[Chaîne TV] TG1

[TonTon Luc]

Heureusement que là où il est retenu prisonnier, TonTon Luc a le droit de regarder la télévision.
Cette interview de Patrick Wang suscite particulièrement son intérêt, et Daniela Richardson est toujours aussi belle... bien que Loloestla soit toujours pour lui sa muse éternelle !
Pendant la pub, il en profite pour reprendre sa plume et écrire à ceux qui lui manquent.

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Daniela Richardson : Nous revoici avec Patrick Wang, pour cette première émission en prime time de TdinG de Ciné. Patrick Wang, comme nous le disions avant cette pause publicitaire, WB Entertainement semble avoir une activité plutôt fournie. Cela doit faire beaucoup de travail. Comment s'organise-t-il au sein de la société ?

Patrick Wang : Dans une société de co-production, le travail est bien moindre que dans une grosse société de production, car nous n'avons pas à gérer les studios, et tout le personnel qui est là pour s'en occuper. Pour le moment, seul Michael et moi dirigeons la société, et nous avons engagé deux scénaristes, Larry Kwok et Lucy Yuan. Patrick et moi nous occupons de gérer la production des films avec les sociétés avec qui nous collaborons.
Evidemment, c'est beaucoup de travail, mais cela nous plait beaucoup. Malgré tout, comme nous nous sommes très rapidement rendu compte que nous n'arriverions pas à tenir la route en gérant de front une carrière de scénaristes, réalisateurs et producteurs, il nous a fallu faire un choix, et Michael et moi avons décidé d'arrêter la réalisation.

Daniela Richardson : Cette décision a beaucoup surpris, et a entrainé un buzz sur Internet. Vous attendiez-vous à une telle réaction ?

Patrick Wang : Nous nous attendions à un certains émoi de la part de nos fans, mais pas à ce point là. Lorsque nous avons fait part de notre décision à Nikolas Morcar, qui a lancé notre carrière, ainsi qu'à Jenny Molchany étant donné que nous avions un projet de film en cours pour Morcar Prod, nous avons été surpris par la proposition qui nous a été faite, d'un dernier contrat de dix films. Mais Michael et moi nous sommes dit que c'était l'occasion de réaliser certains projets que nous avions sans arrêt repoussés.
Et puis l'information a filtré dans la presse, et alors notre téléphone n'a pas cessé de donner. Une production nous a alors contacté en nous proposant un projet que nous ne pouvions pas refuser, et nous avons donc signé pour encore un autre film. Suite à ça, nous avons décidé de dire non à tous les projets qui suivraient.
Mais en aucun cas nous n'avions imaginé que notre décision entrainerait pareille réaction.

Daniela Richardson : Vous nous avez donc parlé d'Invisible War, que vous réalisez finalement vous-même. Quels sont vos autres projets en cours ?

Patrick Wang : En dehors des deux autres films avec PM Média, nous allons écrire et réaliser un troisième Âme soeur, et encore un autre film d'horreur. Nous allons également réaliser d'autres films de science-fiction, dont un troisième Deus Ex.

Daniela Richardson : Un troisième Deus Ex est déjà prévu alors que le second n'est pas encore sorti ?

Patrick Wang : Oui, et nous avons déjà d'ailleurs trouvé l'acteur qui devrait incarner le rôle principal de ce film. Mais ce n'est encore qu'un projet, rien de plus. On espère qu'Invisible War connaitra un plus grand succès que le premier Deus Ex, pour commencer.

Daniela Richardson : Côté production, quels sont vos futurs projets ? Patrick Wang : Pour le moment, on se concentre beaucoup sur la promotion de Sonic the Hedgehog qui sort très prochainement. Mais suivront aussi Hong Kong Streets, un film policier que nous avons écrit, ainsi que les films que nous avons réalisés pour PM Média. Il y a aussi Démons, et The dark messiah dont je vous ai parlé tout à l'heure. Et puis cette comédie sentimentale qui devrait être tournée vers la fin de l'année sans doute. Daniela Richardson : Vous avez donc déjà collaboré avec Morcar Prod, Gérard Cousin Prod et PM Média. Des projets avec d'autres sociétés ? Patrick Wang : Oui, avec deux autres sociétés. Des projets déjà bien avancés d'ailleurs. Daniela Richardson : Et concernant Space Squads : Origin, comment s'est passé l'écriture et le tournage de ce film. Récupérer un univers déjà

bien développé a du être différent de ce que vous aviez fait jusque là ?

Patrick Wang : Oui, tout comme pour Nemesis 3, et comme ça a été le cas pour Le Royaume perdu. Lorsqu'on a signé ce contrat avec PM Média, il a été convenu dès le départ que nous écririons les scénarii de ces films avec Samual Pietrantonio, qui connait ces univers sur le bout des doigts. Nous avons donc co-écrit ces films, comme nous l'avions fait pour The Quest, avec Simon Tang. C'est une expérience différente de celle de l'écriture libre. Car pour nos autres films, nous partons d'une idée à nous, que nous développons. Là, l'idée nous est proposée, et nous la développons à partir des éléments qu'on nous donne. Un genre d'expérience qui nous plait aussi. Daniela Richardson : Doit-on s'attendre donc à plusieurs productions WB Entertainement pour le second semestre 2018 ? Patrick Wang : Il est possible que quelques unes sortes dans les salles, oui. Il y a déjà Sonic the Hedgehog qui arrive bientôt, mais Invisible War devrait aussi arriver avant la fin de l'année. Hong Kong Streets peut-être aussi.

