants. Puis ceux-ci commencèrent à jouer ensemble, s’habituant à la présence des uns et des autres.
Chaque jour, ce fut le même rituel : les caramels et les jeux. Les enfants n’avaient rien dit à leurs parents pour ne pas les inquiéter.
Mais aujourd’hui, c’était différent. Bouba et Frisquette étaient accompagné par leur maman, qui n’était autre qu’Amandine. Cette dernière, habitué à être pourchassé par l’homme grogna contre les enfants pour les effrayer. Moy et Joy coururent aussi vite qu’ils purent jusqu'à la cabane du petit garçon. Sur le chemin, ils croisèrent un homme, avec un fusil à l’épaule, de la chique dans la bouche et un chapeau fait en peau de raton laveur, dont la queue pendait sur la nuque du personnage.
Alors que les enfants reprenaient leur souffle, ils entendirent deux coups de feu, puis un grognement d’ours. Aussitôt Moy et Joy pensèrent à Bouba et sa petite sœur.
L’homme redescendait, rouspétant contre lui-même d’avoir raté la capture des oursons. Il redescendit vers le village, acheter de quoi traquer les deux petits animaux, abandonnant à l’orée de la forêt, le cadavre de la légendaire Amandine, tel un morceau de viande putréfiée.
C’est alors qu’allait commencer l’histoire où l’amitié entre l’homme et l’animal sont possible lorsqu’ils sont pourchassé par le même ennemie : le chasseur !!!....
(Librement adapté de l'histoire de Ernest Thompson Seton.
Malgré quelques similitudeS, notament pour les noms des personnages, ce n'est pas un plagiat de la série animé du même nom.)
Daklahoma est content. Ce grand et fier indien regarde son jeune fils Moy, s’amuser avec la petit Joy, fille du fermier qui leur louait à lui et son fils, une modeste cabane en rondin. Modeste mais suffisamment spacieuse pour y vivre et passer l’hiver.
Moy n’avait pas autant rit depuis la mort de sa mère, l’année passée. Mais Joy lui redonnait une certaine joie de vivre, et fort était de constater que pour une fois, l’homme blanc avait de bon coté. Mr Forestier, le père de Joy était un riche fermier, très bon, ayant le cœur sur la main. Il leur louait la cabane pour une bouchée de pain, et passait même voir, de temps en temps, si ils ne manquaient de rien.
Moy vint voir son père et lui demanda s’il pouvait aller jouer à l’entrée de la forêt avec Joy. Daklahoma accepta a condition de faire très attention, et de se méfier d’Amandine. C’est ainsi que nommait les indiens, la terrible Ourse qui vivait dans cette forêt.
Les deux enfants partirent donc et rentrèrent dans la forêt. Au bout de quelques minutes, les deux enfants aperçurent deux petits oursons. L’un était tout brun qu’ils appelèrent Bouba. L’autre était une femelle de couleur beige qu’ils prénommèrent Frisquette. Moy avait sur lui des caramels dont il se servit pour attirer les deux petits animaux.
Pas effrayés pour deux sous, les oursons s’approchèrent pour sentir le caramel et le goûter dans la main des enfants. Puis ceux-ci commencèrent à jouer ensemble, s’habituant à la présence des uns et des autres.
Chaque jour, ce fut le même rituel : les caramels et les jeux. Les enfants n’avaient rien dit à leurs parents pour ne pas les inquiéter.
Mais aujourd’hui, c’était différent. Bouba et Frisquette étaient accompagné par leur maman, qui n’était autre qu’Amandine. Cette dernière, habitué à être pourchassé par l’homme grogna contre les enfants pour les effrayer. Moy et Joy coururent aussi vite qu’ils purent jusqu'à la cabane du petit garçon. Sur le chemin, ils croisèrent un homme, avec un fusil à l’épaule, de la chique dans la bouche et un chapeau fait en peau de raton laveur, dont la queue pendait sur la nuque du personnage.
Alors que les enfants reprenaient leur souffle, ils entendirent deux coups de feu, puis un grognement d’ours. Aussitôt Moy et Joy pensèrent à Bouba et sa petite sœur.
L’homme redescendait, rouspétant contre lui-même d’avoir raté la capture des oursons. Il redescendit vers le village, acheter de quoi traquer les deux petits animaux, abandonnant à l’orée de la forêt, le cadavre de la légendaire Amandine, tel un morceau de viande putréfiée.
C’est alors qu’allait commencer l’histoire où l’amitié entre l’homme et l’animal sont possible lorsqu’ils sont pourchassé par le même ennemie : le chasseur !!!....
(Librement adapté de l'histoire de Ernest Thompson Seton.
Malgré quelques similitudeS, notament pour les noms des personnages, ce n'est pas un plagiat de la série animé du même nom.)
-
Le Docteur - Producteur culte
- Message(s) : 1698
- Inscription : Mar Jan 02, 2007 16:23
- Localisation : Saint-Brévin Les Pins
par Morcar » Mar Nov 13, 2007 21:21
Grain a écrit :Certes, j'adapte beaucoup, mais j'inédite qd même la chose pour éviter de trop plagier. Pi c'était un peu ma marque de fabrique à Fundanse, et je continue dans ma logique.
Oui, m'enfin ça fait beaucoup quand même, je trouve.
J'aimerais bien voir un peu plus de tes créations.
Parce que si on retire les films historiques, dont l'histoire de base n'est pas de toi (logique), les parodies (qui reposent bien entendu sur un scénario existant) et les adaptations, il ne reste pas beaucoup de film dans ton studio.
Pourtant, ces films sont souvent excellents, bien meilleurs que tes adaptations d'ailleurs !
P.S : Pourquoi mettre toujours tes textes en gras et en couleur, c'est vachement plus difficile à lire. Pour être honnète, je ne lis aucun de tes synopsis sur le forum tellement je trouve ça désagréable à lire, et je me force à lire tes autres messages.
-
Morcar - Producteur légendaire
- Message(s) : 23644
- Inscription : Jeu Sep 07, 2006 0:15
Qui est en ligne ?
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 16 invité(s)