Ce dimanche, dans la série "Après-midi chez beau-papa" (qui a découvert la VOD), j'ai vu un film sud-coréen :
Windfighters. Puis le soir, j'ai maté
Polisse sur Arté.

Synopsis : Un jeune pilote de chasse talentueux est viré après avoir tenté une manoeuvre spectaculaire mais dangereuse lors d'un meeting aérien. Il intègre une petite base où il doit redémarrer à zéro. Le jour où la Corée du Nord attaque celle du Sud, les meilleurs pilotes sont sélectionnés pour participer à une mission pour répliquer.
Avis : Ce film aurait pu se nommer "Corean Top Gun", tant les similitudes avec le film de Tony Scott sont nombreuses. On retrouve ici un héros très doué mais qui n'arrive pas à suivre les ordres de ses supérieurs, qui intègre une base dans laquelle il va devenir ennemi d'un autre pilote très doué, et va tomber sous le charme d'une mécanicienne très jolie. On a le droit à de splendides scènes d'avions de chasse, à de l'humour coréen, à des personnages assez poussives parfois, tout comme les personnages. Ca se laisse regarder un dimanche après-midi pluvieux.

Synopsis : Le quotidien des policiers de la Brigade de Protection des Mineurs avec ses gardes à vue de pédophiles, ses arrestations de pickpockets mineurs, ses auditions de parents maltraitants, etc... mais aussi le quotidien des membres de cette brigade, avec chacun leurs histoires.
Avis : Pour son film, Maïwenn prend le parti de réaliser une sorte de docu-fiction nous montrant le quotidien de ces flics, entre leurs enquêtes et leur vie privée. Ca donne un film criant de réalisme, mais parfois un peu trop décousu je trouve. Un réel documentaire aurait été mieux construit, ne passerait pas du coq à l'âne comme le fait le film.
Le casting (assez impressionnant, il faut l'avouer) est cependant exceptionnel ! Que ce soient les rôles principaux (parmi lesquels un Joey Star époustouflant) ou les seconds rôles, tous ces personnages sont très bien interprêtés, y compris ceux des jeunes enfants. La réalisation est très bonne, et l'interprétation fait que le film est très réaliste, mais c'est ce côté décousu qui pêche un peu.