Daniela Richardson : Et concernant les GM Awards, vous qui avez déjà obtenu des prix, notamment deux fois celui du meilleur film d'horreur avec les deux Âme soeur, avez-vous des espoirs pour la prochaine cérémonie ?

Patrick Wang : Bien que les prix que nous avons obtenu nous ont évidemment fait plaisir, les GM Awards ne sont vraiment pas quelque chose que nous visons. Si nous écrivions un film en pensant à cette cérémonie, je pense qu'on irait droit vers l'échec. Je ne nourris donc aucun espoir concernant les GM Awards, et je pense pouvoir dire qu'il en est de même pour mon frère.

Daniela Richardson : Bien, en tout cas merci d'être venu sur ce plateau pour cette première émission en prime time de TdinG de Ciné. Se tournant vers la caméra Quand à nous, on se retrouve dès Mardi prochain à 22h45 pour notre émission hebdomadaire, et le mois prochain si tout va bien pour une prochaine émission en prime time.
Bonne soirée à tous, et à très bientôt.

Générique de fin

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Programme de l'émission de Novembre de TdinG de Ciné
Malgré les très bons résultats de la première émission en prime time de TdinG de Ciné, l'équipe éditoriale et la direction de la chaîne ont décidé de ne pas se fixer de rythme à suivre concernant la diffusion de l'émission en prime time. Annoncé dans un premier temps comme une émission mensuelle, celle-ci ne suivra donc finalement pas de rythme régulier, mais sera produite en fonction de l'actualité du cinéma de Gérardmerveille.
L'émission en deuxième partie de soirée restera hebdomadaire cependant.

Après avoir reçu Tonton Luc et Patrick Wang dans la première émission, l'animatrice recevra dans celle de Novembre 2018 la réalisatrice et productrice Léa Risson, ainsi que le scénariste, réalisateur et producteur Maurizio Gira.

:!: Très bientôt sur TG1

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TdinG de Ciné - Novembre 2018 - Emission en prime time Présentée par Daniela Richardson Avec 4Bury, le meilleur ami de l'apéritif ! Bonsoir et bienvenue pour cette deuxième émission en prime time de TdinG de Ciné, l'émission consacrée au cinéma de Gérardmerveille... mais pas seulement ce soir. Car pour cette seconde émission, nous avons décidé de jeter un oeil également au cinéma de Fundanse, la ville souvent considérée comme la grande ou la petite soeur de Gérardmerveille, selon le point de vue. Grande soeur pour certains, car c'est là-

bas que le cinéma de Cinéjeu a connu ses plus importants changements, donnant vie au cinéma tel qu'on le connait aujourd'hui, et Petite soeur pour d'autres, car Gérardmerveille a petit à petit pris bien plus d'importance dans le paysage cinématographique de Cinéjeu que Fundanse.

Pour l'occasion, nous recevrons ce soir deux personnalités à la fois liées au cinéma de Gérardmerveille et à celui de Fundanse. Léa Risson me rejoindra dans un premier temps. Ayant occupé durant un temps la direction de Misterdada studio, cette jeune artiste aussi réalisatrice connait très bien les deux villes, du fait de la grande importance de la société dans les deux villes.
Nous recevrons également le scénariste, réalisateur et producteur Maurizio Gira qui a quitté Gérardmerveille pour rejoindre Blakstad Films à Fundanse, tout en continuant à écrire pour Gérard Cousin Prod à Gérardmerveille. Leur point de vue sur la situation des deux villes sera, je n'en doute pas, très intéressant à découvrir.

Mais sans plus attendre, jetons un coup d'oeil rapide sur les dernières demaines cinéma de Gérardmerveille, depuis notre dernier rendez-vous.

Gérardmerveille : deux mois de Cinéma
Si Gérardmerveille a été marqué par certains départs ces dernières semaines, les deux derniers mois ont aussi été marqués par la grande présence de Sergiot Prod, qui a fait son grand retour dans les salles. Bien que ne proposant pour le moment que des films à très petit budget, la société a enchaîné les sorties à un rythme digne de Gérard Cousin Prod. Un Gérard Cousin Prod toujours aussi présent dans les salles, enchainant les sorties à succès.
On retrouve toujours les mêmes "majors" de Gérardmerveille, toujours présents, tels que GCP, MMP, la récemment renommée PBP, anciennement PM Média, Misterdada studio, Quad9 ou encore Morcar Prod.
Mais l'actualité, c'est aussi l'arrivée de nouvelles sociétés de production, peut-être les futurs grandes. Ainsi, Despite his solitary aura permis à InShadow Production de faire une entrée remarquée à Gérardmerveille, tout comme Eclypse Girl de Well Walling Production, une jeune production qui semble ultra-motivée.

