Gérard Cousin a écrit :Il est régulièrement questions d'extraterrestres (de manière directe ou indirect) comme dans Ça où le clown est une puissante entité venu de l'espace dans des temps immémoriaux (comme les Grands Anciens en sommes... )
Ça reste très très marginal, autant dans Ça que dans l'ensemble des livres de King. Pas de quoi dire que c'est régulier et important dans son œuvre.
Gérard Cousin a écrit :Les Flims Plalstique a écrit :Au delà de l'horreur, les récits de King tourne autour des traumas de l'écrivain (le personnage de fiction qui se retourne contre le créateur, la peur de la page blanche, etc.)
C'est ce que je dis: On pourrait créer une application pour faire une histoire de King!
Alors là, tu tombes dans la mauvaise foi car tous les auteurs, bons ou mauvais, ressassent sans arrêt les mêmes thèmes, y compris au cinéma.
Gérard Cousin a écrit :Car y'a une constance dans le nawak et l'incohérence difficile à imiter!
Sincèrement (et sans plaisanter), je pense qu'il est vraiment l'auteur de tout ses bouquins!
Je le pense aussi mais je n'ai pas réellement lu de bouquin récent (moins de vingt ans) hormis Cellulaire et j'ai presque un doute pour ce dernier.
En revanche, je ne comprends pas le "nawak". Tous les King que j'ai lu sont parfaitement limpides et maîtrisés, au moins au premier degré. Le seul où j'ai senti qu'il perdait l'emprise sur son récit, c'est justement Le Fléau, on en parlait il y a quelques mois.
En revanche, je n'ai rien à dire pour le style de son écriture. Je comprends ceux qui n'accrochent pas.
Gérard Cousin a écrit :Nombres de récits s'entrecroisent pour former un "tout": Les références d'un événement, des lieux, des persos et de certains mythes (ou tentatives) comme Flagg le sorcier/l'Homme Noir/Leland Gaunt de Bazaar et différents trucs qui tente mais c'est hyper bordélique et difficile à décrypter.
En ça, on se rapproche de l'œuvre de Lovecraft où toutes ses nouvelles sont plus au moins connectés, vis à vis d'une mythologie commune ainsi que des lieux/personnages communs et cités.
Tout comme on peut faire une analogie Arkham/Castle Rock!
La référence à l'homme noir est là encore anecdotique. Quelques bouquins à peine. Elle m'avait échappé avant que je ne lise Le Fléau. Et Bazaar m'avait profondément gonflé. Les références qui se croisent, je le vois plus comme une volonté d'unité et d'attachement au Maine, mais ce n'est absolument pas une clé de voute pour la lecture. On peut tout à fait passer à côté sans y perdre grand chose... Contrairement à Lovecraft où les récits s'enrichissent mutuellement.
Gérard Cousin a écrit :mais à des extraterrestres qui sortent des chiottes et te rentre dans le cul pour prendre le contrôle...
Ok, je vais l'acheter dès demain. Tu me vends du rêve, là