PITBULL a écrit :Il ne marche pas alors ? ... Je vais à l'Ociné de Dunkerque voir celui de St-Omer. Parfois au Kinépolis mais c'est très rare
C'est une sortie très restreinte. Très peu de copies, il n'y avaient que 2 copies sur Paris, plus qu'une cette semaine puisque mon ciné l'a viré.
Kinepolis de Lomme (c'est monstrueux cet endroit et tout ce qui l'entoure est à vomir autant faire un tour à Lesquin ) ? le film passe cette semaine en VF tlj à 19h45 et 22h30 mais = NON PAS EN VF, OUBLIEZ, vraiment, ce n'est pas le dernier Tom Cruise et vous perdrez 85% du film.
Pitou cette semaine faut que vous fassiez 34 km pour le voir dans ce cinema :
ALHAMBRA / 2 rue Jean Jaurès à Calais (GPS mon Pitou ) seances : vendredi (demain ) 16h10 / samedi 20h30 / dimanche 16h30. jeudi 10 juillet 20h30 / samedi 12 18h20 / dimanche 13 à 20h30 / mardi 15 à 20h30
c'est projeté en VOSTF - OBLIGATOIRE - pour sentir toute la rage contenue la dedans.
Jolie programmation dans ce ciné.
Le film passera t'il plus prés de chez vous ? Pas garanti. 68 625 billets vendus. Pas mal. Le film est surtout cantonné dans les salles art et essais. Les multiplexes sont frileux pour ce genre de films.
Si vous avez la possiblité d'aller sur Calais.
A l'Ocine de Dunkerque = oubliez, le film en sera jamais projeté. C'est une programmation VF de multiplexe.
Le Studio 43 de Dunkerque à une programmation recente et restreinte. Demandez leur toujours. Calais , c'est sur que vous pourrez le voir, si vous pouvez vous y rendre.
Voila mon Pitounet
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
BLACK COAL de Yi'nan Dao : Ils étaient complétement pétés à la bière les jurès du festival pour lui decerner l'ours d'or cette année ? Si c'est parfaitement emballé, avec quelques tres bonnes scenes, chez le coiffeur au début, la meilleure, et celle du patinage, ce polar noir totalement emberlificoté dans une histoire incomprehensible donne un reel sentiment de gratuité tant le spectateur est perdu la dedans. Ca rime à rien, ne raconte pas grand chose avec le sentiment avec ce final pretentieux et foireux qu'on s'est foutu de nous. Les personnages, comme l'histoire et le scenario empétrés dans des sévères problèmes d'identité, n'arrive pas à se retrouver lui-meme, sont mal écrits avec aucune consistance, aux multiples rebondissements qui finissent par etre assez incohèrents. En gros, tout est dans l'emballage. C'est mieux que rien, une sorte de lot de consolation. Un ours d'or mineur, un comble pour un film ou les cadavres en morceaux se retrouvent dans du charbon. Un joli ptit nanar pour festivaliers se remettant de l'Oktoberfest. A jeun, la supecherie n'est pas loin et donne franchement plus envie de se marrer tant c'est parait saugrenu. On ne comprend vite mal fait q'un tiers de l'intrigue qui ne va pas chercher bien loin et s'avère assez banale et souffrant de reels problème d'écriture. Assez vain limite inutile malgré quelques fulgurances de mise en scene et de talent gachés. (----+)
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
Merci pour ces informations Divine ^^ mais je ne peux pas aller aussi loin ... tant pis ce sera en rattrapage à la maison !
Kelvin Pitbull, PDG de la Pitbull Production ainsi que fondateur et PDG de la Pitbull Production GM Le Cinéma, un univers passionnant, une passion tout simplement !
PITBULL a écrit :Merci pour ces informations Divine ^^ mais je ne peux pas aller aussi loin ... tant pis ce sera en rattrapage à la maison !
Tant que c'est vostf ça ira. Si le DVD sort un jour. Tnetez de voir un film qui s'appelle "R". Ca aussi ça claque.
