Ciné Merveilles a écrit :... et livrant le spectateur à une étrange ambiance, pas vraiment flippante à cause de dialogues pas vraiment juste.
C'est pas vraiment un avis de journaliste, ça.
Ciné Merveilles a écrit :... et livrant le spectateur à une étrange ambiance, pas vraiment flippante à cause de dialogues pas vraiment juste.
Second film de l’année 2021 pour Misterdada Studio, la société poursuit le rythme voulu par le regretté Misterdada du film/mois. Ce mois-ci, Nastasia, projet fantastique se loge en tête du box-office avec 13,9 millions d’entrées. Une belle performance pour une Série B dont le genre est côté aux alentours de 6%. Côté critique, on salut déjà la « merveille graphique » qu’est l’affiche percutante de Nastasia, Pour le reste, « scénario bien écrit et ambiance bien sentie » pour la majorité des critiques, certains n’étant guère emballé à cause de leur horreur de bateau et de la pêche ! Dommage que l’intégralité du casting ne soit pas à toujours à la hauteur de l’enjeu. |
Dcrnier artiste lancé par l’agent Steeve Mc. Ray et formé à l’Acting School, Jerry Endo-soo qui a signé un contrat d’exclusivité avec la Rammstein s’en sort avec les honneurs dans Blood Lust. A suivre.. |
L’ancien dirigeant de la Quentin Film qui avait annoncé sa retraite pour semble-t-il revenir à sa carrière d’acteur est plus qu’impecable dans Hotel Pavillon produit par JLP. C’est tout simplement le meilleur rôle de sa carrière. |
Découvert par la Galactic Universe dans Avis Igni (2019), Greg Corner rate complètement sa seconde prestation dans le beau film de Misterdada Studio, Nastasia. Complètement à la masse dans le rôle de Mathieu. |
Dcrnier artiste lancé par l’agent Steeve Mc. Ray et formé à l’Acting School, Jerry Endo-soo qui a signé un contrat d’exclusivité avec la Rammstein s’en sort avec les honneurs dans Blood Lust. A suivre..
Commencé avec Mon produc est un trouduc (2015), il enchaîne en un an sept autres films pour Production Tremblay, notamment James Bombe : Agent 000, l’un des succès critiques de sa société où il tenait d’ailleurs le premier rôle aux côté de son épouse, Amélie Benett. Si l’homme était volubile, expressif, entier, Dany Tremblay fut un tout autre homme après un grave accident de santé survenu en 2017. Il quitte d’ailleurs Gérardmerveille pour son Canada natal où il réside. Surtout, il décide de continuer sa carrière pour des productions de Gérardmerveille mais sans se mêler du côté promotion des films et en n’intervenant jamais côté public (médias, avant-première). Ainsi, avec Louis Lamort pour la MMP (février 2018), Dany Tremblay réalise huit autres films jusqu’à Hotel Pavillon pour la JLP avec qui il a signé un contrat d’exclusivité. Outre les deux cités, il a travaillé pour Chpom Entertainment – où il a effectué son meilleur travail pour Sacred, 2019 - , Gérard Cousin Prod et Misterdada Studio. |
C’est entre deux piles de cartons, hautes de deux mètres cinquante, entre un bureau couvert de papier et du matériel de tournage qu’a eu lieu l’interview de Geneviève De Fontenay, productrice de la société 21th District Inc à San Francisco et qui vient d’ouvrir au début de l’année 2021 88 Miles Pictures. Dans ce bureau composé de trois pièces, n’excédent pas cinquante mètres carré, Geneviève De Fontenay évoque pour nos lecteurs le début de son aventure Gérardmerveilleuse. Entretien. |
MR – Vous assurez la direction artistique des projets et l’arrivée de 88 Miles Pictures s’est faîtes avec Enchaînés, un thriller qui a divisé la critique notamment par sa narration. Etait-ce une volonté de présenter quelques choses de singulier quitte à être un échec commercial ? GF - Il a certes divisé la critique, mais les spectateurs ont apprécié puisque malgré un budget extrêmement mince, ils ont été plus d'un million à se déplacer. Le but n'était absolument pas de présenter quelque chose de singulier, mais simplement de faire un film. Et comme tout film, il y a risque que ce soit un échec commercial. MR – Le second projet fut Breizh, nos origines dont le budget total fut de 6 millions de $. Comment fut-il financé ? Est-ce que la maison mère injecte de l’argent dans la filiale ou avez-vous ouvert le capital ? GF - Alors oui, nous avons recapitalisé l'entreprise pour nous octroyer quelques liquidités, ce qui a permis la production. |