Bref, si ces deux derniers mois ont surtout vu les grands majors dominer encore une fois le box-office, ça n'aura pas empêcher des "petits nouveaux" de déjà faire leur trou, prouvant que quoi qu'il arrive à Gérardmerveille, la relève est toujours assurée.

Retour sur le plateau, avec Daniela Richardson
A présent, sortons un peu de Gérardmerveille et rendons-nous comme promis à Fundanse, pour découvrir l'actualité dans ses salles et analyser la situation de la ville.

Fundanse, ville sinistrée ?
Depuis de longues années maintenant, Fundanse connait des difficultés pour relancer son activité cinématographique. Bien que les plagiats y soient rares, les sorties le sont tout autant, à l'image du calendrier actuel n'affichant que quatre films dans les mois à venir, produit par deux sociétés seulement.
Pourtant, plusieurs producteurs motivés continuent de travailler à Fundanse. En tête de liste, Misterdada Studio persiste dans cette ville, en parallèle de son activité assez fournie à Gérardmerveille. Malgré la déception de certains votes "anti-jeu", Misterdada continue de produire ses films à la fois à Fundanse et à Gérardmerveille. Le suit Blakstad Films, qui après avoir démarré en trombe il y a quatre ans continue de sortir régulièrement des films souvent très appréciés.

Hending Studio, CrOnOS Entertainment qui vient de faire son retour, ou encore Calamity Pictures sont toujours en place également. Et bien que toujours silencieuse, JetProd est toujours officiellement ouverte. Si on y ajoute l'arrivée de sociétés comme Micki Jack Flash Prod, on pourrait espérer une activité grandissante à Fundanse. Pourtant, les semaines sont toujours aussi pauvres en sorties. Il est aujourd'hui même rare que deux films soient en concurrence la même semaine.

Si on jette un oeil aux prochaines sorties annoncées actuellement, on découvre que les quatre films présentés sont tous des films à la fois sortis à Gérardmerveille et Fundanse. Misterdada studio propose ainsi Le Journal de Claudia Linares, qui sortira dans quelques mois à Gérardmerveille, et L'invasion des Plantes Vertes qui participera au FestiConcours de Tonton Luc. Quand à Blakstad Films, en plus de sortir son Western Seduction à la fois à Fundanse et Gérardmerveille, la société propose une version fundansienne de "Le dernier sang", avec un scénario remanié, certes, par Maurizio Gira, mais qui reste malgré tout semblable à la version de Gérardmerveille.

A priori, on pourrait donc être optimiste concernant le sort de Fundanse, et pourtant, bien que la ville possède tous les élements pour redevenir la grande ville de cinéma qu'elle fut il y a de nombreuses années de ça, celle-ci continue de survivre seulement.

Retour sur le plateau, avec Daniela Richardson
Une situation toujours cahotique, donc, à Fundanse. Et pour en discuter, parmi d'autres choses, nous recevons dès à présent la productrice et réalisatrice Léa Risson !!

L'interview : Léa Risson
Tandis que la musique de fond de l'émission retentit, la jeune réalisatrice blonde apparait sur le plateau, vêtue d'une jolie robe bleue, et s'approche doucement de l'animatrice. Les deux femmes se font la bise, et Daniel Richardson invite la réalisatrice à s'asseoir sur le siège à côté d'elle.

Daniela Richardson : Mlle Risson, bienvenue sur le plateau de TdinG de Ciné, et merci d'avoir accepté de répondre à mes questions. Comme nous venons de le voir dans le document que nous venons de diffuser, malgré quelques sursauts, le cinéma de Fundanse ne parvient pas à retrouver son rythme. Comment expliquez-vous ceci, vous qui connaissez très bien cette ville ? Léa Risson : C'est gentil à vous de m'avoir invitée. Il faut dire que Fundanse à un monstre devant elle qui se nomme Gérardmerveille et que certains

producteurs gérardmerveilleux s'amusent à vouloir entraîner chez eux les nouveaux talents qui pourraient relancer Fundanse.
On l'a vu dernièrement avec Micki Jack Flash, Pineapple, TonTon Luc etc... Ce n'est pas comme ça que la ville va se relancer. Il faudrait des producteurs mentalement fort qui veulent relancer la ville comme Blakstad, Calamity ou encore nous mais cela ne court pas les rues malheureusement. Je rajoute aussi que de toute façon, presque tous les producteurs ont ou avaient créer une société à Gérardmerveille. Même Calamity qui déteste pourtant Gérardmerveille...

Daniela Richardson : Une situation complexe, en effet. Je vous propose d'en discuter plus longuement, après une petite page de publicité.Se retournant vers la caméra A tout de suite !

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Reprise de l'interview, après une page de Pub

Daniela Richardson : Nous revoici avec Léa Risson. Juste avant la pause, nous discutions des difficultés rencontrées par le cinéma de Fundanse. Quel regard avez-vous sur cette situation difficile que la ville connait depuis un moment maintenant ?

Léa Risson: C'est difficile à vivre franchement, je pense que la ville n'arrivera plus à retrouver ce qu'elle a connue à ses débuts. Pour qu'elle renaisse complètement, il faudrait que les anciens producteurs comme jetprod, Barbu, Cronos etc... reviennent avec pleins de films, que Blakstad, Calamity, Vinse, Hending, nous, etc... ne baissent pas les bras et que quelques « bons » nouveaux arrivent motivés pour rester.
Il faut noter aussi que Misterdada Studio n'a jamais connu la ville active.
Mais bon, ce n'est pas demain la veille que cela arrivera malheureusement. A mon avis, la ville va rester comme ça encore longtemps...