LIGNE D'EAU de Tomasz Wasilewski : Mateusz Banasiuk...ne le touchez pas, il est à moi et rien qu'à moi . Dès demain je me casse en Pologne. Y'a rien à jeter du garçon. Tout est bien de la tete aux pieds. Le film ? un peu moins bien foutu que le mec. Les liens entre les differents personnages sont maladroitement décrits et écrits meme si tout est très bien filmé et assez bien bien joué dans l'ensemble. Le film est un peu longuet et il n'y à rien de vraiment nouveau la dedans dans ce questionnement fille ou garçon, les 2 ou pas, plus le poids de la société polonaise qui ressemble à la France d'il y'a une bonne trentaine d'années. Un film utile et necessaire la-bas, moins pour nous, mais le realisateur ayant parfaitement choisi le role principal car convaincu de ce qu'il fait meme si manque un peu de force, nous en fait profiter un maximum. Assez hot par moment pour un film tous publics . (---++)
ON A FAILLI ETRE AMIES de Anne Le Ny : Mettons en avant les defauts : Il y'a quelques petites fausses notes apr moments, la photographie est asez plate et manque de piquant et de contraste ce qui es dommage. L'histoire est franchement bonne ou chacun des personnages fémnins sont aussi bien coupable que victime de leurs actes. Un peu prévisible aussi, il suffit de savoir lire pour savoir comment ça se termine, mais la relation entre les 2 femmes et ceux qui les entoure est maitrisé et evite tout manicheisme et le sujet et traité avec beaucoup de finesse, une certaine dose d'humour, et un poil de perversité qui serait involontaire car il n'y a aucune malhonneteté dedans mais plutot des sentiments cachés qui peuvent y faire croire. (--+++)
THE ZERO THEOREM de Terri Gilliam : Une absurdité de la SF ou un pauvre fonctionnaire stréssé au combien , flippé on ne saurait vous dire comment, se retrouve à chercher pour son employeur le 0Théorem ou de prouver...le sens de la vie ou plus précisément son inutilité. Trip hallucinogène bourré aussi bien d'humour que de générosité dans les images toujours aussi surchargées, mais pleines d'imagination débridée. Un reve faussement doux, un cauchemar faussement dur, ou comment rendre concret par le cinéma un concept des plus abstrait. La scene du parc est geniale, et Gilliam s'amuse, car c'est un grand gamin, de mettre les peids dans le plat de la technologie à outrance et mal utilisée. Moins puissant et moins noir qu'un BRAZIL qui est un peu recyclé et ou forcément la comparaison est évidente, mis ça ne manque ni d'audace ni de sens ou la Tilda Swinton en psy.com est bien barrée. Ja'i bien trippé samedi matin devant le film. (-++++)
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
Vivien Guards a écrit :Il est pourtant pas loin d'être insupportable le Gilliam...
C'est parfois un peu agaçant, c'est vrai, sans doute à cause d'un Waltz dont le personnage est une sorte de pile electrique totalement stréssé qui n'appelle pas à la sobriété. L'outrance des autres personnages tout aussi speedée peu enerver. Là au moins il y'a une metaphore et meme une critique assez virulente de l'envahissement de la technologie, des écrans et de leur pouvoir. Je trouve que Giliam a encore une fois defié mon imagination avec conviction et générosité. Moins fortement qu'avec BRAZIL ou L'ARMEE DES 12 SINGES, je place ce 0 THEOREM tres critiqué, à coté.
Morcar a écrit :
La Grande Divine a écrit :Tnetez de voir un film qui s'appelle "R". Ca aussi ça claque.
Kelvin Pitbull, PDG de la Pitbull Production ainsi que fondateur et PDG de la Pitbull Production GM Le Cinéma, un univers passionnant, une passion tout simplement !
Vivien Guards a écrit :Par contre, Divine, ce 2 à la Princesse Kaguya est une vraie honte ! ^^
Bah pourquoi ? C'est ce qu'il merite. Une animation pas très jolie, une histoire trop longue, des personnages aux voix agaçantes, des themes récurrents habituels que l'on retrouve souvent dans ce type de films. La raison de la venue de la princesse ne sont pas calires du tout, en gros j'ai rien compris J'ai trouvé que ça manquait de précision et de clarté, gros defaut du film. C'est pas bete et merite d'etre vu, mais en général je trouve que ces films asiatiques sont surestimés. Celui-ci en fait parti, meme si je reconnais les valeurs essentielles qui sont dedans. Donc 2 "etoiles".