MR – Et le projet 70 ans… Où en est-il ? GF - 70 ans est un projet que nous avons co-produit avec 21th District Inc. Nous avons déjà sorti ce film à San Francisco, ce qui s'est soldé avec un très bon score de 700 000 entrées. Nous attendons encore quelques semaines pour le présenter aux spectateurs de GérardMerveille, mais le projet est près et devrait plaire au public. MR – Des projets espacés dans le temps, une qualité graphique et de script reconnu, le passage rapide d’une Série Z à une Série B… Avez-vous donc une haute ambition pour 88 Miles Pictures dès cette année 2021 ? GF - Nous ne vous cachons pas que nous espérons être présent pour cette année 2021 dans le top 10, d'où notre volonté de ne pas produire beaucoup, mais, on l'espère, bien. Et de préférence de grosses productions. Mais nous essayons d'allier un bon (voir très bon... (rires)) script et de nombreuses entrées, ce qui n'est absolument pas incompatible, nous l'espérons. |
MR – Concernant votre implantation récente à Gérardmerveille, comment se passe votre adaptation dans la ville ? Je crois savoir que vous divisez votre semaine entre Gérardmerveille et San Francisco… Est-ce que cela vous permet-il de vous imprégnez de l’ambiance de notre ville ? GF - Oui, Je passe de plus en plus de temps à GérardMerveille, l'ambiance de cette ville est vraiment extrêmement sympathique. MR – Justement, quelle est votre première impression sur la profession cinématographique de Gérardmerveille ? Quels sont les producteurs dont les projets vous ont marqué ? Avez-vous déjà noué des contacts avec certains d’entre eux ? GF - Je souhaite remercier déjà tous les producteurs de la ville pour leur accueil très chaleureux. J'ai été très marqué par la production de Gérard Cousin Prod "Von Rhaïm" qui m'a particulièrement impressionné. Non je n'ai pas encore lié de relation avec eux, pas qu'il y est de volonté d'indépendance de notre part, mais la nécessité ne s'est pas encore fait sentir. |
Pour son premier film de l’année 2021, la MMP voulait frapper fort avec sa superproduction d’action, SK – La sentinelle de Karlsberg. Public au rendez-vous malgrè la côte du genre et une première place au box-office (15,5 millions d’entrées) mais des critiques constituant une douche froide pour une production habituée aux louanges. 3,5/5, soit la moyenne des critiques du film du réalisateur Daniel Sbrizzi. Beaucoup de critiques négatives donc, sur de multiples points : « manque de sérieux », « à la limite de la parodie », « ça part en total nawak », « un changement de style narratif un peu bizarre », « trop de terme technique », « on tombe dans le nanar »… N’en jetez plus ! |
Well Walling Production séduit presque l’intégralité des critiques qui offrent un 5 à The Exchange, le projet d’horreur de Evangelina Walling II et réalisé par Bianca Vinding. Plus que saluée, l’affiche témoigne bien de « la suite des festivités » : « une histoire des Goules des plus originales », « dans les zones antisociales du cannibalisme ». Un grand film salué donc par la presse. Avec 12 millions d’entrées supplémentaires dans sa besace, la WWP, leader du box-office 2020, recolle presque à JLP (11,22% contre 11,97%), à la lisière du TOP3. |
D'après des rumeurs de plus en plus insistantes, Paavo Väyrynen, fondateur, directeur et actionnaire majoritaire de l'InShadow Production et de la Väyrynen IPC, serait sur le point de se séparer de chacune des deux sociétés. Mais pourquoi lâcherait-il ces deux productions, qui l'année dernière ont cumulé à elles deux, près de 500 millions de dollars de bénéfices ? |