Daniela Richardson : Misterdada Studio reste très présent dans les salles de Fundanse, chaque film, à quelques exceptions près, sortant à la fois à Fundanse et Gérardmerveille. Est-ce une politique que vous comptez continuer d'appliquer longtemps ?

Léa Risson: C'est une idée de Misterdada ça pour avoir plein d'avis sur ses films. Plus que les autres producteurs en tout cas. Il m'a dit que des fois, certains films ne reçoivent qu'un commentaire à Fundanse et du coup, il produit le film dans les deux villes pour en recevoir plein !
Mais il faut savoir que les films qui ne sortent pas dans les deux villes sont les collaborations, les franchises communes et exceptionnellement Les Chroniques du Nouveau Monde.

Daniela Richardson : Tout en restant parmi les plus grands producteurs de Fundanse, pour ne pas dire le plus gros producteur, Misterdada Studio occupe également une place importante à Gérardmerveille. Comment parvenez-vous à tenir le rythme dans ces deux villes à la fois ?

Léa Risson: Ce n'est pas un exploit quand on y réfléchit car Fundanse est tout de même désert. Je dirais que vu qu'on fait tout d'un coup, c'est plus facile comme ça. Fundanse n'est qu'à trois heures de route de Gérardmerveille donc c'est vite fait. Et puis, tant que l'on a de l'inspiration, on bosse à fond dessus.

Daniela Richardson : Souhaiteriez-vous voir des producteurs de Gérardmerveille se rendre à Fundanse comme vous l'avez fait dans le sens inverse, au risque que les deux villes deviennent identiques ?

Léa Risson: Non, cela déjà été fait il me semble avec Loloestla, Nanoyo ou encore Rammstein sans qu'ils réussissent quoique ce soit. Pour que Fundanse revive, il faudrait un miracle comme je l'ai dit tout à l'heure. Et puis de toute façon, je ne pense pas qu'un producteur veuille tenter l'aventure fundansienne. Libre à lui de venir, il sera bien acceuilli.

Daniela Richardson : Misterdada Studio apprécie particulièrement les collaborations avec d'autres sociétés : Unfamous Glory à Fundanse, mais aussi EFP, GCP, Pineapple Pictures ou plus récemment Carpet Films à Gérardmerveille. Qu'aimez-vous particulièrement dans ce genre de travail ?

Léa Risson: C'est toujours intéressant de savoir comment on peut traiter un sujet différemment entre deux productions. Des fois, cela se termine avec un sujet totalement différent de ce que l'on avait en tête, cela a été le cas avec EFP. Avec l'expérience que l'on a là-dessus, je peux vous dire que chaque production a un style différent de travailler un sujet. Certains sont rapides, d'autres plus long. D'autres prennent des risques d'autres non.
Et puis collaborer, cela permet de gagner une certaine expérience.

Daniela Richardson : Les femmes productrices sont rares à Gérardmerveille. Comment avez-vous vécu cette situation lorsque vous dirigiez Misterdada Studio. Vous sentiez-vous considérée de manière égale aux autres ou moins prise au sérieux ?

Léa Risson: A mes débuts, tous le monde ne me prenait pas au sérieux. Je crois que c'est encore le cas aujourd'hui surtout avec les élections avec Lynda. Avoir dirigé Misterdada Studio m'a permis de prendre plus confiance en moi et vouloir tenter la réalisation. J'en ai parlé à Misterdada et il a accepté. Du coup, il a fallu trouver un remplaçant et c'est Ronald Dignaux qui a été choisi mais il est moins cool que moi, plus exigeant.

Daniela Richardson : L'actualité a été dernièrement occupée par la fermeture d'EFP, avec qui vous aviez collaboré, et d'AtPenumbra. Qu'avez-vous ressenti à l'annonce de ces fermetures ?

Léa Risson: Sur le coup, je n'ai pas tout compris le pourquoi du comment car, à mon avis, ils leur restaient encore plein de choses à faire dans le domaine du cinéma comme travailler sur les franchises communes, collaborer avec des sociétés. Mais bon, si il n'avaient plus de goût dans le cinéma, c'est compréhensible.
Je leur souhaite le meilleur dans leurs nouvelles activités.

Daniela Richardson : Enfin, l'année 2018 touche à sa fin. Quel bilan en retirez-vous pour le moment ? Y a-t-il des films qui vous ont particulièrement marqué cette année ?

Léa Risson: C'est une meilleure année que celle de 2017 car nos films sont mieux acceuillis, on a collaboré avec succès et organisé un concours. On est actuellement dans le top 5 de l'année. Pour qu'elle soit parfaite, ce serait de gagner un prix comme l'an dernier mais Loloestla n'est plus là, elle nous portait chance car nos deux prix, c'était elle qui organisait.
Les films qui nous ont marqué cette année sont : Sur l'Ecran de Quad9, Celui qui Vient de MMP et Eheovo Me'ko de Gérard Cousin.