Quand à BLACK COAL franchement me suis demandé de qui on se moquait quand meme.
C'est quand vous nous mettez vos avis bien trempés qu'on se fightent sur la KAGUYA
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
Je trouve l'animation splendide. C'est quand même de très loin ce que j'ai vu de plus beau dans le genre depuis... longtemps. Un travail absolument incroyable, des séquences fabuleuses et une réalisation travaillée comme on en voit très très peu dans le registre (cad l'animation). Pour le doublage, je l'ai aussi trouvé excellent -- pour le coup j'ai souvent du mal avec le doublage japonais de certains films mais ici c'était vraiment un travail incroyable. Après c'est peut-être que le japonais est une langue difficile à apprivoiser et qu'elle peut sonner agaçante si on y est pas habitué. Quant à la clarté du récit, c'est un conte, comme le précise le titre (on en revient au débat sur Snowpiercer), du folklore japonais - cette décision est prétexte au changement de ton et de lieu au milieu du film.
Sinon, quelques avis comme demandé (avec le risque d'en oublier quelques uns) :
Les Amants électriques Muet : Un autre film à l'animation d'excellente facture (Plympton c'est pas un bleu). Petit regret que le mutisme du film rende ça limite exaspérant bien souvent. Malgré la folie visuelle de la chose, ça manque de panache, d'envolé lyrique. Intéressant, pas indispensable, pour public averti. 2/5
Zero Theorem VO : Agaçant mais pas idiot, bourré de défauts mais plein de qualités... Pour le coup ce Théorème Zéro est un vrai paradoxe. J'ai beau adorer Gilliam, celui-ci m'a vraiment fait chier. Ça manque de folie, et ça a beau être très bien interprété, les personnages sont si fades / obscurs (à l'opposé de l'ambition de la chose donc), qu'on s'en désintéresse complètement. 2h c'est une heure de trop. Qu'il nous fasse son Don Quichotte au lieu de remplir sa carrière avec des films aussi creux (entre ça et Parnassus...). 1/5
Le Conte de la Princesse Kaguya VO : Merveille de l'animation, future classique et l'un des meilleurs Ghibli... j'ai tout dit plus haut, c'est dans mon Top 3 de l'année. 4.5/5
Under the Skin VO : Le genre de truc qui divise énormément. Un objet filmique assez inaccessible mais qui trouvera son public (j'en fais partie) amateur de cinéma de minuit, incompréhensible, glauque, en apparence grossier mais en réalité subtile. Probablement l'une des plus belles real' de l'année en tout cas. Pareil : pour public averti. On adore ou on déteste. 3.5/5
Transcendance VO 3D : Relative surprise. Je m'attendais à un blockbuster débile mal foutu, j'ai eu un blockbuster surprenement très intelligent mais très mal foutu. La morale, les thèmes abordés par Transcendance sont excellents - et assez rares dans un film de ce budget (en tout cas avec un tel pessimisme). Pareil, assez surpris de l'absence quasi-totale de scènes d'action - c'est un techno drame aux accents Dick-ien. Et ça fait très plaisir de voir ça dans un film budgetté à autant de dollars. Dommage que ça ait autant floppé mais ça peut se comprendre. A côté de ça, un manque réel d'ambition visuelle, des acteurs pas géniaux (à part Hall et Betanny), un scénario cousu de fil blancs, des lieux communs déplorables et des passages obligés dans le scénario. Le message a beau être profond et puissant, le scénario est classique et inutile. Dommage, mais ça vaut vraiment le coup d'oeil (mais pas en salles). 2/5
Palo Alto VO : Que c'est vide ! J'aime beaucoup Sofia C. mais cet espèce d'ersatz de son cinéma par sa nièce (il me semble), nouveau membre de la famille Coppola à rejoindre le monde du cinéma, est une vraie catastrophe. Vision prétentieuse de l'adolescence moderne, bordel scénaristique pourtant très vide... Je me suis vraiment ennuyé, et ce malgré le casting impeccable. 0.5/5
The Two Faces of January VO : J'y ai été en m'attendant à rien du tout et... j'ai adoré. Enorme surprise, je comprends pas du tout l'accueil critique déplorable. C'est du Mad Men qui rencontre les films d'espionnage des années 40/50. Beaucoup d'influences pour un résultat incroyable, qu'il faut aborder pour ce qu'il est : un film qui prend son temps, de A à Z. J'ai beaucoup et rien à dire au final : très très belle surprise qui se hisse, à mon grand étonnement, dans mes films préférés de 2014. Ne pas s'attendre à quelque chose de nerveux ou de sensoriel, on voit juste des américains se balader en Grèce avec pour toile de fond une affaire criminelle - suffit de se laisser embarquer, et on est hypnotisé. Si Paavo me lit, je lui conseille vivement (Mad Men style, même si ça n'a sur le fond rien à voir). 4/5
