Dans un univers à la fois "années 80" et digne des sérials d'antan, voici un film écrit par Camille Lawrence et Julien Gregory, réalisé par Todd Mitchell (Road la mort, Amplius)! Au générique, on trouve John Mears (Les Enfants de la Révolution, Les Trois mousquetaires), Helena Yuen (L'Homme de Hong-Kong, La Folle de St-Propez), Gaia Williams (Cibola, La Cité des Morts, The Albanian Movie), Thor Degast (CineClub, Le Jour où j'ai tué H...) sans oublier la participation exceptionnelle de Gérard Cousin lui-même! La musique originale est l'oeuvre de Pavel Rye (La Folle de St-Propez, Amplius) mais la BO est agrémentée de nombreux "tubes" des années 80 dispo dans l'album officiel du film!
Film d'animation pour adulte totalement barré mettant en scène Steven Cigale, le plus grand et le plus gros karatéka du monde! Le seul homme capable de casser le bras et la jambe de l'adversaire en un seul mouvement! D’ailleurs, c'est Steven Cigale (Bouffi Contre Les Vampires, Sylvester Staline Rend Beaux Les Méchants) lui-même qui prête sa voix au personnage principal de ce film réalisé par Sergiot (Zombies En Sandales, Schtroumpfolle a disparu). A la voix de Steven s'ajoute celles de Kara Milovy (Les Guérilleros du Parc Central, From Darkness), Big Barracuda (El Gringo, On ne fait pas d'Hamlet sans casser des Bras), Nina Korkivich (Le Seigneur des Corbeaux, St-James Reloaded), Mark Owens (The Looters : No Mercy, Legacy of the Betrayer), Avi Elias (Red scarf, Glam Rock) et Ernest Couscous (El Santo dans le Temps) entre autres! La musique est l'oeuvre de Rebecca Goldenberg (Miss Porcelaine et le chevalier sans visage, Pour Mme Gance) et l'on peut entendre le fameux "Duelling Banjos"!
Quand au titre avec Fantasia, c'est en référence au titre français d'un bouquin de Charles Williams que j'adore et appelé Fantasia chez les Ploucs (en VO Diamond Bikini! )! Le titre Français ne veut absolument rien dire!
Juste le tout ! C'est comme un grand 8, on se dit : allez j'y vais, je vais sans doute pas le regretter, mais j'ai un peu peur avant d'y aller quand même...
Corbeau a écrit :Juste le tout ! C'est comme un grand 8, on se dit : allez j'y vais, je vais sans doute pas le regretter, mais j'ai un peu peur avant d'y aller quand même...
C'est un parfait résumé de certaines de mes productions!
Premier volet du diptyque Le Fléau d'après le roman de Stephen King, ce film a été écrit par Gérard Cousin, Alessandra Gira, Katrina Debney et Todd Mitchell (Road la mort, Amplius), ce dernier réalisant aussi le film!
Au générique de cette "grosse" superproduction, on trouve Alec Lederman (Death Valley, Vingt ans après), Rosie Imbert (La Route des Ténèbres, Cosette Unchained), John Mears (Les Enfants de la Révolution, Les Trois mousquetaires), Tata Ginette (UN CROCODILE DANS LA CABINE, Cornélius), Jeff Collins (Cibola, La Cité des Morts, CineClub), Frank Mattis (Les Trois mousquetaires, Skyrim), Marcus Lee Bampton (La Tyrannie du Roi Washington, Vingt ans après), Richard Parker (Vingt ans après, The Albanian Movie), Franck Elioth (Deux Poètes), Alona Cannon (La Botte de Venise, La Tyrannie du Roi Washington), Jessica Aronosky (Cosette Unchained, Wave Girl - Legacy of the Ocean), Zoé Mears (Eternals, Iron Man - Daytime of Redemption), Ken Barby (Filles de Roy, Dans le brouillard), Luis Diaz (Lord of the Undead, The Albanian Movie), Jessica Foster (Les Enfants de la Révolution, La Folle de St-Propez) ou Gérard Cousin entre autre!
La musique est l'oeuvre du débutant Ray Halligan (CandyLand) et le générique c'est la chanson Don't Fear The Reaper interprété par Blue Oyster Cult!
Rajoute un poil de cul de luminosité car l'affiche est excellentissime. Quand je la regarde sur mon pc portable (rétro-éclairé donc) elle rend très bien, mais sur un écran normal (mon pc bureau) c'est trop sombre et on manque de nombreux détails.
Nanoyo a écrit :Rajoute un poil de cul de luminosité car l'affiche est excellentissime. Quand je la regarde sur mon pc portable (rétro-éclairé donc) elle rend très bien, mais sur un écran normal (mon pc bureau) c'est trop sombre et on manque de nombreux détails.