Daniela Richardson : Vous avez débuté une carrière de réalisatrice à présent. Avez-vous des projets en cours qui devraient prochainement sortir en salle ?

Léa Risson: Je n'ai aucun tournage actuellement mais cela pourrait arriver. Un gros projet dramatique pourrait être lancé mais on hésite à que je le réalise car j'exige un rôle dans chacun de mes films. Cela raconte l'histoire d'une personne, de son enfance à son adolescence jusqu'à l'âge adulte. Cela serait une trilogie.

Daniela Richardson : Eh bien merci beaucoup Mademoiselle Risson d'avoir accepté de répondre à nos questions, et d'avoir parlé si franchement de la situation à Fundanse.

Se tournant de nouveau vers la caméra et s'adressant au public, pendant que Léa Risson retourne en coulisse, l'animatrice poursuit alors l'émission.

A présent, après avoir discuté plus en détails de Fundanse, jetons un oeil aux productions qui arrivent dans les salles de Gérardmerveille, aux films les plus attendus, mais aussi aux projets annoncés pour les mois à venir.

Suite de l'émission prochainement...

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On attendait le FestiConcours d'ici peu, qui allait clôturer en quelque sorte cette année 2018, mais il a finalement été reporté à une date ultérieure. Ca n'empêche pas cette fin d'année d'être plutôt bien remplie, en terme de sorties, tout comme les premiers mois de 2019. Pour le moment, peu de films de Gérard Cousin Prod sont annoncés, que ce soit pour la fin de l'année ou pour l'année prochaine. Sergiot Production en profitera peut-être pour lui prendre sa place, la société étant très active depuis son retour. Mais la faible diffusion de ses films, à petit budget, risque de ne pas jouer en ce sens.
De nouveaux producteurs tels que Well Walling Production ou Pictures Production en profitent également pour faire leur trou, et seront assez présents dans les salles ces prochaines semaines. Preuve que la relève est assurée.

Voici donc, un tour d'horizon des films à venir dans nos salles pour les fêtes de fin d'année, et le début de l'année à venir.

Les prochaines sorties

Après avoir déjà conquis un nouveau public avec ses deux premiers films, Well Walling Production nous propose un drame fantastique musical, aux couleurs envoutantes, tandis que Cronos Entertainment a programmé un nouveau Western, genre qui a à Gérardmerveille un public d'assidus qui ne faiblit jamais. Dès la semaine suivante, GCP revient avec "Il Etait Une Fois En Russie", une série Z d'action réalisée par David Reyes et interprété par Avi Elias, la nouvelle star musclée du studio, alors que Morcar Prod proposera un thriller "sensuel" écrit et réalisé par May Elbez. Chpom Entertainment a programmé la même semaine le sublime "Mire", qui promet déjà d'être un joli succès. Dès la semaine suivante, la jeune production Well Walling Production reviendra à nouveau avec un quatrième film, un film fantastique intitulé "Hybrides", surfant sur la légende des loups-garous et des vampires, éternels adversaires immortels. La même semaine Jaccuzi Films fera ses débuts à Gérardmerveille avec "L'Honneur du Coq", un drame

atypique, à l'image de ce que la société a déjà produit dans d'autres villes.
Sergiot Production nous proposera sa "Fin du Monde", et la semaine suivante une rencontre avec "Les nabots", tandis que la semaine suivante il sera en concurrence avec "Shoot & Kill 'Em All", le dernier film d'action de GCP, mettant en scène Kevin Bourrinos.

Pour le moment, seuls des films sans grande envergure occupe le programme de la dernière semaine de l'année, mais on espère que les choses changeront d'ici là, pour passer un réveillon sympatique. Pour cette fin d'année, les spectateurs de Gérardmerveille ne seront donc pas en reste, sans compter le fait que d'autres sorties seront sans doute annoncées d'ici là.

Retour sur le plateau
Une actualité encore bien remplie donc pour ces derniers mois de l'année, qui prouve encore que le cinéma de Gérardmerveille a encore beaucoup d'avenir devant lui. L'arrivée des nouveaux producteurs tels que Well Walling Production ou Jaccuzi Production rappelle que la relève est toujours assurée, après les départs qui ont dernièrement secoué la ville. Et si certains pilliers restent, tels GCP, MMP ou Morcar Prod, tandis que certains sont silencieux à l'image de Walken Prod, les nouveaux semblent prêt à relever le défi face à ces mastodontes.

Mais sans plus attendre, acceuillons à présent un réalisateur et producteur qui travaille encore aujourd'hui avec l'un de ces pilliers du cinéma de Gérardmerveille, j'ai nommé Maurizio Gira.

Suite de l'émission dans quelques temps...

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L'interview : Maurizio Gira
La musique de l'émission reprend et Maurizio Gira apparait sur le plateau. L'animatrice l'accueil et l'invite à rejoindre le fauteuil près de celui où elle s'installe elle-même.

