Les Toiles de ciné 2009
Publié : Sam Jan 03, 2009 16:27
J'ouvre ce nouveau topic pour parler des films que verrez cette année en salles, et uniquement ceux-ci, pour coller à l'actualité cinématographique du moment. Vous pourrez aussi parlez, des evenements ciné lié à votre region (festival qui ont lieu dans vos cinéma de quartier, pas celui de Cannes, on s'en fout ça pase à la télé, sauf si vous habité Cannes, y'a un petit ciné qui a une bonne programmation). Venez ouvrir des debats sur ce que vous voyez sur grand écran, que ce soient des exclusivités ou des reprises, des chef d'oeuvre ou des navets, tous les films sont bons à être cités ici meme.
IL DIVO (Escurial salle Panorama) : Pouahahah la farce toi. En gros c'est le portrait assez gonflé d'un type qui est encore vivant, homme influent, personnage cynique italien. L'histoire qu'est-ce que ça raconte ? Bah mlein de trucs, y'a plein de gens qui meurent, certains meme on en parlait à la télé, et puis j'avoue que je n'ai pas suivi grand chose de ce foutu bordel politique. Pour aider à comprendre, au tout debut, y'a un glossaire, avec des definitions de "Brigades rouges" "Aldo Moro", avec 3 secondes pour les lire. Le film commence avec une multitude de noms qui se font decalquer la tronche. Le film pourra vous paraitre net si vous maitriser parfaitement la politique italienne, sinon vous comrpendrez comme moi que quelques bribes vers la 2eme partie du film. En plein milieu de la projo je me suis demandé quel etait le sujet du film et ou cela voulait en venir, et d'un seul coup, nouveau coup de plein de personnages qui arrivent se faisant eux aussi defoncer, mais pas tous. Sachant qu'entre temps, il y'a des inserts de retour arriere, ce qui fait que je ne savais plus du tout à quelle epoque pouvaient si situer certaine actions. Surtout qu'Andreotti ne vieilli jamais. Faut dire que vu sa gueule, ca change pas grand chose. Du coup je me suis interessée à la mise en abime de ce portrait traité de façon ironique, tres ironique, avec une certaine insolence de ton par moment, et une mise en scene assez spectaculaire, aidé par une photographie sombre laissant apparaitre juste ce qu'il faut au bon moment. Laissez vous charmer par cette charge, ou la fin donne une raison au film. Si tout ça vous parait nebuleux à souhait, compliqué, c'est que la politique italienne doit l'etre tout autant ce qui permet à certaines organisations d'evoluer à leur guise sans etre derangées et que ça doit en arranger plus d'un. C'est un drole de film, qui meme si je n'ai pas tout compris de tous ces evenements, neanmoins la charge au vitriol de ce portrait, elle se fait tres bien sentir, en meme temps, il se foutent bien de sa tronche aussi, tout en balançant quelques verites bien peu reluisantes. On saura ça à sa mort, ses archives doivent etre on ne plus compromettantes. Sachant que Andreotti n'aurait pas trop apprecié le film. En meme temps, ce type est un mur. Il devait avoir la meme gueule impassible qu'il traine tout le long du metrage. Dans le genre sexy, on peut repasser. POuahahaha COTE : --***
IL DIVO (Escurial salle Panorama) : Pouahahah la farce toi. En gros c'est le portrait assez gonflé d'un type qui est encore vivant, homme influent, personnage cynique italien. L'histoire qu'est-ce que ça raconte ? Bah mlein de trucs, y'a plein de gens qui meurent, certains meme on en parlait à la télé, et puis j'avoue que je n'ai pas suivi grand chose de ce foutu bordel politique. Pour aider à comprendre, au tout debut, y'a un glossaire, avec des definitions de "Brigades rouges" "Aldo Moro", avec 3 secondes pour les lire. Le film commence avec une multitude de noms qui se font decalquer la tronche. Le film pourra vous paraitre net si vous maitriser parfaitement la politique italienne, sinon vous comrpendrez comme moi que quelques bribes vers la 2eme partie du film. En plein milieu de la projo je me suis demandé quel etait le sujet du film et ou cela voulait en venir, et d'un seul coup, nouveau coup de plein de personnages qui arrivent se faisant eux aussi defoncer, mais pas tous. Sachant qu'entre temps, il y'a des inserts de retour arriere, ce qui fait que je ne savais plus du tout à quelle epoque pouvaient si situer certaine actions. Surtout qu'Andreotti ne vieilli jamais. Faut dire que vu sa gueule, ca change pas grand chose. Du coup je me suis interessée à la mise en abime de ce portrait traité de façon ironique, tres ironique, avec une certaine insolence de ton par moment, et une mise en scene assez spectaculaire, aidé par une photographie sombre laissant apparaitre juste ce qu'il faut au bon moment. Laissez vous charmer par cette charge, ou la fin donne une raison au film. Si tout ça vous parait nebuleux à souhait, compliqué, c'est que la politique italienne doit l'etre tout autant ce qui permet à certaines organisations d'evoluer à leur guise sans etre derangées et que ça doit en arranger plus d'un. C'est un drole de film, qui meme si je n'ai pas tout compris de tous ces evenements, neanmoins la charge au vitriol de ce portrait, elle se fait tres bien sentir, en meme temps, il se foutent bien de sa tronche aussi, tout en balançant quelques verites bien peu reluisantes. On saura ça à sa mort, ses archives doivent etre on ne plus compromettantes. Sachant que Andreotti n'aurait pas trop apprecié le film. En meme temps, ce type est un mur. Il devait avoir la meme gueule impassible qu'il traine tout le long du metrage. Dans le genre sexy, on peut repasser. POuahahaha COTE : --***