Xenia VO : J'ai trouvé le film un peu trop long parfois, mais certaines séquences, d'une incroyable justesse, le rendent très sympathique. Le duo d'acteurs principaux est excellent, et les rapports entre frères bouleversants et réalistes. 3/5
Jersey Boys VO : J'aime pas du tout Eastwood réalisateur mais j'ai plutôt apprécié cette fois-ci. Pas adoré, certaines scènes sont d'ailleurs d'un ridicule certain (puis bon, faut qu'il arrête avec ce leitmotiv au piano qu'il nous ressert à chaque film), mais c'est plutôt distrayant dans le genre et pas mal d'éléments assez anodins me font apprécier ce nouvel Eastwood. Moyen +. 2.5/5
PALERME de Emma Dante : A situation absurde, personnes insensées, et tout ce qui va en découler de ceux qui les entourent qu'ils soient proches ou pas. C'est simple à capter, pas évident à regarder. Une fois les lumières rallumées c'est l'interrogation totale sur ce qui vient de se derouler sous les yeux. Le risque et lesentiment de frustration peuvent envahir celui qui se trouve face à cet etrange univers aussi singulier qu'une rue d'un quartier populaire devenant le theatre à ciel ouvert ou chacun devient acteur. C'est assez sobre, tout reste plausible dans ce qu'il va se dire et se faire sans effets spectaculaires, mais ou les evenements sont comme la photographie, cadrés avec soin et minutie car rien n'est laissé au hasard, sauf le trop long dernier plan qui lui se delite et tire de trop à ne pas vouloir se terminer. Un drole de film pas rigolo du tout, plutot tendu ou on peut rester sur sa fin mais qui travaille quelque peu et dont les qualités viennent et remontent au fur et à mesure. Comme on dit faut le digerer après sa vision. Son coté "GRAND EMBOUTEILLAGE" ici tout petit, mélangé à petit coté "AFFREUX SALES ET MECHANTS" à lemerite se dortir des sentiers battuts et prend le risque de ne plaire à tous dans cette histoire bien plus reflechie qu'on pourrait le croire. (--+++)
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
UNDER THE SKIN de Jonathan Glazer : Il faut se laisser embarqué. Le rythme est lent car le personnage de Scarlett Johansson se fabrique et évolue en observant tout ce qu'il se passe autour d'elle. C'est plus un film d'observation que contemplatif meme si ce coté ressort de part la plastique des images, le realisateurs ne se contentant pas uniquement de jouer avec l'eclairage, il joue aussi avec la matière et les textures qu'elles soient visuelles ou auditives pour mettre en avant un jeu de séduction qui donne lieu à un étrange ballet funeste assez envoutant dans cette quete fantastique, cette initiation du desir. Il ne faut pas trop en dire dessus, le film jouant sur la subjectivité personnelle, le ressenti de chacun face aux images et au récit, parfois un peu trop, une sensation de manque sur la personnalité des 2 personnages principaux fait defaut en fin de parcours. Ca peut sembler abstrait, mais pas tant que ça, car on comprend ce dont il s'agit malgré tout. Par contre le film est trop long, meme s'il tient sur presque 1h20, il y'a une rupture qui se fait sur le derniere demie heure (grosso modo), très longue ou quelques coupes auraient été necessaires pour eviter le décrochage avant le final. La Scarlett n'hésite à se mettre en danger dans ce film quelque peu experimental, de cette SF atypique, assez ambitieux et très soigné, qu'il est bon aussi de laisser murir une fois les lumières rallumées. Une experience ciné quoi, intello, oui, mais ça fait du bien de s'interroger sur ce qu'on voit aussi de temps en temps, meme si j'ai senti une fragilité, une certaine stérilité. D'autres on fait plus percutant dans ce domaine, Glazer ne démerite pas et de son film, il restera un univers et des images malgré tout marquantes grace à ce trip audivisuel. Après ça direction LE GRAND PALAIS pour voir les videos de Bill Viola (jusqu'au 21 juillet) , dont le film fait penser et dont certaines sequences semblent proches. (-++++)
Vivien Guards a écrit : Under the Skin VO : Le genre de truc qui divise énormément. Un objet filmique assez inaccessible mais qui trouvera son public (j'en fais partie) amateur de cinéma de minuit,
Je ne l'ai pas trouvé si inaccessible. Le film peut l'etre à ceux qui ne savent pas regarder un film en salles. Les amateurs de badaboum et de comedies grossieres, c'est évident que ce n'est pas pour eux.
