big bang productions a écrit :Y'en à moins oui mais je trouve qu'ils sont plus explicites.

:D

J'irais le voir en fin de compte...

Pattou a écrit :Mais tkt pas

Voyelles à vendre !! Voyelles !!!!!!!!!! Avec des consonnes ! Achetez deux magnifiques voyelles et obtenez une consonne moitié prix ! Voyelles à vendre !!!

Désolé j'avais pas trop le temps, désolé de vous avoir choqué mon vieux Walken

Ralphaez a écrit :

Pattou a écrit : je trouve que les plans culs sont moins nombreux que dans les autres

:(

J'irais pas le voir alors...

Ah bon parce qu'il y'a des plans culs dans "Fast and furious 1 et 2" maintenant ? Ca viens de sortir, pouahahahah, On n'a pas du voir les memes films dans ce cas, parce qu'à part 2 ou 3 nascos en maillot fluo, si c'est ça que vous appellez des plans culs qu'est-ce que ça sera le jour ou vous verrez "Shortbus" ? Pouahahahaha...

Et TKT ? ouatizite ? Moi pas avoir compris. Merci

TKT =T'inquiète

Ben dans F&F 4, il y a moins de 3 plans hein ...

Pattou a écrit :TKT =T'inquiète

Ben dans F&F 4, il y a moins de 3 plans hein ...

ne vous KT pas, mais dites nous en plus sur les fameux plans. PCQ heu vous m'avez dit que Paul Walker Hinhinnnnnnnnnnnnnnnnnnnn il etait pas tout nu dans le film. Donc s'il n'est pas tout nu avec les nascos très distinguées, y'a po plans Q. Et pis c'est po dans ce genre de produtions qu'on y voit vraiment de la chair mais plus des matieres synthetiques.

Ahhh
Moi quand je parlais de plans culs, c'était des plans sur des culs
Sinon, aucune scène de sexe à part un commencement de préliminaires qui dure 2 secondes

Pattou a écrit :Ahhh
Moi quand je parlais de plans culs, c'était des plans sur des culs

-Ah si ce n'est que ça, y'a pas de quoi me reveiller dans ce cas.

Pattou a écrit :à part un commencement de préliminaires qui dure 2 secondes

Hey c'est quand meme "fast ans furious" et oui 2 secondes et c'est réglé Vraiment pas pour moi, surtout que les 2 premiers sont assez...tres ronflants, j'ai failli m'endormir au bout 1/4 d'heure à chacun des 2 premiers episodes

Pattou a écrit :TKT =T'inquiète

Moi qui avait vu ça plusieurs fois sans jamais réussir à comprendre ce que ça voulait dire...

Ben je vous apprends des trucs alors, c'est cool
Si vous comprenez pas d'autres abréviations, je suis a votre service

Hey c'est quand meme "fast ans furious" et oui 2 secondes et c'est réglé. Vraiment pas pour moi, surtout que les 2 premiers sont assez...tres ronflants, j'ai failli m'endormir au bout 1/4 d'heure à chacun des 2 premiers episodes

Pattou a écrit :Ben je vous apprends des trucs alors, c'est cool
Si vous comprenez pas d'autres abréviations, je suis a votre service

Hey c'est quand meme "fast ans furious" et oui 2 secondes et c'est réglé. Vraiment pas pour moi, surtout que les 2 premiers sont assez...tres ronflants, j'ai failli m'endormir au bout 1/4 d'heure à chacun des 2 premiers episodes

Donc, toi c'est les abréviations, Rammstein les mots incomplets. Compris !

big bang productions a écrit :Donc, toi c'est les abréviations, Rammstein les mots incomplets. Compris !

Incomplets et la plupart du temps incompris

Reprenons un peu le fil de discussion.

STILL WALKING de Kore-Eda Hirokazu (UGC CC BERCY 14)

Comme chaque année une famille japonaise bien sous tous rapports, se livre à un rituel que seule celle-ci pratique avec des gens qui leurs son proches...

Malgré ce que l'on pourrait croire, le film est moins hermetique qu'il n'y parait meme s'il est à reserver aux plus attentifs d'entre vous. Le film demande une attention particuliere, il faut savoir s'arreter sur ce qu'il se dit, se passe que l'on peut qualifier de banal mais s'avère etre singulier. L'histoire aussi simple soit elle fourmille de milliers de petits details qui ont tous leur importance. Les personnages sont soigneusement campés avec leurs zones d'ombre, leurs secrets, chacun se dévoile petit à petit et juste ce que bon leur semble etre devoilé. C'est délicat, élégant toujours, cinglant souvent, le film joue constamment entre culture ancestrale nippone avec ses codes bien precis, et le japon plus moderne, qui au final ne semble pas si éloigné des occidentaux. On en pas les choses de la meme maniere, jusque dans le cinéma, qui reservera aux spectateurs patients de découvrir une famille qui s'ouvre à nous. A nous de savoir s'ouvrir à eux. Et ce n'est pas si compliqué que ça que d'etre attentionné, de toutes façon on y va pour ça au cinéma.
COTE :

DANS LA BRUME ELECTRIQUE de Bertrand Tavernier (UGC GOBELINS 7) :

Un flic alcoolo se retrouve avec le meurtre d'une gamine prostituée retrouvé eventrée dans le bayou. Puis il rencontre un acteur poivrot notoire tournant dans un film produit par un mafieux dont il soupconne etre le meurtrier. Sauf que l'acteur en question trouve lors d'une scene, un tas d'os attaché à une chaine, faisant remonter à la surface par la meme occasion, les fantomes du passé enfoui par le flic...

Une histoire alambiquée comme c'est pas permis, plus souvent confuse dans les vapeurs d'alcool que dans les brumes moites du bayou. C'est faussement compliqué, tout est centré sur le personnage de Tommy Lee Jones qui se trainasse, les autres ne sont que des figurants qui n'apportent strictement rien à la narration. Les rebondissements sont mollassons, l'intrigue n'a aucun interet, tout a deja été vu 1000 fois, le denouement est aussi fade que triste, quant aux tenants des aboutissants sont quasiment inexistants, vous pouvez vous assoir dessus. Pourtant les idées sont présentes, mais avec le sentiment que les scenaristes et meme le realisateur n'ont pas reussi à les exprimer et que tout cela s'enlise tres rapidement dans le polar convenu ou j'ai attendu gentiment que tout cela se passe. De la meme façon dont je regarde des episodes de serie policiere bidon à la maison sauf que là c'est en scope avec tout de meme ce minimum de tenu dans les images et les cadrages. Franchement faiblard et réellement decevant, faut dire que je me suis tout simplement emmerdée en toute simplicité vu qu'au bout d'une heure je me suis rendu compte qu'il n'y avait rien d'excitant la dedans, et il ne faut surtout pas s'attendre à un suspens uniquement construit sur le fait de savoir qui commet les meurtres. Un beau petard mouillé, vu le taux d'humidité il n'y rien de surprenant non plus que ça n'éclate pas plus que ça.
COTE :

Avec ma copine on a vu Incognito. Mon point de vue est à venir.