PITBULL a écrit :j'ai déjà eu quelques petites expériences.
Il y a toujours une explication à ce genre de chose.
J'ai souvenir par exemple d'une fois où, alors que j'étais aux chiotes chez les beau-parents, ce couillon de beau-père avait entrepris de m'y prendre en photo, a réussi à ouvrir la porte de l'extérieur et à glisser sa main par l'entrebaillement avant que je le bloque (pas de commentaire sur les blagues de mon beau-père
). Bref, à l'époque c'était encore avec un appareil argentique, et peu après, ma belle-mère m'a raconté au téléphone qu'on voyait une vieille femme sur la photo. Elle qui croit à toutes ces conneries était convaincue qu'il y avait un fantôme dans ses chiotes
Quand j'ai vu la photo, j'ai juste vu mon front en gros plan, mais telle que c'était pris en photo on pouvait croire que c'était le dos courbé d'une vieille femme, en effet.
Tout ça pour dire que ce genre de truc, à mon avis c'est juste des interprétations de personnes qui croient tellement à tout ça qu'ils finissent par voir des choses là où il n'y a rien à voir.
PITBULL a écrit :ça fait badé.
C'est quoi cette expression ?
A moins que tu aies oublié une lettre et que ce vent froid t'ai un peu trop excité
PITBULL a écrit :Mais ce qui m'a vraiment fait badé, c'est en allant au travail. Sur la route que je prends des centaines et des centaines de fois par an, j'ai croisé une femme de blanc vêtue. Elle avait le dos un peu courbé en avant, les bras balançant doucement comme si le cerveau n'avait aucun contrôle dessus, les yeux étaient cachés par ses cheveux, ils étaient vraiment moites, comme si elle s'était passé un coup de gant de toilette humide sur le visage avec ses cheveux dessus. Puis sa peau été aussi blanche que ses vêtements, elle semblait vide de tout sens, de tout ce qui fait un être humain : chaleur et vigueur surtout.
Et ce à 06H30 du matin.
En allant au ciné avec des potes en hiver, de nuit, il y avait parmi nous un pote qui flippe pour tout et pour rien, et on s'amusait à lui raconter des histoires de dame blanche dans la voiture. Et là, au détours d'un virage, dans la lueur des phares, une femme marchant au bord de la route et vêtue d'une grosse doudoune claire, ce qui lui a donné un aspect très blanc. Mon pote à hurlé comme jamais
L'imagination prend souvent le dessus dans ce genre de situation, et exagère un peu le souvenir qu'on a de la chose. Ca me rappelle les coups de flip qu'on s'est fait étant gosse quand j'avais été camper dans la forêt de Brocéliande alors que j'avais une dizaine d'année au maximum. L'effet de groupe accentue encore ce genre de truc.