Le teaser est bleu horizon. Le titre est évocateur et aurait eu sa place dans le concours Anti-nanoversaire du 12 décembre 2020 où Dominatrixxx – Seconde Leçon faisait face à Girlfriend – Reebot (Misterdada Studio), Ma vie, mon œuvre, mon cul ! (Luxure) ou Robin Deux Doigts, prince des violeurs (Sergiot Production). Porn!est donc le titre. Les premières rumeurs faisaient état du nouveau projet de la sulfureuse réalisatrice May Elbez, démenti par Charles Corman. Une seule indication, celle que ce projet est tiré du fameux best-seller 2020 d’Hugh Reznov, romancier à succès et proche de… Enzo Matteo ! L’histoire est celle d’un ancien critique musical, faune de la nuit, où la pornographie est son activité majeure. Selon nos informations, Hugh Reznov a la volonté depuis les premiers jets de son roman d'en tirer un film. Intéressé, Luxure aurait fait une proposition à l’auteur afin cela se fasse sous la houlette de sa nouvelle égérie, Lucille AuxDeuxMelons. |
Second projet largement communiqué par la MMP : Alan Caine's Untitled Project. Ici, la démarche est inverse car le film aurait déjà été tourné à la fin de l’année 2020 par le quatrième réalisateur le plus populaire de Gérardmerveille. Selon des notes internes dont nous avons pris connaissance, le budget est supérieur à 10 millions de $ et le genre serait ainsi codifié « Animation – Western ». En outre, selon le témoignage même du réalisateur, ce serait sa plus grande prestation depuis Visite Nocturne (Gérard Cousin Prod, février 2018). Toujours dans ces mêmes confidences de Caine, David Reyes, un temps évoqué sur le casting vocal, n’est pas dans la version finale pour raison de « planning » officiellement, de « mésentente » selon la version officieuse. Quant au titre, il serait en cours d’élaboration par le groupe communication de la MMP qui hésiterait fortement. Un de ses membres évoquant même la possibilité de lancer un grand concours pour départager le meilleur ! Chiche ! |
Ciné Merveilles a écrit :faisait face à Girlfriend – Reebot (Misterdada Studio)
Ciné Merveilles a écrit :Ainsi, Evi Elias, Mark Owens ou David Reyes auraient été écarté
Morcar a écrit :Ciné Merveilles a écrit :faisait face à Girlfriend – Reebot (Misterdada Studio)
Un jour, les journalistes de Ciné Merveilles arriveront à écrire correctement le titre de son film
Ce film avait fait parler de lui à cause d’un titre "emprunté". Quoi qu’il en soit, le public a répondu présent : 10,5 millions d’entrées et une première place au box-office pour The midnight express. Réalisé avec l’appui des scénaristes de la Well Walling Production, ce projet de Jacob Leiter Production qui propose le classique « gore dans un endroit clos » mais qui manque de « sentiment », « d’angoisse ressentie ». L’affiche divise quant à elle. Profitant du silence de Nanoyo Production dans le calendrier « sortie », JLP devient leader du box-office provisoire (13,12% contre 12,81%) et commence à creuser l’écart avec GCP (17 millions d’entrées d’avance), WWP (29 millions d’entrées d’avance) et PBP (35 millions d’entrées d’avance). |
Complètement à la ramasse dans Les mains sur le visage (Drama’Prod), improbable dans le rôle de Marc. On l’espère donc meilleur pour le second volet de cette saga prévue en avril. |
Découvert par Sergiot Production, Clara Vane trouve son envol hors de la production : Jacob Leiter Production lui offre son meilleur rôle dans The midnight express dans un second rôle. Prometteur. |
Premier film de l’année 2020 pour Hydrauxl Production, Strange Unknow, série B d’horreur séduit les critiques qui en font leur film de la semaine. « Veine classique », « horreur à l’ancienne » au programme donc, mais le tout est secoué par la qualité du casting (Blaise Atouva découvert par BBM, Chris Kemp et qui fait de « l’ambiance » et du « suspens » ses deux gros atouts. A noter l’originalité de ce film où Hydrauxl Production a complètement externalisé le travail, le scénario étant signé par les scénaristes de la Well Walling Production et l’affiche par l’équipe graphiste de Gérard Cousin Prod ne s’occupant que du côté casting et tournage. |
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