Vivien Guards a écrit :incompréhensible, glauque, en apparence grossier mais en réalité subtile.
Une approche originale en tout cas, qui change des autres films traitant de ce sujet et qui sont en général beaucoup plus spectaculaires. Je n'ai pas trouvé le film glauque mais à un moment extremement osé et très dérangeant mais d'une puissance impressionnante car très finement et intelligemment faite, mais alors denonçant les préjugés, les moqueries sur une l'apparence physique. Ici, il n'y a pas de ségrégation, tout le monde y a droit. (je reste vague exprès, mais Vivien et ceux qui ont vu le film capteront). Qu'entendez vous par "grossier" ?
Vivien Guards a écrit : Probablement l'une des plus belles real' de l'année en tout cas.
C'est soigné. Faut bien mettre en valeur l'actrice principale. Y'en qui iront que pour ça.
Vivien Guards a écrit : Pareil : pour public averti.
Plutot attentif et cherchant autre chose que du fast food ou du junk movie.
Vivien Guards a écrit :On adore ou on déteste. 3.5/5
Pas tout à fait vrai non plus. J'ai bien aimé, vraiment bien aimé, plus de précisions sur ces 2 "heros" et un poil plus de 1er degré aurait été d bon ton pour renforcer l'ensemble et eviter cette sensation de flottement. Assez d'accord avec la note qui elle aussi dit bien que vous n'avez ni adoré (5 /5) ni detesté (0/5)
Allez pour le plaisir.
Et pis vous pouvez le voir en VO, les refractaires seront contents, y'a très peu de dialogues, autre qualité du film, qui evite de raconter des conneries. Les images suffisamment travaillées se suffisent presque à elles-memes.
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight." Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
Pas tout à fait vrai non plus. J'ai bien aimé, vraiment bien aimé, plus de précisions sur ces 2 "heros" et un poil plus de 1er degré aurait été d bon ton pour renforcer l'ensemble et eviter cette sensation de flottement. Assez d'accord avec la note qui elle aussi dit bien que vous n'avez ni adoré (5 /5) ni detesté (0/5) :wink:
J'ai beaucoup de connaissances qui ont vraiment détesté le film (au point de mettre justement "0/5"), alors que vous comme moi avez mis une très bonne note ! (3.5 c'est très bien)
Qu'entendez vous par "grossier" ?
C'est une apparence. Celle de montrer des scènes / éléments chocs alors qu'ils sont en réalité plus subtiles qu'il n'y paraissent (l'homme déformé, la scène de la plage, ...)
) ? le film passe cette semaine en VF tlj à 19h45 et 22h30 mais = NON PAS EN VF, OUBLIEZ, vraiment, ce n'est pas le dernier Tom Cruise et vous perdrez 85% du film. 
)
/ samedi 20h30 
/ dimanche 16h30.
mais je ne peux pas aller aussi loin ... tant pis ce sera en rattrapage à la maison !
. 