Daniela Richardson : Tout d'abord merci d'avoir répondu à notre invitation pour participer à cette seconde émission consacrée au cinéma de Gérardmerveille et de Fundanse. Vous qui avez débuté votre carrière à Gérardmerveille, avec Gérard Cousin Prod, et que vous la poursuivez à présent à Fundanse avec Blakstad Films, quel regard avez-vous sur le cinéma de ces deux villes ? Maurizio Gira : Un regard plutot admiratif: C'est vrai

que ces deux villes tirent depuis des années le cinéma vers le haut tant par sa qualité que par sa diversité... Et il faut protéger cela et le soutenir!

Daniela Richardson : Vous êtes notamment connu pour vos films d'horreurs très violents et sanglants, à l'image de Redneck Holocaust, votre premier film du genre. A Fundanse où vous travaillez actuellement, vous êtes encore une fois connu pour un certain nombre de films d'horreur. Qu'avez-vous à répondre à ceux qui vous reproche cette violence très présente dans vos films ?

Maurizio Gira : (rires) Il est amusant de voir ce genre de réactions! C'est vrai que mes films sont souvent gore et avec des situations malsaines... Mais c'est outrancier, délirant, bref c'est du cinéma, de la fiction! Car je ne veux pas faire des films "réaliste", ce n'est pas mon but... Et si vraiment la violence de mes films genent certaines personnes, personne ne les forcent à les regarder!

Daniela Richardson : Vous avez annoncé la sortie prochaine d'une nouvelle version de Le Dernier Sang, pour Fundanse, se déroulant dans un autre univers. Qu'est-ce qui vous a motivé ce choix et quelles seront les différences entre les deux versions ?

Maurizio Gira : (silence) Le film Le Dernier Sang est un souvenir important pour moi car je lm'ai co-réalisé avec Giuseppe, mon frère. Nous nous sommes attaché à dépeindre une époque que nous avons connue en Italie, un époque où c'était de la "vraie" violence, pas comme dans mes films d'horreur... Lorsque mon producteur, Alain Blakstad, ùm'a proposer de faire un "remake" de ce film, je dois avouer que je n'en avait pas envis, ce scénario que j'avais fait avec Giuseppe, je ne vulais pas y touché de nouveau... Mais Gérard a suggéré une idée intéréssante: Garder la même trame mais la transposer à Harlem au début des années 70, lieu au moins aussi violent que l'Italie des années de plomb! Donc la version FD sera un film "Blacksploitation"...

Daniela Richardson : C'est une idée plutôt originale de proposer un film semblable dans les deux villes, et pourtant à l'identité si différente.Se retournant vers la caméra Avant de continuer à discuter du cinéma dans ces deux villes, nous allons faire une petite pause publicitaire. On se retrouve juste après, sur TG1. A tout de suite !

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Reprise tardive, après cette (longue plage de pub)

Daniela Richardson : Nous revoici sur le plateau de TdinG de Ciné avec Maurizio Gira, artiste à la fois à Gérardmerveille et à Fundanse. (se tournant vers Maurizio Gira) Monsieur Gira, c'est désormais vous qui écrivez les scénarios de la franchise Mardi Gras, dont vous aviez réalisé les derniers films à Gérardmerveille. Le premier film que vous avez écrit et réalisé à Fundanse a connu un assez grand succès. Qu'avez-vous apporté de nouveau à la franchise selon vous ?

Maurizio Gira : C'est plutot dans le sens inverse qu'il faudrait poser la question: Que m'a apporter la franchise Mardi Gras? Et la réponse est tout! Travaillé sur ces films, mettant en images des scénarios que je n'avais pas écris m'a conduit à mieux penser la réalisation, me retrouver au début avec moins de liberté qu'avec GCP... Mais c'était mieux par certains aspect! Et même si maintenant j'écris et réalise les épisodes de FD, je garde en tête tout ça pour continuer à faire des films peut-être moins "bourrins" que ce que j'ai put faire par le passé mais à mon avis de plus grande qualité...

Daniela Richardson : Avec Blakstad Films, vous participez donc à l'activité de Fundanse, qui connait des hauts et des bas depuis quelques temps. Certains disent que vous êtes "en retraite" à Fundanse. Le travail y est-il plus facile qu'à Gérardmerveille ?

Maurizio Gira : Quand j'ai décidé de quitter GM, j'avais besoins de changer "d'air": La disparition de mon frère, dont j'été très proche, m'a beaucoup affecté et comme il été très présent dans la production de la plupart de mes films, je n'avais plus l'envie et malgres le soutient sansq faille de Gérard... Alors quand Alain m'a proposer de le rejoindre à Fundanse, j'ai accepter... FD, c'est une ville dynamique, peut-être autant que GM mais qui n'est pas reconnue à sa juste valeur! Avec Alain mais aussia vec d'autres société peut-être dans l'avenir, j'espère que la ville redeviendrat l'égal de GM! En tout cas, je suis loin de la retraite!

Daniela Richardson : Vous continuez d'écrire des films à Gérardmerveille. Quatre films encore en 2018. Vous avez toujours voulu rester à Gérardmerveille malgré votre "migration" à Fundanse ?

Maurizio Gira : Ecrire des scénarios ne prend pas le même temps et ne néssécite pas la même implication que le tournage d'un film... Si j'ai quitter GM, c'est de mon plein gré, je n'ai aps été "viré" comme ça a put être dit dans une certaine presse... Je n'avais plus vraiment envit de cinéma... Mais quand des amis très proches comme Gérard me contactent, je ne peux pas refuser...

Daniela Richardson : Vous n'écrivez pourtant que pour Gérard Cousin Prod à Gérardmerveille, et jamais pour Blakstad Films. Est-ce un choix de votre part ?

Maurizio Gira : Avec Gérard, je suis très lié: Je l'ai rencontrer grace à mon frère mais nous sommes devenu très "potes" et ensemble, on a crées des personnages plutot intéréssant comme l'Inspecteur Gérard Costas... Et pour Gérard, il serait hors de question qu'une nouvelle aventure de ce héros sorte sans que nous ayons tout les deux écrit le scénario!(rires) Il m'a aussi demander de l'aide suite aux problème rencontrer avec Hugh Hanson sur L'Ombre du Massacre: Un film d'horreur, vous pensez que j'étais dans mon élément!(rires)
Mis à part Nina, si j'ai participer à la suite de Desolation Jane, c'était pour apporter une "cohérence" voulu par Gérard car c'est ensemble que nous avions écrit le reboot sortit en 2015...
Malgres les contrats que j'ai avec Alain, je suis libre de travaillé pour qui je veux à GM mais même si j'ai souvent des propositions, j'accepte surtout lorsque que c'est pour Gérard ou pour Alessandra, ma nièce, comme sur Vaudou par exemple...

Daniela Richardson : On atteint aujourd'hui la fin de l'année 2018 à Gérardmerveille. Quel regard portez-vous sur cette année écoulée, sur les différentes productions sorties dans les salles.

Maurizio Gira : J'ai trouvé que GM a connu une très grande année et un retour au premier plan des "majors" comme GCP, MMP et Morcar Prod aux 3 premières places! Une implication et une application qui fait plaisir à l'heure où la ville subit des départs de personnes aussi talentueuse que Loloestla ou Pineapple...
Au niveau des films, je retiendrais surtout Celui qui Vient de MMP, le génialisime Sonic the Hedgehog de Morcar Prod, Adagio - Partie II de Chpom Entertainement, celui-ci j'aurais aimé le réalisé, The Looters avec mon ami David ou encore certaines "tueries" bis et Z de Carpet Films!

Daniela Richardson : Avez-vous des pronostics quand aux films qui seront récompensés aux prochains GM Awards ?

Maurizio Gira : J'espère que Gérard en gagnera pour une fois!(rires) Les films que je viens de cité ont toute leurs chances pour ces prochains GM Awards!

Daniela Richardson : L'actualité de Gérardmerveille a été récemment consacrée à la fermeture de l'EFP et d'AtPenumbra. Que pensez-vous des décisions des dirigeants de ces sociétés ?

Maurizio Gira : Je suis ça avec un grand intéret et je trouve cela dommage mais je respecte leur décision: Je dois avouer que lorsque que j'ai quitter GM après le décés de mon frère, si j'avais eu une société, je l'aurais fermé sans la moindre hésitation... Alors s'ils avaient "besoins" de quitter le milieu, pas toujours rose, du cinéma, je respecte leurs choix et je leurs dit bonne chance pour la suite...

Daniela Richardson : Pour finir sur une note plus positive, avez-vous des projets en cours, à Fundanse et à Gérardmerveille, et si oui Lesquels ?

Maurizio Gira : Gérard va prendre sa retraite en temps que réalisateur: C'est un scoop que je vou livre là!(rires) Mais en va essayer de faire une dernière enquète de l'inspecteur Costas avec David Reyes et son épouse Lucie, le succés de Meurtre à L'Elysée nous facilité les choses! J'ai deux ou trois idées de scénarios pour GM mais aussi un gros projet pour FD et Blakstad films mais pour l'instant rien n'est "sur"! Donc on n'en parle pas!(rires)

Daniela Richardson : On n'a donc pas fini d'entendre parler de Maurizio Gira, et on ne s'en plaindra pas. Notre émission touche à sa fin. Merci Monsieur Gira d'être venu sur ce plateau répondre à mes questions. Se tournant vers la caméra Quand à nous, on se retrouve dès Mardi prochain à 22h45 pour notre émission hebdomadaire, et très bientôt pour une prochaine émission en prime time.
Bonne soirée à tous, et à très bientôt.

Générique de fin

[Chpom]

Toujours aussi bon ! Continuez comme ça.

[Morcar]

J'ai bien aimé l'idée d'une émission consacrée pas uniquement au cinéma de Gérardmerveille, mais aussi à celui de Fundanse. Le choix des deux artistes intervenants a d'ailleurs été très judicieux.

[TG1]

Interview Olivia Stuard - L'après "Los Angeles Hearts" - Au programme de 100% People ce soir, une interview exclusive d'Olivia Stuard, héroïne de la série télé Los Angeles Hearts qui revient sur sa carrière, ses choix, et ses projets. TG1 : Olivia Stuard, la série qui vous a rendue célèbre a pris fin en Septembre dernier, il y a bientôt six mois. Qu'est-ce que ça vous a fait ? Olivia Stuard : Quitter Alicia, le rôle que j'ai interprété pendant treize ans, a été un déchirement pour moi. J'aurais aimé l'interpréter encore pendant plusieurs années. Se retrouver quotidiennement pour le tournage me manque aussi, mais heureusement, nous sommes restées très proches avec Lisa, Teri et Alice. TG1 : Vous avez interprété le même rôle pendant treize ans, et on ne vous a jamais vu dans aucun autre film ou téléfilm. N'avez-vous pas peur que cette image

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vous colle trop et vous empêche de jouer d'autres rôles ?

Olivia Stuard : Je suis consciente que ça ne me facilitera pas les choses, mais j'espère réussir à poursuivre dans ce métier en jouant autre chose. Ca prendra peut-être du temps, mais je pense pouvoir prouver que je peux faire autre chose.

TG1 : Malgré l'arrêt de la série, celle-ci attirait encore un public assez fidèle. Croyez-vous qu'une adaptation au cinéma de la série soit possible ?

Olivia Stuard : Tout est possible dans le domaine, je pense. Il suffit pour ça d'un bon scénario. Mais à ma connaissance, il n'y a rien de prévu dans ce sens. Pourtant, ça pourrait être sympa de se retrouver toutes les quatre sur grand écran.

TG1 : Avez-vous des projets au cinéma ou à la télévision pour 2019 ? Olivia Stuard : Non, pour le moment, je n'ai aucun projet. J'ai tenté de contacter quelques sociétés de production de cinéma, mais sans succès pour le moment. Mais la série vient tout juste de s'arrêter, donc je n'ai pas envie de me presser. Le rythme de tournage était assez soutenu, et cette pause me fait le plus grand bien. Néanmoins, je suis ouverte à toute proposition. TG1 : Le message semble clair : amis producteurs, si vous êtes intéressé... Y a-t-il un producteur en particulier avec qui vous aimeriez travailler ? Olivia Stuard : J'aime beaucoup ce que fait Misterdada Studio. L'esprit qui se dégage de ses films, de manière générale, me plait bien. J'ai aussi assez apprécié la toute nouvelle production Well Walling

Production. Et puis évidemment, je ne serais pas contre le fait de travailler pour Gérard Cousin Prod, MMP ou Morcar Prod, qui restent les trois leaders du cinéma à Gérardmerveille.

TG1 : Aujourd'hui, à presque trente ans, votre carrière est à un tournant décisif. Souhaitez-vous y apporter du changement ?

Olivia Stuard : J'attends simplement un projet qui m'intéresserait. Je ne suis pas prête à faire du cinéma à tout prix, il faudra que le film qu'on me proposera m'intéresse. Je ne suis pas contre quelque chose de complètement différent du rôle que j'ai joué pendant treize ans, au contraire. Mais je ne suis pas non plus contre l'idée d'un rôle s'en approchant. J'ai pris beaucoup de plaisir à jouer Alicia pendant treize ans, donc j'espère que j'en prendrais autant à jouer un rôle qui s'en approcherait.

TG1 : Dans un autre sujet, on vous a beaucoup vu dans la presse people à une époque, notamment à l'époque de vos fiancailles avec l'acteur Christopher Fielding. Mais vous y êtes beaucoup moins présente aujourd'hui. Est-ce une volonté de votre part ?

Olivia Stuard : Si ma présence dans la presse people dépendait de ma volonté, vous ne m'y auriez jamais vu, je vous l'assure. Je pense simplement que d'autres actrices sont sur le devant de la scène, et occupent les couvertures des magazines qui ne s'intéressent plus beaucoup aux actrices comme moi. Mais vous savez, je ne m'en porte pas plus mal.

Propos recueillis par Nigel Müsler

[Ciné Merveilles]

TG1 prépare une émission de télé-réalité

Misant de plus en plus sur le cinéma, la chaîne TG1 prépare actuellement une émission de télé-réalité dans laquelle dix acteurs débutants intégreront une école d'art dramatique et seront jugés régulièrement par un jury composé de plusieurs professionnels du cinéma. Les candidats seront, au fur et à mesure des émissions, éliminés, suivant les votes des téléspectateurs par téléphone, jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un candidat qui remportera la coquette somme de 100 000 $, et un contrat d'exclusivité avec une grande société de production de Gérardmerveille.
Pour le moment, aucun élément n'a été communiqué autour de l'émission, que ce soit à propos de la société de production collaboratrice, des candidats ou même des membres du jury. Mais l'émission devant débuter très prochainement sur TG1, ces informations devraient rapidement être révélées.

Nous ne manqueront pas de vous en tenir informé dès que nous en saurons plus à leur sujet.

[Chpom]

Une bonne idée !

[Matteo]

L'émission TdinG de Ciné qui passe en prime, la retransmission de la cérémonie des GM Awards, et maintenant cette émission, TG1 semble en effet miser gros sur le cinéma en ce moment. En même temps, vu qu'il s'agit de l'activité la plus lucrative de la ville, ça n'a rien de surprenant, ni de risqué.

[Gérarama]

Certaines rumeurs courent sur le fait que, moi-même, Georges Abitbol, rédacteur en chef de Gérarama, grand critique cinématographique et défenseur du beau 7ème art, serait l'un des membres du jury.
Je ne confirme rien, mais je ne démens pas.